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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Halloween Septembrrrfest 2014 - 12 - Carrie, la Vengeance (Carrie - 2013) & Crawl or Die (2014)

Publié le 30 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Jeunesse, Science-Fiction, Religion

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Carrie (2013) :

Lycéenne complexée et craintive, Carrie (Chloë Grace Moretz) découvre à sa puberté qu'elle développe des pouvoirs psychokinétiques inexpliqués. Mais tandis que Carrie se prépare, contre toute attente, à assister au bal de promotion du lycée, sa mère (Julianne Moore), une fanatique religieuse dérangée, l'accuse d'être en ligue avec Satan. Sans oublier les autres étudiantes, décidées à punir la jeune fille pour son étrangeté...

Un remake du film de 1976 qui répond exactement à la définition du remake totalement inutile. Pire : ça ressemble à une photocopie délavée du De Palma, calibrée, formatée, et sans la moindre prise de risque.

Les différences entre les deux films, pourtant, ne sont pas malvenues : le développement du personnage de Julianne Moore est intéressant, en théorie, faisant évoluer cette folle hystérique vers quelque chose de plus pathétique, à savoir la victime d'un trauma, qui explique les réactions du personnage. Judy Greer est attachante en prof de sport compréhensive. Et le carnage final est sympathique à regarder, sans plus, bien que souffrant d'un abus de CGI.

Mais il y a un problème très clair avec le personnage de Carrie, un problème qui vient directement du casting de Chloë Grace Moretz : alors que Carrie, dans le film original et dans le roman, était une fille étrange, ici, dès le début, elle paraît simplement un peu timide. CGM semble trop jolie, trop forte, trop confiante dans toutes ses actions pour rendre sa transformation marquante et crédible.

Résultat, elle est souvent contrainte de surjouer la timidité ou l'autisme, quand elle ne prend tout simplement pas des faux airs de Magneto enragé, assez ridicules, dès qu'elle doit utiliser ses pouvoirs. Durant l'apocalypse finale, notamment, j'ai totalement décroché devant ses mimiques improbables et ses poses ultra-dramatiques à la limite du cabotinage...

Bref, le remake se contentant d'aligner les scènes de l'original sans tension aucune (la scène mythique du sceau de sang est ainsi totalement plombée par une absence de suspense, et par un instant replay WTF sous plusieurs angles), et avec un supporting cast transparent, on ne peut pas dire que cee film fasse de l'ombre à son modèle, ou au roman de King. Ce n'est pas vraiment mauvais, en fait, mais totalement, et absolument, inutile.

2.5/6

Crawl or Die :

Dans un futur proche, alors qu'un virus a rendu toutes les femmes infertiles, une survivante s'avère capable de tomber enceinte. Un commando d'élite est alors dépéché pour la protéger et, ensemble, ils doivent sortir d'un labyrinthe de tunnels souterrains toujours plus dangereux dans lesquel une créature sanguinaire les poursuit...

Un film au budget microscopique (quelques milliers de dollars à peine) et bourré de défauts (interprétation, montage, rythme, etc) mais tout de même honorable compte tenu des conditions de production. Il n'y a pas grand chose de plus à en dire, en vérité.

1.5/6

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 11 - Haunt (2013) & Under The Skin (2013)

Publié le 29 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Science-Fiction, Drame

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Haunt :

Malgré la réputation sinistre de leur nouvelle demeure, la famille Asher emménage dans l'ancienne maison des Morello, où sévit une force étrange et maléfique ; bien vite, des phénomènes mystérieux se produisent, et Evan (Harrison Gilbertson), le fils adolescent de la famille Asher, décide de mener l'enquête en compagnie de sa charmante voisine, Sam (Liana Liberato)...

Un film de maison hantée ultra-basique et convenu, dont on devine tous les rebondissements longtemps à l'avance, et qui donne l'impression au spectateur d'avoir déjà vu ce récit des dizaines de fois. Qui plus est, le métrage souffre un peu de nombreuses idées laissées sans explications (la petite soeur, la boîte), de dialogues assez moyens, et d'une montée en puissance faiblarde, qui donne l'impression que le récit ne démarre que dans son dernier tiers.

Bref, ce n'est pas très maîtrisé niveau écriture, ce qui peut se comprendre vue l'inexpérience relative du scénariste et du réalisateur.

Néanmoins, la facture technique assez solide du métrage, ainsi que la relation naissante entre les deux adolescents empêchent le tout de sombrer totalement, en donnant notamment au film un semblant d'intérêt, et une tonalité proche du film fantastique pour ados. M'enfin ça reste peu.

2/6

Under The Skin :

En Écosse, une séduisante inconnue (Scarlett Johansson) charme les hommes qui croisent son chemin, pour les emmener dans son antre, et les faire disparaître à jamais. Mais une rencontre inattendue va troubler cette prédatrice extraterrestre, et lui faire reconsidérer sa place dans l'univers...

Une expérience sensorielle et un exercice filmique assez fascinants et déstabilisants, qui suit donc l'éveil aux sens humains d'une extra-terrestre venue parmi nous récolter des humains.

Un métrage par moments à la limite de l'expérimental et de l'hermétisme, mais qui paradoxalement reste assez clair : certes, on ne connaîtra pas la raison exacte de la présence des aliens sur Terre, ni pourquoi ils récoltent des hommes (pour utiliser leur peau et se fondre parmi nous ?), mais le métrage est suffisamment explicite pour comprendre les tenants et aboutissants de chaque scène sans dialogues, par le seul pouvoir de l'image.

Une image d'ailleurs particulièrement travaillée, ce qui permet au film de mêler onirisme visuel avec un réalisme absolu, qui décrit de manière crue l'Écosse la plus populaire, aux accents parmi les plus incompréhensibles.

Scarlett se donne ainsi totalement à ce rôle, qui lui permet d'interpréter un personnage à l'opposé de Lucy : d'alien froide qui fait semblant d'être humaine, elle se "réchauffe" progressivement, et prend petit à petit conscience de son humanité. Ce qui ne donne pas forcément lieu à des performances inoubliables, mais plutôt à un jeu nettement plus subtil et nuancé (d'aucuns diront impassible et inexpressif, mais bon)...

Mentionnons aussi le score musical, assez hypnotique et lancinant, et son motif de la "chasse", qui est ainsi détourné lorsque la situation de l'héroïne est renversée, et qu'elle passe de prédatrice à proie...

Bref, une ambiance unique, des choix radicaux et, à mon sens, une réussite globale.

