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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Résultat pour ""the good place""

Christmas Yulefest 2015 - 34 - Le Grinch (2000)

Publié le 12 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Jeunesse, Fantastique, Comédie

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Le Grinch (Dr. Seuss' How the Grinch Stole Christmas) :

À Chouville, une petite ville festive nichée au coeur d'un flocon de neige, les Choux adorent célébrer Noël... mais ils le font sans modération aucune, au grand dam de la petite Cindy Lou Chou (Taylor Momsen), qui est persuadée que ses semblables ont perdu le véritable sens des fêtes de fin d'année. Et au sommet de la montagne qui surplombe Chouville, le Grinch (Jim Carrey), une créature maléfique, poilue et verte, a décidé que cette année, il allait ruiner Noël pour tous les Choux...

Contrairement aux USA, les livres du Dr. Seuss n'ont pas vraiment le statut de classiques, par chez nous, et c'est probablement pour cela que j'ai une certaine sympathie pour ce film, malgré ses défauts évidents (alors qu'outre Atlantique, le film est vivement critiqué, et détesté, par les amateurs de Seuss).

Ici, on sent que tout le monde s'est amusé à donner vie à ces personnages, le récit est beaucoup moins niais qu'on veut bien le croire (la key party échangiste dans le flashback, huhuhu), l'énergie et la silhouette en caoutchouc de Jim Carrey portent tout le métrage sur leurs épaules, et on finit par croire à ce monde étrange, biscornu et improbable.

D'autant que la musique de James Horner (bien que rappelant parfois très fortement Elfman) soutient cet univers fantastique et enguirlandé de manière très efficace.

Dans l'absolu, ce n'est pas forcément un chef d'oeuvre, et il est difficile de revoir le métrage sans regretter la déchéance ultérieure de Taylor Momsen (tombée dans la drogue, la provoc' et la pseudo-rebellion arty), mais en tant que film de Noël, ça reste tout à fait recommandable.

4/6

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Christmas Yulefest 2015 - 40 - Animation en vrac (1)

Publié le 14 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Christmas, Noël, Télévision, Animation, Dreamworks, ABC, NBC, Fox, Comédie

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Joyeux Noël Shrek ! (Shrek the Halls - 2007) :

Shrek veut fêter Noël en famille, mais l'âne et tous ses amis lui rendent la vie impossible et viennent saboter ses projets.

Un court-métrage spécial de moins d'une demi-heure diffusé en prime time sur ABC, et qui a réuni près de 21 millions de spectateurs lors de sa première diffusion, et 9 de plus lors de sa rediffusion, quelques jours plus tard. 

Avec évidemment tous les acteurs des films qui reprennent leurs rôles au doublage, c'est sympathique, c'est mignon, c'est typiquement Noël à l'américaine, et c'est cent fois plus réaliste et expressif que n'importe quel Beowulf, sorti à la même période.

Joyeux Noël Madagascar (Merry Madagascar - 2009) :

Le Père Noël s'écrase sur l'île de Madagascar, et tous les animaux tentent de sauver Noël à bord d'un traîneau désormais tiré par les quatre pingouins dopés à la poudre magique...

Dreamworks continue ses mini-épisodes de Noël dérivés de ses succès, avec ici un Merry Madagascar diffusé sur NBC en 2009, et depuis multi-rediffusé chaque année.

Plutôt amusant, notamment au niveau de la rivalité Pôle Nord/Pôle Sud entre les rennes et les pingouins.

L'Âge de Glace fête Noël (Ice Age : A Mammoth Christmas - 2011) :

Lorsque Sid détruit malencontreusement le Rocher de Noël de Manny, il finit sur la liste des enfants méchants du Père Noël, et part pour le Pôle Nord afin d'arranger les choses... mais il ne fait qu'empirer la situation.

Court-métrage de Noël diffusé sur la Fox en 2011 et assez sympathique, principalement pour ses intermèdes centrés sur Scrat, et mis en musique sur Casse-Noisette et compagnie.

Pas forcément exceptionnel, mais agréable à regarder, et suffisamment court pour ne pas s'éterniser, contrairement à certains des volets de l'Âge de Glace.

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Un film, un jour (ou presque) #372 : Le Monde Fantastique d'Oz (2013)

Publié le 1 Août 2016 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Disney, Fantastique, Jeunesse, Aventure

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Le Monde Fantastique d'Oz (Oz, The Great and Powerful) : 

Lorsque Oscar Diggs (James Franco), un illusionniste à la petite semaine dans un cirque du Kansas, est aspiré par une tornade jusqu'au pays merveilleux d'Oz, il se retrouve embarqué dans les jeux de pouvoir de trois sorcières, Theodora (Mila Kunis), Evanora (Rachel Weisz), et Glinda (Michelle Williams), qui voient en lui un héros légendaire, dont la venue avait été prédite il y a bien longtemps. Uniquement intéressé par la fortune, le pouvoir et la célébrité, Oscar décide alors de jouer le jeu...

Déjà vu (et très moyennement apprécié) à l'époque de sa sortie (alors un petit 3/6), le revisionnage n'est pas tendre avec ce métrage signé d'un Sam Raimi en pilotage automatique, dévoré vivant par tout le dispositif technique du film, entre gimmick 3D inutile, incrustations ratées, et fonds verts voyants.

D'autant qu'à la base, le script est tout sauf intéressant, une quête banale au possible, une histoire d'élu, le tout modelé sur Evil Dead 3 - L'armée des ténèbres (parfois au plan près), mais sans que James Franco n'ait un dixième du charisme, du talent et de l'énergie d'un Bruce Campbell, indispensables pour que l'on s'attache à son personnage de baratineur/vantard/séducteur/aventurier malgré lui.

Franco est terne, insipide, antipathique, et il aurait fallu quelqu'un comme Robert Downey Junior (initialement engagé dans ce projet) ou Jeremy Piven pour convaincre dans la peau de ce bateleur de bas-étage promu Sorcier suprême... et il aurait fallu une actrice plus aguerrie que Mila Kunis (que j'apprécie pourtant habituellement mais qui ici semble perdue dans les écrans verts) pour rendre cette histoire crédible.

Il reste bien quelques moments amusants, lorsque Raimi se souvient qu'il est Raimi, et le personnage de la poupée de porcelaine est réussi (tant visuellement qu'au niveau de l'interprétation de Joey King), mais dans l'ensemble, c'est mou, c'est assez moyen visuellement et musicalement (Elfman est en pilotage automatique, avec son thème à mi-chemin entre "O Canada" et "Plaisir d'amour"), et c'est tellement quelconque que j'ai peiné à dépasser la première heure de métrage lors de ce revisionnage.

