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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Catch Review : TNA Slammiversary 2015

Publié le 30 Juin 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Depuis début mai et le retour de la compagnie dans l'Impact Zone, Impact a changé de direction, s'éloignant chaque semaine un peu plus du programme centré sur l'action du début d'année, pour retomber dans des travers plus regrettables, avec des matches moins intéressants, des départs remplacés par des vétérans qui ont déjà tout fait à la TNA, et un booking globalement chaotique et souvent improvisé, qui ne va nulle part.

Et alors que Slammiversary pouvait laisser espérer quelque chose de plus construit, voilà que les aléas du calendrier ont forcé la compagnie à déprogrammer la carte initiale, pour en improviser une nouvelle centrée autour de Jeff Jarrett, tandis que tous les matches importants sont désormais relégués à un Impact enregistré. Traduction : Slammiversary n'est plus qu'un One Night Only un peu plus prestigieux et il ne faut plus s'attendre à grand chose de surprenant.

Slammiversary 2015 :

- Une vidéo récap des 13 ans de la compagnie, qui m'a déprimé plus qu'autre chose, avec tous ces talents qui ne sont plus là.

- Public assez motivé, ça change.

- X-div Title elimination 3-way. Improvisé la veille du show, il était peu probable que l'on ait le moindre nouveau champion... m'enfin bon, un match plutôt réussi, même si les caméramen et le réalisateur galèrent toujours, avec des angles inintéressants, des zooms inutiles, des cadrages bancals ou trop serrés, des replays mal placés, etc.

- Robbie redevient sérieux.

- Promo générique de Jessie dans le ring.

- Broman vs Broman. Jolie énergie et intensité dans les premières minutes, mais rien de très mémorable ensuite, puisque le match est honnêtement trop long pour son propre bien.

- Désolé, mais je ne vois toujours pas Matt Hardy comme un main-eventer ou un #1 contender potentiel. Malheureusement, TNA n'est clairement pas d'accord avec moi.

- Bram vs Matt Morgan, Street Fight. AKA la conclusion (inutile) de la storyline (inutile) des open challenges de Bram. Un streefight/match hardcore sans enjeux... ce qui est probablement le pire type de streetfight pour moi qui ai déjà du mal avec ce style de matches. Cela dit, en soi, rien de vraiment mauvais, hormis le gros moment de flottement génant sur la fin (quand Bram cherche quelque chose sans le trouver), et le fait que Bram, comme dans tous les matches de ces open challenges, se fait beaucoup trop dominer par ses adversaires.

- EC3 "se sent comme un champion". Nan, vraiment ? :mrgreen: Bien joué, EC3.

- Aries vs Davey Richards. Techniquement l'ultime match d'Aries pour la compagnie, et les deux hommes se sont donc déchirés, avec un match épique et enthousiasmant. Bon, le finish était un peu faiblard, et la stipulation du match #5 était téléphonée au possible tant elle était logique, mais rien de bien méchant.

- EY est motivé.

- Dollhouse vs Brooke & Kong. Intro toujours surjouée et forcée des Dollhouse, y compris au micro, Brooke toujours en mode hyperactif, un match assez basique mais pas désagréable, et une Taryn qui n'est même pas entrée dans le ring de tout le match.

- Magnus pour une promo enflammée et sincère, avant ce qui est là aussi "techniquement" son dernier match.

- Magnus vs Storm, Unsanctioned Street Fight. Encore un brawl, donc :soupir: mais sinon, bel effort des deux hommes pour leur dernier match au sein de la TNA. Ça manquait de sang, cela dit.

- C'est triste, mais je m'aperçois que je me contrefous de Galloway, en fait, malgré ses promos réussies.

- Quelques minutes des employés de la TNA en train de faire le ménage. Moui.

- EC3 & Tyrus vs Anderson & Lashley. Un tag match générique, sans enjeux, et sans grand intérêt.

- Jarrett backstage (avec Karen en mode slutty vegas girl), pour une promo énergique.

- King of the Mountain 2015. 20 minutes d'un gros bordel n'ayant qu'un seul objectif, brosser l'égo de Jeff Jarrett dans le bon sens, et le forcer à accepter l'induction dans le HOF, après qu'AJ Styles ait tout simplement refusé. Finish prévisible, match forcément chaotique au possible et paradoxalement ultra-télégraphié, avec Jarrett qui passe tout son temps dans la cage mais finit par voler la victoire in extremis... les nostalgiques apprécieront, mais de mon côté, non seulement j'ai toujours détesté ce gimmick match laborieux, mais en plus j'ai eu l'impression de voir TNA se mettre à genoux pour embrasser le postérieur de Jarrett, à la façon de Vince en son temps.

