Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Catch Review : WWE RAW (30/12/2013)

Publié le 31 Décembre 2013 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, WWE

Contrairement au RAW de la semaine dernière, un spécial Noël calamiteux, dont on ne retiendra que l'annonce du retour de Batista (forcément, que serait Vince sans ses anciennes stars des années 2000 pour main eventer Mania ? Meuh non, les amis, "la WWE est désormais tourné vers le futur et les nouvelles générations", sauf lorsqu'il s'agit de faire de l'audience et de vendre du PPV...) ce dernier Raw de l'an 2013 est en direct. Mais comme la WWE ne fait jamais les choses dans le bon ordre, ils ont enregistré le prochain Smackdown en avance... révélant par là-même deux résultats de Raw : le retour de Brock Lesnar dans un segment contre Mark Henry, ainsi que la défaite de Fandango face à Big E. *soupir*

Mais peu importe, espérons que le show sera intéressant :

Heure 1 : Punk fait une mini-promo, tente de semer la zizanie au sein du SHIELD, et bat Rollins dans un match solide, avec quelques moments de flottement. Jusque là, un show honorable... malheureusement, ça ne dure pas, puisque Steph annonce alors Cena vs Orton au Rumble (youpiii...) et qu'on a ensuite droit à un match insipide entre Ziggler et Axel.

Heure 2 : une heure particulièrement creuse, entre le match spoilé Fandango/Big E, du meublage Sandow vs Khali & Truth vs Brodus. Pour conclure, heureusement, le retour de Brock, qui démolit Mark Henry en trente secondes chrono, et exige un Title Shot après le Rumble, sauve un peu les meubles... mais pas beaucoup.

Heure 3 : Un tag match des Divas (passons...), et le plat de résistance de la soirée : Bryan contre la Wyatt Family, dans un match gauntlet marathon. Comme d'habitude, quand la WWE n'a pas d'idées, ou que la moitié de son roster est en house show comme ce soir, elle met Bryan dans plusieurs matches successifs. La routine habituelle, donc, solide, mais un peu lassante, et qui débouche sur la seule option logique : Bryan finit pas s'avouer vaincu, et par rejoindre la Wyatt Family. Si je n'avais pas déjà vu exactement la même intrigue à la WCW avec le Flock de Raven, et Scotty Riggs, je trouverais peut-être ça intéressant. Là, c'est juste un moyen évident de donner quelque chose à faire à Bryan le temps que Wrestlemania arrive et reparte, afin qu'il ne prenne pas la place d'un Batista ou d'un Undertaker sur la carte, et ne les éclipse avec sa popularité... :\

Bref... un Raw qui ne vaut (comme d'habitude) que pour les matches de Punk et de Bryan, et pour le segment de Brock. Ce n'est pas énorme, mais c'est toujours mieux que rien.

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 35 - Un Rêve Éveillé (2013), Noël au bout des doigts (2013), Mon Père Noël Secret (2013), Guess Who's Coming To Christmas (2013), L'Arbre des Voeux (2010) & Un Mariage en Cadeau (2011)

Publié le 31 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, Hallmark, ABC Family, Lifetime, UpTV

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Rêve Éveillé (Holidaze) :

Une businesswoman occupée retourne dans sa ville natale pour les fêtes de fin d'année, afin de tenter de convaincre les habitants d'approuver l'installation d'une chaîne de supermarchés... jusqu'à ce qu'un coup sur la tête la propulse dans un univers parallèle où elle est mariée, heureuse, et n'a jamais quitté la ville où elle a grandi.

Un téléfilm ABC Family balisé au possible, et agrémenté d'une illustration musicale pop assez agaçante, mais qui fonctionne néanmoins tranquillement, grâce au capital-sympathie de Jennie Garth.

3.5/6 

Noël au bout des doigts (Santa Switch) :

Un agent de voyages au chômage et divorcé se trouve à prendre la place de Santa Claus pendant les fêtes de Noël, et décide d'utiliser ses nouveaux pouvoirs magiques pour reconquérir son ex-femme et sa famille...

Distribution sympathique (Sean Astin, Anne Dudek) pour ce téléfilm Hallmark qui marche directement dans les traces de The Santa Clause. Malheureusement, l'acteur principal un peu terne et quelconque empêche le récit de vraiment décoller, et le spectateur de vraiment s'attacher aux personnages et à leur destinée. Dommage.

2.75/6 

Mon Père Noël Secret (Dear Secret Santa) :

Une businesswoman célibataire retourne s'installer chez son père malade pour passer les fêtes de fin d'année ; là, elle reçoit des lettres anonymes, qui semblent toutes provenir de son ancien voisin et amour d'enfance, décédé trois ans plus tôt...

Un téléfilm Lifetime à  l'intrigue de paradoxe temporel assez familière et entendue, mais qui évite l'ennui grâce à sa distribution (Tatyana Ali en tête), à un ton assez léger, et à une optique assez progressiste (couples mixtes, couples gays, etc...). Rien de révolutionnaire, mais ça se regarde.

3/6

Guess Who's Coming to Christmas :

Suite à un concours, une rockstar en panne d'inspiration passe les fêtes de fin d'année au sein d'une famille gentiment excentrique, rurale et religieuse, qui lui redonne goût à Noël, à la musique et aux vraies valeurs véritables de la vie réelle et véridique...

Un téléfilm Up particulièrement bancal, structuré autour de cartons-titres inutiles qui ressurgissent ça et là, d'un message particulièrement bien-pensant, et de personnages tout aussi ternes que les acteurs qui les interprètent. En soi, ce n'est même pas forcément mauvais, mais c'est particulièrement soporifique.

1.5/6

L'Arbre des Voeux (Farewell Mr. Kringle) :

Une journaliste veuve et ronchonne part dans une petite ville pour enquêter sur le Père Noël local, un vieillard qui a choisi d'endosser l'habit du véritable Santa Claus... et à sa grande surprise, elle retrouve, dans cette bourgade, goût à la vie et à l'amour.

Téléfilm Hallmark basique, conventionnel, et pas très intéressant, notamment parce que Christine Taylor est une actrice principale assez quelconque et transparente. William Morgan Sheppard est excellent, cela dit.

1.5/6

Un Mariage en Cadeau (A Christmas Wedding Tail) :

Les efforts de deux chiens épris l'un de l'autre pour unir leurs maîtres respectifs, respectivement veuf et veuve, par les liens sacrés du mariage...

Une comédie romantique californienne made in Hallmark, avec Jennie Garth, Tom Arnold (parfaitement inutile), et deux chiens doublés par Jay Mohr et Nikki Cox. "Noël" n'est ici qu'un prétexte, rendu d'autant plus évident que le tout a clairement été filmé en été, et si le métrage fonctionne par moments grâce aux acteurs (qui font de leur mieux) et aux deux familles principales, ça reste affreusement balisé et mollasson, dans le genre "faisons une heure sur les préparatifs improbables du mariage plutôt que de raconter une histoire prenante, ça ne se remarquera pas". Meh.

2.25/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 34 - Un Jour Sans Fin (1993), Gremlins (1984), Nothing Like The Holidays (2007), Angels Sing (2013), Nicolas Noël (2012) & Mission Père Noël (2013)

Publié le 30 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Comédie, Romance, Jeunesse, Fantastique, Canada

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Jour Sans Fin (Groundhog Day) :

Bill Murray, Andie McDowell, une marmotte, et une boucle temporelle.

Pas grand chose de plus à dire : c'est un classique, et c'est excellent. Point final à la ligne.

5.5/6

Gremlins :

On ne présente plus Gizmo, le Mogwai, qui ruine malgré lui, à Noël, la vie des jeunes BIlly et Kate...

Un classique indémodable de Joe Dante, à mi-chemin entre l'horreur et la comédie grand public (ah, la grande époque Amblin, nostalgie...) avec une musique mémorable de Jerry Goldsmith, et des effets visuels qui tiennent aujourd'hui toujours la route.

5/6

Nothing Like The Holidays :

Le portrait d'une famille de latinos réunis à l'occasion des fêtes de Noël, alors que les parents de la famille annoncent leur divorce imminent.

Rien de vraiment mémorable dans cette comédie dramatique festive assez classique, et parfois même un peu fatigante.

2/6 

Angels Sing :

Un homme, traumatisé par le décès de son frère durant son enfance, réapprend à apprécier les fêtes de Noël en compagnie de sa famille, lorsqu'un bon samaritain lui vend une maison à prix coûtant... 

Une sorte de Christmas With The Kranks-bis (le ronchon qui déteste Noël, et qui débarque dans un voisinage où Noël est une profession de foi, avec des voisins qui tentent de l'amener à décorer, etc), mais en clairement plus maîtrisé, subtil, et tout simplement réussi. Bon, ça ne dépasse pas son postulat de départ, et ça finit par ressembler plus à un enchaînement de morceaux musicaux de stars de la country et du folk (forcément, on est dans le Sud), mais la distribution est réussie, attachante, et l'idée de choisir Willie Nelson pour interpréter un ange/Père Noël bienfaisant est excellente.

3/6

Nicolas Noël - Mon Histoire Magique :

Accompagné de son fidèle lutin Grésille, Nicolas Noël crée le personnage du Père Noël pour apporter joie et bonheur aux enfants du monde...

Une comédie musicale canadienne (apparemment un spin-off d'un autre moyen-métrage narrant l'aventure de Noël d'Arthur l'Aventurier) qui raconte la vie et les aventures du Père Noël.