2/6

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Christmas Yulefest 2015 - 79 - Embarquement immédiat pour Noël (2015)

Publié le 27 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Lifetime

Noël est passé, mais comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Embarquement immédiat pour Noël (The Flight Before Christmas) :

Ravie d'être sur le point d'emménager avec son petit-ami Brian (Gib Gerard), Stephanie (Mayim Bialik) se retrouve soudain célibataire (et sans domicile) à l'approche de Noël, lorsque Brian rompt soudainement avec elle. Contrainte de prendre l'avion pour rentrer chez ses parents, elle y fait la connaissance de Michael (Ryan McPartlin), son voisin de cabine, qui est sur le point de faire sa demande en mariage à sa compagne. Mais lorsque le vol est détourné par les intempéries, et que les passagers sont tous pris au piège dans une petite ville accueillante du Montana, Stephanie et Brian sont obligés de partager une chambre d'hôtel, et ce malgré leurs rapports assez tendus...

Troisième métrage Lifetime vu par mes soins cette année... et troisième flop. Et comme le film précédent, qui était à peu de choses près la version Lifetime d'un téléfilm Hallmark, ici, ce Flight Before Christmas s'avère la version Lifetime de A Christmas Detour, de Hallmark. À croire que quelqu'un de chez Lifetime s'est procuré la liste de films en tournage chez Hallmark, et a décidé de lui faire de la compétition...

Mais peu importe, car ce téléfilm est tout aussi peu intéressant ou attachant que A Christmas Detour.

Mayim Bialik en fait en effet trois tonnes en passagère névrosée insupportable, et face à elle, McPartlin ne convainc pas en businessman. Ce n'est pas vraiment de sa faute, c'est tout le téléfilm qui sonne faux et paraît forcé, entre le Santa magique qui se balade incognito, l'apparence vestimentaire de McPartlin, la romance improbable et peu plausible (qui éjecte la compagne de McPartlin sans la moindre hésitation), la distribution globalement à côté de la plaque (c'est sympa d'avoir les deux parents de La Vie De Famille dans des petits rôles, mais il ne servent à rien d'autre qu'à donner de bons conseils avisés aux protagonistes, et tous les autres personnages sont insipides et mal castés), etc.

On se retrouve donc avec un film qui repose sur une romance à laquelle on ne croit jamais vraiment, tant ses deux protagonistes semblent dans des films et des univers différents, l'un dans une romance classique, et l'autre dans une sitcom sarcastique et moqueuse.

2/6

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Christmas Yulefest 2015 - 80 - Le Message de Noël (2015)

Publié le 27 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Drame, Romance, Télévision, Hallmark

Noël est passé, mais comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Le Message de Noël (The Christmas Note) :

À peine rentrée dans sa ville natale en compagnie de son fils Ethan (Dylan Kingwell), Gretchen (Jamie-Lynn Sigler) fait la connaissance de sa voisine, Melissa (Leah Gibson). Partageant toutes deux une souffrance commune - Gretchen est séparée de son mari soldat, immobilisé dans un hôpital militaire en Allemagne ; Melissa vient de perdre sa mère, dont elle était éloignée depuis des années - les deux jeunes femmes apprennent alors que Melissa a un frère dont elle ignorait l'existence, quelque part en ville. Désireuses de résoudre le mystère de son identité, Gretchen et Melissa décident alors de mener l'enquête...

Un téléfilm Hallmark Movies & Mysteries qui colle bien à sa chaîne, puisqu'il prend la forme d'une enquête et d'un mystère à résoudre.

Seul problème, ce téléfilm est adapté d'un roman de Donna VanLiere, et par conséquent, il est typique des récits de l'auteur : le récit est donc un mélodrame bien appuyé et larmoyant, au déroulement bourré de coïncidences improbables et miraculeuses, qui finissent par déboucher par une révélation finale toutéliant tout le reste du film d'une manière peu plausible (mais paradoxalement totalement prévisible une fois que l'on a compris le fonctionnement des récits de VonLiere - voir aussi Le Médaillon de Noël et la trilogie des Souliers de Noël).

Ajoutez à cela (comme souvent dans les adaptations de VanLiere) une interprétation un peu forcée, des dialogues maladroits, un rythme pépère, et une musique assez dérivative, et l'on se retrouve avec un téléfilm techniquement compétent, mais très peu passionnant.

2.25/6

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Christmas Yulefest 2015 - 82 - Un Merveilleux Cadeau pour Noël (2015)

Publié le 28 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Télévision, Lifetime, Comédie, Drame, Romance

Noël est passé, mais comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Un Merveilleux Cadeau pour Noël (The Christmas Gift) :

Inspirée par le cadeau anonyme reçu à Noël lorsqu'elle avait 10 ans, Megan (Michelle Trachtenberg) est devenu une journaliste à la recherche d'un sujet. Suivant la suggestion de son patron (Rick Fox), elle tente alors de retrouver celui qui lui avait envoyé ce cadeau : Wesley (Sterling Sulieman), héritier d'un développeur immobilier ayant renoncé à une carrière toute tracée pour s'occuper d'un foyer pour jeunes orphelins. Convaincue de tenir là un sujet passionnant, et pas insensible au charme de Wesley, Megan se rapproche de ce dernier, malgré les bâtons qu'Alex (Daniel Booko), son ex jaloux, tente de lui mettre dans les roues.

Encore un téléfilm Lifetime produit par Hybrid/Fred Olen Ray, et encore un semi-échec, ici plus pour la monotonie et le manque d'énergie caractérisée du récit que pour ses clichés éventuels.

En effet, le récit (supposément inspiré d'une histoire vraie) a bon fond, l'interprétation est correcte, et le tout tient plutôt bien la route... mais qu'est-ce que c'est mou.

Sans compter le méchant caricatural, encore un montage flashback sur fond de musique pop, et une Michelle Trachtenberg qui, si elle est sympathique et joue bien, n'est absolument pas à son avantage, que ce soit au niveau de sa garde-robe, de son maquillage, de sa coiffure, ou de la manière dont elle est filmée.

Un minuscule 2.5/6, principalement parce que le couple principal est mixte, ce qui est suffisamment rare à la tv américaine pour être salué.