4.5/6

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Catch Review : TNA One Night Only - World Cup of Wrestling II (12/04/2014)

Publié le 28 Septembre 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Le problème avec un PPV que l'on appelle "World Cup", c'est que l'on s'attend forcément à ce qu'il y ait des lutteurs étrangers, comme l'année dernière... malheureusement, en 2014, ce n'est pas le cas.

- Draft un peu longuet (23 minutes !) pour la constitution des quatre équipes.

- Eddie Edwards (Team EY) vs James Storm (Team Roode). Match solide et inédit. Commentaires désastreux de Taz & Tenay, par contre.

- Team EC3 au micro, amusant. Ce genre de segment aurait amplement suffi à présenter chaque équipe, en lieu et place de toute l'intro.

- Gail Kim (Team EC3) vs Maddie (Team Angle). L'Impact Zone siffle Madison et encourage Gail... normal, quoi. *soupir* Sinon, RAS de particulier, un match honorable mais un peu routinier entre les deux femmes.

- Promo motivée de Roode.

- Bromans (Team EC3) vs Anderson & Sanada (Team Angle). Intro d'Andersonada sympatoche. Un comedy match inoffensif, avec quelques moments sincèrement amusants.

- EY content d'affronter Roode.

- Roode (Team Roode) vs EY (Team EY). Forcément un match réussi, entre deux hommes qui se connaissent par coeur, et forcément un public et des commentateurs dissipés.

- Angle veut se venger d'EC3.

- Kurt Angle (Team Angle) vs Magnus (Team EC3). Ec3 esquive le match, et dépèche Magnus pour l'affrontement. Commentateurs plus concentrés, mais match routinier, RAS.

- ODB (Team EY) vs A-Love (Team Roode). Commentateurs de nouveau dissipés, pour un match tranquille, avec de la comédie pas très fine au milieu.

- EC3 (Team EC3) vs Davey Richards (Team Angle). Bon match, inédit, avec un EC3 qui a enfin un match compétitif et sans gimmick. À noter les deux fangirls d'EC3, au premier rang, assez déchaînées. :p

- Samuel Shaw & Kenny King (Team Roode) vs Gunner & Bully (Team EY).Tag match un peu bordélique mais pas désagréable.

- Team EC3 vs Team EY, Elimination tag. Un peu pareil : bordélique, mais pas désagréable.


Au final, un ONO tout simplement oubliable. Pas mal de matches quelconques, un manque d'ampleur certain (pas d'équipes étrangères = pas de World Cup), et hormis les matches des Wolves, le tout était très anecdotique.

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 10 - Cabin Fever 3 : Patient Zero (2014) & Quicksilver Highway (1997)

Publié le 27 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Comédie, Anthologie

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Cabin Fever 3 - Patient Zero :

Occupant une île perdue, des savants font des tests sur Porter (Sean Astin), l'unique humain à être immunisé contre le virus mangeur de chair de la saga ; mais une bande de jeunes fêtards débarque bientôt sur l'îlot, et ils sont rapidement contaminés à leur tour...

Je ne garde qu'un souvenir très vague du premier Cabin Fever, et j'ai totalement oublié le second volet, donc... autant dire que je n'ai pas abordé ce troisième opus avec beaucoup d'espoir. Et grand bien m'en a pris, puisque ce CF 3 est particulièrement mauvais.

Au début, je me suis dit "tiens, des plans au ralenti, pas trop mal filmés, avec Sean Astin, c'est intriguant"... mais très rapidement, on se retrouve avec une bande de protagonistes cons et insupportables, pas très bien interprétés, et mis en images de manière assez plate et balourde, avec de gros effets patauds (et une lumière rouge particulièrement agaçante).

Le scénario finit même par virer au zombie movie, et hormis quelques maquillages réussis (notamment durant le catfight sur la plage), le tout finit par être lassant, et par tuer le moindre intérêt. Quant au rebondissement final, avec flashbacks à la clef... mwé, mieux vaut oublier très vite, tant il n'apporte rien. Comme l'intégralité de cet épisode, en fait, qui n'est qu'une exploitation facile et peu inspirée de la marque "Cabin Fever", pour en faire quelque chose qui n'est que relié de très très loin au film original.

1/6

Quicksilver Highway :

Aaron Quicksilver (Christopher Lloyd) est un voyageur excentrique qui aime raconter des histoires macabres aux gens qu'il croise : il commence ainsi par raconter l'histoire du Dentier Claqueur à une jeune mariée qui fait de l'autostop, puis il narre l'histoire du Corps Politique à un pickpocket...

Un téléfilm de Mick Garris (forcément) qui adapte les nouvelles Le Dentier Claqueur de Stephen King et Le Corps Politique de Clive Barker, pour un résultat (forcément - bis) plat et insipide, comme d'habitude.

Ça lorgne très fortement sur le style Contes de la Crypte, avec un Christopher Lloyd qui cabotine affreusement dans le rôle d'un simili-Crypt Keeper, mais le ton général du métrage est encore moins effrayant et tendu que la Crypte. Pire, le tout reste affreusement téléphoné et prévisible, ce que la Crypte n'était que rarement.

On a ainsi un premier segment hautement téléphoné au personnage principal assez antipathique, dont le sort nous est indifférent, malgré la présence de Silas Weir Mitchell en autostoppeur sanguinaire (1.25/6) ; quand au second segment, il pousse la nouvelle de Barker dans ses retranchements, lance Matt Frewer dans un numéro digne d'Evil Dead 2, et fait sombrer le tout dans une pantalonnade distrayante, mais improbable (3.25/6)

Bref, on ne retient rien de cette adaptation... comme c'est le cas pour la majorité des adaptations de Stephen King par Garris, malheureusement.

2.25/6

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 09 - Vampire University (Vamp U - 2013) & Le Silence des Ombres (Six Souls/Shelter - 2010)

Publié le 26 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Comédie, Jeunesse, Thriller

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Vamp U/Vampire University :

Wayne Gretzky (Adam Johnson) est un vampire qui a perdu goût à la vie après avoir tué, sans le vouloir, sa chère et tendre, il y a plus de 300 ans. Depuis, déprimé, impuissant, incapable et inoffensif, il se nourrit de sang animal, est incapable de sortir ses crocs, se rend régulièrement chez un collègue psychiatre, et enseigne l'Histoire dans une université. Jusqu'à ce que la réincarnation apparente de sa bien-aimée (Julie Gonzalo) s'inscrive dans sa fac, et réveille par là-même ses pulsions incontrôlables...