Pas forcément désagréable (l'acteur qui joue Santa est assez crédible), mais à réserver néanmoins aux plus-petits, tant parce que ça s'adresse directement à eux, que parce que les chansons sont particulièrement... enfantines et naïves, en plus d'être fréquentes.

1.5/6

Mission Père Noël (A Country Christmas, aka The Great Santa Rescue) :

Alors que le maychant gouvernement tente d'éradiquer la croyance en Santa Claus, deux enfants tentent d'aider le Père Noël et son elfe, privés de pouvoirs et cachés dans leur grange, à reconquérir le coeur des Américains, et à sauver Noël...

Une comédie familiale de Noël assez classique, très country (comme son nom l'indique), avec des visages familiers de cette scène musicale, ainsi que Joey Laurel Adams, Kevin Pollak, et Abraham Benrubi en Père Noël.

Ça se regarde tranquillement (même si ça tombe parfois un peu dans le pathos) principalement parce que ça a bon fond, et que la jeune actrice (Caitlin Carmichael) est franchement adorable et attachante.

3.5/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 33 - Mon Père Noël Bien Aimé (2012), Rendez-vous à Noël (2012), Le Père Noël prend sa retraite (2013), L'Invité de Noël (2008), Boule de Neige/Le Noël Rêvé d'Angela (2007) & Le Noël Rêvé de Megan (2013)

Publié le 29 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, Hallmark, Lifetime, ION, ABC Family

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Mon Père Noël Bien Aimé (Matchmaker Santa) :

Une pâtissière va passer les fêtes de fin d'année dans le chalet familial de son fiancé, un riche entrepreneur, mais, grâce à l'intervention providentielle du Père Noël, elle finit par se rapprocher de l'assistant de celui-ci...

J'ai de la sympathie pour Lacey Chabert, mais honnêtement, elle ne fait quasiment aucune impression sur le télespectateur dans ce téléfilm Hallmark hautement oubliable, qui coche presque toutes les cases de la rom-com télévisée quelconque. La musique est envahissante, l'histoire basique, et hormis les rôles secondaires amusants, le reste s'oublie instantanément. Pas mauvais, mais particulièrement transparent.

2.5/6

Rendez-vous à Noël (Love At The Christmas Table) :

L'amitié et la relation de deux amis d'enfance qui ont l'habitude de passer Noël ensemble, et qui découvrent, progressivement, qu'ils ont des sentiments l'un pour l'autre...

Une production Asylum pour Lifetime, et une très bonne surprise, puisque cette comédie romantique pleine de fantaisie et de légèreté s'avère être charmante et dynamique, avec une distribution impeccable, des leads qui ont une jolie alchimie, des rebondissements, et une citation de Conan le Barbare en prime. Très agréable.

4.25/6 

Le Père Noël prend sa retraite (My Santa) :

Une mère célibataire tombe amoureuse du Santa du centre commercial, un jeune Santa qui s'avère être le fils du véritable Père Noël...

Un téléfilm ION TV particulièrement mauvais sur tous les plans : enchaînement de clichés et de dialogues en carton, écriture pataude, interprétation médiocre et surjouée de tout le monde (de la lead aux seconds rôles, en passant par tous les figurants), réalisation à l'identique, direction d'acteurs inexistante... bref, ION TV continue de prouver qu'elle est le discount des chaînes de tv à Noël, avec une incapacité chronique à développer autre chose qu'un projet médiocre et fauché.

1/6

L'Invité de Noël (The Most Wonderful Time Of The Year) :

Une businesswoman mère célibataire dépassée par les fêtes de fin d'année retrouve goût à Noël lorsque son oncle Ralph débarque à la maison en compagnie d'un jeune chef séduisant rencontré à l'aéroport...

Léger facepalm devant ce globe-trotter séduisant, charismatique, doux, attentionné, talentueux, etc... qui se remet en question parce qu'à 30 ans il ne s'est pas encore posé et n'a pas de famille... mais heureusement, le reste de ce téléfilm Hallmark s'avère une surprise agréable, qui ne se prend pas trop au sérieux, et avec une distribution principale qui fonctionne très bien ensemble. Au final, rien d'exceptionnel ou de particulièrement excellent, mais un film qui se regarde tranquillement néanmoins, et est même assez sympathique.

3.5/6

Le Noël Rêvé d'Angela/Boule de Neige (Snowglobe) :

Une jeune bouchère-charcutière italo-cubaine à la famille envahissante reçoit une boule à neige mystérieuse et, chaque nuit, se retrouve plongée dans le monde parfait et enneigé de la boule, où elle trouve l'amour et la magie de Noël qui lui manquait...

Je... hum. J'aime bien l'actrice principale, Christina Milian. À vrai dire, j'aime bien toute la distribution, composée d'acteurs et d'actrices sympathiques (Milian, Karpluk, Cooke, Keeslar, Willes), et au vu du pitch original, je m'attendais à apprécier ce téléfilm ABC Family... mais dès le premier quart d'heure, on comprend rapidement que ça ne va pas être possible. On a le choix entre des scènes familiales insupportables dans le monde réel, et un monde imaginaire toc, volontairement très Stepford Wives, où les personnages ne sont qu'archétypes en carton. Le tout, saupoudré d'une romance assez cousue de fil blanc avec Josh Cooke, en parallèle des scènes familiales du monde réel. Autant dire qu'on passe de Charybde en Scylla, avec des scènes sans réel poids, une héroïne indécise et peu passionnante, et un récit patchwork assez mal structuré. Dommage.

2/6 pour la distribution.

Le Noël Rêvé de Megan (A Snow Globe Christmas) :

Une scénariste-productrice de tv débordée, sarcastique et cynique de téléfilms sirupeux et romantiques de Noël se réveille, après un choc à la tête, mariée, mère de deux enfants, dans un petit village idyllique et couvert de neige, semblable à celui contenu dans la boule à neige qu'elle tenait lors de l'accident...

Zéro originalité dans ce téléfilm Asylum produit pour Lifetime : on pense à It's A Wonderful Life, à The Family Man, et à d'innombrables autres téléfilms festifs de la tv américaine... en tête desquels le Snowglobe de Christina Milian. Une Christina Milian qui, coïncidence (?), apparaît ici aussi, dans le rôle d'un ange gardien malicieux.

Bref, ce n'est pas dans le scénario qu'il faut chercher quoi que ce soit ; d'ailleurs, à vrai dire, tout ce téléfilm semble resté au stade du premier jet : premier jet de scénario, avec un script au rythme hésitant et saccadé, et des personnages à l'épaisseur d'un papier à cigarettes, mais aussi premier jet de réalisation et de direction d'acteurs, avec une distribution qui surjoue légèrement pendant tout le métrage, et des réactions qui auraient mérité une deuxième prise plus subtile.

Et pourtant, le tout parvient à être dynamique, et même par moments assez amusant à regarder : principalement grâce à l'abattage d'Alicia Witt (en mode sarcastique méta) et de Donald Faison, qui forment un couple mixte (premier bon point) à la répartie amusante, et aux échanges assez crédibles et réjouissants (que des bons points !). Ça ne fait pas de ce téléfilm un chef d'oeuvre, mais en l'état, c'est assez regardable.

3.25/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 32 - Sous le Charme du Père Noël (2011), Une Seconde Chance pour Noël (2012), Noël Sans Cadeaux (2010), À la Recherche de l'Esprit de Noël (2013) & La Magie de Noël (2013)

Publié le 28 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Fantastique, Romance, ABC Family, ION, Drame, Hallmark

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Sous le Charme du Père Noël (Desperately Seeking Santa) :

Une jolie responsable des relations publiques d'un centre commercial décide de rafraîchir l'image de marque de l'établissement en organisant un concours pour élire un Santa Claus sexy... dont elle tombe amoureuse.

Une Laura Vandervoort pas très motivée dans un téléfilm ABC Family totalement orienté à destination d'un public gay/féminin... Par conséquent, je ne suis pas du tout le public ciblé, et je me suis ennuyé comme un rat mort de bout en bout.

1/6 

Une Seconde Chance pour Noël (A Christmas Wedding Date) :

Une jeune businesswoman célibataire se fait renvoyer juste avant Noël, et décide de passer les Fêtes en famille, en Floride, où l'une de ses amies se marie... mais bien vite, le surnaturel se manifeste.

Alors j'aime beaucoup Marla Sokoloff (mais vraiment, hein, au point de mettre d'office 1.5 points à tout ce qu'elle fait), mais là, ce remake gender-swapped d'Un Jour Sans Fin diffusé sur Ion TV, c'est affreusement quelconque et anecdotique. Sans compter que le tout n'est pas vraiment festif, avec son soleil de Floride, etc...

2.5/6 (dont la majorité des points pour Marla et Chelan Simmons) 

Noël Sans Cadeaux (Gift of the Magi) :

Un couple sans argent se promet de ne pas dépenser d'argent pour des cadeaux de Noël, mais finit par se démener pour s'offrir mutuellement un cadeau en secret...

Une adaptation Hallmark d'une histoire courte apparemment classique aux USA.

Rien de vraiment mémorable ou exceptionnel pour cette histoire pleine de bons sentiments, assez instantanément oubliable, mais rien de vraiment mauvais non plus.