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Christmas Yulefest 2015 - 93 - Les Douze Cadeaux de Noël (2015)

Publié le 31 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark

Noël est passé, mais comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Les Douze Cadeaux de Noël (On The Twelfth Day Of Christmas) :

10 ans après qu'elle ait passé une journée de Noël magique en sa compagnie, Maggie (Brooke Nevin), une journaliste, est ravie d'apprendre que Mitch (Robin Dunne), un animateur radio, s'installe dans la petite ville où elle vit. Mais Mitch a changé, et est devenu aigri, ne trouvant plus aucun intérêt dans les fêtes de Noël. En secret, Maggie décide alors de fabriquer et de lui faire parvenir anonymement douze cadeaux de Noël, afin de tenter de lui redonner la magie de Noël... une tâche qui se complique lorsque ces cadeaux deviennent l'objet de l'attention du grand public, et que Maggie est chargée de couvrir cette histoire pour le journal local.

Une comédie romantique Hallmark assez capillotractée et cousue de fil blanc, avec des ficelles assez grosses, et des personnages un peu caricaturaux (notamment au niveau de la rivale amoureuse propriétaire d'un salon de yoga).

Mais, étrangement, le métrage ne fonctionne pas trop mal, principalement parce que le couple vedette est assez sympathique et attachant.

Rien de particulièrement mémorable, cependant, d'autant que certains défauts restent présents, comme par exemple ce saut temporel de dix ans, jamais vraiment crédible (les acteurs ne changent pas du tout, même pas au niveau de la coupe de cheveux), ou bien encore le concept des 12 jours de Noël, qui ne sont pas les 12 jours d'avant Noël, en dépit de ce que la plupart des programmes américains semblent croire.

Reste que je ne me suis pas ennuyé, ce qui, plus de deux mois après le début de la saison festive outre-atlantique, et de la diffusion de ces téléfilms souvent très répétitifs, mérite d'être souligné.

3.25/6

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Christmas Yulefest 2015 - 103 - Tel est pris qui croyait prendre (1994)

Publié le 4 Janvier 2016 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Comédie, Drame, Christmas, Noël

2016 est enfin là, mais comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année, jusqu'à l'arrivée des Rois Mages, le 6 Janvier...

Tel est pris qui croyait prendre (The Ref) :

Le soir de Noël, pour échapper à la police, Gus (Denis Leary), un cambrioleur à la petite semaine, prend en otage Caroline et Lloyd (Judy Davis et Kevin Spacey), un couple malheureux qui passe son temps à se disputer et à s'insulter. Réfugié dans la demeure de Caroline et Lloyd, Gus est rapidement confronté à la famille dysfonctionnelle de ceux-ci, et sa nuit de Noël va finir par se transformer en véritable cauchemar inattendu...

Une comédie de Noël très noire, assez datée années 90 (ne serait-ce que dans son illustration musicale) et qui s'avère relativement inégale, bien que tout de même assez distrayante : si le cynisme et l'agressivité passive omniprésente dans la première heure ont tendance à rendre tous les personnages antipathiques et fatigants, on finit par trouver assez jouissives les quatre vérités que s'assènent tous les protagonistes lorsque le récit se cristallise enfin, et que le script réussit à dépasser son traitement caricatural et misanthrope pour devenir émotionnellement plus percutant (on pense alors un peu au climax du Sapin a les boules, en moins réussi).

On regrettera pourtant la toute fin du métrage, un peu bâclée et décevante (car retournée suite à des projections-tests insatisfaisantes), et qui dessert le récit plus qu'autre chose.

3.75/6

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Christmas Yulefest 2015 - 106 - Maman se marie ! (2008)

Publié le 5 Janvier 2016 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Télévision, Comédie, Romance, Noël, Christmas, Lifetime

2016 est enfin là, mais comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année, jusqu'à l'arrivée des Rois Mages, le 6 Janvier...

Maman se marie ! (A Verry Merry Daughter of the Bride) :

Lorsque sa mère Rose (Helen Shaver), avec qui elle tient une entreprise d'organisation de mariages, annonce à Roxanne (JoAnna Garcia) qu'elle a rencontré Jack (Kenneth Welsh), qu'elle veut épouser sur le champ, et pour qui elle veut tout quitter, Roxanne se méfie. Avec l'aide de Charlie (Luke Perry), le fils de Jack, inquiet pour son héritage, Roxanne décide alors de tout faire pour que ce mariage capote, quitte à mettre son propre bonheur sentimental en péril par la même occasion...

Un téléfilm Lifetime estampillé "Noël", que j'avais déjà vu, et dont je n'avais retenu absolument rien... et non sans raisons : en effet, si l'on omet le fait que cette histoire se déroule en Décembre, et qu'il y a donc vaguement quelques décorations et neige en arrière plan, rien de tout cela n'a de rapport avec Noël (et ce malgré le titre en VO).

À vrai dire, on pourrait prendre le même script, et le transposer à la St Valentin, en Mai-Juin, ou lors du 4 Juillet, et ce serait exactement le même film à l'arrivée, avec quelques décorations différentes.

Pour ne rien arranger, le film souffre d'effets de transition "magiques" (en fait, des fondus enchaînés fauchés et autres effets vieillots), et de personnages un peu trop basiques : la mère très amoureuse et un peu égoïste, la fille très jalouse et décidée à se débarrasser de son futur beau-père, le futur beau-frère qui n'a d'yeux que pour son héritage, l'ex qui cherche le pardon, blablabla. Ça manque clairement de subtilité, tout ça.

Dommage, car la distribution est plutôt bonne (Kenneth Welsh fait un peu vieux pour Helen Shaver, mais bon, passons), c'est assez bien joué, et on a droit à une brève réunion de Luke Perry et de Jason Priestley, ce qui est toujours amusant.

Mais il faut bien être franc, si ce n'était pour l'adorable minois de JoAnna Garcia, qui illumine l'écran dans tout ce qu'elle tourne, je n'aurais probablement même pas redonné une seconde chance à ce téléfilm.

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #234 : Agents Très Spéciaux - Code U.N.C.L.E. (2015)

Publié le 22 Janvier 2016 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Drame, Action, Télévision, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Agents Très Spéciaux : Code U.N.C.L.E. (The Man From U.N.C.L.E.) :

En pleine Guerre Froide, Napoleon Solo (Henry Cavill), de la CIA, et Illya Kuryakin (Armie Hammer), du KGB, doivent faire équipe malgré leurs différends, afin de protéger la fille (Alicia Vikander) d'un savant allemand porté disparu, et de tenter d'empêcher une dangereuse organisation criminelle de provoquer une guerre atomique...

Guy Ritchie + les années 60 + de l'espionnage + l'adaptation d'une série culte = on avait de quoi s'attendre à quelque chose de fun, de dynamique, de musical et de léger, avec de la couleur, du swing, de l'humour, et du rythme.

