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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #hallmark catégorie

Christmas Yulefest 2024 - Santa Tell Me (2024)

Publié le 13 Décembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Noël, Yulefest, Christmas, Télévision, Hallmark, USA, Review, Fantastique

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier... 

Santa Tell Me (2024) :

Plusieurs décennies après avoir fait le souhait de trouver l'élu de son cœur dans sa lettre au Père Noël, Olivia (Erin Krakow), animatrice d'émission de rénovation de maisons, apprend qu'elle va devoir collaborer avec Chris (Daniel Lissing), un producteur de tv réalité, sur la rénovation de la maison de son enfance. Mais alors que les deux professionnels ne s'entendent pas du tout, Olivia redécouvre là sa lettre, qui lui annonce qu'elle va rencontrer son âme sœur avant Noël, et que celui-ci s'appelle Nick. Seulement voilà : Olivia rencontre successivement trois hommes appelés Nick - un riche médecin (Benjamin Ayres), un séduisant menuisier (Christopher Russell), et un généreux pompier (Kurt Szarka) - et ne sait lequel choisir...

Un téléfilm Hallmark très bien reçu outre-Atlantique mais qui, je dois bien l'avouer, m'a laissé une impression en demi-teinte.

J'aurais du mal à dire exactement ce qui m'a frustré : le ton général était pourtant gentiment décalé et caricatural, avec une énergie certaine dans les dialogues, les rebondissements, et les quiproquos, et les trois Nick semblaient bien s'amuser à interpréter leurs personnages clichés... mais je ne sais pas, entre le scénario totalement cousu de fil blanc du début à la fin, un certain surjeu global, une certaine vacuité au niveau des enjeux (le côté très immature et superficiel de l'écriture de l'héroïne et de sa sœur n'aide pas) et un script maladroit (nan mais la double représentativité LGBTQ/asiatique insérée au tractopelle dans une brève scène à la fin, au secours), ça m'a un peu agacé dans l'ensemble.

Ça se regarde, notamment pour le rythme et l'énergie que tout le monde y met, mais ça m'a paru finalement très anecdotique.

3/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films de Noël passés en revue sur ce blog dans le cadre de la Christmas Yulefest en cliquant directement sur ce lien (classement alphabétique), ou celui-ci (classement saisonnier)...

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Christmas Yulefest 2024 - Christmas with the Singhs (2024)

Publié le 11 Décembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Hallmark, Noël, Yulefest, Télévision, USA, Review, Christmas

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Christmas with the Singhs (2024) :

Lorsqu'ils se recroisent après 18 ans sans s'être vus, Asha Singh (Anuja Joshi), infirmière, et Jake O'Brien (Benjamin Hollingsworth), journaliste sportif, retombent immédiatement amoureux. Un an après, ils se fiancent, mais le moment vient alors de passer la semaine de Noël en famille... avec d'un côté, les Singhs, mêlant traditions indiennes et chrétiennes, et avec un patriarche strict et implacable (Manoj Sood) ; et de l'autre, les parents de Jake (Michele Scarabelli, Greg Rogers), séparés et peu conventionnels. Lorsque les deux familles se rencontrent et se cotoient, les étincelles fusent...

Une rom-com festive de la scénariste de Christmas at the Golden Dragon (qui a droit à un petit clin d'œil ici, et qui partage un même message de solidarité et de mélange des traditions et des origines), qui s'attaque ici à une variation de Mon beau-père et moi, en mode un peu plus ethnique (mais pas trop, puisque les Singhs sont chrétiens, et donc célèbrent Noël comme il est de bon ton sur Hallmark).

Et c'est à peu près tout ce qu'il y a à dire sur ce métrage, en fait : les acteurs sont sympathiques, le couple principal a une bonne alchimie et la touche de diversité est la bienvenue dans une saison où la représentativité est en net recul, mais ça s'arrête là, puisque ça reste assez convenu, assez caricatural au niveau des réactions des uns et des autres, et la production peut être parfois approximative (la neige numérique reste fixe quelque soient les mouvements de caméra, les arrière-plans tournent visiblement en boucle lors des scènes en voiture, les rouleaux de fausse neige sont évidents en extérieur, etc.)

Pas désagréable, mais sans surprises. Dommage.

3/6 

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Christmas Yulefest 2024 - Lettres magiques au Père Noël (2023)

Publié le 11 Décembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Romance, Hallmark, Critiques éclair, Noël, Yulefest, Christmas, Review, USA, Drame, Télévision

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Lettres magiques au Père Noël (Letters to Santa - 2023) :

Enrique (Rafael de la Fuente), musicien travaillant dans le restaurant familial, et son épouse Rebecca (Katie Leclerc), auteure de livres pour enfants, sont séparés depuis quatre mois. Malgré leurs séances de counseling, la situation est au point mort, jusqu'à ce que leurs deux enfants Sam (Kellen Raffaelo) et Izzy (Taylor Pezza) se voient offrir un caryon "magique" par le Père Noêl d'un magasin, avec pour promesse la réalisation de tous les souhaits qu'ils coucheront sur papier. Mais ce que les enfants ignorent, c'est que leur grand-mère Camilla (Laura Cerón) intercepte chaque soir les lettres des enfants, et que c'est elle qui fait tout son possible pour les exaucer...

Après avoir (re)découvert Katie Leclerc dans le très moyen A Very Vermont Christmas, j'ai décidé de me tourner vers le passé, pour regarder ce qu'elle a fait d'autre dans le genre des films de Noël. À commencer par ce Lettres magiques au Père Noël... un film assez bordélique et inégal, à vrai dire.

Déjà, les bons points : le fait de centrer le téléfilm sur une famille mixte latino, ça change un peu, et opter pour un couple dans la tourmente, c'est une approche intéressante. La distribution est sympathique, le petit chien adorable (du moins, avant qu'il ne disparaisse totalement du film sans raison), les personnages secondaires amusants (Liam, en mode John Oliver supposément "hot" - on va dire que c'est l'accent)... mais le reste fonctionne nettement moins bien.

En fait, il flotte autour de tout ce téléfilm Hallmark comme une impression d'approximation : la photographie est approximative, l'éclairage est approximatif, les mouvements de caméra sont approximatifs, l'écriture est très approximative (c'est le seul film de Noël ou romantique du couple de scénaristes, et ça se sent), le dosage disputes/romance est très approximatif (les personnages ont tendance à faire des 180° émotionnels assez fatigants), les quiproquos sont forcés, tout le côté "création du livre pour enfants" n'est jamais vraiment crédible et dans l'ensemble, pour une comédie romantique de Noël, ça manque un peu de comédie et de romance.