 

 

Comme souvent lorsque le booking fait défaut ou ne sert à rien, ce sont les athlètes qui se déchirent pour rendre le PPV mémorable. Ici, ce n'est pas tout à fait mémorable, mais on ne peut pas nier les efforts des lutteurs, qui sortaient en plus de quatre jours d'enregistrements. Reste qu'il est très problématique que trois des quatre poids-lourds ayant pris part aux deux matches les plus réussis du show ne soient désormais plus sous contrat, et que le point central de ce PPV soit l'ancien patron et sa femme aigrie qui viennent se pavaner et gagner un match sans rien apporter en retour à la compagnie.

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Un film, un jour (ou presque) #162 : Destination Hawaï (2008)

Publié le 29 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Comédie, Romance, Thriller, Lifetime

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Destination Hawaï (Special Delivery) :

Maxine (Lisa Edelstein), une spécialiste en transport privé réputée, reçoit pour nouvelle mission l'escorte d'une adolescente de 14 ans, Alice (Brenda Song), depuis la Chine jusqu'en Amérique. Et non seulement la jeune fille est insupportable et caractérielle, mais de mystérieux assaillants s'en prennent au duo sur le chemin du retour...

Un téléfilm Lifetime qui tente d'être tant de choses à la fois qu'il finit par s'y perdre. Ça commence comme une road-trip comedy, ça continue comme un thriller, ça vire ensuite au chick flick sur les liens entre une mère divorcée qui a perdu sa fille adolescente et une adolescente rebelle qui n'a jamais connu sa mère, puis ça revient à un téléfilm romantique, puis à un drame familial, etc, le tout saupoudré d'un peu de film de Noël, parce que pourquoi pas, tant qu'on y est. ^^

Le résultat est un métrage qui manque d'homogénéité, de punch, et ne fonctionne que ponctuellement, malgré le capital sympathie d'Edelstein et de Song, toujours adorable même lorsqu'elle joue les pimbèches (London Tipton n'est pas loin, d'ailleurs). M'enfin ça se laisse regarder, et les paysages hawaïens sont ensoleillés, joyeux, et agréables (tout le contraire de l'affiche du film, donc).

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #161 : Time Lapse (2014)

Publié le 28 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Drame, Science-Fiction, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Time Lapse :

Trois colocataires, Callie (Danielle Panabaker), Finn (Matt O'Leary) et Jasper (George Finn) découvrent, chez un voisin décédé, une mystérieuse machine braquée sur leur appartement et qui, tous les jours, produit une photo du futur, 24 heures plus tard. Immédiatement, le trio commence à l'exploiter pour s'enrichir, mais lorsqu'il comprend que le futur ne peut être changé, les ennuis commençent...

Un film clairement inspiré d'un épisode de la Quatrième Dimension (avec son appareil photo prédisant le futur), et qui repose sur un paradoxe temporel et causal pas inintéressant.

Malheureusement, je dois bien dire que le film m'a progressivement perdu, jusqu'à ce que je bascule en mode totalement passif et désintéressé, à approximativement la moitié du film. La faute à un trio de personnages principaux peu attachants : l'un est un artiste torturé, l'autre un glandeur sarcastique, la troisième une fille un peu agaçante... et ensemble, ils passent tout le film à prendre les pires décisions imaginables.

Ajoutez à cela des grosses ficelles improbables (le bookmaker criminel qui travaille avec les russes et comprend instantanément que sa silhouette floue, de dos et en contre jour dans un coin d'un polaroid signifie voyage temporel !), et vous finissez avec un film qui ne parvient pas à exploiter son concept initial de manière satisfaisante, et s'avère finalement assez laborieux.

Dommage.

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #160 : Pompéi (2014)

Publié le 27 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Action, Drame, Histoire

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Pompéi (Pompeii) : 

L'histoire d'amour impossible entre Milo (Kit Harington), esclave celte devenu gladiateur, et Cassia (Emily Browning), la fille d'un riche marchant de Pompéi, alors que le Vésuve est sur le point d'entrer en éruption, et que le maléfique sénateur Corvus (Kiefer Sutherland) tente de faire sienne Cassia au plus vite. 

Un film catastrophe qui a tout du nanard, tourné par un Paul Anderson qui se prend pour Roland Emmerich.

On se retrouve donc avec un film qui commence en repompant Conan le Barbare, puis devient un clone de la série Spartacus, mâtinée de Gladiator, avant de continuer en photocopie de Titanic, entre la catastrophe inévitable, l'amour impossible entre les deux classes sociales, le fiancé rival et machiavélique, etc...