Une campus comedy assez quelconque, malgré son évident décalage, et sa distribution improbable (Gonzalo est sympathique, Alexis Knapp idem, Gary Cole en fait trois tonnes, et le lead est assez intéressant). Malheureusement, le tout s'éparpille notablement, partant dans plein de directions à la fois et manquant de rythme, et n'est pas forcément aidé par le double emploi de Gonzalo dans le rôle de la mère et de la fille qui, une fois la vampirification de cette dernière effectuée, se ressemblent trop pour que le spectateur fasse immédiatement la distinction à l'image.

1.75/6

Le Silence des Ombres (Six Souls, aka Shelter) :

Veuve et sceptique convaincue, le Dr. Cara Harding (Julianne Moore) est une psychiatre engoncée dans ses certitudes. Jusqu'au jour où son père lui présente Adam (Jonathan Rhys Meyers), un patient souffrant de personnalités multiples ayant toutes en commun d'avoir été victimes de meurtre IRL. Cara décide alors de mener l'enquête, alors même qu'une étrange épidémie se propage autour d'elle...

Un thriller mollasson écrit par le scénariste d'Identité, et qui en reprend certaines ficelles, à la sauce sorcellerie de bazar.

Alors oui, le rendu à l'image est assez convaincant (bien que le film soit assez basique dans sa réalisation), et le métrage est bien interprété, mais le script est assez mal construit et rythmé, avec beaucoup de zones d'ombre et de raccourcis faciles, qui plombent rapidement le tout.

Ajoutez à cela des bruitages souvent exagérés, et on se retrouve avec un film vite oubliable, qui se suit d'un oeil distrait, uniquement parce que la distribution est sympathique, et parce que ça ne part pas forcément dans la direction à laquelle on s'attend.

2.25/6

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Catch Review : TNA Impact (24/09/2014)

Publié le 25 Septembre 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

No Surrender 2014, la semaine dernière, était un succès ; et avec son momentum, face à une WWE dont Night of Champions et le Raw suivant ont profondément déçu, la TNA est en bonne voie...

- Cette semaine, un tournoi spécial, pour conclure les tapings new-yorkais, avec à la clef un title shot pour n'importe quelle ceinture, n'importe quand.

- Vidéo promo sur MVP.

- Vidéo promo sur Low Ki.

- MVP vs Low Ki. Une opposition de styles assez intéressante, je dois dire, avec un match plus posé que d'habitude pour Ki, mais pas moins efficace.

- Robbie E se vante de ses relations avec Velvet & Brooke, pendant que les autres Bromans lui expliquent comment fonctionne le monde de la télévision. :mrgreen:

- Petit homage à Eric The Actor.

- Récap du feud en cours dans la Tag Div (on sent que c'était l'ultime taping à NYC, et qu'ils ont besoin de meubler un peu pour remplir les 82 minutes).

- Robbie E vs Tajiri. Un petit match tranquille, sans réelle surprise quant au gagnant, qui en a encore à revendre, ça fait plaisir.

- Spud n'est pas brouillé avec EC3. Non, non.

- Aries vs Knux. Bon match (avec un petit duel de mouvements entre les deux hommes) qui prouve au passage que Knux a aussi sa place sur le roster.

- Magnus vs Anderson. RAS. Un match standard entre les deux hommes. Magnus a vraiment atteint un plateau dans son évolution de catcheur, et s'il veut progresser, il a intérêt à sortir de sa zone de confort...

- Récap de la carrière de la Team 3D, pour le HOF.

- Récap de la soirée (ça meuble, ça meuble).

- Vidéo promo sur Havok.

- Abyss vs Shaw. À nouveau un match honorable, un peu moyen et pépère (comme tous les matches normaux d'Abyss ces temps-ci), et auquel le public distrait n'a pas vraiment prêté attention.

- 5-way NYC Gold Rush Finals. Un long match assez solide, et au résultat satisfaisant, malgré un public épuisé.


 

Un show clairement là pour faire la liaison entre les deux sessions d'enregistrements, et qui par conséquent relevait presque d'un One Night Only, avec très peu de storylines, et beaucoup de matches indépendants... mais ces matches étaient pour la plupart convaincants, assez divertissants et rythmés, ce qui est amplement suffisant pour me satisfaire. Un Impact relativement anecdotique dans l'absolu, niveau intrigues, mais pas détestable pour autant, donc.

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 08 - The Baby (Devil's Due - 2014)

Publié le 24 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Thriller, Found Footage

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

The Baby/Devil's Due :

Après avoir mystérieusement tout oublié d'une nuit entière de leur lune de miel en République Dominicaine, Zach (Zach Gilford) et Samantha McCall (Allison Miller) doivent faire face à la grossesse inattendue de cette dernière, une grossesse aux conséquences particulièrement sinistres et démoniaques...

Deux des membres du collectif Radio Silence, déjà à l'origine d'un segment de V/H/S, sont à la réalisation de ce found footage sans le moindre intérêt, tant il repompe sans le moindre scrupule Rosemary's Baby & autres films du même genre, ainsi que tous les clichés des films à la Paranormal Activity ou Chronicle, sans apporter la moindre idée originale ou le moindre concept justifiant l'existence de ce métrage (ou l'emploi du format found footage).

On a donc droit à un énième film du genre, plat, terne, mollasson, sans intérêt intrinsèque (hormis le capital sympathie d'Allison Miller, ultra-attachante et naturelle), et qui en plus a recours au gros cliché pataud des "touristes américains WASPs en vacances victimes de maychants étrangers à la peau basanée". Et quand ça se réveille un peu, à la toute fin, il est trop tard pour sauver le tout...

Bref, 1.5/6 (dont un point pour A. Miller, et le reste pour les cinq/dix dernières minutes)

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 07 - All Cheerleaders Die (2013)

Publié le 23 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Comédie, Jeunesse

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

All Cheerleaders Die :

Dès la mort d'Alexis (Felisha Cooper), une cheerleader, son petit ami Terry (Tom Williamson) la remplace par Tracy (Brooke Butler). Mais Maddy (Caitlin Stasey), l'amie d'enfance d'Alexis, ne l'entend pas de cette oreille : bien décidée à venger Alexis, elle intègre l'équipe de cheerleaders du lycée pour y semer la zizanie, et commence par séduire Tracy. Mais c'est sans compter sur l'ex de Maddy, une gothique adepte de sorcellerie, qui voit ce plan d'un mauvais oeil... et quand les cheerleaders décèdent dans un accident de voiture, les voilà qui reviennent à la vie, réanimées par un sort étrange. Désormais assoiffées de sang et de vengeance, les pom-pom girls se tournent alors vers l'équipe de football du lycée...