Dommage, à nouveau.

2.25/6 

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Christmas Yulefest 2024 - A Carol for Two (2024)

Publié le 10 Décembre 2024 par Lurdo dans Comédie, Cinéma, Critiques éclair, Hallmark, Musique, Christmas, Noël, Yulefest, Romance, USA, Review, Télévision

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

A Carol for Two (2024) :

Chanteuse de talent, Violette (Ginna Claire Mason) arrive à New York pour y entamer une carrière à Broadway... mais son projet tombe immédiatement à l'eau, et la voilà contrainte de prendre un job de serveuse dans un cabaret tenu par Hazel (Charlotte d'Amboise), une amie de la famille. Là, elle se heurte aussitôt à l'hostilité d'Alex (Jordan Litz), auteur-compositeur-interprète désabusé, mais leur talent respectif va les amener à se produire en duo sur scène...

Après le monde du théâtre et des acteurs, place à celui des comédies musicales et de Broadway, pour un téléfilm Hallmark musical qui a énormément plu outre-atlantique, mais qui m'a laissé totalement de marbre.

ll faut dire que même s'ils ont de jolies voix et qu'ils chantent très bien, les deux leads du téléfilm (dont Ginna Claire Mason, déjà vue dans le téléfilm sur les Rockettes et dans celui sur le marché de Noël d'Heidelberg) sont assez transparents et manquent (ici) de charisme... et pour ne rien arranger, il y a toute une sous-intrigue agaçante au possible sur le cousin magouilleur d'Alex, intrigue qui n'apporte rien de probant et fatigue plus qu'autre chose.

Alors si l'on est passionné par Broadway, qu'on adore la comédie musicale (même si là, contraintes de droits et période de l'année obligent, on ne chante que des cantiques de Noël libres de droits) ou qu'on est fan de l'un ou l'autre des acteurs, pourquoi pas...

En l'état, j'ai trouvé le tout très oubliable.

2.75/6

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Christmas Yulefest 2024 - A '90s Christmas (2024)

Publié le 9 Décembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Comédie, Fantastique, Noël, Yulefest, Christmas, Science Fiction, USA, Review, Télévision, Hallmark

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier... 

A '90s Christmas (2024) :

Excellente avocate spécialisée dans les divorces, Lucy (Eva Bourne) consacre toute sa vie à son travail, et va passer les fêtes de Noël seule dans ses dossiers. Jusqu'à ce qu'une étrange conductrice de VTC (Katherine Barrell) la transporte chez elle, en décembre 1999. Là, Lucy renoue avec Matt (Chandler Massey), son amour d'enfance, et retrouve sa mère (Kate Drummond) et sa sœur (Alex Hook), qui peinent à faire face à ce qui était alors le premier Noël depuis la mort de leur père...

Mouais. Une énième revisite moderne de Scrooge et compagnie, avec la cadre ambitieuse célibataire sur le point d'avoir une promotion et qui redécouvre le besoin d'être proche de sa famille et de trouver l'amour grâce à l'intervention d'un esprit de Noël, blablabla... 

On y a droit tous les deux ou trois ans depuis les années 80, et ici, ça ne fonctionne que très ponctuellement, la faute à une distribution qui laisse dubitatif et à une écriture faiblarde.

Le casting, déjà : une actrice principale qui a l'air d'avoir 30 ans (tout au plus) et qui doit jouer une adolescente de 19 ans et une avocate de 44 ans - avec pour seule différence, une coiffure un peu modifiée et des lunettes (clairement sans verres), ça coince un peu. Idem pour la distribution secondaire, où les mêmes acteurs sont censés faire illusion en 1999 comme en 2025... ce qui aurait pu passer si le scénario s'était donné la peine d'une brève explication à la Code Quantum (le téléspectateur voit l'acteur sous son apparence habituelle, les autres personnages voient sa version plus jeune), ou si la production avait fait un travail de maquillage et de relooking un peu poussé... mais non, même pas.

Et ce manque de soin du détail se retrouve au niveau de la production : l'environnement 90s est bien trop peu exploité (quelques posters, quelques répliques, quelques quiproquos, mais globalement, on aurait pu placer le même film en 2010), la neige artificielle est déroulée sur le sol de manière trop voyante, la continuité est approximative (la neige déroulée sur le toit de l'Uber magique, qui disparaît et réapparaît selon les scènes), les boules rouges du "gui"...

Bref, le téléfilm a beau être relativement bien interprété et repiquer ouvertement des idées à Retour vers le Futur, ça ne convainc pas vraiment. D'autant que cette sempiternelle opposition entre carrière et vie de famille (que le script tente de ménager en montrant une Lucy parvenant à concilier les deux dans sa nouvelle vie, à la fin) est assez maladroite, en plus de miser, dans le dernier tiers, sur beaucoup de platitudes psychologiques sur le deuil et la vie.

Le film semble avoir été assez apprécié outre-Atlantique, mais hormis la toute dernière ligne droite, où les choses se cristallisent enfin, je suis resté assez dubitatif, et je n'ai jamais vraiment eu l'impression que le métrage était bien abouti ou avait eu un budget suffisant.

2.75/6

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Christmas Yulefest 2024 - Holiday Mismatch (2024)

Publié le 7 Décembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Hallmark, Romance, Comédie, Noël, Yulefest, Christmas, USA, Review, Télévision

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Holiday Mismatch (2024) :

Récemment retraitée, Barbara (Beth Broderick), comptable raide et coincée, rejoint pour s'occuper le comité des fêtes de sa ville, afin d'organiser les festivités de Noël. Mais Kath (Caroline Rhea), excentrique et décomplexée, est en charge de ce comité, et le courant ne passe pas entre elles. Jusqu'à ce qu'elles apprennent que leurs enfants respectifs, Shane (Jon McLaren), comédien de théâtre, et Lauren (Maxine Denis), architecte, sortent ensemble. Les deux rivales décident alors de tout faire pour faire capoter cette union, sans réaliser que leurs enfants ne font que semblant d'être en couple pour Noël, afin de soulager un peu la pression exercée par leurs parents sur leur vie sentimentale...

Un téléfilm de Noël Hallmark clairement uniquement vendu sur la base des retrouvailles des deux tantes de Sabrina The Teenage Witch (dont je n'avais, honnêtement, pas grand chose à faire), mais qui finalement a su me séduire avec son jeune couple sympathique, attachant et décontracté.