Peut-être est-ce trop "réaliste", terne et déprimant pour vraiment convaincre, d'autant que la nouvelle originale est extrèmement courte, et que ce téléfilm rallonge la sauce jusqu'à plus soif...

2.25/6

À la Recherche de l'Esprit de Noël (The Christmas Spirit) :

Une journaliste et un entrepreneur arriviste pris dans un accident de voiture s'affrontent sur le plan astral, pour décider de l'avenir de la petite ville où ils se sont croisés...

Un téléfilm Hallmark assez quelconque, trop centré autour de sa "star" (Nicolette Sheridan) et pas assez autour d'un récit solide et développé, qui finit par n'être qu'un ersatz de Ghost à la sauce Noël. Et Sammi Hanratty est sous-exploitée, alors qu'elle pourrait faire beaucoup plus.

2/6 

La Magie de Noël (All I Want For Christmas - 2013) :

À San Francisco, Une businesswoman égocentrique croise le chemin d'un elfe du Père Noel, qui lui confère le don d'entendre les pensées d'autrui...

Un téléfilm ION qui n'est qu'un repackaging gender-switched de What Women Want, vaguement repeint aux couleurs de Noël...

Ça se regarde, principalement parce que le concept est rôdé, et que Melissa Sagemiller est sympathique, mais le tout est clairement trop caricatural, et trop peu original pour convaincre plus que ça.

3/6

commentaires

Catch Review : TNA Impact (26/12/2013)

Publié le 27 Décembre 2013 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

- Superbe musique d'entrée pour Rockstar Spud, excellent comme toujours. Dixie fait une promo que personne n'écoute, interrompue par un Hardy en petite forme, qui se fait éjecter par EC3, avant que Sting ne revienne mettre son grain de sel. Je dois dire que je me suis marré en voyant Dixie refuser tout net de booker le tag match... avant de dire soudain "j'ai une idée, tiens, si on bookait un tag match ?". Ils ont vraiment décidé de transformer Dixie en la caricature écervelée que l'IWC a d'elle, et ça marche.

- Après 15 minutes, Dixie annonce enfin... qu'elle est interrompue par Gunner. :mrgreen: Gunner veut son title shot ce soir, Magnus n'est pas là, Gunner est agacé, Dixie reprend la parole, Storm l'interrompt :mrgreen: :mrgreen: veut un match pour la valise contre Gunner, et Dixie s'énerve, booke le match, et part en trombe. Beaucoup de parlotte depuis le début du show, mais c'était de la mise en place utile, et le running gag de Dixie frustrée fonctionnait parfaitement.

- Gunner vs Storm, #1 contender briefcase. C'était solide, jusqu'à ce que les deux hommes soient comptés à l'extérieur par un Earl clairement gâteux qui compte trop vite. Dommage.

- Assmacher tente de renouer avec Emo Bully.

- Magnus qui "shoote" sur les bookers, sur Hogan, et tout et tout. Bien vu.

- Brooke frustrée, Emo Bully refuse de lui parler dans le ring, Brooke s'énerve, et le plaque. Bully l'insulte calmement, récupère encore un peu plus de heat, et repart dans son trip de psychotique-à-accompagnement-musical. Segment efficace, malgré la musique.

- Magnus qui dit du bien de la MEM 2.0, avant de les critiquer.

- EC3 & Spud s'inquiètent.

- Récap d'Abyss/Park, et entrée en scène d'un Park guère rassuré, avec Janice en main.

- Hardy n'est pas à 100%, et n'est pas très motivé.

- JP vs Bad Influence. Monster's Ball. RAS. Park se fait démolir, jusqu'à ce qu'Abyss se réveille, et ne démolisse tout le monde. La routine, en somme.

- Hardy semble avoir pris une décision sérieuse.

- Magnus revient sur le résultat des BFGS.

- ODB vs Tapa. Match potable, sans plus. Le coup de pied au visage, avec lèvre éclatée d'ODB = aouch.

- Sabin tente de convaincre Velvel de l'aider à gagner le titre, la semaine prochaine, sous peine de se trouver une nouvelle copine.

- Magnus récapitule les évênements de Final Res.

- L'annonce de Dixie était une célébration pour Magnus next week, et l'ajout des Bromans au main event.

- Sting & Hardy vs Spud & EC3 & Bromans. Un handicap tag match plutôt solide, avec une jolie prestation des Bromans, et un finish très amusant, avec EC3 qui vole la victoire.

- Hardy explique que Sting est l'une de ses influences, qu'il n'a pas le moral, et qu'il a besoin de se ressourcer : il "s'en va".

 



Un show déséquilibré : une première heure chargée en parlotte (sans toutefois être mauvaise ou inutile), et une seconde heure chargée en action (sans toutefois être exceptionnelle). Le tout s'équilibre, au final, pour donner un show honorable, mais pas forcément excellent. La fin du show, par contre, était mémorable...

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 31 - L'esprit de Noël (2011), L'Ange des Neiges (2010), Un Cadeau de Noël Presque Parfait (2012) & Le Procès du Père Noël (2013)

Publié le 27 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark, Lifetime, Fantastique, ABC Family, ION, Drame

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

L'esprit de Noël (Mistletoe Over Manhattan) :

Pour aider le Père Noël à retrouver l'esprit de Noël, la Mère Noël part à New York, et y croise le chemin d'une famille au bord du divorce, dont elle devient la nounou...

Moui... un téléfilm Hallmark qui donne un peu l'impression d'avoir été fini dans la précipitation, et assez mal casté, puisqu'aucun des personnages n'est intéressant, attachant, ou chaleureux : la Mère Noël béate parle à tout le monde comme à des enfants attardés, Tricia Helfer paraît agressive, froide et détachée, les enfants sont inexistants, l'elfe surjoue... Pas convaincant du tout.

1.5/6

L'Ange des Neiges (Christmas Cupid) :

Publiciste à succès faisant passer sa carrière avant sa vie sentimentale et ses valeurs morales, Sloane reçoit la visite de l'esprit de l'une de ses clientes fraîchement décédée, qui l'avertit qu'elle va bientôt être hantée par les fantômes de trois de ses exs, afin de lui faire changer ses mauvaises habitudes...

Un téléfilm ABC Family qui rejoue A Christmas Carol, avec Christina Milian, et Ashley Benson dans le rôle de la cliente décédée. Très superficiel et oubliable, avec cependant une Ashley Benson plutôt sympathique et convaincante en Jacob Marley-bis. Ce qui compense un peu Milian, agaçante, égocentrique et antipathique, sans le capital charme nécessaire pour rendre le personnage intéressant.

2/6 

Un Cadeau de Noël Presque Parfait (Holly's Holiday) :

Une jeune publicitaire célibataire se prend un coup sur la tête en rêvant à un mannequin dans une vitrine de Noël, et à son réveil, le mannequin prend vie...

Un téléfilm Lifetime qui, sous le prétexte de briser les préjugés et les clichés sur "le grand amour, parfait et idéal", enquille les clichés sur le célibat pendant les fêtes de Noël, etc, et laisse en cours de route la moitié de ses personnages.

Comme en plus, c'est un remake gender-switched à peine déguisé du film Mannequin, qu'il joue la carte du "ce n'était qu'un rêve", et que, hormis Ryan McPartlin à fond dedans, la distribution est affreusement terne (une lead enthousiasmante, comme Dreama Walker ou Kristen Bell, aurait peut-être pu sauver le tout, mais la demoiselle, là, est tout juste adéquate), ça ne fonctionne pas.

1.75/6 

Le Procès du Père Noël (Defending Santa) :

Le shérif d'une station de ski découvre un Père Noël inconscient au milieu de la forêt, au beau milieu de la nuit ; bien vite, celui-ci va devoir se justifier de son identité dans un tribunal, avec l'aide d'une jolie avocate...

Et revoici une production ION TV, comme d'habitude particulièrement fauchée (musique ultra-cheap, post-synchro bancale, décors faisant assez carton-pâte, éclairage de mauvaise sitcom, effets visuels ratés - les écrans bleus, la neige en image de synthèse, maquillages/costumes baclés - la perruque et le coussin qui sert de ventre à Santa) et pas très inspirée.

Cela dit, en comparaison d'autres productions ION, ça se regarde vaguement, principalement parce que ça a bon fond ; parce qu'un courtroom drama, ça se rate difficilement ; parce qu'un acteur ou deux sont sympatoches (Dean Cain & Jodi Sweetin) ; et parce que tout le monde est à peu près juste.

C'est beaucoup trop inégal, et ça meuble beaucoup trop pour réussir à s'établir comme un nouveau Miracle sur la 34è Rue, mais ça aurait pu être pire... et au moins ils essaient.

2.25/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 30 - Holiday High School Reunion (2012), Une Famille pour Noël (2007), L'Étoile de Noël (2004) & Les 12 Voeux de Noël (2011)

Publié le 26 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Comédie, Romance, Fantastique, Lifetime, Hallmark, ION

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Holiday High School Reunion / Christmas Crush :

Toujours amoureuse, malgré les années, de son ex-petit-ami de lycée, une jeune femme s'aperçoit bientôt, à l'occasion d'une réunion de lycée aux alentours de Noël, qu'elle est peut-être éprise de la mauvaise personne...

Un scénario de rom-com basique pour ce téléfilm Lifetime assez classique, reposant quasi-intégralement sur le charme de son interprète principale, Rachel Boston, et qui n'a de festif que son titre, et une vague ambiance de Noël (enfin, trois chansons de Noël).