Je suis toujours très prudent avec les films de Lucky McKee, qui ont tendance à toujours recourir à des ficelles et des thématiques assez similaires : on retrouve toujours une lesbienne, souvent goth et complexée, on retrouve toujours une sorte d'affirmation du girl power par le gore et le surnaturel, on retrouve toujours un propos quasi-féministe, et un point de vue toujours décalé... mais plus souvent qu'à leur tour, je trouve les films de McKee inaboutis, tant dans leur propos que dans leur forme.

Et là, c'est pire, puisque non seulement les clichés McKee habituels sont présents, mais en prime, on se retrouve devant un remake d'un film co-réalisé par McKee à la sortie de ses études. Et qui dit co-réalisation dit aussi film totalement bancal, qui hésite entre comédie, horreur et... euh... satire de teen movie (?) et échoue à convaincre sur tous les plans.

Les personnages sont tous insupportables, l'illustration musicale idem, la structure et le rythme sont particulièrement bancals et creux (premier tiers = teen movie à se pendre ; second tiers = surnaturel un peu plus intéressant ; troisième tiers = un grand nawak bordélique et hystérique), et de scène en scène, le film change arbitrairement de genre, achevant d'épuiser la patience du spectateur déjà fatigué.

J'avoue, je n'ai pas du tout aimé ce film sans direction, sans cohérence interne, et sans le moindre personnage qui ne soit pas geignard, insultant ou abruti. Quant à un éventuel propos féministe ou satirique... disons que les innombrables plans racoleurs suffisent pour annihiler cette idée.

0.5/6

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Catch Review : WWE Night of Champions 2014 (21/09/2014)

Publié le 22 Septembre 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Cinéma, Télévision, WWE

Summerslam était un PPV à l'action assez solide de bout en bout, mais au booking assez médiocre. Night of Champions, lui, part déjà avec un handicap : une carte particulièrement peu engageante...

- Christian, pour un segment talk-show sans intérêt avec Y2J, dans lequel ils se disputent gentiment en se souvenant du passé et parlent de Randy Boreton. Qui intervient, forcément, et fait une promo sympatoche backstage (à laquelle Jericho répond d'un piteux "total Jackass", et avec des jeux de mots foireux sur les serpents. Ouch).

- Usos vs Gold & Stardust, tag titles. La routine : ce n'est pas mauvais, mais ça ronronne gentiment tant ces deux équipes se connaissent désormais par coeur... et le spectateur aussi.

- Placement produit Mountain Dew par Zigg & Truth.

- Cesaro vs Sheamus, US Title. Un match assez classique entre les deux hommes, avec un moment ou deux assez sympathiques, mais sinon, RAS.

- Show & Apollo Henry se motivent backstage.

- Deux musiciens country aux commentaires... arf.

- Miz w/Sandow & Zigg w/Truth, IC title. Un match prétexte (avec un finish de merde), qui donnait un peu l'impression d'être en avance rapide par moments, pendant que les commentateurs parlaient régulièrement de tout sauf du match. Et bien sûr, Sandow se fait mettre minable par les deux chanteurs. *soupir*

- Rollins dans le ring, pour proclamer sa victoire sur un Reigns à l'hosto, et lancer un open challenge, auquel répond Dean Ambrose qui arrive en taxi (et donc n'a techniquement pas pu entendre l'open challenge, laule). Mini-brawl immédiatement parasité par l'Authority. Ça sentait beaucoup le déjà vu, franchement.

- Henry vs Rusev. Les hymnes nationaux, c'est fatiguant. Surtout quand Henry chiale pendant l'hymne. Un match gentiment bourrin, mais aussi très lent et peu captivant. Mwé.

- Y2J vs Boreton. Meh. Une porte de sortie prévisible pour Y2J, RKOé par Boreton. Ce n'était pas mauvais, les deux hommes sont des pros, mais je n'ai pas été intéressé par un match de Y2J ou d'Orton depuis des années, donc...Et les commentateurs étaient, une fois de plus, souvent distraits.

- Promo quelconque de Paige.

- Promo médiocre de Brie.

- AJ vs Nikki vs Paige. Divas Title. Bah ce n'était pas mauvais. C'était lent, et les filles parlaient beaucoup entre elles, notamment au moment de la tower of doom, mais bon... ça allait.

- Cena vs Lesnar, WHW title. Le même match qu'au dernier PPV, avec un Lesnar dominant et un Cena un poil plus résistant (mais particulièrement stupide dans ses attaques)... mais cette fois-ci, il est sur le point de gagner (facepalm), quand Rollins encaisse son MITB sur Lesnar... mais n'a pas le temps de capitaliser. Un finish bien daubé pour ce PPV.

 

Un PPV... qui ne mérite qu'un bon gros soupir. Rien de plus.

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 06 - The Frankenstein Theory (2013)

Publié le 21 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Found Footage

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

The Frankenstein Theory :

Accompagné d'une équipe documentaire, le professeur Venkenheim (Kris Lemche) s'engage dans le grand nord canadien, bien décidé à prouver l'existence de la créature de Frankenstein, créée par son ancêtre il y a bien longtemps...

Un navet honteux fonctionnant sur le mode du found footage, mais qui semble avoir choisi la voix du meublage, puisqu'il ne se passe absolument rien pendant près d'une heure dix, avec un dernier quart d'heure supplémentaire en infrarouge qui n'apporte rien au film. La créature est globalement invisible, le métrage n'est jamais effrayant ou intéressant, et hormis quelques jolis paysages enneigés, on s'ennuie constamment.

0.5/6

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 05 - Pro Wrestlers vs Zombies (2014)

Publié le 20 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Comédie, Catch

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Pro-Wrestlers vs Zombies :

Le catcheur Shane Douglas tue malencontreusement un adversaire durant un match : aussitôt, le frère du défunt se tourne vers le satanisme et la nécromancie, invoquant des hordes de zombies, puis organisant un gala de catch factice pour attirer ses victimes dans un piège mortel...

Un bon gros nanard amateur et fauché, financé via Kickstarter, joué et filmé comme un mauvais porno, et qui ne parlera qu'aux amateurs de catch et de gore ; ce qui tombe bien, puisque c'est précisément mon cas. Cela dit, même en prenant ces critères en compte, ça reste une vaste pantalonnade sans grand intérêt, hormis celui, pour les catcheurs en questions, de toucher un chèque supplémentaire en fin de mois. Bref, c'est gentiment stupide, fauché et très mauvais...