Bref, le script est insipide, la musique est insipide (et lorgne sur du sous-Zimmer), la distribution est insipide (Harington a beau faire de la musculation, il n'est pas un instant menaçant, badass ou charismatique ; Browning est ici trop maigrichonne pour être séduisante ; Sutherland nous fait Evil Jack Bauer avec un accent), les combats sont insipides (et accélérés artificiellement), les personnages sont insipides (et épais comme du papier à cigarette)...

Ne reste que l'explosion du Vésuve, spectaculaire, mais qui frôle régulièrement le too much, avec des rebondissements, des cascades et des effets improbables et irréalistes.

1.75/6 (pour les effets spéciaux)

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Un film, un jour (ou presque) #159 : The Details (2011)

Publié le 26 Juin 2015 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Drame, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

The Details :

La découverte de ratons-laveurs dans le jardin de la famille Lang va s'avérer le détonateur d'une suite d'événements improbables dans le voisinage, et dans la vie de Jeff (Tobey Maguire) & Nealy (Elizabeth Banks)...

Une comédie noire très peu convaincante, et qui agace plus qu'elle ne fonctionne, la faute à une musique excentrique très envahissante et omniprésente, et à une écriture assez quelconque. Dommage, parce que la distribution est sympathique (Laura Linney, Maguire, Banks, Liotta, Washington) bien qu'elle cabotine beaucoup.

1.5/6

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Catch Review : TNA Impact (24/06/2015)

Publié le 25 Juin 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Après quelques Impacts médiocres, la semaine dernière remontait un peu la pente, sans plus. Et cette semaine, pour une raison inexplicable, une hype énorme de dernière minute a commencé à se faire, à quelques heures de l'enregistrement du show, avec notamment des dirt sheets parlant de show historique dans l'histoire de la compagnie... restons méfiants, mais gardons espoir.

Impact du 24/06/2015 :

- EC3 confiant backstage.

- Angle dans le ring, attend son adversaire ; EC3 meuble un peu, et finit par répliquer en annonçant l'adversaire de Kurt, Matt Hardy. Mwé, pas vraiment de quoi trembler dans ses bottes.

- Low Ki vs Grado vs Tigre Uno, Elimination X-Div Title. Josh Matthews qui survend la popularité de Grado = :( ; Low Ki qui élimine Grado rapidement = :) ; pas un match formidable, mais bon au moins Grado n'a pas gagné, et Tigre est champion.

- Bram backstage, attend son prochain adversaire, et Vader (?) semble répondre à l'appel. Mwé.

- The Dollhouse se dispute backstage. Mwé. Toujours très cheap et cheesy.

- Velvet vs Angelina. Aucune surprise vue la stipulation "si Velvet gagne, elle retrouve sa place au sein du roster". Mwé. Générique et quelconque.

- Les Dirty Heels sont confiants.

- À nouveau une vidéo teaser de la nouvelle KO, qui visiblement ne fera pas d'apparition ce soir.

- MVP shoote un peu sur les dirt sheets, et est confiant (décidément).

- Dirty Heels vs Wolves, match 4 sur 5, Full Metal Mayhem. Pas mal de meublage, pour ce qui est probablement le match le plus faible de la série. Ce qui ne veut pas dire que c'était mauvais, mais simplement un peu décousu.

- Hardy s'explique.

- Jarrett dans le ring pour faire la pub de sa fédération, et annoncer qu'il va participer au King of the Mountain à Slammy = mwé. Long, larmoyant, et inutile.

- Bram vs Vader. Vader n'était pas mauvais, pour son âge et son état physique. À part ça, bof. Et Matt Morgan qui se pointe en post-match, encore moins enthousiasmant.

- EY vs Melendez. Médiocre, mais pas trop long.

- BDC et Rising se battent, Hernandez se pointe, attend maladroitement au bord du ring, et rejoint le BDC. De moins en moins motivant.

- Angle vs Matt Hardy. À peu près ce à quoi on pouvait s'attendre. Pas mauvais mais rien de forcément génial ou mémorable. Ec3 attaque Angle en post-match, mais se fait contrer.

 

Plutôt que de se tourner vers le futur, apparemment, TNA a décidé de se tourner vers le passé, avec Jarrett, Velvet, Morgan, Hernandez, Vader, les Hardyz, le KOTM. Je ne peux pas vraiment dire que cela me plaise beaucoup, d'autant que cela se fait souvent au détriment des nouveaux talents, qui voient leur temps d'antenne diminué ou servent de faire valoir.

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Un film, un jour (ou presque) #158 : Big Man Japan (2007)

Publié le 24 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Fantastique, Drame, Japon, Comédie, Documentaire, Science-Fiction

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Big Man Japan (Dai Nippon-Jin) :

Dai Sato (Hitoshi Matsumoto) est un quadragénaire paumé, au père souffrant de la maladie d'Alzheimer, et à la vie familiale en lambeaux ; pour ne rien arranger, il est capable de se transformer, avec l'aide d'un courant électrique, en humanoïde géant, qui repousse alors les invasions de monstres difformes et grotesques. Mais malgré ses actes héroïques, Sato n'est pas populaire auprès des Japonais, et il peine à répondre aux exigences de son agente...