Bref, ça aurait très bien pu se dérouler à n'importe quelle période de l'année, et si ça se regarde gentiment (principalement parce que ce n'est pas très sérieux, et que tout le monde semble s'amuser), ça ne casse pas trois pattes à un canard amputé.

2.75/6

Une Famille pour Noël (The Family Holiday) :

Donald Holiday, un arnaqueur/joueur de billard invétéré et endetté doit se faire passer pour un père de famille modèle s'il veut hériter de 10 millions de dollars...

Dave Coulier dans le rôle principal de cette comédie Lifetime assez classique et légère. Rien de révolutionnaire, cependant, et ça rappelle légèrement le pitch de départ du plus récent (et meilleur) "We're the Millers", une dose d'ambiance festive en prime.

2.75/6

L'Étoile de Noël (Eve's Christmas) :

Une businesswoman à succès fait un voeu à Noël, et se trouve renvoyée dans le temps par son ange gardien, avec l'opportunité de changer son passé...

Un téléfilm Hallmark au récit assez quelconque et convenu, malgré les efforts d'une distribution très sympathique et attachante (Elisa Donovan, Cheryl Ladd & Erin Karpluk).

2.75/6

Les 12 Voeux de Noël (12 Wishes of Christmas) :

Laura, une businesswoman un peu dépassée par les évènements, reçoit douze voeux pour Noël... mais elle découvre rapidement que ces voeux ont des effets scondaires imprévisibles...

Elisa Donovan, Sarah Thompson & Fred Willard dans ce téléfilm Ion TV un peu fauché, et à la post-synchro assez médiocre.

Je l'avais déjà vu en partie l'année dernière, et le film m'avait semblé sympatoche, sans plus, mais après un second coup d'oeil, les défauts prennent le dessus sur le capital sympathie de Donovan.

2.25/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 29 - Trois Voeux Pour Noël (2006), Un Défi pour Noël (2005), Le Costume du Père Noël (2010) & Silver Bells (2013)

Publié le 25 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark, Lifetime, Fantastique, UpTV

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Trois Voeux Pour Noël (Holiday Wishes) :

Une jeune organisatrice de Fêtes de Noël, orpheline et à la recherche de sa soeur perdue, se retrouve embarquée dans une histoire d'adolescentes ayant échangé leur corps respectif après un voeu étrange.

Holy sh*t quel plantage magistral que ce téléfilm Lifetime qui ne fonctionne sur aucun plan.

Au niveau du scénario, c'est un grand bordel sans structure, ni écriture cohérente, qui ne sait pas s'il veut raconter l'histoire de la party planner, ou celle des deux adolescentes ; résultat, ça passe de l'un à l'autre de manière totalement forcée et artificielle, sans même mentionner prévisible au possible ; ça manque de temps pour développer tous ses personnages ; ça multiplie les personnages secondaires caricaturaux et inutiles, ainsi que les raccourcis dans la narration ; la caractérisation des héroïnes est défaillante ; la musique est comique, et en décalage total avec le récit ; et enfin l'interprétation... disons qu'Amber Benson se limite à trois expressions (essouflée/émue, sarcastique, et en larmes) et qu'elle y est, au mieux, médiocre.

Les deux ados (dont Britt McKillip) s'en sortent mieux, mais la direction d'acteurs est approximative et grossière, donc elles ne peuvent pas faire de miracle... Bref, un bon gros échec.

1/6 (pour Britt)

Un Défi pour Noël (Recipe For A Perfect Christmas) :

Jeune critique gastronomique débutante, JJ se voit envahie par sa mère bohème, exubérante et critique, peu de temps avant Noël... pour s'en débarrasser, elle conclut alors un marché avec un chef désireux d'obtenir une bonne critique pour son restaurant : il doit sortir avec la mère de JJ pendant deux semaines, le temps que cette dernière finisse ses articles.

Une rom-com Lifetime assez sympathique, dynamique et bien interprétée, à la distribution solide (Carly Pope, Bobby Cannavale et Christine Baranski), et qui, hormis un côté prévisible inhérent au genre, n'a comme vrai défaut qu'une intemporalité relative, qui fait que la période de Noël n'est qu'un prétexte sans réelle influence sur le récit.

3.5/6 

Le Costume du Père Noël (The Santa Suit) :

Le patron d'une entreprise de jouets, avide et ambitieux, redécouvre la magie de Noël lorsque Santa lui jette un sort, et le fait apparaître, aux yeux de tous, sous l'apparence d'un vieux Père Noël...

Un téléfilm Hallmark plein de bons sentiments, mais jamais niais, et finalement plutôt réussi, notamment parce que Kevin Sorbo est convaincant, et toujours attachant.

3.75/6

Silver Bells (2013) :

Un présentateur tv ultra-compétitif (Bruce Boxleitner) spécialisé dans le sport redécouvre le vrai sens des fêtes de fin d'année lorsqu'il est condamné, suite à une échauffourée, à passer Noël à réunir des fonds pour l'Armée du Salut, aux côtés d'un vieil homme sage (Antonio Fargas)...

Un téléfilm Up Tv, ce qui signifie, forcément, que le tout est très connoté bonnes valeurs chrétiennes, et fait ici la promotion de l'Armée du Salut, qui a aidé à produire le métrage.

On aurait pu craindre du prosélytisme religieux à gogo, mais heureusement, le tout met plutôt l'accent sur les bonnes actions et sur la charité envers son prochain plus que sur la Foi et sur Dieu, donc ça passe assez bien, d'autant que la distribution est suffisamment sympathique (outre Boxleitner et Fargas, il y a aussi Laura Spencer dans un petit rôle, et de manière générale, le cast est plutôt agréable ; le fils est un peu transparent, cela dit) pour rendre le message très supportable.

Rien de transcendant ou d'exceptionnel, mais pour du UpTV, c'est assez réussi. Et puis c'est filmé en hiver, avec de la neige partout, ce qui fait toujours plaisir.

3.5/6

commentaires

Catch Review : TNA One Night Only - World Cup 2013

Publié le 24 Décembre 2013 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA, ONO

Ce soir, le 23 Décembre 2013, c'est RAW. De Noël. Ce qui, en d'autres termes, signifie un Raw sans intérêt, bourré d'humour foireux, et de gags débiles. Et comme en plus, c'est un Raw enregistré à l'avance, pas besoin de regarder pour savoir si quelque chose de valable s'est glissé entre les sketches pourris. 

Autrement dit, ce Lundi soir, je passe la main, et je me rabats sur ce que j'ai en stock depuis le début du mois, à savoir :

TNA One Night Only - World Cup 2013 :

- Présentation des équipes de la World Cup : Team UK est équilibrée, Team International est éclectique, Team USA est basique, Team Aces n Eights est incomplète.

- Vidéo overzetaupe de présentation de la Team UK.

- Magnus vs Anderson. Solide, sans plus.

- Kenny King, disparu au champ d'honneur... :\

- King vs Sonjay. Sympathique, mais pas mal de meublage, de headlocks et de restholds. On sent qu'ils en gardent sous le pied pour le reste de la soirée.

- Funaki qui veut faire backstage announcer à la place de Borash = :mrgreen:

- Hannah Blossom vs Lei'D Tapa. RAS, et je me demande pourquoi la TNA n'utilise qu'une des Blossoms, et jamais sa soeur.

- Les Aces ont Ivelisse en stock.

- Doc & Knox vs Funaki & Petey Williams. Tag match standard, rien de honteux, mais rien de mémorable. Revoir brièvement Funaki faisait plaisir, cela dit.

- Brisco vs Spud. RAS. Public assez inégal, qui semble décéder spontanément de lui-même, pour se réveiller sans raison trois minutes plus tard.

- Robtista & Williams vs Kazaniels. RAS, un tag match consistant.

- Mickie vs Ivelisse. Je ne comprendrais jamais pourquoi Ivelisse n'est pas sous contrat. C'était un bon match, sinon.

- Rediff d'un vieux World X Cup Match.

- Mesias vs Storm. Un match Heavyweight assez classique, rien de particulièrement hors du commun.

- Elimination match USA vs Aces. Sympatoche, mais sans surprise.

Un peu à l'image du show en entier, dont on sent bien le booking en urgence, et le manque de préparation. Néanmoins, c'était un show intéressant, et j'aimerais beaucoup que le concept soit maintenu et développé en 2014.

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 28 - Spécial Animation : Les Cinq Légendes, Frozen, L'Abominable Noël, La Reine des Neiges & co.

Publié le 24 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Animation, Jeunesse, Disney, Dreamworks, Russie, Canada, UK, France, Télévision

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Les Cinq Légendes/Rise of the Guardians :

Jack Frost est recruté par le Père Noël, la Fée des Dents, le Marchand de Sable, et le Lapin de Pâques, pour combattre le Croquemitaine...

Un film d'animation Dreamworks, adapté d'une série de livres, et produit/supervisé par Guillermo Del Toro. Pas désagréable du tout, mais inégal : inégal au niveau du chara design (Jack Frost et Pitch Black sont transparents et quelconques), inégal au niveau du doublage (certaines voix sont en décalage avec l'apparence des personnages) inégal au niveau de la musique, et inégal au niveau du scénario (certains moments sont basiques au possible, et d'autres sont créatifs et originaux). Dommage.