L'histoire, en soi, n'est pas exceptionnelle : un mélange de "faux petit-ami/fausse petite amie pour les Fêtes" et de mères qui jouent les entremetteuses sur fond de rivalité au sein d'un comité des fêtes. Mais globalement, il y a ici suffisamment de bonne humeur et d'énergie pour tenir la route.

Enfin, je dis ça, mais tout le monde n'est pas au même niveau (disons que l'une des deux tantes de Sabrina s'en sort mieux que l'autre), la musique est parfois envahissante, et l'on pourra regretter une tendance, cette année, à retomber dans le casting quota le moins probant possible, avec la meilleure copine black ou asiatique qui a trois lignes de dialogues, le frère gay qui n'en a guère plus, etc. Hallmark avait un peu progressé sur ce plan, mais là, à l'image des USA dans leur ensemble, on régresse.

Après, dans l'ensemble, c'était tout de même sympatoche. Sans plus.

3.75/6 

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Christmas Yulefest 2024 - Unwrapping Christmas 2 : Mia's Prince (2024)

Publié le 6 Décembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Hallmark, Romance, Noël, Christmas, Yulefest, Review, USA, Télévision, Unwrapping

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Unwrapping Christmas 2 : Mia's Prince (2024) :

Mia (Kathryn Davis), responsable administrative de la boutique All Wrapped Up, est une incorrigible romantique qui rêve toujours de rencontrer le Prince charmant, si possible celui de son roman préféré... et lorsque Beau Cavannagh (Nathan White) visite la boutique, il est le portrait craché de l'homme de ses rêves. Mais alors qu'elle s'efforce de préparer le gala de Noël local avec ses collègues, elle se rapproche de Beau... avant de découvrir qu'il est le riche héritier d'une famille prestigieuse.

Deuxième volet de la série des Unwrapping Christmas, après un premier téléfilm assez quelconque, ce Mia's Prince n'est ni plus ni moins qu'un téléfilm royal/princier de plus, légèrement agrémenté d'une histoire de romance historique fictive qui aurait pu donner quelque chose d'intéressant mais ne sert vraiment que de garniture.

Rien de particulièrement mémorable à se mettre sous la dent, c'est assez classique (le "prince" au mariage arrangé, qui se doit de répondre aux attentes de sa famille et des médias, mais rêve de romance et et d'indépendance ; la mère distante et autoritaire ; l'héroïne rêveuse et romantique, mais effacée...), parfois un peu trop caricatural (la caractérisation de la sœur de Mia, de la mère de Beau), et le tout manque d'un certain souci du détail (Mia est allergique aux chats, sa sœur s'inscruste à l'improviste chez elle avec son chat, mais la caisse du chat, qu'elle balance à bout de bras, est clairement vide, la caméra le montre même involontairement à plusieurs reprises, et le chat disparaît totalement du film après un stock shot ou deux), mais ça se regarde, principalement parce que Kathryn Davis est toujours sympathique, que l'illustration musicale swing/big band est agréable (même si elle disparaît un peu en cours de route) et que le côté crossover (avec les trois autres téléfilms de la série) fonctionne mieux. 

En tout cas, c'est plus efficace que le premier métrage de la série.

3/6

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Christmas Yulefest 2024 - Three Wiser Men and a Boy (2024)

Publié le 4 Décembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Hallmark, Romance, Noël, Christmas, Yulefest, Review, USA, Télévision

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Three Wiser Men and a Boy (2024) :

Cinq ans après l'arrivée dans leur vie de Thomas, ce bébé un temps abandonné par sa mère Sophie (Nicole Major), la vie des trois frères Brenner a bien changé... ou presque : Luke (Andrew W. Walker), désormais capitaine de sa brigade, vit avec Sophie et le petit, mais est dépassé par ses responsabilités ; Stephan (Paul Campbell), libéré de ses névroses, est devenu thérapeute populaire, et est dans une relation sérieuse avec Susie (Fiona Vroom) ; mais Taylor (Tyler Hynes), lui... est toujours au point mort, expulsé de chez lui faute d'avoir retrouvé un emploi stable dans l'industrie videoludique. Lorsque le trio ruine malencontreusement les préparatifs du spectacle de Noël de la classe de Thomas, cependant, ils doivent unir leurs forces à celles de Caroline (Erin Karpluk) et du pasteur Roy (Christopher Shyer), qui fréquente leur mère, pour remettre le spectacle sur pieds et sauver Noël.

Suite du très sympathique Trois frères, Noël et un couffin diffusé par Hallmark en 2022, une suite pour laquelle tout le monde remet le couvert (sauf Ali Liebert, qui semble préférer travailler derrière la caméra, désormais), et qui s'avère un deuxième volet tout à fait honorable, peut-être légèrement en dessous du premier, mais toujours divertissant et léger.

Le petit garçon est adorable, les acteurs s'amusent, le spectateur aussi, avec un bootleg du Grinch plutôt bref mais rigolo, et des personnages secondaires plus développés que précédemment. On pourra regretter la sponso Balsam Hill un peu balourde, et les conflits qui arrivent en cours de route ne sont pas exceptionnels, particulièrement développés ou subtils, mais dans l'ensemble, c'est plutôt le haut du panier des téléfilms Hallmark festifs (et Karpluk est plutôt rigolote en clone féminin de Tyler Hynes).

4/6 

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Christmas Yulefest 2024 - A Very Vermont Christmas (2024)

Publié le 2 Décembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Hallmark, Romance, Noël, Christmas, Yulefest, Télévision, USA, Review

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

A Very Vermont Christmas (2024) :

Ancienne skieuse de compétition et désormais gérante du pub/micro-brasserie familiale installé dans le Vermont, Joy (Katie Leclerc) croise le chemin de Ryan (Ryan McPartlin), très mauvais skieur et spécialiste en bières : et pour cause, puisqu'il travaille pour une grande multinationale de la bière, partenaire d'un bar-brasserie rival tenu par Greg (John Forest), l'ex de Joy. Malgré ce conflit d'intérets, et à l'occasion de leçons de ski données par Joy, elle et Ryan se rapprochent, et ce dernier aide même la jeune femme à parfaire une IPA de Noël très spéciale, pour tenter de remporter un concours et réussir à sauver son établissement...

Mouais. Encore un de ces téléfilms Hallmark plus frustrants qu'autre chose, et qui gaspillent un couple principal très attachant avec un script assez... transparent.

Déjà, parce qu'ici, tout fleure bon le script générique sur les micro-brasseries, conçu pour être adapté à volonté au lieu ou à l'époque de l'année. Noël n'a pas grande incidence du tout, et en replaçant le ski par du pédalo, de la course à pied ou n'importe quelle autre discipline sportive, il serait tout à fait possible de transposer à l'identique 99 % du script à Pâques ou en automne.