Malheureusement, ce n'est pas vraiment le cas, et ce Man From UNCLE est une déception certaine pour moi. Avec ses deux heures de métrage, le film traîne en effet sérieusement la patte, et a un problème de ton qui lui met le cul entre deux chaises : d'un côté, le métrage est trop léger pour que l'intrigue soit prise au sérieux (déjà qu'elle est particulièrement basique et oubliable), ou pour rendre son époque crédible (la reconstitution paraît trop artificielle et "esthétique" pour convaincre) ; et de l'autre, l'humour et le décalage ne sont pas assez présents et homogènes pour que le tout apparaisse comme un pastiche réussi.

Ni suffisamment drôle et léger, ni suffisamment sérieux et crédible, on se retrouve donc avec un métrage mi-figue mi-raisin, assez mal rythmé et, comme souvent chez Ritchie, à la bande originale envahissante qui s'éparpille un peu dans tous les sens.

Reste alors la réalisation et la distribution : sur le premier point, Ritchie est assez inégal, inspiré dans certaines scènes, et hors-sujet dans d'autres, mais il parvient tout de même à rendre son travail intéressant (même si les scènes d'action sont assez peu mémorables) ; et au niveau des acteurs, je dois dire que c'est à l'identique.

Autant Cavill semble s'amuser, et campe un personnage que l'on aimerait presque voir interagir avec OSS 117, autant Hammer n'est pas gâté par son personnage. Quant à Vikander, j'avoue ne toujours pas comprendre cette soudaine fascination d'Hollywood pour la demoiselle, qui est loin d'être mauvaise, mais ne fait pas grande impression pour autant.

En résumé, un film d'espionnage pas très sérieux, mais pas non plus très convaincant ou intéressant, et qui gaspille un peu un Cavill impeccable dans son rôle.

2.5/6

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Christmas Yulefest 2017 - 26 - Better Watch Out (2016)

Publié le 11 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Yulefest, Noël, Christmas, Comédie, Horreur, Jeunesse, Thriller, Australie, USA

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Better Watch Out :

Âgé de douze ans, Luke (Levi Miller) n'a qu'une envie : séduire sa babysitter, Ashley (Olivia DeJonge), nettement plus vieille que lui. Mais alors que Noël approche, et qu'Ashley passe une dernière soirée à surveiller le jeune garçon devant un film d'horreur, des événements étranges se multiplient autour d'eux, et menacent leur vie...

Une comédie horrifique australo-américaine, au postulat de départ à mi-chemin entre le slasher et le film d'invasion domestique, le tout saupoudré d'une ambiance festive, et d'une certaine décontraction pas désagréable.

Mais c'est aussi là la limite du métrage, qui ne parvient jamais vraiment à se dégager de ses influences évidentes : Better Watch Out, c'est une fusion improbable (et inaboutie) entre Scream (la première demi-heure, et le rebondissement qui la conclut), Funny Games (la demi-heure qui suit), et Maman, j'ai raté l'avion (la fin, et certaines scènes et idées bien précises que je ne détaillerai pas pour ne pas spoiler).

Et le problème, outre le fait que le deuxième tiers du film ronronne sérieusement, c'est que le métrage n'est jamais suffisamment drôle, tendu, inquiétant, violent, sanglant, méchant ou malin pour que son concept hybride fonctionne pleinement.

Pour peu que le spectateur comprenne rapidement ce à quoi il a affaire, l'effet de surprise disparaît très tôt, et le film commence alors à trainer la patte, sans avoir nécessairement le punch nécessaire pour totalement convaincre.

Ce n'est pas la faute de la distribution du film - Patrick Warburton et Virginia Madsen sont amusants dans leurs quelques scènes en parents déjantés, les deux jeunes acteurs de The Visit s'en sortent bien, ici aussi, et si le Pan de Joe Wright n'est pas totalement convaincant dans ses réactions initiales, cela finit par être logique dans le cadre du récit et de ses rebondissements. 

Better Watch Out n'est pas calamiteux, mais dans l'ensemble, la mayonnaise ne prend pas totalement, et le film frustre. Dommage, car le potentiel était là, et aurait mérité un script se dégageant plus de l'influence de ses aînés, pour mieux surprendre.

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #631 : La Tour Sombre (2017)

Publié le 19 Janvier 2018 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Thriller, Fantastique, Action, Aventure, Jeunesse

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus. ​​ 

La Tour Sombre (The Dark Tower) :

Roland (Idris Elba) est le dernier Pistolero, chargé de protéger la Tour Sombre trônant au centre de l'univers, et défendant ce dernier des forces du Mal. Mais Walter (Matthew McConaughey), l'Homme en Noir aux pouvoirs maléfiques, s'efforce de faire tomber la Tour, avec l'aide de son armée de sbires difformes. Pour cela, il arpente tous les mondes à la recherche d'un enfant à l'esprit suffisamment puissant pour lui servir d'arme, et il arrête son choix sur Jake Chambers (Tom Taylor), un jeune adolescent new-yorkais aux rêves prémonitoires...

Depuis le temps que le web et Hollywood parlaient d'adapter la saga de la Tour Sombre, de Stephen King, à l'écran, je m'attendais à tout (je n'ai jamais lu cette partie de l’œuvre de King), sauf à un teen movie fantastique façon littérature Young Adult basique et insipide.

En même temps, j'aurais dû me méfier, avec Akiva Goldsman au scénario et à la production... mais bon, voilà : le résultat final est donc vraiment un film pour adolescents générique au possible, avec tous les passages obligés du genre, et qui rappelle même par moments Last Action Hero dans son format.

C'est bourré d'exposition maladroite, c'est visuellement très terne, ça sous-exploite sa distribution (Katheryn Winnick en mère de famille éplorée et sacrifiée *soupir*), les problèmes de continuité, de montage et de rythme sont légion, et hormis quelques scènes sympathiques (dans lesquelles Elba campe un Pistolero convaincant et efficace) et quelques éléments de construction d'univers intrigants, tout le reste aurait aussi bien être une adaptation lambda d'un roman young adult comme on en a eu tant ces quinze dernières années.

2/6 (et je suppose que si j'avais lu les livres, j'aurais mis une note encore plus faible)

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien....