Un petit 3.75/6

Frozen (2013) :

Anna, une jeune femme optimiste et sans peur, se lance dans une quête épique aux côtés d'un montagnard et de son renne, pour retrouver sa soeur Elsa, dont les pouvoirs magiques condamnent le royaume à un hiver éternel... 

Dernier dessin animé Disney, dans la droite lignée de leur Raiponce, et avec un style visuel très très similaire. Plutôt amusant et bien doublé, même si le style musical des chansons (composées par l'auteur de Avenue Q et de Book of Mormon) fait parfois trop Broadway, avec une mise en scène simple, à l'identique.

3/6 après avoir revu le film à tête reposée, après que tous ses défauts soient nettement ressortis (Olaf et Trolls inutiles, première demi-heure hachée, chansons envahissantes...).

Abominable Christmas (A Monster Christmas) :

Deux jeunes yétis désireux de fêter Noël comme les humains font la connaissance d'une famille humaine, et se font passer pour des chiens pour intégrer leur foyer...

Un DTV de 41 minutes, sans gros budget, avec deux des gamins de Modern Family au doublage, accompagnés de Ray Liotta, Emilio Estevez et Jane Lynch. Assez moyen sur tous les plans, notamment esthétique.

2.25/6

Snow Queen :

Adaptation assez libre du conte d'Andersen, dans lequel Gerda (accompagnée d'un furêt et d'un troll idiot ^^) doit sauver son frère Kai du joug de la terrifiante Reine des Neiges... 

Un film d'animation russe en CGI de 2012, certainement mis en chantier pour battre Frozen de Disney dans les salles : le résultat, dans sa version doublée en anglais, s'avère plus intéressant que prévu.

Très réussie visuellement, malgré un chara-design souvent raide et discutable (le troll comic relief, notamment, est assez moche), l'histoire survole rapidement le conte original d'Andersen, avec pas mal de meublage le temps que tout se mette en place.

Au final, ça se regarde très facilement, c'est joli, mais le rythme du récit, certains choix, et le doublage anglo-saxon médiocre font que ça reste anecdotique.

3.25/6

Gotta Catch Santa Claus :

Un gamin veut prouver que le Père Noël existe en le capturant... tandis qu'en secret un vieil ennemi de Santa se réveille. 

Un film d'animation canadien assez fauché et agaçant, entre l'animation très limitée, les maychants pitoyables venus de l'espace et le doublage forcé des enfants.

William Shatner, en Santa, est honteusement sous-exploité (et ce malgré le fait qu'ils le mettent avec une Mrs Claus volontairement sexy, ce qui aurait pu donner lieu à des échanges amusants), et les chansons funky... passons. Apparemment, c'est l'adaptation d'un comic book, ce qui, vu le peu d'épaisseur de l'histoire, n'est pas forcément surprenant.

1.75/6 (dont 1 point pour le post-générique de fin, et ses trois minutes de bétisier de Shatner dans la cabine de doublage, plus amusantes et intéressantes que toute l'heure de métrage qui les précède)

Saving Santa :

Un elfe inventif mais maladroit doit sauver le Pôle Nord d'une invasion hostile en remontant à plusieurs reprises le temps...

Martin Freeman au doublage, ainsi que bon nombre d'acteurs anglais connus (Tim Curry, Joan Collins, etc), pour cette co-production anglo-américaine visuellement très réussie, mais desservie par ses quelques numéros musicaux auto-tunés, inutiles et peu inspirés, ainsi que par son script assez classique.

3.5/6

The Chubbchubbs Save Xmas :

Meeper et ses ChubbChubbs décident de visiter le Pôle Nord...

Court-métrage qui fait suite à The Chubbchubbs!, qui reprend Meeper et ses bestioles carnivores, qui pour l'occasion remplacent Santa (doublé par Jeffrey Tambor ^^) dans sa tournée. Amusant, court, et sympathique.

4/6 

Santa's Apprentice :

Sur le point de prendre sa retraite, Santa Claus cherche un remplaçant, qui s'avère être le jeune Nicolas, un orphelin au vertige tétanisant...

Une co-production originellement franco-anglaise, et possédant donc un doublage français d'origine... mais comme d'habitude, j'ai préféré le regarder avec un doublage anglo-saxon, plus convaincant, et moins susceptible de me distraire.

Bref : c'est très joli visuellement, c'est même plutôt réussi, mais ça manque malheureusement assez notablement de structure, et ça donne l'impression d'un patchwork de vignettes... ce qui est assez logique, puisque c'est l'adaptation cinématographique de la série animée du même nom. Cela dit, ça m'a donné envie de regarder la série animée en question, c'est toujours ça de gagné.

4/6 

The Naughty List :

Deux lutins dissipés et une renne impertinente doivent sauver Noël lorsqu'ils provoquent l'empoisonnement alimentaire de tout le Pôle Nord.

Drake Bell, Sean Astin, Kyle Chandler, Naya Rivera et Matthew Lillard au doublage d'un dessin-animé de 45 minutes diffusé sur Cartoon Network. Très simpliste et basique au niveau de l'animation, ça reste dynamique, à défaut d'être forcément très intéressant.

2.25/6

Holidaze - The Christmas That Almost Didn't Happen :

Déprimé, le frère de Rudolf le Renne au Nez Rouge rencontre tout un groupe de personnages mythiques dans le même état que lui, et ensemble, ils partent à la recherche de l'esprit de Noël...

Un téléfilm d'animation en pâte à modeler, comme les Rankin-Bass d'antant, avec une distribution vocale à priori sympathique... mais malheureusement, le tout est financé par WalMart, et tous ses sponsors habituels.

Résultat : passées les dix premières minutes, progressivement, les placements produits se succèdent mollement, pendant que l'histoire se déroule sans grande inspiration, malgré quelques vannes amusantes.

2/6

The Life & Adventures of Santa Claus :

Adaptées de L. Frank Baum, la vie et les nombreuses aventures épiques du Père Noël...

Une version animée sortie en 2000, et qui couvre librement les événements décrits par Baum dans son livre. 75 minutes honorables, même si très datées au niveau de l'animation (on se croirait revenus dans les 80s), du doublage (assez mauvais), et des quelques changements pas pertinents du tout (le sidekick comique en tête).

3.5/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 27 - Un Noël Sur Mesure (2012) & Nuit Magique (2001)

Publié le 23 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Critiques éclair, Review, Télévision, Comédie, Romance, Noël, Christmas, Lifetime, Jeunesse, Disney, Fantastique, Cinéma

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Noël Sur Mesure (The Christmas Consultant) :

Une famille surbookée doit organiser une réception spectaculaire à Noël pour l'un des clients de la mère businesswoman ; ils se tournent alors vers un Christmas Planner des plus excentriques... qui en profite pour améliorer le quotidien de la famille.

Un téléfilm Lifetime qui n'est objectivement pas bon, pas bien écrit ou bien monté, mais qui est étrangement fascinant, puisque THE David Hasselhoff en fait trois tonnes dans son rôle de spécialiste excentrique à l'accent "anglais", étrange et un peu creepy, à la Willy Wonka.

2/6 (mais 12/6 pour Hasselhoff) 

Nuit Magique (Twas The Night) :

Un ado et son oncle arnaqueur/pirate informatique mettent Noël en péril lorsqu'ils "empruntent" le traîneau ultra-moderne du Père Noël...

Une comédie Disney Channel de 2001, avec Bryan Cranston, et Torri Higginson dans un petit rôle. Le tout est particulièrement puéril et enfantin (ce qui n'est pas forcément surprenant), avec des acteurs qui cabotinent gentiment, un duo principal assez tête-à-claque, et un mickey-mousing musical fatiguant. Cela dit, le costume du Père Noël est superbe.

2/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 26 - La Fille du Père Noël (2000) & La Fille du Père Noël 2 (2001)

Publié le 22 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, ABC Family

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

La Fille du Père Noël (Once Upon A Christmas) :

Au Pôle Nord, Santa en a assez de l'ingratitude et de la méchanceté des enfants, et décide de faire grève. Pour le persuader de continuer, sa fille Kristin relève le défi de trouver une famille et de la faire repasser sur la liste des enfants sages...

Un autre classique festif diffusé chaque année dans les cadre des célébrations d'ABC Family, OUAC place Kathy Ireland dans le rôle de la fille de Santa, qui doit réussir à convaincre son paternel que la famille dont elle a la charge est généreuse, etc, tout en contrant les manigances de sa soeur aînée.

L'univers à la Santa Clause (avec tous les autres personnages de contes de fées) n'est pas désagréable, ça cabotine gentiment parmi les acteurs, et ça se regarde tranquillement, sans être forcément trop mémorable, la faute à un gros coup de mou dans le dernier tiers du film.

3.25/6

La Fille du Père Noël 2 (Twice Upon A Christmas) :

Kristin vit toujours avec la famille du premier épisode, mais elle est désormais amnésique, et sur le point de se marier ; de son côté, sa soeur décide de ruiner Noël en vendant des morceaux du Pôle Nord... 

La suite du précédent, avec une grosse partie des mêmes acteurs, mais en nettement moins inspiré, puisque le gimmick de l'amnésie est vraiment forcé, et que tout le reste du scénario donne dans le caricatural-avec-musique-ridicule.

Assez décevant en regard du premier volet, et puis le coup de la fille du Père Noël qui prie Dieu pour avoir des réponses, non merci.