Mais bon, ça, à la limite, ce n'est pas très surprenant. Plus embêtant, le fait que ce script, justement, soit aussi affreusement simpliste et manichéen (avec l'ex méchant très méchant à tête de traître fourbe), et particulièrement prévisible : ça perd rapidement en intérêt, malgré un couple principal très agréable.

Car oui, je ne connaissais pas Katie Leclerc, qui est extrèmement attachante (ou plutôt, si, je l'avais déjà vue dans Temps nuageux avec risque d'amour, en 2015, et elle tenait un petit rôle dans Holiday Breakup, en 2016, mais ça remonte tellement loin que j'avais totalement oublié le nom de la demoiselle), McPartlin est toujours efficace, et ils ont une bonne alchimie. Ce qui rend la platitude du script encore plus agaçante (il faut les voir, ces moments de dégustation où McPartlin, pourtant compétent, débite immédiatement une liste d'ingrédients et un profil olfactif de manière tout sauf naturelle et crédible).

Dommage, parce que le couple vedette, les paysages réellement enneigés et les personnages secondaires excentriques auraient pu donner quelque chose de sympathique. M'enfin bon, le métrage a été sacrifié par la chaîne en juillet, c'est souvent un signe...

2.25/6 (je vais probablement jeter un coup d'œil aux autres films de Leclerc, au cas où il y aurait quelque chose de plus convaincant à se mettre sous la dent...) 

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Christmas Yulefest 2024 - Unwrapping Christmas 1 : Tina's Miracle (2024)

Publié le 29 Novembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Hallmark, Noël, Yulefest, Christmas, Review, USA, Télévision, Unwrapping

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier... 

Unwrapping Christmas 1 : Tina's Miracle (2024) :

Tina (Natalie Hall), qui travaille dans une boutique de cadeaux et d'emballage, All Wrapped Up, tente d'organiser le gala de Noël de la ville dans une luxueuse demeure historique, lorsqu'elle apprend que le bâtiment va être vendu juste avant les festivités, pour être démoli. Elle décide aussitôt de tout faire pour sauver la bâtisse, alors même qu'elle tombe sous le charme de Michael (Alex Santos)... un riche investisseur directement lié à la destruction du manoir.

Premier téléfilm d'une série de quatre romcoms festives diffusées sur Hallmark + au mois de novembre, ce Tina's Miracle déçoit clairement, malgré une Natalie Hall habituellement sympathique et la promesse d'un toutéliage en filigrane des quatre récits.

Malheureusement, on en vient rapidement à se demander si le budget n'a pas, lui aussi, été divisé par quatre, tant ce métrage souffre vraiment de défauts flagrants, au niveau technique : la prise de son est souvent désastreuse, avec de la post-synchro mal mixée rajoutée pour combler les trous, la continuité est approximative, Natalie Hall cabotine (elle joue clairement dans un film nettement plus comique que les autres personnages), Santos est insipide et plat (surtout lorsqu'il fait sa post-synchro), la fillette paraît un peu trop âgée pour son rôle et le scénario est tout simplement bien trop banal pour intéresser sur la durée.

Bref, ça ne commence pas terrible, cette série de films.

2/6 (dont 0.25 en moins pour une énième référence pseudo-originale à Die Hard en tant que film de Noël) 

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Christmas Yulefest 2024 - The 5-year Christmas Party (2024)

Publié le 25 Novembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Noël, Yulefest, Christmas, Romance, Hallmark, Télévision, USA, Review

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

The 5-year Christmas Party (2024) :

Alice (Katie Findlay) est une dramaturge en devenir, qui rêve d'écrire de grandes pièces de théâtre ; Max (Jordan Fisher) est un acteur un peu prétentieux et très ambitieux. Ils se connaissent depuis les cours de théâtre qu'ils ont pris ensemble, mais ne se supportent pas vraiment. Et puis, au fil des années, alors que tous deux travaillent à Noël pour la même société de traiteurs à Chicago afin de financer leurs rêves de théâtre, Max et Alice vont commencer à se rapprocher...

Une romcom Hallmark frustrante, car pleine de bonnes choses (on est à mi-chemin entre Party Down et Rendez-vous à Noël), mais manquant de l'essentiel : d'une alchimie probante entre ses deux acteurs principaux.

Pourtant, le métrage est plus que sympathique : c'est assez rythmé, les dialogues fusent (un peu à la manière d'un Gilmore Girls), les personnages secondaires sont excentriques (mais pas trop), et l'écriture est plutôt compétente - pour peu que l'on fasse exception du milieu théâtral, toujours assez nombriliste dans ce genre de productions (et encore, j'ai envie de dire que ça passe, parce que le scénario ne prend pas cet aspect trop au sérieux : Max finit dans un blockbuster pourri, Alice écrit une réinterprétation de A Christmas Carol que l'on devine assez risible... et c'est voulu).

Bref, c'est frais, enjoué, et Katie Findlay, d'année en année, reste l'une des valeurs sûres de la nouvelle génération d'actrices Hallmark... mais elle n'a pas grande alchimie romantique avec Jordan Fisher. Je ne sais pas si c'est ce dernier qui manque un peu de charisme, ou si c'est parce que l'histoire ne rend jamais vraiment convaincante la composante romance du tout, mais voilà : on a parfois plus l'impression d'une relation de frère et sœur ou de meilleurs amisque d'une romance qui fait des étincelles.

Dommage, parce que tout le reste était plutôt agréable et réussi.

3.75/6 

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Christmas Yulefest 2024 - Twas the Date Before Christmas (2024)

Publié le 23 Novembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Hallmark, Romance, Noël, Christmas, Yulefest, Télévision, USA, Review

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Twas the Date Before Christmas (2024) :

Célibataire pour la première fois à Noël depuis bien longtemps, Jessie (Amy Groening) décide de jouer le tout pour le tout et de s'inscrire sur une appli de rencontres pour trouver quelqu'un pour l'accompagner dans sa famille à Noël. Bryan (Robert Buckley), promoteur immobilier, répond à l'appel, et se retrouve plongé dans une famille excentrique, aux traditions déjantées, et à l'esprit de compétition sérieusement développé...

Vraie bonne surprise que ce Twas the Date, un long-métrage ultra-dynamique et énergique (à la limite du forcé, dans la première demi-heure) qui parvient à développer des personnages et des relations crédibles, malgré une distribution assez conséquente : toute la famille de Jessie est sympathique (bémol sur les plus jeunes, qui ne sont pas forcément au même niveau que leurs aînés, point de vue interprétation), décalée, le ton global est très second degré, et surtout, la relation décontractée et nonchalante entre les deux acteurs principaux fonctionne très bien.