 

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Christmas Yulefest 2017 - 49 - Le Plus Beau Cadeau de Noël (1998)

Publié le 22 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Christmas, Noël, Yulefest, Télévision, Fox, Jeunesse, Fantastique

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Le Plus Beau Cadeau de Noël (Like Father, Like Santa, aka The Christmas Takeover) :

Tyler Madison (Harry Hamlin) est un industriel ambitieux, avide et sans pitié, qui conquiert depuis plusieurs années le monde du jouet, écrasant et rachetant tous ses compétiteurs. Et pour cause : il est le fils du Père Noël, et est bien décidé à se venger des absences répétées de son père durant son enfance, en prenant le contrôle du Pôle Nord, alors même qu'une rébellion s'y déroule, menée par les employés de Santa (William Hootkins)...

Un téléfilm familial diffusé sur Fox Family en 1998, et qui donne l'impression d'avoir été filmée et écrite au moins dix ans plus tôt, tant tout est fauché, basique, enfantin et simpliste.

Le fait que ce soit une production Saban y est clairement pour beaucoup : les décors sont génériques, les costumes et postiches de piètre qualité, les effets visuels et la musique idem, Gary Coleman fait de la figuration en lutin (comme la plupart des figurants du Pôle, qui passent la moitié du film enfermés dans des cages), et le script est globalement assez décousu et bordélique, incapable de gérer de front tous ses personnages et sa thématique du père absent.

En somme, à moins d'avoir moins de 8 ans, pas grand intérêt, et j'ai vraiment eu du mal à arriver au bout.

1.75/6 (dont 0.5 pour Megan Gallagher dans le rôle ingrat de la mère de famille frustrée)

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Comme toujours, retrouvez la liste complète (et mise à jour avec les titres français) des films de Noël déjà passés en revue sur ce blog les années précédentes, en consultant notre Index Christmas Yulefest disponible ici...

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Christmas Yulefest 2017 - 11 - Un Délicieux Noël (2017)

Publié le 2 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Christmas, Noël, Yulefest, Comédie, Romance, Hallmark

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Un Délicieux Noël (The Sweetest Christmas, aka Sugar and Spice) :

Apprentie pâtissière qui peine à s'établir, Kylie (Lacey Chabert) apprend que sa candidature est acceptée pour le Grand Concours Américain de Pain d'Épices de Noël, alors même qu'elle se sépare de son compagnon, et que ses nièces rendent son four inutilisable. Au pied du mur, elle se tourne alors vers Nick (Lea Coco), son ex-petit-ami qu'elle vient de retrouver, et qui gère une pizzeria traditionnelle : elle parvient à le convaincre de la laisser utiliser ses fours, ce qui amène la jeune femme à se rapprocher de son ex et du fils de celui-ci...

Une comédie romantique Hallmark tout sauf mémorable, avec une Chabert qui semble motivée, mais qui est desservie par une intrigue banale et quelconque (qui prend son temps pour se mettre en route), ainsi que par deux protagonistes masculins insipides et transparents.

À un point tel que j'ai fini par me dire qu'en inversant les rôles, et en mettant le sympathique Jonathan Adams (qui joue ici le rôle de Ralphie, le ressort comique afro-américain de service) dans le rôle de Nick (ou en fusionnant les deux personnages), ça aurait pu donner une comédie romantique décalée, originale et audacieuse.

Mais bien entendu (sans même parler de l'éventuelle différence d'âge), elle n'aurait pas pu être diffusée sur Hallmark, la chaîne où les quotas ethniques sont réduits aux seconds rôles de meilleur(e) ami(e), de patron(ne) ou de collègue.

2.5/6 (ce n'est même pas particulièrement mauvais, mais c'est tout simplement instantanément oubliable)

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Christmas Yulefest 2017 - 35 - L'Admirateur Secret de Noël (2017)

Publié le 16 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Christmas, Noël, Yulefest, Comédie, Romance, UpTV, Fantastique

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

L'Admirateur Secret de Noël (The Christmas Calendar/A Taste of Christmas) :

Emily (Laura Bell Bundy), avocate, quitte son métier pour reprendre la pâtisserie de sa grand-mère, récemment disparue. Mais à l'approche des Fêtes de Noël, et alors même que la pâtisserie d'Emily subit la concurrence de Gérard (Brendon Zub), un pâtissier français fraîchement installé en ville, voilà qu'Emily reçoit un mystérieux calendrier de l'avent empli de messages énigmatiques. Il n'en faut pas plus pour que toute la ville se passionne pour ce cadeau anonyme, et pour qu'Emily envisage l'hypothèse d'un admirateur secret...

Une comédie romantique UpTV plutôt rafraîchissante et dynamique, bien que pas dénuée de défauts.

Au rayon des qualités, citons Bundy, toujours motivée et enthousiaste, mais aussi toute la distribution secondaire, attachante et excentrique, ainsi que le ton général, plutôt léger et ludique.

Au rayon des défauts, commençons par le plus flagrant - du moins en VO -, à savoir l'accent français approximatif de Zub, et tout ce qui l'entoure. Ensuite, le film semble hésiter quant à la direction à prendre, et le type de métrage à adopter - ici, c'est un clone de Romance Secrète à Noël, là, on parle d'une compétition entre les deux protagonistes, puis le film part sur la recherche du prétendant, puis sur les magouilles de la méchante caricaturale, et on a même, à la fin, un peu de surnaturel avec un ange/fantôme : à trop s'éparpiller, le métrage connaît des passages à vide, pas forcément rédhibitoires, mais notables.

Dans l'ensemble, cependant, la bonne humeur générale l'emporte sur les défauts, et le film s'avère plutôt sympathique à regarder.

3.5/6

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Christmas Yulefest 2017 - 61 - L'Arbre de Noël (1996)

Publié le 26 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Christmas, Noël, Yulefest, Comédie, Drame, Jeunesse, ABC, Disney

Noël est passé, mais chez les Téléphages Anonymesc'est toujours l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

L'Arbre de Noël (The Christmas Tree) :

Cherchant désespérément à trouver un arbre de Noël pour le Rockfeller Center de New York, Richard Reilly (Andrew McCarthy) trouve enfin le sapin de ses rêves près d'un couvent isolé. Là, il rencontre alors la Soeur Anthony (Julie Harris), une nonne bienveillante qui lui raconte sa vie tourmentée, comment elle a croisé le chemin de cet arbre, et pourquoi elle s'en occupe avec amour depuis tant d'années...

Un téléfilm de Noël ABC adapté d'un roman, produit par Disney, et réalisé par l'actrice Sally Field, qui n'a clairement pas la main légère sur le mélodrame larmoyant et les gros violons.