1.75/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 25 - Christmas Bounty (2013) & À la Recherche de Madame Noël (2012)

Publié le 21 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Comédie, Jeunesse, Télévision, WWE, ABC Family, Action, Romance, Lifetime

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Christmas Bounty :

Une ex-chasseuse de primes de la Jersey Shore devenue institutrice à Manhattan doit faire face à un criminel issu de son passé, et à son ex-petit-ami chasseur-de-primes...

Un téléfilm WWE/ABC Family (déjà, ça promet) qui tente de nous faire croire que Francia Raisa (avec son mètre 59, sa personnalité délicate et son physique de latina sexy) est une chasseuse de primes badass et exceptionnelle.

Désolé, mais autant je peux concevoir que Miz (malgré sa tête à claques) soit un bounty hunter, autant la demoiselle, ça passe moyen. Et de manière générale, la distribution toute entière est assez étrange, jamais totalement convaincante dans les rôles qui leur sont assignés. Oui, je sais, c'est superficiel, tout ça, mais quand on essaie de faire croire au spectateur la réalité d'une institutrice en hauts-talons qui, sur son temps libre, joue les bounty hunters, il y a plutôt intérêt à embaucher une actrice physiquement imposante et/ou crédible. Là, avec Raisa, je n'ai jamais eu cette impression, ne serait-ce que visuellement.

Le récit en lui-même était assez quelconque et cousu de fil blanc, Noël n'était qu'un prétexte à une histoire d'actioner/thriller basique, et à part Chelan Simmons amusante dans un petit rôle, c'était particulièrement dispensable.

1.5/6

À la Recherche de Madame Noël (Finding Mrs. Claus) :

La Mère Noël et le Père Noël ont des problèmes de couple (et de sexe), et Mme Claus décide de partir pour Vegas, pour y aider une jeune mère célibataire à la recherche d'un époux...

Aouch... un téléfilm Lifetime qui choisit de tenter la carte "comédie parodique", avec des choix créatifs tellement WTF qu'ils ne peuvent qu'avoir été pris sous l'influence de drogues...

Déjà, la distribution : Will Sasso et Mira Sorvino en Santa & sa femme (à la fois vieux sous trois tonnes de maquillage, et jeunes), un sidekick elfe agaçant qui finit avec une prostituée de Vegas, une elfette quadra, Laura Vandervoort (27 ans, qui en fait 5 de moins) en mère célibataire d'une gamine de 10 ans... un bon gros n'importe quoi généralisé, pas aidé par du cabotinage global de la part de tout ce qui touche aux occupants du Pôle Nord, et par un script gentiment chargé en sous-entendus sexuels débiles.

2/6

commentaires

Catch Review : TNA Impact (19/12/2013)

Publié le 20 Décembre 2013 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Cette semaine, alors que la WWE se traîne mollement avec son TLC et le Raw qui a suivi, la TNA nous propose un PPV Tv, avec Final Resolution, et des matches plutôt intéressants sur le papier :

- Magnus dans le ring, qui se targue d'être honorable, etc, et qui doute de Hardy (ce qui déchaîne les fangirls de Jeff, forcément), lui rappelle qu'il était l'Antéchrist du Pro Wrestling, et qu'il a trahi tout le monde à l'époque. Hardy veut se défendre, mais Magnus charge la mule. Intéressant.

- Hemme avec Angle, qui est motivé.

- Zema et Chavo sont impatients de connaître le contenu de leurs valises.

- Angle vs Roode, 2 out of 3 falls. Match solide, sans toutefois être parmi les plus exceptionnels des deux hommes. Par contre, pas très content du retour des cris et des huées enregistrés.

- Gunnstorm continuent de se disputer.

- Angle déprime un peu de se faire constamment voler ses matches par Roode.

- Récap du retour de Maddie.

- JB et EC3 backstage, et EC3 découvre qu'il n'a aucun moyen de connaître le contenu de sa valise.

- EY a un cadeau pour Abyss/Park : il tente de convaincre JP qu'il est Abyss, lui impose un Monster's Ball match contre kazaniels la semaine prochaine, et lui offre plein d'armes en tous genres, dont Janice. Avec un joli noeud rouge. Segment amusant, et public motivé.

- Backstage, Joe confronte brièvement un Hardy sur la défensive.

- Feast or fired : Zema décroche la X-div (logique), Gunner le HW title (surprenant, et Storm est mécontent), Chavo est viré (YEAAAAAAAH !!! D'autant que le bonhomme est toujours aussi mauvais acteur quand il tente de nous faire croire qu'il n'a jamais bénéficié du piston de son nom de famille) et EC3 décroche un Tag title (surprenant, qui sera son partenaire ?) après que Sting soit venu troller un peu EC3, et lui proposer (en vain) un match en échange du contenu de la valise. La musique dramatique était inutile.

- Magnus est confiant.

- Lei'd Tapa & Kim vs Maddie & ODB. RAS, tag match standard, assez consistant, et Maddie n'est pas trop rouillée.

- Sting vient voir Hardy.

- Spud panique et doit trouver une nouvelle ceinture avant le show.

- Hardy se défend enfin au micro, et promet qu'il ne s'est pas vendu au grand capital à Dixie, et qu'il est pro-AJ.- Interruption de Dixie, qui fait un caca nerveux, et rappelle à Hardy qu'il lui doit son job, qu'elle peut lui retirer d'un claquement de doigts

- Hardy vs Magnus, Dixieland match. Hardy est un grand malade. Très bon main event, digne d'un PPV. J'aurais peut-être préféré que l'intervention de EC3 soit plus claire dans ses intentions, m'enfin bon, whatever...

Un show assez convaincant, notamment parce qu'alors que la WWE propose de plus en plus de PPVs aux matches à peine dignes d'un show tv, les Impacts, eux, proposent toujours des matches dignes d'un PPV. Ce qui fait plaisir.

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 24 - La Plus Belle Vitrine de Noël (2013) & Le Noël où tout a changé (2013)

Publié le 20 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark, Lifetime

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

La Plus Belle Vitrine de Noël (Window Wonderland) :

Une décoratrice de vitrines de Noël (Chyler Leigh) coincée et professionnelle est en compétition avec un rival impertinent et sarcastique (Paul Campbell), dont elle finit par tomber amoureuse...

Chyler Leigh et Paul Campbell, deux acteurs pourtant sympathiques et attachants, en couple vedette de ce téléfilm Hallmark particulièrement terne et quelconque, à la froideur assez clinique, très paradoxale dans le cadre d'une histoire de vitrines de Noël.

Seulement voilà : ici, tout est moderne, urbain et typiquement new-yorkais, et les vitrines de Noël "design" sont relativement laides et sans inspiration.

Autant dire que pour l'ambiance de Noël, c'est un zéro absolu, et que le film ne parvient pas à se rendre intéressant par son écriture : alors que Campbell est naturellement charismatique et décalé, ici, le script en fait une tête à claques sarcastique qui ne se tait jamais ; le personnage de Naomi Judd - en mère de Chyler Leigh - n'est pas très original (la femme de ménage très sage et avisée), mais l'actrice s'en sort bien ; et enfin, le final façon Undercover Boss ne fonctionne pas du tout, tant il apparaît forcé et inutile.

Bref, un échec agaçant, qui gâche son cast et son potentiel de base.

1.25/6  (critique mise à jour en 12/2015)

Le Noël où tout a changé (Kristin's Christmas Past) :

Une trentenaire fêtarde qui a coupé tous les ponts avec sa famille s'endort le soir de Noël, et se réveille dix-sept ans plus tôt, à la veille d'un réveillon familial particulièrement chaotique...

Un téléfilm Lifetime assez sympatoche, plein de visages familiers, de Shiri Appleby à Debby Ryan, en passant par Elizabeth Mitchell et Judd Nelson. Appleby porte tout le récit sur ses épaules, rend son personnage instantanément attachant, et le tout se regarde très facilement, même si on pourra regretter quelques raccourcis & ellipses un peu trop prononcées, qui donnent un sentiment d'inachevé ou de coupes sauvages au montage.

3.5/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 23 - The Christmas List (1997) & On The Second Day Of Christmas (1997)

Publié le 19 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Review, Comédie, Fantastique, Romance, ABC Family, Lifetime, Télévision

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

The Christmas List :

Une vendeuse en parfumerie de Seattle, déçue par sa vie, fait une liste de souhaits au Père Noël, qu'elle dépose sans trop y croire dans la boîte aux lettres du magasin où elle travaille ; à sa grande surprise, les voeux commencent à se réaliser... mais dégénèrent bien vite.

Mimi Rogers dans un téléfilm de 1997, désormais considéré comme un "classique" de la chaîne ABC Family. C'est assez sympathique à regarder, mais le téléfilm accuse un certain coup de mou passée la première demi-heure, avant de se rattraper sur la fin.

3.5/6 

On The Second Day Of Christmas :

Une pickpocket/voleuse à l'étalage et sa nièce se font prendre en pleine action dans un grand magasin, et un garde de sécurité au grand coeur accepte de les superviser plutôt que de les voir punies par la loi...

Un téléfilm Lifetime de la fin des années 90, avec un jeune Mark Ruffalo dans le rôle de l'agent de sécurité.

Pas particulièrement intéressant, puisque reposant quasi-uniquement sur le trio principal et leur alchimie (faiblarde).

Ce n'est même pas particulièrement mauvais, seulement totalement oubliable, et la voleuse & sa gamine ne sont pas assez attachantes pour qu'on leur pardonne leurs actions.