Hormis cette sensation de film qui force un peu le trait dans son premier tiers pour vraiment imposer son ton, et le fait que le secret de Bryan n'est vraiment là que pour apporter un conflit de dernière minute qui tire un peu à la ligne, c'est probablement mon téléfilm Hallmark préféré de la saison, jusqu'à présent.

4.25/6

(et je suis content de voir que ma prédiction de l'année dernière quant à Amy Groening s'est réalisée) 

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Christmas Yulefest 2024 - The Christmas Charade (2024)

Publié le 22 Novembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Action, Comédie, Critiques éclair, Romance, Télévision, Hallmark, Review, USA, Noël, Yulefest, Christmas, Thriller

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

The Christmas Charade (2024) :

Whitney (Rachel Skarsten), bibliothécaire coincée, se retrouve embarquée par un malheureux concours de circonstances dans une opération du FBI menée par Josh (Corey Sevier), qui tente d'arrêter un voleur d'œuvres d'art ayant pour cible un collier bientôt mis aux enchères à Noël. Contre toute attente, Josh et Whitney se font passer pour un couple, et tentent alors de se rapprocher du voleur...

Dans un premier temps, j'ai eu un peu peur : revoir Rachel Skarsten dans un pastiche de film d'action, après Une nounou au service de Sa Majesté (diffusé l'année dernière, et qui, bien qu'assez quelconque, avait connu un beau succès outre-Atlantique), ça ne me disait pas grand chose, et l'affiche générique n'aidait pas à s'intéresser au tout.

Et puis finalement, en remarquant que c'était un téléfilm écrit par l'épouse de Sevier, réalisé par ce dernier, j'ai décidé de laisser sa chance à cette Charade... bien m'en a pris, puisque le tout est une comédie d'espionnage sympatoche (ça ne casse pas trois pattes à un canard, Sevier aurait pu diminuer l'intensité de son jeu et de son personnage ronchon d'un cran ou deux, la meilleure copine de l'héroïne disparaît en cours de route, et la résolution est un peu catapultée), qui ne se prend pas trop au sérieux, et qui se regarde assez facilement. 

Amusant, sans plus. Par contre, on aurait quasiment pu transposer le tout à une autre période de l'année sans que rien ne change. 

3.75/6 

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films de Noël passés en revue sur ce blog dans le cadre de la Christmas Yulefest en cliquant directement sur ce lien (classement alphabétique), ou celui-ci (classement saisonnier)...

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Christmas Yulefest 2024 - Holiday Crashers (2024)

Publié le 21 Novembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Télévision, Hallmark, Romance, Noël, Yulefest, Christmas, Review, USA

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Holiday Crashers (2024) :

Amies d'enfance inséparables, Toni (Lyndsy Fonseca) et Bri (Daniella Monet) travaillent dans une boutique d'imprimerie où elles s'ennuient fermement... jusqu'au jour où elles décident de conserver certaines des invitations qu'elles impriment afin de s'incruster, sous de fausses identités, dans les nombreuses fêtes de fin d'année données ici ou là par leurs clients. À l'occasion de l'une de ces soirées, les deux jeunes femmes sont invitées à un séjour d'entreprise au ski par le séduisant Justin (Chris McNally), qui, au passage, recrute Toni comme conseillère juridique pour négocier un contrat... mais cette dernière, si elle est bien diplômée de droit, n'a jamais passé l'examen du barreau, et se retrouve embarquée dans un mensonge qui la dépasse.

Variation festive de Wedding Crashers, écrite par trois scénaristes (et ça se sent ponctuellement, avec des transitions abruptes, des développements un peu catapultés, etc), ce Holiday Crashers tranche gentiment avec la norme des téléfilms Hallmark de Noël grâce à son énergie, son rythme et à son duo principal, dynamique et exubérant (peut-être même un peu trop, par moment : personne ne fait dans la subtilité).

Après, sur la durée, ça s'essouffle un peu : une fois le premier tiers passé, le film s'installe au ski, dans un hôtel (toujours le même hôtel canadien, d'ailleurs, utilisé depuis 15 ans par les productions de Noël), et commence à ronronner, alors que le récit délaisse un peu le côté duo de filles qui s'amusent pour laisser place à deux romances parallèles, celle de Fonseca et d'un McNelly qui mériterait une coupe de cheveux, et celle de Monet avec Vinny (Jag Bal), un valet de parking indien.

Grâce à l'enthousiasme de Monet (et malgré les limites de Bal), la seconde fonctionne nettement mieux que la première... mais ça s'arrête là, et le scénario peine à retrouver l'énergie de son premier tiers, même lors d'un bref (mais coloré) mariage indien à la toute fin.

Reste que malgré certains défauts assez notables (il faut notamment totalement fermer les yeux sur tout le côté légal/paralégal, un véritable cauchemar d'implausibilités, d'approximations et d'éthique professionnell), ce téléfilm rajeunit un peu le style Hallmark, ce qui est précisément ce dont la chaîne a besoin : trouver une nouvelle génération d'actrices principales, pour prendre la succession de celles qui vieillissent, qui ont changé de crèmerie (GAF), ou qui se lassent de leurs rôles calibrés.

En cela, Holiday Crashers est une semi-réussite sympatoche, même si, honnêtement, elle ne restera pas forcément dans les mémoires.

3.75/6 (dont 0.25 pour Daniella, qui mérite de revenir en solo)

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Christmas Yulefest 2024 - Opération Casse-Noisettes (2024)

Publié le 18 Novembre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Hallmark, Noël, Christmas, Yulefest, Télévision, Review, USA, Fantastique

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Opération Casse-Noisettes (Operation Nutcracker - 2024) :

Organisatrice événementielle très demandée, Lottie Morgan (Ashley Newbrough) prend l'avion pour rendre visite à la riche famille Warby, afin de tenter de décrocher le contrat de l'organisation de la vente aux enchères caritative de Noël de la famille, avec pour pièce centrale un casse-noisettes à la valeur inestimable. À l'aéroport, elle croise le chemin du séduisant Tristan Warby (Christopher Russell), qui ramène justement dans ses bagages le casse-noisettes pour la vente. Mais lorsqu'un incident provoque un échange de bagages involontaire avec un tiers, Lottie et Tristan associent leurs forces pour tenter de retrouver l'antiquité...