C'est dommage que la subtilité ne soit pas vraiment au rendez-vous, car Julie Harris compose un personnage touchant et délicat, et sa relation avec McCarthy, et avec les autres nonnes, dans sa jeunesse, est plutôt jolie... mais il arrive un moment où trop de flashbacks tuent les flashbacks, et surtout, trop de répétitions du même thème musical ultra-sentimental et triste finissent par plomber un peu trop le tout. Quant à la romance de McCarthy avec Trini Alvarado, elle reste anecdotique et n'apporte pas grand chose.

C'est bien intentionné, c'est familial, c'est sirupeux et, sans surprise, ça se finit dans les larmes et l'émotion, mais bon, ça plaira probablement à un certain public.

3/6

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Comme toujours, retrouvez la liste complète (et mise à jour avec les titres français) des films de Noël déjà passés en revue sur ce blog les années précédentes, en consultant notre Index Christmas Yulefest disponible ici...

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Christmas Yulefest 2017 - 51 - Noël en Péril (1991)

Publié le 22 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Christmas, Noël, Yulefest, Télévision, Jeunesse, Fantastique, NBC

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Noël en Péril (In The Nick of Time) :

À quelques jours de Noël, Santa Claus (Lloyd Bridges) découvre qu'il doit passer le relais à un nouveau Père Noël avant la fameuse nuit fatidique... mais encore faut-il le trouver. Il part alors pour New York, certain d'y trouver là un candidat idéal, et après de nombreuses rencontres, il porte son choix sur Ben Talbot (Michael Tucker), un journaliste veuf et grincheux, qui a perdu toute joie de vivre...

Un vieux téléfilm diffusé sur NBC au début des années 1990, tourné par le même réalisateur que Une Maman pour Noël, et que j'avais déjà vu, il y a bien longtemps, mais dont je ne gardais que de vagues souvenirs.

Parmi ces souvenirs, le chauffeur de taxi (A. Martinez) et sa fille (Jessica DiCicco), le rasta (Cleavon Little), les lutins agaçants, le concert improvisé dans la rue, Santa en moto, le futur Père Noël assez peu engageant et mémorable, et sa collègue (Alison La Placa).

Lloyd Bridges, cependant, est très bien dans son rôle, mais desservi par un récit somme toute convenu (un classique des téléfilms de Noël), par un budget relativement limité (les éclairages, notamment, sont très début des années 90), et par un déroulement & des idées assez peu inspirées, qui ralentissent notablement le tout.

Après, pour un téléfilm pour enfants, ça reste regardable et plein de bonnes intentions, mais compte tenu du facteur nostalgie, j'aurais du mal à lui mettre autre chose que

3/6

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Comme toujours, retrouvez la liste complète (et mise à jour avec les titres français) des films de Noël déjà passés en revue sur ce blog les années précédentes, en consultant notre Index Christmas Yulefest disponible ici...

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Christmas Yulefest 2017 - 63 - La Promesse de Noël : Un Secret Bien Gardé (1998)

Publié le 27 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Noël, Yulefest, Drame, CBS, Romance

Noël est passé, mais chez les Téléphages Anonymesc'est toujours l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

La Promesse de Noël : Un Secret Bien Gardé (The Christmas Wish) :

Trader ambitieux qui connaît un grand succès à Wall Street, Will Martin (Neil Patrick Harris) revient dans sa ville natale à l'occasion de la mort de son grand-père Warren, afin de s'occuper des affaires immobilières de ce dernier à l'approche de Noël. Mais il apprend alors de la bouche de sa grand-mère Ruth (Debbie Reynolds) que Warren menait une double vie, et mentionnait constamment, dans son journal, une mystérieuse Lillian. Will décide alors de mener l'enquête, et il rencontre, au fil de celle-ci, la charmante Renee (Naomi Watts), ancienne secrétaire de la famille...

Téléfilm américain de 1998, diffusé sur CBS et adapté d'un roman, ce Christmas Wish semble être ce à quoi aspire Hallmark Movies & Mysteries aujourd'hui : on a une enquête, on a un peu de romance, on a un ton globalement assez sérieux et mélodramatique, le côté festif est mis largement en sourdine (voire même absent des 3/4 du film), et on a aussi droit à quelques clichés du genre, comme l'ex-petite amie mondaine et égocentrique, ou le petit garçon précoce et impertinent.

Et pourtant, contrairement à l'immense majorité des films HM&M actuels, celui-ci fonctionne plutôt bien : la distribution est attachante (NPH, Debbie Reynolds, Naomi Watts, mais aussi les seconds rôles) et joue plutôt bien, ça finit par démarrer un peu après un début mollasson, une fois que Watts entre en jeu, et dans l'ensemble, ça évite de sombrer dans le mélodrame mièvre et sirupeux, en restant constamment suffisamment modéré et subtil pour que ça fonctionne (à l'image de la bande originale d'Alan Williams, discrète mais efficace).

Bref, rien d'exceptionnel, mais ça se regarde très bien, ce qui n'est pas toujours le cas des téléfilms des années 90.

3.75/6

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Un film, un jour (ou presque) - INTÉGRALE MARVEL CINEMATIC UNIVERSE - Phase 1.1 : Iron Man (2008) & L'Incroyable Hulk (2008)

Publié le 7 Janvier 2018 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Action, Aventure, Science-Fiction, Fantastique, Marvel, MCU

Avengers : Infinity War, la conclusion de 10 années de films Marvel, arrive à grand pas, et le moment est donc idéal pour revoir tous les films du MCU, dans leur ordre de diffusion initial...

Au programme, donc, une intégrale composée de mini-critiques, pour chacun des films Marvel déjà (ou pas encore) chroniqués en ces lieux. À commencer par le film qui a lancé le MCU, et sa Phase 1 : Iron Man.

Iron Man (2008) :

Vendeur d'armes et inventeur de génie, Tony Stark (Robert Downey Jr) se découvre une conscience après être tombé aux mains d'un dangereux groupe terroriste, et il conçoit alors une armure high-tech pour se protéger, et pour protéger le monde...

Alors certes, le film est loin d'être parfait (bande originale insipide, derniers tiers improvisé en cours de tournage, casting inégal - Terrence Howard), mais son sens de l'humour, sa décontraction et ses effets spéciaux convaincants ont donné le LA au reste du MCU. C'est efficace, c'est drôle, c'est spectaculaire, et puis franchement, Robert Downey Jr est tout simplement parfait en Stark.

4.25/6

The Incredible Hulk (2008) :

Pourchassé par l'armée et par son ex-beau père (William Hurt), Bruce Banner (Edward Norton) tente de trouver un moyen de se débarrasser de Hulk, son double incontrôlable. Mais le super-militaire Blonsky (Tim Roth) est sur ses traces...