Ah, et Ruffalo ne chante pas très juste, ce qui n'aide pas franchement à rendre son rôle de musicien/chanteur amateur très crédible.

2.5/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 22 - Un Noël de Folie ! (2004) & Week-end en Famille (1995)

Publié le 18 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Thanksgiving, Comédie, Drame

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Noël de Folie ! (Christmas with the Kranks) :

Les Kranks ne veulent pas fêter Noël, cette année, et ont prévu de partir en croisière... mais toute leur famille, leurs voisins, la ville sont tous décidés à les forcer à se plier à la tradition...

Aaaaaah, mon film-nemesis de Noël.

Si mon résumé ci-dessus n'était pas assez clair à ce sujet, je trouve Christmas With The Kranks gerbant dans son apologie du conformisme et de la bien-pensance républicaine américaine.

Si tu ne fêtes pas Noël comme tes voisins, si tu es différent, alors tu es un monstre, et tu mérites d'être montré du doigt et chassé avec des fourches et des torches enflammées.

Et pourtant, chaque année, lorsque vient l'inévitable diffusion tv, je ne peux m'empêcher d'y jeter un oeil par masochisme (et aussi parce que la distribution est sympathique), en espérant y trouver une qualité ou deux. En vain.

0.5/6 (pour la distribution)

Week-end en Famille (Home For The Holidays) :

Après avoir été renvoyée de son emploi, une mère célibataire névrosée décide de passer Thanksgiving chez ses parents, avec le reste de sa famille dysfonctionnelle, tandis que sa fille adolescente choisit de rester à la maison avec son petit-ami...

Film de Thanksgiving de 1995, réalisé par Jodie Foster, avec Robert Downey Jr, Claire Danes, Anne Bancroft, Holly Hunter et Dylan McDermott.

Rien de plus qu'une série de vignettes qui dévoilent les problèmes et les angoisses de tous les membres de la famille, ainsi que les liens plus ou moins forts qui les unissent.

Pas désagréable, ça se laisse regarder principalement grâce à l'interprétation de Hunter et Downey, et la réalisation de Foster est solide, mais le film n'est pas particulièrement mémorable pour autant. Trop classique.

3/6

commentaires

Catch Review : WWE RAW (16/12/2013)

Publié le 17 Décembre 2013 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, WWE

La WWE ne booke plus ses PPVs avec des rebondissements improbables : désormais, il faut attendre le Raw du lendemain pour être surpris. TLC 2013 s'est ainsi terminé de manière assez plate et désespérante, avec Orton en champion incontesté, et toute la famille McMahon venue le féliciter... vont-ils se retourner contre lui pendant Raw ?

Et la réponse est non, puisque tout le show se résume, pour faire simple, à du gros recyclage. Du recyclage honorable, puisque la plupart des matches étaient solides et consistants, mais du recyclage néanmoins, puisque 95% du show n'étaient que rematches de PPV (avec résultats inversés, histoire de préserver le status quo), ou tag matches sans réel enjeu ou réelle motivation. Survolons rapidement tout cela, en commençant par

Heure 1 : de l'intro bavarde de tout le monde habituel, avec Cena qui continue de racoler en se faisant le porte-parole de Bryan ; un tag match Rhodes vs Mystershow, avec des commentateurs tellement peu passionnés par leur travail qu'ils se prennent en photo pendant le match. *soupir* ; Bad News Barrett *soupir* ; et un rematch Fandango/Ziggler. Bref, une première heure sans intérêt.

Heure 2 : un tag Real Americans vs Henry & Big E, dans lequel, forcément, l'équipe qui n'est pas établie démolit l'équipe qui l'est ; les Hippos Gloutons contre Ryback & Axel, pour un tag quelconque ; une promo croisée entre Punk et HBK, assez ratée, et qui ne débouche sur rien ; et un tag Shield vs Punk & Usos, basique et sans surprise, puisque là aussi, au résultat inversé par rapport au match de PPV. Une seconde heure à l'identique de la première : anecdotique.

Heure 3 : on approche de la fin du show, et du main event, donc les choses se concrétisent enfin... mais d'abord, il faut subir une promo de Bray Wyatt qui parle à une chaise, et un tag match des Divas ; enfin arrive le main event, Orton vs Bryan... un match excellent, digne d'un PPV... mais malheureusement sans enjeux, puisque non-title match, et sans résultat, puisque Bryan ne gagne même pas, et Orton préfère se faire disqualifier. Cena, cependant, en profite pour se ramener, et s'ériger, une fois de plus, en héros, même si ça ne dure pas très longtemps...

Bref, résumons le tout : deux heures sans intérêt deux heures et demie sans intérêt, et une dernière demi-heure très réussie, jusqu'au finish. Un Raw typique, en somme, qui repose entièrement sur le charisme et la popularité de Bryan... le jour où Bryan se blessera, la WWE aura de sérieux problèmes.

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 21 - Jessie et le petit renne du Père Noël (1989) & Tonnerre, le petit renne du Père Noël (2001)

Publié le 17 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse, Fantastique, Drame, Romance

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Jessie et le petit renne du Père Noël (Prancer) :

Une petite fille dont la famille est en difficultés découvre un renne blessé dans la forêt et, convaincue que c'est l'un des rennes du Père Noël, elle décide de le soigner...

Un film de Noël particulièrement déconcertant, puisque très sombre et déprimant, à la limite du pathos.

L'intention du scénariste était clairement de faire un parallèle avec la fameuse lettre "Yes, Virginia, there is a Santa Claus" (citée dans le film), et d'utiliser le récit pour décrire les liens difficiles entre un père et sa fille, tous deux séparés par le deuil... mais étrangement, le film finit par ressembler à la description de la dépression d'une fillette qui, totalement déconnectée de son frère moqueur et de son père caractériel, met tellement d'espoirs dans un renne blessé qu'elle finit par perdre tout contact avec la réalité, par prendre des risques insensés et par s'imaginer voir le renne s'envoler pour rejoindre son traîneau, alors que le renne s'est jeté au pied d'une falaise.

Le film n'est clairement pas supposé être interprêté ainsi, mais entre la musique atmosphérique et menaçante, l'esthétique réaliste et sombre, et tout le reste, ça donne une impression particulièrement étrange, qui ne donne pas envie de revoir le film une nouvelle fois. Cela dit, le tout est bien joué.

3/6

Tonnerre, le petit renne du Père Noël (Prancer II - Prancer Returns) :

Dans la même ville que le premier film, Charlie, un garçonnet un peu rêveur et naïf, issu d'une famille de divorcés, découvre l'histoire de Prancer, et finit par croiser le renne en question (et son fils) dans la forêt...

Même schéma narratif que le premier film, en nettement plus léger & plus ouvertement surnaturel, avec Jack Palance en lieu et place de Cloris Leachman.

C'est donc largement moins déprimant, mais malheureusement c'est d'autant plus redondant, préivisble, c'est plus axé sur la vie amoureuse de la mère de Charlie, ça a recours à une chanson pop sirupeuse, et ça utilise un animatronique peu convaincant pour certaines scènes.

3/6

commentaires

Catch Review : TLC 2013

Publié le 16 Décembre 2013 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, WWE, PPV

WWE TLC 2013 :

Un PPV assez peu attendu, qui ne suscitait une certaine curiosité que pour son main event, et son titre d'unification...ça tombe bien, c'est exactement ce que la WWE s'est dit, et ils se sont mis en pilotage automatique pour 95% du show.



Kickoff Show :

 - Ziggler vs Fandango. À peine dix mouvements dans tout le match. Presque plus de pubs que de match. :facepalm:



- Comme d'habitude, HHH et Steph ouvrent le show, pour ne rien dire.

- Punk vs Shield, handicap match. Un match pépère, avec Punk constamment dominé, et qui reprend ponctuellement l'avantage sur un malentendu.

- Natalya vs AJ - Divas Title match. RAS, la routine habituelle.

- Big E vs Sandow - IC Title match. RAS, la routine habituelle.

- Real Americans vs Rhodes vs Axback vs Rey & Show - 4-way Elimination Tag Title match. RAS, la routine habituelle.

- Une pub à la con pour les peluches de la WWE. J'ai honte.

- Hippo Glouton #1 vs Truth. RAS, la routine habituelle. Uniquement là pour mettre en place un feud entre les Hippos.

- Miz vs Kofi, No Dq. RAS, la routine habituelle. Le public commence à en avoir marre, et se fait entendre.

- D-Bry vs the Wyatt Family - Handicap Match. RAS, la routin  ; Ah, non, cette fois-ci, c'était diff Ah, si, c'était la routine habituelle, à savoir exactement un copier-coller du match de Punk, vingt dernières secondes exceptées. Sans intérêt et téléphoné.

- De l'über-hype über-dramatique.

- Cena vs Orton, Undisputed WWE HW Title match. Lent, avec un John Cena qui s'obstine à ne pas décrocher les ceintures dès qu'il en a l'occasion, deux combattants qui passent leur temps à discuter de manière évidente, des spots téléphonés en pagaille, et un finish plat. Un main event inégal, donc, avec des moments sympas, et d'autres moins.

- Les McMahons se pointent, et prennent la pose.