0.25/6

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 04 - Life After Beth (2014)

Publié le 19 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Comédie, Romance

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Life After Beth :

Mordue par un serpent en randonnée, Beth (Aubrey Plaza) est morte, et tout le monde - parents, amis, famille, petit-ami - a fait son deuil de la jeune femme... jusqu'à ce qu'elle réapparaisse en pleine forme, mais amnésique. Très vite, il apparaît cependant que la demoiselle n'est plus totalement normale, et qu'elle regresse progressivement jusqu'à l'état de zombie agressif...

Une zombie comedy indépendante à la distribution très sympathique et efficace (Aubrey Plaza, Dane DeHaan, Anna Kendrick, John C. Reilly, Cheryl Hines, Molly Shannon, etc), mais qui malheureusement semble parfois plus préoccupée par sa métaphore centrale (sur la rupture d'un couple, et les différences croissantes entre deux exs qui se retrouvent) que par sa construction scénaristique, son rythme, ou encore son écriture. Ce n'est pas forcément mauvais en soi, c'est juste beaucoup trop inégal, pas assez maîtrisé, et ça frôle par moments l'hystérie. Dommage, parce que les acteurs se donnent à fond, et qu'il y a de bonnes idées ici ou là... mais n'est pas Edgar Wright qui veut.

3/6 

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Catch Review : TNA Impact - No Surrender 2014 (17/09/2014)

Publié le 18 Septembre 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Après une série d'Impacts tranquilles, efficaces, et portés sur l'action plus que la parlotte (et alors qu'en face, la WWE produit des Raws de plus en plus médiocres et difficiles à regarder, même pour les fans dévoués), on attaque du lourd, avec No Surrender 2014.

- #1 Contender Ko Battle Royale. Assez prévisible, mais honorable. Ça aurait pu être un peu plus dynamique, cela dit.

- Gunner tente de convaincre Shaw de fréquenter Britt, mais Shaw a quelqu'un d'autre en tête (Gunner, probablement).

- MVP & King dans le ring, pour vanner un peu Melendez, qui ne se démonte pas, et semble à l'aise au micro.

- Kenny King vs Melendez. Melendez se fait dominer, avant de voler la victoire en un mouvement, et de se faire re-démolir en post match. Anderson vient sauver Melendez...

- De la hype pour le main event.

- Anderson vient rassurer Melendez, qui est prêt à repartir à l'assaut.

- Homicide vs Joe, X-Div title. Public un peu mort par moments, mais rien de grave, et un match méthodique, mais relativement efficace. Sanada & Storm se pointent pour démolir Joe et Homicide, et ils reçoivent l'assistance de Manik 2.0 (j'aime bien le look, même si je pense que le masque devrait être un peu repensé).

- Les Wolves sont motivés.

- Roode & Young reviennent sur l'année passée.

- Wolves vs 3D vs Hardys, Ladder match. Un affrontement épique et insensé. Ce sont tous de grands malades.

- Bram vs Gunner. Du bourrinage assumé entre les deux hommes, qui y sont allés à fond dès la cloche d'ouverture. Shaw tente d'intervenir, mais ça se retourne contre lui.

- Gail n'est pas très contente de Havok.

- Roode vs Lashley, HW title match. Encore un match exceptionnel, avec deux hommes qui se donnent à fond. Admirable.


 

Un show à la première demi-heure passable, mais qui ensuite décolle sérieusement, et se finit en beauté, avec mine de rien deux MOTY potentiels en moins d'une heure.

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 03 - Animal (2014)

Publié le 17 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Animal :

Toujours la même histoire : un groupe de jeunes (Parker Young, Elizabeth Gillies, Keke Palmer, Jeremy Sumpter et Paul Iacono) partent en randonnée dans les bois, où ils sont rapidement pris en chasse par une créature intelligente et meurtrière...

Un navet improbablement stupide, qui photocopie tous les autres films du genre en enquillant les clichés éculés et les personnages en carton pâte, cache son manque chronique de suspense et de tension derrière des jump scares basiques, et s'efforce délibérément de dissimuler au maximum ses monstres, pourtant assez réussis visuellement.

Bref, un métrage (produit par Drew Barrymore) qui n'a comme unique intérêt que sa distribution sympatoche et sous-exploitée, entre Joey Laurel Adams qui cachetonne avec dix répliques, Parker Young qui montre ses abdos, Amaury Nolasco qui joue les gros durs, et le décolleté tressautant d'une Liz Gillies en short (qui a vraiment un personnage inutile et agaçant dans ce film).

1/6

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 02 - A Haunted House 2 (2014)

Publié le 16 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Halloween, Fantastique

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

A Haunted House 2 :

Un an après avoir réchappé aux événements du premier film, Malcolm Johnson (Marlon Wayans) emménage dans une ancienne maison avec sa nouvelle famille. Mais bien vite, des évènements étranges se produisent...

Pas besoin de dire grand-chose de cette suite opportuniste qui enchaîne sur le précédent opus, dont je n'ai déjà plus grand souvenir. Donc là, on continue, avec une autre famille, mixte, celle-ci, et un Marlon Wayans qui reprend son rôle en roue libre, avec au programme trois tonnes de vannes de cul, plus graveleuses les unes que les autres, et bien sûr de l'humour racial constant. Nettement en dessous du premier volet, pour ce que je m'en souviens.

1/6 (paradoxalement, c'est nettement plus mauvais que Vampire Academy, mais au moins je ne me suis pas endormi devant, donc note un poil meilleure...)

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Halloween Septembrrrfest 2014 - 01 - Vampire Academy (2014)

Publié le 15 Septembre 2014 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Fantastique, Comédie, Jeunesse

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Vampire Academy :

Après avoir tenté de s'en échapper en compagnie de sa meilleure amie Lissa (Lucy Fry), une Moroi d'extraction royale, la sarcastique demi-vampire Rose est contrainte de retourner avec elle à l'Académie, pour y continuer leur éducation...

De par les scénaristes et réalisateurs impliqués, ce métrage était supposément une fusion entre Heathers, Mean Girls, Twilight & Harry Potter, avec plus de mordant que les aventures de Bella Swan, ou que d'un roman surnaturel young adult lambda... mais en fait, le tout s'avère un film bordélique, confus, narrativement bancal, avec une structure improbable et peu claire, qui confond infodump avec world-building, et peine tout simplement à intéresser.