L'un des premiers téléfilms Hallmark de la saison, diffusé en streaming au mois de juillet, cet Operation Nutcracker est une bonne surprise relative. Attention, rien d'exceptionnel, et ça finit même par ronronner un peu, mais l'écriture de ce métrage est assez ludique et a conscience des clichés du genre, qu'elle tente d'esquiver...

Elle n'y parvient pas tout à fait, et le toutéliage magique du destin (ou du Papa Noël magique qui apparaît à la fin) ne suffit pas pour justifier toutes les facilités du récit, mais dans l'ensemble, ça se regarde tranquillement, le couple principal a une bonne alchimie, le ton est assez décontracté, et il y a Ann Pirvu (déjà repérée dans The Heiress and the Handyman, qui sera critiqué en ces pages en février), au capital sympathie certain, qui donne de l'énergie aux scènes familiales des Warby.

3.5/6

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Halloween Oktorrorfest 2024 - Haunted Wedding (2024)

Publié le 30 Octobre 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Télévision, Hallmark, USA, Review, Fantastique, Halloween, Oktorrorfest

Chez les Téléphages Anonymes, de mi-septembre à début novembre, on fête Halloween et l'Oktorrorfest, un marathon quotidien de cinéma fantastique et d'horreur...   

Haunted Wedding (2024) :

Couple de chasseurs de fantômes récemment fiancés, Jane (Janel Parrish) et Brian (Dominic Sherwood) ont décidé de célébrer leur mariage dans une auberge réputée hantée. Mais sur place, ils tombent sur l'esprit tourmenté d'Angélique (Cassandra Potenza), décédée avant d'avoir pu épouser l'élu de son cœur, qui ressemble étrangement à Brian. Jalouse, Angélique entreprend alors de saboter le mariage du jeune couple, qui n'a d'autre choix que de tout faire pour apaiser l'esprit en colère avant qu'il ne soit trop tard.

Après 3 Bed, 2 Bath, 1 Ghost,  l'année dernière à la même époque, Hallmark continue de proposer un téléfilm d'Halloween avec une touche de surnaturel, proposant ici un peu de romance, un peu de fantastique, un peu d'Outlander, pour un récit sympatoche, à défaut d'être ultra-mémorable.

Janel Parrish est toujours sympathique (même si le collagène est passé par là), le cast masculin est un peu transparent (même si Sherwood s'amuse bien dans son double rôle), et le ton est suffisamment léger et décontracté pour qu'on ne s'ennuie pas.

Cela dit, le script aurait pu pousser le bouchon encore plus loin dans l'excentricité et l'énergie, ça aurait encore mieux fonctionné.

3.75 - 0.25 pour la fin en chanson, inutile = 3.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #1977 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : 3 chambres, 1 fantôme, 2 salles de bain (2023)

Publié le 24 Février 2024 par Lurdo dans Comédie, Cinéma, Télévision, Hallmark, Romance, Fantastique, USA, Canada, St Valentin

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...  

3 chambres, 1 fantôme, 2 salles de bain (3 Bed, 2 Bath, 1 Ghost - 2023) :

Agente immobilière débutante, Anna (Julie Gonzalo) récupère le dossier d'un vieux manoir abandonné, qu'elle doit réussir à vendre dans quelques semaines. Mais la bâtisse est hantée par le fantôme de la têtue Ruby (Madeleine Arthur), là depuis les années 1920, et lorsque Anna fait appel à son ex-fiancé, Elliot (Chris McNally), pour aider à rénover certains éléments du manoir, Ruby s'intéresse à ce couple séparé et tente de les réconcilier...

Une comédie romantique automnale qui m'a surpris, tant Hallmark évite habituellement de produire des récits estampillés Halloween... principalement parce qu'à cette date, ça y est, la chaîne a déjà commencé à diffuser ses films de Noël depuis plusieurs semaines.

Mais bon, on a donc une histoire de fantôme, un couple principal marié IRL, un générique plus travaillé et un budget qui semble plus important que la moyenne, pour un métrage assez classique, mais plutôt agréable, et qui change un peu, par son élément fantastique, du tout venant des téléfilms de la chaîne.

Après, ça reste un téléfilm Hallmark, avec son écriture inégale (le père d'Anna est bien trop antipathique pour son propre bien), mais c'était agréable.

3.75/6 

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Un film, un jour (ou presque) #1976 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Notes of Autumn (2023)

Publié le 23 Février 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Télévision, St Valentin, Review, USA, Musique, Hallmark

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...  

Notes of Autumn (2023) :

Ancienne pianiste ayant délaissé sa passion pour payer ses factures, Ellie (Ashley Williams) se retrouve soudain au chômage ; auteur de romans à succès, Leo (Luke Macfarlane), lui, est confronté à l'angoisse de la page blanche. Vivant chacun à l'autre bout du continent, les deux amis vont alors décider d'échanger un temps leur demeure pour se changer les idées... sans se douter que Sam (Marcus Rosner), ami de Leo, va recruter Ellie pour un concert, et que Matt (Peter Porte), chef cuisinier, va redonner l'inspiration à Leo...

Une rom-com Hallmark qui adapte le bon vieux concept de The Holiday à la saison automnale, pour un récit qui aurait cependant très bien pu se dérouler à n'importe quel moment de l'année (il suffit de remplacer le morceau de Vivaldi par une autre saison, et zou), honnêtement, et qui souffre malheureusement d'une interprétation un peu trop outrée de tout le monde, histoire de tenter d'ajouter un peu d'énergie et de peps à un récit finalement assez pépère.

Par moments, cette énergie fonctionne (les scènes imaginaires des personnages de Leo, interprétés par Kavan Smith et Pascale Hutton, qui en font trois tonnes), tout le monde a l'air de globalement bien s'amuser, et le simple fait que la co-intrigue principale soit LGBTQ-friendly est remarquable (c'était impensable il y a un an ou deux), mais dans l'ensemble, je n'ai pas plus accroché que ça au métrage, finalement assez balisé.

Un petit 3/6 (pour l'effort)

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Un film, un jour (ou presque) #1974 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : The More Love Grows (2023)

Publié le 21 Février 2024 par Lurdo dans Comédie, Critiques éclair, Télévision, Romance, Hallmark, USA, Review, St Valentin

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

The More Love Grows (2023) :

À peine leur fille Aly (Roan Curtis) déposée à l'université, Paul (Patrick Gilmore) annonce à Helen (Rachel Boston) son épouse, qu'il la quitte. De quoi laisser une Helen choquée dans le flou... jusqu'à ce qu'elle trouve un adorable petit chien perdu sur le pas de sa porte, et qu'elle rencontre Ben (Warren Christie), un séduisant vétérinaire qui décide de l'aider à devenir la maîtresse du toutou.