Un PPV d'un seul match, donc, rempli d'affrontements dignes de Raw (= pas mauvais, mais affreusement prévisibles et anecdotiques), et avec un main event qui, s'il a réussi à éviter le surbooking (mais attendons le Raw de Lundi pour se prononcer là-dessus), s'est avéré assez moyennement convaincant, avec le champion le moins intéressant du monde à la tête de la compagnie. Mouais.

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 20 - Maman, c'est le hold-up de Noël ! (2012) & Le Bonheur au Pied du Sapin (2013)

Publié le 16 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse, Télévision, ABC Family, Hallmark, Romance

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Maman, c'est le hold-up de Noël ! (Home Alone 5 - The Holiday Heist) :

Trois cambrioleurs tentent de dérober un tableau inestimable se trouvant dans une vieille maison hantée du Maine, dans laquelle la famille Baxter vient d'emménager...

Une production ABC Family récente, avec Crabman de My Name Is Earl, Malcolm McDowell et Debi Mazar dans le rôle des criminels pas si méchants que ça (ils ne veulent qu'un tableau n'appartenant pas aux Baxter), et Jodelle Ferland dans celui de la grande soeur de Finn, le héros.

Un héros qui est un peu plus moderne et malin que ses prédécesseurs, mais une histoire qui met un temps fou à se mettre en place, et n'est jamais très intéressante, mêlant histoire de (faux) fantôme à tout le reste.

Gros bof, donc, mais c'est toujours moins détestable que le précédent volet.

2/6

Le Bonheur au Pied du Sapin (Fir Crazy) :

Après avoir grandi sur une exploitation de sapins de Noël, la businesswoman Elise fait tout pour éviter les fêtes. Mais lorsqu'elle perd son emploi et son petit ami, elle est contrainte de passer l'hiver à vendre des sapins dans la rue pour le compte de ses parents en difficulté financière...

Un téléfilm Hallmark malheureusement un peu trop premier degré et axé romance. D'autant plus dommage que Sarah Lancaster fait une héroïne assez sympathique... mais ça s'arrête là.

2.5/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 19 - Maman, je m'occupe des méchants ! (1997) & Maman, je suis seul contre tous ! (2002)

Publié le 15 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Comédie, Jeunesse, Télévision, ABC

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Maman, je m'occupe des méchants ! (Home Alone 3) :

Une puce électronique contenant les instructions de vol de missiles nord-coréens finit dans la télécommande d'une voiture électrique d'un jeune garçon, et quatre criminels internationaux tentent de la récupérer...

John Hughes continue à cachetonner, en pilotage semi-automatique avec ce troisième épisode mâtiné d'espionnage, dirigé de manière assez plate par Raja Gosnell.

Et comme en plus il y a un perroquet agaçant, un sbire de Zimmer à la musique, que les quatre criminels sont transparents et génériques au possible, et que ça ne se déroule même pas à Noël, ça devient rapidement un calvaire à regarder.

1.25/6 (pour Scarlett Johansson toute jeune) 

Maman, je suis seul contre tous ! (Home Alone 4) :

Rien ne va plus chez les McAllister : les parents divorcent, et Kevin passe Noël chez la future belle-mère richissime, qui doit accueillir à cette occasion une famille royale...

Que faire quand on a épuisé une franchise ? On la reboote avec une nouvelle distribution. Malheureusement.

Et quand on est ABC, on n'investit bien sûr pas un rond dans le projet : acteurs transparents et au rabais pour reprendre/corrompre les rôles du film original (Kevin est presque plus jeune que dans le Maman, j'ai raté l'avion original, et est ici un mioche insupportable ; le message anti-divorce est assez discutable : la belle-mère, qui n'a comme défaut que d'être riche, et de ne pas être la mère de famille, finit par être rejetée par tout le monde à la fin du film, d'une façon moralement abjecte), scénariste & réalisateur quelconques (l'abus de caméra portée donne un cachet affreusement télévisé au tout), musique faite au synthé Bontempi, etc.

On se retrouve donc devant un ersatz de la saga ciné, sans une once du charme de celle-ci, puisqu'on est plus dans Richie Rich contre les cambrioleurs que dans un Home Alone (d'ailleurs, Kevin n'est jamais seul à la maison, dans cet opus). Le seul bon point du métrage, au final, est la bonne idée d'avoir choisi French Stewart et Missi Pyle dans le rôle des cambrioleurs.

Au moins, eux sont sympathiques et mémorables, contrairement aux boulets du troisième épisode.

1/6

commentaires

Christmas Yulefest 2013 - 18 - Maman, j'ai raté l'avion ! (1990) & Maman, j'ai encore raté l'avion ! (1992)

Publié le 14 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Maman, j'ai raté l'avion ! (Home Alone) :

Kevin se retrouve seul à passer les fêtes de fin d'année à la maison lorsque sa famille l'y oublie avant de partir en voyage, et il doit lutter contre de menaçants cambrioleurs.

Ah, Maman, j'ai raté l'avion. Un classique. Mention spéciale à la musique de John Williams, comme toujours enchanteresse, au script de John Hughes, et à tous les personnages, mémorables malgré leur grand nombre.

5/6  

Maman, j'ai encore raté l'avion ! (Home Alone 2 - Lost In New York) :

On prend les mêmes, et on recommence, avec un Kevin perdu, comme le nom du film l'indique, à New-York.

Le problème de cette séquelle, même si elle joue avec/se moque un peu de son statut de suite-quasi-remake, c'est que ça fleure bon le pilotage automatique : John Hughes reprend exactement tous les passages obligés du premier métrage, et leur donne une vague couche de peinture (doit-on y voir un semblant de commentaire sur la répétitivité des traditions annuelles de Noël ?) ; John Williams est contraint de reprendre la majorité des thèmes et des orchestrations du film précédent, en les musclant un peu ; Chris Columbus filme tout sans passion, peinant à insuffler de l'énergie à la majorité de ses scènes de poursuite ou d'action, et reposant intégralement sur la musique pour dynamiser le tout...

Bref, à part Tim Curry et un Macauley plus à l'aise, ce Home Alone 2 s'avère une suite inutile si l'on a vu le premier épisode. Ce n'est pas désastreux, ça se regarde même très bien... mais ça reste un doublon répétitif et trop long pour son propre bien.

3/6

commentaires

Catch Review : TNA Impact (12/12/2013)

Publié le 13 Décembre 2013 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Cette semaine, Impact voit le grand retour de Feast or Fired, le gimmick controversé qui distribue des title shots et un renvoi pour le malheureux qui décroche la mauvaise valise...

- Spud à la recherche d'Aj, se perd en route.

- Angle est en colère, et exige que Roode se pointe, Roode n'est pas impressionné. Pas la meilleure promo des deux hommes, mais bon, c'était amplement suffisant pour lancer le show et mettre en place la semaine prochaine.

- Récap de la saga JPark. Park est stressé backstage.

- Bad Influence vs EY & JP. RAS, jusqu'à ce que EY décide d'exploser le front de Park, pour réveiller Abyss. Étrangement, Park couvert de sang en mode destructeur est presque plus impressionnant qu'Abyss.

- Post-match, EY met un terme à la saga de Park/Abyss, en lui disant ses quatre vérités. Enfin du mouvement sur ce front.

- EC3 est prêt à faire encore parler de lui.

- EC3 au micro, avec une heel heat conséquente, et est sur le point de défier JB dans un match épique quand Sting débarque, mécontent et sarcastique. Sting met en pièces EC3, et le défie de prendre place dans le Feast or Fired. EC3 lui tient tête, et accepte le FoF. Segment réussi, et là aussi, du mouvement.

- Spud toujours perdu en Georgie.

- Gail Kim Open Challenge. ODB se pointe, pour défier Tapa. Gail et Tapa s'en prennent à elle, et ODB est sauvée par Madison, qui fait son grand retour !!!

Posted Image

Du progrès, à nouveau !

- Spud tente d'obtenir des infos dans un bar du fin fond de Redneck Country. Spud chante une chanson. :mrgreen:

- GunnStorm toujours sur une longueur d'onde différente.

- Spud se rapproche de sa proie.

- Dixie mécontente du traitement de sa Wheel et de sa ceinture toujours aux mains d'AJ. Magnus et Hardy font de brèves promos pour promouvoir la semaine prochaine, et le match Dixieland (vidéo promo volontairement lolesque pour hyper le concept révolutionnaire d'un cage match suivi d'une échelle à grimper ^^).

- Sabin et Velvet backstage.

- Spud en mode Solid Snake du pauvre. :mrgreen:

- Anderson est motivé.

- Aries vs Sabin (w/Velvet). Sabin en fait trois tonnes avec Velvet, et le match est très bon, forcément, avec un finish très intéressant à la clef.

- Sabin et Aries se disputent backstage, et Sabin et Aries s'incrustent dans le FoF.

- Anderson attaqué par Bully pendant son entrée, avant que Bully ne récite une promo étrange, avec musique menaçante en prime.

- Feast or Fired. Un main event plutôt sympa, avec EC3 qui profite de la confusion pour voler une valise (HW title shot ?) ; les nerds qui assurent ; Zema qui récupère probablement le X-div title shot ; Aries qui domine tout le monde ; Chavo qui, je l'espère, choppe la fin de contrat ; et Gunner qui vole la valise de Storm (logiquement, le tag title shot).

- Hardy qui accepte l'invitation de Dixie... Hmmm.

Un show assez réussi, avec du mouvement sur tous les fronts, et de la mise en place de nombreuses pistes intéressantes.

commentaires
1 2 > >>