Et comme en plus ni la distribution des leads, ni le pseudo-sarcasme constant de l'héroïne (avec sa voix off fatigante), ni le rendu gentiment fauché du tout n'aident à faire passer la pilule... on comprend sans problème le flop absolu du projet.

0.75/6

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Catch Review : Chikara - 14x05 - The Living Daylights (19/07/2014)

Publié le 14 Septembre 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, Chikara

You Only Live Twice, le premier show de la saison, ne m'avait pas convaincu ; Quantum Of Solace, encore moins. Diamonds Are Forever, cependant, avait un peu remonté le niveau, sans s'avérer cependant très marquant. Malheureusement, Goldfinger avait ramené la compagnie sur le territoire des shows plats et sans enjeux...

- Public motivé, dans un night-club très sombre à l'éclairage bleu-nuit.

- The Batiri vs Hack & Slash vs Mr. Azerbaijan & Wild Boar of Moldova vs The Colony, 4-way Elimination tag. Match assez brouillon tant que H&S, assez peu expérimentés, sont dans le ring, et puis ça se finit, forcément, par un Batiri vs Colony tout à fait honorable... m'enfin bon, c'est une ouverture de carte pépère.

- Meublage, avec 3.0 qui vient organiser un combat de pouces entre deux spectateurs dans le ring.

- ADR Jr Juan Francisco de Coronado vs Eddie Kingston. Un remake du dernier match d'Eddie, avec Kingston qui refuse de se battre, traîne les pieds, et finit par abandonner histoire de se débarrasser du match. Mouais.

- Silver Ant vs Missile Assault Ant. Quelques moments brouillons, mais sinon, un match technique très solide, à défaut d'avoir énormément de momentum.

- Flood vs Baltic Siege & Throwbacks. Un multi-men tag bordélique, mais pas désagréable. En post-match, Thunderfrog met Tursas hors d'état de nuire d'un coup de marteau magique.

- Pieces of Hate vs Osirian Portal. Un excellent tag match très dynamique et acrobatique, mais malheureusement un peu victime de l'éclairage médiocre de la salle, qui plonge dans le noir les quatre coins du ring.

- Chuck Taylor vs Ashley Remington (et ses bimbos). Un comedy match sympatoche, sans plus (soit exactement la même chose que durant le premier show de la saison).

- Wrecking Crew vs Spectral Envoy. Un match 4 vs 4 assez tranquile et routinier. Rien de mauvais, mais rien de très marquant non plus.


 

Hormis l'exhibition technique des deux fourmis, et le tag match entre Pieces of Hate et le Portal, ce show est à nouveau un grand trou noir techniquement honorable, mais absolument peu mémorable. Ça commence à devenir une habitude, cette saison, et ça m'inquiète un peu.

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Un film, un jour (ou presque) #55 : Les Tortues Ninjas (Teenage Mutant Ninja Turtles - 2014)

Publié le 13 Septembre 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Action, Aventure, Fantastique, Science-Fiction, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Tortues Ninjas (Teenage Mutant Ninja Turtles) :

Sous la direction de Splinter, un rat mutant, et avec l'aide de la journaliste April O'Neil (Megan Fox), quatre tortues ninjas mutantes affrontent le maléfique Shredder et sa horde de sbires, surnommés le Clan des Foot...

Au vu du producteur (Bay), du réalisateur (Liebesman, incapable d'un film qui ne soit pas médiocre), de la distribution improbable (Megan Fox en April, euh... non, définitivement non ; et il va probablement en aller de même dans Ninja Turtles 2, avec Stephen Amell en Casey Jones) et des torrents de haine suscités par le film sur le web, je m'attendais à un désastre. Et puis en fait, si le film est très mal écrit, très mal monté, et souffre d'un rythme bâtard clairement résultant de remontages/réécritures arbitraires, j'ai été agréablement surpris.

Principalement parce qu'ILM a fait ici un travail admirable, voire même oscarisable, et que les Tortues sont - toute considération esthétique mise à part - formidablement réussies. Elles sont réalistes, expressives, vivantes, caractérisées, identifiables, et se marient parfaitement bien au visuel sombre qu'a voulu imposer le réalisateur.

Résultat : on oublie rapidement que ce sont des créatures numériques, et on retrouve ici ou là ce qui fait le charme de la franchise, à savoir un humour et un esprit de groupe au sein de la troupe des Tortues.

Résultat : malgré le script (qui a la profondeur d'un scénario du dessin animé, ni plus, ni moins), malgré la distribution (qui fait malgré tout de son mieux), malgré la réalisation qui abuse de dutch angles et autres grues tourbillonnantes et inutiles, le métrage fonctionne tout de même assez régulièrement, bénéficiant de ces effets numériques excellents, d'une musique satisfaisante, d'un fanservice qui n'est pas envahissant, et de Tortues finalement très attachantes.

Au final, on se retrouve avec un film plus amusant que prévu, et dont les défauts très clairs n'éclipsent pas forcément les qualités. C'est toujours ça de pris.

3.5/6

 

Critique revue et corrigée en 04/2016

 

Et sur ce, la rubrique "Un film, un jour (ou presque)" prend ses quartiers d'hiver, pour laisser la place, dès lundi prochain, à l'Oktorrorfest 2014, puis, à partir de mi-Novembre, à la Yulefest 2014. Retour prévu de "Un film, un jour..." début 2015...

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Un film, un jour (ou presque) #54 : The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un Héros (The Amazing Spider-Man 2 - 2014)

Publié le 12 Septembre 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Action, Comédie, Fantastique, Science-Fiction

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un Héros (The Amazing Spider-Man 2) :

Après avoir vaincu le Lézard, Spider-Man (Andrew Garfield) est désormais la coqueluche de New York, et tente de concilier vie privée et vie de superhéros avec la belle Gwen Stacy (Emma Stone). Une tâche d'autant plus compliquée que le voilà désormais confronté à Electro (Jamie Foxx), que son ami d'enfance Harry Osborn (Dane DeHaan) revient en ville, malade, et que le passé de son père le hante toujours autant...

Ce film est assez problématique... d'un côté, ça fonctionne, Spidey est fidèle à son incarnation papier, vanneur mais pas trop, les acteurs sont à l'aise, et la réal moins appliquée (dans le mauvais sens du terme) que dans le 1... et de l'autre, c'est un vrai bordel.