Un téléfilm Hallmark pas désagréable du tout, qui tente de mélanger romance, animaux attachants, et un ton plus adulte et sérieux sur un couple qui se fracture, et sur une (future) divorcée qui doit apprendre à se reconstruire sans son époux ou son enfant.

Soyons francs : ça ne marche pas totalement, principalement sur le front de la séparation et de ce qui va avec. La faute à une intro de quinze minutes qui ne prépare jamais vraiment le terrain pour la rupture sortie de nulle part, à une sous-intrigue jamais totalement probante ou utile de la fille qui glande à l'université et à une dernière ligne droite un peu maladroite, qui tente de tout boucler sans jamais verser dans la romance pure et dure.

Et puis la nouvelle meilleure amie punk rockeuse overzetop, mwébof.

Mais malgré cela, le tout se regarde plutôt bien, principalement parce que Rachel Boston est, comme toujours, très attachante, que le chien est une véritable crème, et que dans l'ensemble, ça reste suffisamment léger pour faire oublier les défauts.

3.25/6 

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Un film, un jour (ou presque) #1967 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Dating the Delaneys (2022)

Publié le 14 Février 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Hallmark, Télévision, Review, St Valentin

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

Dating the Delaneys (2022) :

Maggie Delaney (Rachel Boston), divorcée et propriétaire d'une pâtisserie, a deux enfants adolescents, Gary (Everett Andres), sportif, et Emma (Zoë Christie)... qui commence tout juste à sortir avec un élève de sa classe. La mère de Maggie, Barb (Karen Kruper), a elle aussi récemment retrouvé l'amour auprès de Rick (Barry Levy). Et pour ne rien arranger, son ex-mari (Brendon Zub) est sur le point de se remarier. Pour ne pas rester seule sur le banc de touche, Maggie décide alors de tenter l'aventure des applications de rencontre mais, pour s'y préparer, elle accepte la proposition de son ami veuf, Michael (Paul Campbell), d'avoir avec lui plusieurs "rendez-vous factices", histoire de remettre le pied à l'étrier du jeu de la séduction...

Une romcom Hallmark collégiale qui fonctionne plutôt bien et ne se prend jamais trop au sérieux, aidée en cela par l'alchimie de Boston et Campbell (déjà ensemble dans Le Dernier cœur à prendre) et par un ton globalement plus décontracté et nonchalant, notamment dans les échanges entre les deux acteurs principaux, bourrés de jeux de mots vaseux qui font glousser Boston.

C'est globalement assez rafraîchissant, donc, même si je dois bien avouer que l'intrigue de Barb et Rick est rapidement évacuée, et que celle d'Emma rend cette dernière assez antipathique (déjà que l'actrice est peu attachante...).

Mais bon, ça change un peu, dans sa forme et dans la caractérisation de son personnage principal, donc c'est plutôt sympathique, je dois dire.

3.75/6 

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Un film, un jour (ou presque) #1965 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Coup de foudre au lagon bleu (2022)

Publié le 12 Février 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Romance, Critiques éclair, Hallmark, Review, St Valentin, USA

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

Coup de foudre au lagon bleu (Groundswell - 2022) :

Après avoir quitté le restaurant de son compagnon, Garrett (Darren Darnborough), parce qu'il refusait de reconnaître son talent, Emma (Lacey Chabert), sous-cheffe, part se réfugier chez sa tante dans sa demeure hawaïenne, pour s'y changer les idées. Là, elle décide de s'essayer au surf, et requiert les services de Ben (Ektor Rivera), séduisant gérant portoricain d'une boutique d'équipement et ancien professeur de surf encore traumatisé par la mort de son épouse...

Mouais. Encore une fois, Lacey Chabert se fait payer ses vacances au soleil par Hallmark, pour un téléfilm qui peut être résumé à "effort minimal". Ou plutôt, on a parfois fortement l'impression qu'à la base, Hallmark voulait faire un film sur Puerto Rico et la cuisine locale, mais qu'au dernier moment, il y a eu relocalisation à Hawaï pour coller aux droits d'un livre dont c'est supposément l'adaptation, tant la culture hawaïenne est totalement absente, limitée à deux morceaux de musique et demi, un caméo de deux "célébrités locales", et à un unique personnage secondaire polynésien (le seul du film, avec les célébrités en question) qui apparaît dans une scène et demi et a deux lignes de dialogue...

Résultat : on se retrouve avec (comme d'habitude) Lacey Chabert experte culinaire, qui plaque son mec carriériste pour se ressourcer en famille (comme d'habitude), et croise le chemin (comme d'habitude) d'un veuf éploré "qui a arrêté de surfer à la mort de sa femme", et qui accepte de redonner des cours de surf pour les beaux yeux de Chabert (comme d'habitude).

Un veuf latino, avec un frère latino gay qui devient le gay bff de l'héroïne, et qui tient un restaurant de cuisine fusion porto-ricaine/polynésienne... Rajoutez à cela un concours culinaire façon Food Network dans lequel Chabert s'engage et triomphe (comme d'habitude), et voilà, une belle pile de clichés vus et revus, à peine sauvés par les paysages hawaïens, et par les tentatives rigolotes de la production de nous faire croire que c'est Chabert qui surfe (une doublure évidente, d'autant que le reste du temps, Chabert est filmée le plus souvent possible à hauteur d'épaule ou de taille, histoire de ne pas avoir à montrer ses hanches ou le moindre centimètre carré de peau)...

Bref, ce n'était vraiment pas terrible, cousu de fil blanc, les dialogues sont parfois laborieux (quand Chabert parle des saveurs des plats, on a l'impression qu'elle lit une critique culinaire professionnelle - personne ne parle comme ça IRL) et c'est un énième recyclage de certains 25 films précédents de Chabert pour Hallmark.

Cela dit, le couple principal est relativement sympathique, et sa relation agréable à suivre.

2.25/6 

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Un film, un jour (ou presque) #1961 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Game of Love (2023)

Publié le 8 Février 2024 par Lurdo dans Comédie, Romance, Critiques éclair, Cinéma, Hallmark, St Valentin, Review, USA, Canada, Télévision

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

Game of Love (2023) :

Conceptrice de jeu de plateau désabusée et renfrognée, Audrey (Kimberley Sustad) découvre qu'elle doit collaborer avec un consultant en marketing cool et nonchalant, Matthew (Brooks Darnell), pour créer en urgence un jeu ayant pour thème l'amour et la romance. Le duo, qui ne s'entend guère, va alors devoir apprendre à se connaître et se rapprocher pour trouver le ton juste pour leur nouveau jeu...