Là, par contre, c'est tout l'inverse. Comme la plupart des films mettant en vedette Edward Norton (qui s'improvise systématiquement co-scénariste), ça se prend vraiment au sérieux, c'est assez mal rythmé, et il y a des ruptures narratives, notamment vers la fin, qui sonnent vraiment faux. Ajoutez à cela des effets spéciaux assez laids (Hulk est raté, trop sombre, trop veineux... les hélicoptères numériques font toc...), une bande originale quelconque, et du fanservice trop timoré, et on finit avec un métrage totalement oubliable.

2/6

(critique plus détaillée publiée sur ce blog en 2015, à lire ici)

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Un film, un jour (ou presque) #714 : Capitaine Superslip (2017)

Publié le 16 Mai 2018 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Action, Aventure, Animation, Jeunesse, Dreamworks, Fantastique

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus. ​​ 

Capitaine Superslip (Captain Underpants : The First Epic Movie) :

George (Kevin Hart) et Harold (Thomas Middleditch) sont deux petits garçons turbulents, blagueurs, et débordant d'imagination, qui passent le plus clair de leur temps à créer des comic-books de leur invention. Jusqu'au jour où, accidentellement, ils hypnotisent leur proviseur acariâtre (Ed Helms), et parviennent à le convaincre qu'il est le Captain Underpants, défenseur de la justice et des opprimés. Ce qui tombe bien, puisque le maléfique Professeur Pee-Pee Diarrheastein Poopypants  (Nick Kroll) a décider de priver la Terre de son sens de l'humour, avec l'aide de Melvin (Jordan Peele), l'un des enfants de l'école...

Un film d'animation Dreamworks adapté d'une série de livres pour enfants des années 90, très axés prout/pipi/caca/slip, et qui donc s'inscrit dans leur continuité directe, pour un film immature et puéril, qui ne vole jamais très haut. Pas grand intérêt pour qui a plus de 10 ans d'âge, donc, sauf que...

D'un point de vue technique, le film est en effet très réussi, jouant sans cesse avec les formats (2D, 3D, sock puppets, résumé, flipbooks, etc), se moque de sa nature de film animé, joue la carte de la référence et du méta-discursif, brise le quatrième mur, etc... le tout en étant bien animé, bien doublé, relativement bien écrit, et surtout bien mis en musique par l'excellent Ted Shapiro.

Au final, donc, même si ce qu'il y a à l'écran n'est pas forcément du goût de tout le monde, et pourra lasser les adultes (bien que le tout soit un peu plus intelligent que l'on ne pourrait le croire au premier abord), le film a suffisamment de qualités techniques et créatives pour que l'on ne s'ennuie jamais et même, pourquoi pas, pour qu'on se surprenne à glousser devant une vanne ou deux particulièrement gratinées...

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #830 : Carnage chez les Puppets (2018)

Publié le 24 Septembre 2018 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Policier, Fantastique

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus. ​​ 

Carnage chez les Puppets (The Happytime Murders) :

Dans un monde où les marionnettes sont bien vivantes, et ostracisées par les humains, Phil Philips (Bill Barretta), ancien flic devenu détective privé, peine à joindre les deux bouts, hanté par un incident qui a failli coûter la vie à sa partenaire humaine, Connie Edwards (Melissa McCarthy). Mais lorsque le frère de Phil, acteur, trouve la mort de manière suspecte, et qu'une séduisante cliente l'engage, Philips comprend que quelqu'un tente d'éliminer tous les acteurs d'une série mêlant humains et marionnettes...

Plus d'une décennie de development hell pour ce projet porté à bout de bras par le fils de Jim Henson, bien décidé à utiliser ses marionnettes pour raconter des histoires adultes : un projet qui a vu passer d'innombrables acteurs humains, de Cameron Diaz à Katherine Heigl, en passant par Jamie Foxx, avant de finalement se concrétiser avec Melissa McCarthy dans le rôle de la partenaire humaine du héros.

Et c'est là l'un des nombreux problèmes du film, qui en est bourré.

Parce que Melissa McCarthy nous fait là son numéro habituel (comme tous les autres acteurs humains du film, de Maya Rudolph à Joel McHale en passant par Elizabeth Banks), et n'apporte pas grand chose à un métrage déjà très dérivatif et convenu : les marionnettes trash et vulgaire, on connaît, que ce soit via Avenue Q, ou les Feebles de Peter Jackson.

Et ce Carnage chez les Puppets n'apporte vraiment rien au genre, se contentant d'aligner quelques maigres gags convenus, sur une trame rappelant fortement Qui veut la peau de Roger Rabbit ? et autres buddy cop movies sur fond de racisme (sans oublier l'épisode Smile Time de la série Angel !) : le ton est soit trop sérieux (toute l'enquête est traitée au premier degré), soit trop adolescent, l'humour est peu inspiré, le rythme mollasson, on ne rit pas souvent, bref, malgré un Bill Barretta convaincant dans le rôle principal, le film ne fonctionne pas, il s'avère plat et insipide, et l'on comprend mieux les dix années de production de ce projet.

2.25/6 pour le travail accompli sur les marionnettes.

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Christmas Yulefest 2018 - 45 - La Première Douce Nuit (2014)

Publié le 26 Décembre 2018 par Lurdo dans Christmas, Critiques éclair, Documentaire, Histoire, Noël, Musique, Religion, Review, Yulefest, UK, USA, PBS

Chez les Téléphages Anonymes, la Christmas Yulefest et son marathon de cinéma de Noël continuent jusque début janvier...

La Première Douce Nuit (The First Silent Night - 2014) :

Documentaire de 55 minutes diffusé en 2014 sur la chaîne publique américaine PBS, à l'occasion du centenaire de la Trêve de Noël durant la Première Guerre Mondiale, ce métrage se propose de revenir sur la genèse de Douce Nuit, Sainte Nuit, dans la région de Salzbourg, en Autriche, au début du 19è siècle.

Une mélodie signée Joseph Mohr et Franz Gruber, qui est depuis entrée au panthéon des chansons de Noël incontournables, reprise dans d'innombrables langues, et qui a directement mené à cette Trêve de Noël au milieu des tranchées.