On oscille constamment entre Spider-Man 3 (trop de maychants, trop d'affrontements en CGI de personnages en CGI dans des environnements en CGI, le tout made in Sony et donc peu convaincant, émo-Parker plus préoccupé par ses sentiments et ses parents que par les maychants), les Batman de Joel Schumacher (Jamie Foxx ; le Docteur Kafka, énorme WTF ambulant ; Rhino malgré son temps de présence ultra-limité), et un blockbuster lambda : mal rythmé, à l'écriture pataude et transparente (le discours de promo de Gwen, qui téléphone littéralement la fin du film), au toutéliage absolument forcé et inutile (qui effectivement fait de Parker le seul être destiné à être un héros), à l'illustration musicale nettement plus agaçante à l'écran que sur cd (le thème de Spidey répété en boucle, ça va cinq minutes ; les murmures nu-metal d'Electro qui surviennent avant même qu'il ne pête un plomb, ou que Spidey ne le trahisse ; la baston finale qui se transforme en concert de musique électro-dubstep quand chaque éclair envoyé par Electro devient un accord musical de la béo), aux CGI inégaux (nan mais le Rhino, à la fin, laule) et aux personnages à la caractérisation improbable (on passera sur Parker, qui préfère voir son ami d'enfance mourir plutôt que de prendre le risque infime qu'il mute mais reste en vie ; Gwen est gentiment agaçante par moments ; les bad guys sont caricaturaux au possible).

Bref, c'est un beau bordel.

2.5/6

 

Mise à jour du 15/08/2016 :

Presque deux ans après cette première critique, j'ai redonné une chance au métrage, histoire de voir si le souvenir médiocre que j'en avais était vraiment justifié. Et finalement, je pense que je vais remonter un peu sa note.

Attention, ça ne change pas les innombrables défauts du métrage, déjà cités ci-dessus de manière à peu près aussi brouillonne que le film n'a été écrit. AS2 reste en effet un métrage qui tente d'accomplir et de condenser en 2h20 l'équivalent d'au moins trois long-métrages distincts, si ce n'est plus : la genèse du Goblin et des Sinister 7, le drame d'Electro, les mystères du père de Parker, le fantôme du père de Gwen qui hante l'esprit de Peter, la relation de Peter et de Gwen qui passe par tous les stades - amour, dispute, rupture, réconciliation, amour, deuil - en l'espace d'un film, etc.

Les thématiques intrinsèques sont là, mais comme souvent chez Kurtzman & Orci, elles sont noyées dans le chaos d'un scénario à la structure incontrôlée. Ce qui, en retour, fait que chaque moment fort, chaque point important (que ce soit la vie de couple de Parker, la transformation des méchants, la mort de Gwen, la décision de Peter de ne pas aider Harry, l'exil volontaire final de Parker, etc), est assez baclé et précipité, sans la moindre subtilité, et perd tout son poids.

D'autant plus dommage que Stone et Garfield ont, forcément, une excellente alchimie, et que ce Peter Parker/Spidey, s'il apparaît encore régulièrement comme un peu trop arrogant et sarcastique dans ses vannes, est finalement assez convaincant.

Idem pour les effets visuels : ce costume de Spidey est globalement assez réussi, et parfaitement maîtrisé par les équipes d'effets spéciaux.

Ce qui donne au personnage de Spider-man une texture et un réalisme constant, même lorsqu'il est remplacé par une doublure numérique... et aide à maintenir l'intérêt du spectateur dans un tout numérique inégal qui finit presque par remplacer à un dessin animé.

En somme, cet AS2 est trop long, baclé, brouillon, et déborde jusqu'à la gueule de notions et de scènes inutiles... et pourtant, ponctuellement, pendant dix minutes çà ou là, ça fonctionne, et on a l'impression de regarder un vrai Spider-man. Dommage qu'il faille cependant éliminer énormément de "gras" autour pour arriver à quelque chose de bon...

3/6

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Blog Update !

Publié le 11 Septembre 2014 par Lurdo dans Update, Critiques éclair, Cinéma, Review

Je re-up cette update, pour y modifier quelques points, maintenant que j'ai été contraint de changer de thème pour ce blog (die Overblog, die !) :

Juste un bref billet pour signaler qu'enfin, après bien trop longtemps, je me suis décidé à faire un semblant d'index des films, séries, etc, mentionnés et critiqués sur ce blog.

Oui, je sais, il était plus que temps que j'y attelle, et c'est donc enfin fait.

Direction la barre de menu, en haut du blog, sous l'onglet "Pages", avec au programme les PPVs de catch, les films de Noël (Christmas Yulefest), les films d'horreur (Halloween Oktorrorfest), le reste de mes critiques éclair cinéma, et enfin les bilans de Lurdo et autres critiques tv.

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Catch Review : TNA Impact (10/09/2014)

Publié le 11 Septembre 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Impact continue son petit bonhomme de chemin avec les tapings de NYC, qui touchent progressivement à leur fin. Heureusement, le show de la semaine dernière a continué la tendance de ces dernières semaines, puisque les audiences remontent dans le nouveau créneau horaire, et sont presque revenues à un niveau normal.

- Hymne national synthé-Bontempi pour le 9/11, et pour l'intro de Chris Melendez.

- Srg Chris Melendez vs Zema. Un match tranquillou, avec un Sarge qui n'en fait pas trop, alors que je l'ai vu capable de plus sur le web.

- Roode dans le ring, remercie EY, parle trente secondes, et est interrompu par la Team MLK. Petit duel de promos, avec un Roode qui hype un peu Lashley tout en précisant qu'il n'en a pas peur et qu'il va lui botter le cul. Passage à tabac, et sauvetage par Joe et EY pour mettre en place un match immédiat.

- Joe, Roode & EY. Très bon 6-men tag match.

- Brittany tente de se renseigner auprès de Gunner pour savoir si Shaw est célibataire.

- Bromans & Velvet (w/A-Love & Zema) vs Rebel, Steve & Knux (w/Freak). Knux qui fait la roue = O_o. Un tag match tranquille, amusant, et une Rebel qui s'en sort pour son premier match tv ever.

- La Team 3D est confiante.

- Angle dans le ring, arrivée de EC3, pour expliquer sa situation, et exprimer sa colère. Angle improvise un Street Match pour EC3, contre Rhyno.

- EC3 vs Rhino, Street Fight. EC3 n'a pas peur de son adversaire, et charge tête la première, dans un match volontaire et efficace.

- Melendez est content de sa prestation, et motivé backstage.

- Les KOs réunies pour savoir qui sera en couverture (Velvet), ce qui agace Angelina. Havok se pointe, et démolit Gail et Brittany, avant de repartir avec la ceinture de Gail.

- Preacher Storm, qui reformate Manik.

- Un peu de promotion croisée avec Bellator, pour le match (assez moyen et peu compétitif) de Lashley.