Mouais. Une rom-com Hallmark basique sur le fond, dont la seule véritable originalité est le milieu des jeux de plateau et des concepteurs de jeu... avec ce que ça implique de raccourcis et d'improbabilités inhérentes à tout cela : le jeu de plateau récompensé co-créé en moins d'un mois par l'héroïne et un consultant en marketing qui n'y connaît rien, on y croit à fond, surtout quand on découvre le produit fini.

Et ce problème de crédibilité s'ajoute à un couple principal finalement peu probant : Sustad et Darnell tiennent bien leur rôle, et Sustad, notamment, a toujours ce capital-sympathie qui fait qu'elle est immédiatement sympathique, mais leur relation ressemble plus à de l'amitié qu'à de la romance - il n'y a pas d'alchimie exceptionnelle dans cette relation, et la romance ne fait pas d'étincelles.

Sans oublier tout le côté Love Guru, avec de la psychoanalyse de comptoir sur la romance, l'amour, l'ouverture psychologique, et tout et tout : dans l'ensemble, la mayonnaise ne prend que très ponctuellement, et le tout paraît trop générique pour vraiment convaincre.

Après, voir les acteurs se geler dans un métrage tourné en novembre au Canada alors que le film est supposé se dérouler à Seattle (comme d'habitude), à une toute autre période, c'est toujours sympathique, et la collègue asiatique enthousiaste était amusante. Mais ça s'arrête là.

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #1959 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Always Amore (2022)

Publié le 6 Février 2024 par Lurdo dans Comédie, Télévision, Drame, Romance, Hallmark, Review, Critiques éclair, St Valentin, USA, Canada, Cinéma

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

Always Amore (2022) :

Restauratrice en difficultés financières suite au décès de son époux, chef dans le restaurant italien familial, Elizabeth (Autumn Reeser) n'a que quelques semaines pour redresser la barre, avant que son propriétaire ne vende les lieux. Elle n'a d'autre choix que d'accepter l'aide de Ben (Tyler Hynes), consultant en redressement d'entreprise, même s'il va falloir pour cela qu'elle apprenne à faire son deuil et à changer son quotidien...

Une romcom Hallmark assez classique produite par Giada de Laurentiis (avec placement produit en prime), et qui ne trouve sa place sur Hallmark Movies & Mysteries que par son côté un peu mélancolique, avec son héroïne en deuil et en difficultés financières.

À part ça, cependant, on est dans la routine habituelle des productions de la chaîne, avec une scénariste habituée du genre (ce qui n'empêche pas certains moments d'être un peu raides et mécaniques, tant dans les dialogues que dans la mise en scène), des passages obligés (compétition de chefs, quiproquo de dernière minute) qui se marient mal avec le ton plus sérieux et "adulte" du film, et un rythme pépère.

Ça laisse le temps au couple Reeser/Hynes de développer une alchimie solide (en même temps, ils sont tous les deux sympathiques), aux personnages secondaires d'exister un peu, mais au final, ça produit un téléfilm sans surprises, qui ronronne un peu.

3/6 

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Christmas Yulefest 2023 - Friends & Family Christmas (2023)

Publié le 1 Janvier 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Noël, Yulefest, Christmas, Review, USA, Romance, Hallmark

La Nouvelle année est là, et chez les Téléphages Anonymes, la Christmas Yulefest, notre marathon de cinéma festif, continue jusque début janvier... 

Friends & Family Christmas (2023) :

Jeune photographe spontanée et dévouée à son art, Daniella McCallan (Humberly Gonzalez) tente de s'extraire de l'ombre de ses parents intellectuels, et n'a vraiment pas de temps à consacrer à la romance. Amelia Kasmerec (Ali Liebert), elle, se remet à peine d'une rupture douloureuse et est promise à un promotion au sein du cabinet d'avocats de son père. Tout sépare les deux femmes, jusqu'au jour où elles se rencontrent, à l'occasion d'une blind date organisée par leurs parents respectifs. Et lorsque ceux-ci leur rendent spontanément visite pour les Fêtes, s'attendant à voir les deux femmes ensemble, Daniella et Amelia décident de jouer le jeu le temps des fêtes de fin d'année...

L'une des toutes dernières rom-com festives Hallmark de la saison, et à nouveau, une bonne surprise, avec un récit LGBTQ maîtrisé et plutôt agréable, tenant beaucoup sur l'excellente alchimie de Gonzalez et Liebert, et sur le fait que la sexualité de chacun et de chacune soit totalement normalisée, ce qui est assez rare pour être mentionné, surtout chez Hallmark.

Après, ce n'est pas parfait, l'utilisation de la chanson de Cher fait un peu tache (c'est ça le souci quand la chaîne fait un partenariat avec la chanteuse pour son album de Noël, et qu'on tente de caser ses chansons dans un maximum de films cette saison), et les dialogues sont un peu ronflants et prétentieux dès que ça parle d'art, de photographie, etc... mais c'est loin d'être rédhibitoire, et le tout est franchement assez sympathique et attachant.

4.25/6 

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Christmas Yulefest 2023 - Le Cadeau secret de Noël (2023)

Publié le 31 Décembre 2023 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Noël, Christmas, Yulefest, Hallmark, Télévision, USA, Canada, Review

Noël est derrière nous, mais chez les Téléphages Anonymes, la Christmas Yulefest, notre marathon de cinéma festif, continue jusque début janvier... 

Le Cadeau secret de Noël (The Secret Gift of Christmas - 2023) :

Personal shopper énergique au style très affirmée, Bonnie Parker (Meghan Ory) accepte un nouveau client : Patrick Armstrong (Christopher Russell), chef de chantier brut de décoffrage, veuf et père d'une fillette attachante. Elle doit acheter pour lui des cadeaux pour tous ses employés, ses clients et sa fille : de quoi inciter Bonnie à mieux le connaître et à se rapprocher...

ZzzzzzzzzzZzzzz... alors là, pour le coup, on a un peu l'impression de remonter dix ans en arrière, et de retomber dans une accumulation des pires clichés des métrages Hallmark, dont justement la chaîne tente de se défaire depuis des années.

Mais là, tout y est, pas aidé par une protagoniste influenceuse au style très discutable (c'est supposé être stylé et excentrique, ça paraît plutôt bordélique et moche), une rivale amoureuse sans le moindre intérêt (la proche de musique jalouse) et une photographie assez cheap.

Bref, pas grand intérêt, c'est en pilotage automatique total, au point de pouvoir sauter des scènes entières sans rien rater de l'intrigue et de son manque total de surprises.

2/6

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