Le documentaire, lui, est présenté par l'acteur Simon Callow, qui pour l'occasion arpente l'Autriche de long en large... et ne nous raconte pas grand chose de vraiment intéressant. Le problème, en réalité, c'est qu'il n'y a pas grand chose de palpitant ou d'intrigant à raconter au sujet de ce chant de Noël et de sa création ; par conséquent, le plus clair de ces 55 minutes consiste en des plans (superbes) de l'Autriche sous la neige, au point que l'on se demande par moments si le film n'a pas été écrit et financé par l'Office de Tourisme de Salzbourg.

Et puis il faut bien avouer que l'utilisation non-stop de Douce Nuit en guise d'illustration musicale finit par lasser (sans même parler de la version pop réorchestrée insipide que l'on nous présente dans son intégralité, vers la fin du documentaire).

55 minutes assez dispensables, à vrai dire.

3/6

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Christmas Yulefest 2018 - 40 - Un Réveillon Sur Mesure (2018)

Publié le 23 Décembre 2018 par Lurdo dans Christmas, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Noël, Review, Romance, Télévision, Yulefest, ION

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Un Réveillon Sur Mesure (Rent-An-Elf - 2018) :

Patronne de Rent-an-Elf, une entreprise de party planning à thématique festive, Ava (Kim Shaw) s'éprend de son nouveau client, Liam (Sean Patrick Thomas), père célibataire voulant rendre l'esprit de Noël à son fils démoralisé depuis le départ de sa mère, un an plus tôt....

Une comédie romantique ION qui a pour qualité première de mettre en avant un couple mixte (deux, d'ailleurs, puisque l'ex du père célibataire afro-américain est interprétée par Nicholle Tom, de Une Nounou d'Enfer).

Malheureusement, ça s'arrête là, puisque le couple formé par Kim Shaw (par ailleurs très attachante) et Sean Patrick Thomas ne fonctionne jamais vraiment, restant globalement au niveau des interactions maladroites et embarrassées, et de trahissant jamais d'alchimie particulière entre les deux acteurs.

Ce qui tire le tout vers le bas, et peine à maintenir l'attention du spectateur. D'autant qu'à côté, on a un enfant (enfin, des jumeaux) assez inégaux dans leur interprétation, et deux personnages secondaires excentriques et amusants (interprétés par Rachel Grate et Luke Jones), qui s'avèrent plus intéressants que le couple principal, ou que cette rivalité amoureuse avec l'ex hippie de Liam.

Résultat, le tout finit par tourner à vide, pas aidé par une production californienne assez quelconque, signée The Asylum. Pas catastrophique, mais particulièrement quelconque.

2.25/6

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Halloween Oktorrorfest 2019 - 02 - Overlord (2018)

Publié le 30 Septembre 2019 par Lurdo dans Action, Cinéma, Critiques éclair, Drame, Fantastique, Horreur, Oktorrorfest, Review, Thriller, Halloween

Chez les Téléphages Anonymes, d'octobre à début novembre, on fête Halloween et l'Oktorrorfest, un marathon quotidien de cinéma fantastique et d'horreur...

Overlord (2018) :

En 1945, en pleine opération Overlord, une escouade de soldats américains (John Magaro, Iain De Caestecker, Wyatt Russell, Jovan Adepo, etc) saute en parachute sur une petite ville française, où ils croisent le chemin de Chloe (Mathilde Ollivier), une Française victime des attentions du chef de la base scientifique nazie toute proche (Pilou Asbæk). Une base où des expériences indicibles ont lieu sur les cadavres...

Production JJ Abrams, cet Overlord a longtemps été rattaché à la franchise Cloverfield, laissant présager d'un film de guerre vaguement lié aux formes de vie extra-terrestres de la franchise. En réalité, comme on le sait depuis un moment déjà, Overlord n'a rien à voir avec Cloverfield, et tout en commun avec les innombrables films de zombies nazis tels que j'en ai déjà chroniqué des tonnes sur ce blog (Frankenstein's Army, Bunker of the Dead, Dead Snow, la série des Outpost, etc, etc, etc).

Et honnêtement, cet Overlord ne se démarque en rien de tous ces films plus ou moins indépendants.

Une fois passée son introduction guerrière, spectaculaire et réussie, le film freine aussitôt des quatre fers, pour entamer un gros ventre mou qui dure facilement 45-50 minutes : il y a bien une scène ou deux qui attirent un peu l'attention (la découverte du laboratoire, les effets de l'injection), mais ces scènes sont brèves, et ne compensent pas le reste du film.

D'autant que la distribution, si elle est compétente, est bourrée de personnages-archétypes (les plus voyants étant le héros, un Finn-bis sous-développé, et la Française, cliché ambulant du personnage féminin fort™©® que les scénaristes en tous genres aiment injecter dans les films de genre de ce type) qui peinent à attirer la sympathie ou l'intérêt.

Et comme en prime, le bestiaire est extrêmement limité (les zombies se comptent sur les doigts d'une main, et sont vraiment basiques), on reste vraiment sur sa faim devant ce métrage générique, qui ne se démarque pas du tout (pas même par ses explosions finales superflues) du tout venant des films de guerre surnaturels...

2.5/6

(ce n'est pas encore demain qu'on aura un simili-Wolfenstein cinématographique digne de ce nom)

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Un film, un jour (ou presque) #928 : Lego Batman : le Film - Unité des Super-héros (2013)

Publié le 28 Mars 2019 par Lurdo dans Action, Animation, Aventure, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Jeunesse, Review, Science-Fiction, DC, Lego

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Lego Batman : le Film - Unité des Super-héros (Lego Batman : The Movie - DC Super Heroes Unite - 2013) :

Furieux d'avoir perdu un prix au profit de Bruce Wayne (Troy Baker), et bien décidé à devenir le nouveau Président des USA, Lex Luthor (Clancy Brown) recrute le Joker (Christopher Corey Smith) pour mettre au point un moyen d'hypnotiser les foules. Ensemble, ils libèrent tous les criminels de l'Asile d'Arkham, et sèment le chaos, mais Batman, Robin (Charlie Schlatter) et Superman (Travis Willingham) sont là pour les arrêter...

Semi-adaptation du jeu Lego Batman 2, ce long-métrage d'animation de 70 minutes s'avère un bon compromis entre une histoire de Batman "sérieuse", et le décalage humoristique habituel des jeux Lego.

C'est amusant, dynamique, avec des scènes d'action réussies, des références intéressantes, et s'il n'y a pas là forcément de quoi vraiment tenir 70 minutes (et si la bande originale, à 80% composée de reprises d'Elfman et de Williams, devient rapidement soulante... comme dans les jeux), le tout permet de passer un agréable moment, sans jamais avoir l'impression que les scénaristes font basculer le tout dans la parodie la plus complète.

4/6

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