- Gail cherche Havok.

- Preacher Storm & Sanada vs Aries & Tajiri. Un autre bon tag match, décidément.

- Les Hardyz sont confiants.

- Brawl Gail/Havok backstage, et dans l'arêne, jusqu'à l'intervention de la sécurité, qui se fait promptement démolir par Havok.

- 3d vs Hardyz vs Wolves, Table Match. Excellent main event, digne d'un PPV.

- Les Hardyz qui bookent un ladder match pour la suite de la Tag Series.


 

Un show plutôt sympathique, avec beaucoup d'action de qualité, la KO Div qui vient de passer la seconde, et de la hype pour No Surrender.

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Un film, un jour (ou presque) #53 : Sex Tape (2014)

Publié le 10 Septembre 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Sex Tape :

Bien décidés à réveiller un peu leur vie de couple marié, Jay (Jason Segel) et Annie (Cameron Diaz) tournent une sex-tape qui, malheureusement, finit par se perdre, et est rendue publique...

Meh. Totalement trop prude pour fonctionner totalement sur le plan de la comédie graveleuse, absolument trop plat pour fonctionner sur celui de la romance ou de la comédie... et un peu comme Bad Teacher (de et avec la même équipe), c'est un concept de base & un cast sympatoches (le caméo final du porn mogul était amusant), mais avec un script quelconque, prévisible et particulièrement peu mémorable, qui donne un tout plat et amorphe. Dommage.

2/6

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Un film, un jour (ou presque) #52 : Beaucoup de Bruit pour Rien (Much Ado About Nothing - 2012)

Publié le 9 Septembre 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Drame

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Beaucoup de Bruit pour Rien (Much Ado About Nothing) :

Une adaptation moderne de la pièce de William Shakespeare, par Joss Whedon, et avec bon nombre d'acteurs habitués des oeuvres du scénariste (Amy Acker, Nathan Fillion, Alexis Denisof, Clark Gregg, Fran Kraz, etc)...

Une comédie filmée en noir et blanc (pourquoi ? Parce que Whedon est un auteur, pardi ! *soupir*) et qui suit assez fidèlement la pièce originale, en changeant quelques détails ici ou là, mais en reprenant tous les dialogues tels qu'écrits à l'époque. En l'état, c'est assez inégal : le contraste entre la langue soutenue, le noir et blanc, l'interprétation moderne, et la réalisation assez plate rend souvent le tout assez laborieux pour un spectateur peu habitué à du Shakespeare in the text. Sans compter qu'il y a un certain manque de punch dans le produit fini, avec son illustration musicale très particulière et branchée...

Je ne note pas, vu que j'ai plus ou moins décroché à plusieurs moments, même avec des sous-titres vo ou vf pour aider...

?/6

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Un film, un jour (ou presque) #51 : Prometheus (2012)

Publié le 8 Septembre 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Drame, Thriller, Science-Fiction, Fantastique, Horreur

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Prometheus :

L'équipage du Prometheus traverse l'espace et les systèmes solaires, à la recherche des origines de l'homme, et de la race des Ingénieurs, responsable de notre création...

J'avais envie de redonner une chance au métrage de Ridley Scott, mais ce n'est pas possible. Oui, c'est un film très réussi d'un point de vue visuel et technique. Oui, les acteurs sont à fond dedans. Mais malheureusement, le script est une bouse pleine de trous, mal finie, et tout droit sortie des élucubrations de Von Daniken et autres supporters d'une théorie à mi-chemin entre les Ancients Aliens et l'intelligent design nauséabond.

C'est con, c'est creux, c'est indigne des talents impliqués dans le projet, et c'est le genre de film qui m'énerve plus que de mesure.

4/6 pour le côté technique et l'interprétation - 3 points pour le scénario et certains choix aberrants (Guy Pearce, la césarienne instantanée avec récupération immédiate à la clef) + 1 pour la direction artistique = 2/6

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Catch Review : Chikara - 14x04 - Goldfinger (22/06/2014)

Publié le 6 Septembre 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, Chikara

You Only Live Twice, le premier show de la saison, ne m'avait pas convaincu ; Quantum Of Solace, encore moins. Diamonds Are Forever, cependant, avait un peu remonté le niveau, sans s'avérer cependant très marquant. Place à Goldfinger...

- Public un peu mou et stoïque.

- Odditorium vs Ac/Dc vs Throwbacks vs BDK, 4-way Elimination Tag. Un tag match assez quelconque, avec pas mal de comédie (dont la slo-mo), et rien de particulièrement mémorable.

- Ophidian vs Movado (un gros agile avec un masque). Quelques moments efficaces, mais sinon, ça ronronne sérieusement, et Movado ne fait pas grand chose.

- Jaka vs Estonian Thunderfrog. À nouveau, rien de particulier à signaler, un match assez classique, solide mais peu mémorable.

- Devastation Corp vs 3.0. Un tag match dynamique, et avec un finish sympa, mais un tout trop brouillon pour vraiment convaincre.

- Chuck Taylor vs Jervis Cottonbelly. Panne de musique d'entrée pour Jervis, et un comedy-match amusant, mais anecdotique.

- Gekido & Missile Assault Ant vs Spectral Envoy. Un affrontement par équipes assez classique, et sans enjeux particuliers.

- Eddie Kingston vs Shynron. Une exhibition de Shynron, qui place des acrobaties dans tous les sens (le 450°+180° depuis la deuxième corde = :wub:), tandis que Kingston refuse le combat, jusqu'à l'apparition de Jimmy Jacobs. Ensuite, Shynron se fait squasher. Assez bizarre d'enterrer Shynron en 25 secondes chrono.

- The Colony & The Batiri vs Jimmy Jacobs & The Flood. Un brawl général dans toute l'arène le night club, avec des paires qui tour à tour viennent un peu se battre dans le ring. Bordélique, décousu, et paradoxalement assez routinier, avec la sempiternelle séquence de l'enchaînement de finishers des dix hommes, tour à tour. Bref, pas très marquant, et même le post-match à base de Deucalion qui se pointe, et choke-breake celui de ses sbires qui a perdu le match pendant que tous les autres se prosternent était assez moyennement convaincant (le choke/breakslam manque vraiment de punch et d'impact).



Encore une fois, un show particulièrement plat et sans enjeux/direction. Il n'y avait rien de particulièrement mauvais, honnêtement, et aucun botch déplorable, mais le tout manque vraiment de sens, d'énergie dans le booking, ou d'action hors du commun. Dommage.

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