Un mockumentaire japonais improbable, grotesque et absurde, dont le concept est clairement original, mais pas forcément totalement maîtrisé.

Par moments, en effet, le métrage délaisse son côté mockumentaire pour céder au spectaculaire et à un POV omniscient, ce qui affablit un peu la forme du récit ; de plus, le récit est tellement doux-amer et mélancolique que les ruptures de ton sont assez brutales entre le désespoir du protagoniste, et le nawak des monstres et des affrontements.

Dommage donc que le tout ne soit pas mieux rythmé et manque à ce point de cohésion et de punch, parce que sinon, on tenait là un film instantanément culte (quoique, dans le genre culte, le finish non-sensique en mode sentai fauché au symbolisme politique évident se pose là ; déjà que les effets spéciaux primitifs donnent un cachet certain au métrage dans son ensemble).

3.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #157 : Comment Tuer son Boss 2 (2014)

Publié le 23 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Comment tuer son boss 2 (Horrible Bosses 2) : 

Las de toujours devoir travailler aux ordres de quelqu'un d'autre, Nick (Jason Bateman), Dale (Charlie Day) et Kurt (Jason Sudeikis) décident de devenir leurs propres patrons, et de commercialiser une invention révolutionnaire. Celle-ci attire l'attention des Hanson, Rex (Chris Pine) et son père Bert (Christoph Waltz), qui décident cependant d'arnaquer le trio, et de mettre ce dernier sur la paille. Les trois incapables n'ont alors plus qu'une solution pour s'en sortir : kidnapper Rex en échange d'une rançon...

Aucun souvenir de l'original, et en voyant ce second film, je comprends mieux pourquoi : c'est insipide, ça confond "chaos organisé" et "bordel général et improvisé", et ça tourne clairement à vide, faisant ouvertement basculer le trio de personnages principaux du statut de "pieds nickelés maladroits" à "abrutis finis dont on se demande comment ils parviennent à rester en vie au quotidien".

Les personnages sont gueulards (Charlie Day est insupportable), insupportables (Pine semble s'amuser, cela dit), le tout est hystérique et manque de structure, bref, ça m'a plus agacé qu'autre chose (et le bêtisier est plus drôle que le film).

1/6

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Un film, un jour (ou presque) #156 : Les Aventures Extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec (2010)

Publié le 22 Juin 2015 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, France, Fantastique, Aventure, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Aventures Extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec :

Alors qu'un ptérodactyle menace Paris, Adèle Blanc-Sec (Louise Bourgoin) tente de ramener une momie égyptienne à la vie pour aider à soigner sa soeur malade...

Si je devais résumer ce film en un mot, ce serait : bancal. Allez, un autre mot : décousu.

Car c'est clairement le problème de ce métrage de Besson, et ce à tous les niveaux : c'est affreusement inégal. Les effets spéciaux sont inégaux (les momies sont réussies, le volatile nettement moins, surtout dans les plans où Adèle le chevauche), le rythme est inégal (ça oscille entre dynamique et soporifique, avec des scènes très réussies, et d'autres tout à fait inutiles), les maquillages sont inégaux (à la fois techniquement, mais aussi au niveau de leur intérêt intrinsèque : ils ne servent à rien), l'humour est inégal (globalement, ça ne fonctionne pas, sauf pour les momies), le scénario est inégal (l'intrigue du ptéro est bouclée à mi-film, et laisse place à celle des momies de manière tout à fait forcée) et l'interprétation est inégale (Bourgoin n'est pas mauvaise, mais est assez monotone et quelconque, d'autres sont meilleurs) ; ajoutez à cela une réalisation de Groluc assez passe-partout, et une narration d'ouverture en voix-off totalement inutile, et on se retrouve avec un film bâtard, jamais vraiment mauvais, mais jamais vraiment convaincant non plus.

2.75/6

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Catch Review : TNA Impact (22/05/2015)

Publié le 21 Juin 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Édition internationale d'Impact, uniquement diffusée à l'étranger la semaine du 22/05...

Impact International du 22/05/2015 :

- Le Pope fait son entrée pour s'occuper des commentaires.

- X-div 6-men elimination match - Mandrews vs Manik vs Argos vs Tigre vs Steve vs Spud. Un long et bon match, avec un Manik manipulateur, un Tigre et un Argos efficaces, et un Steve qui fait le con (mais est populaire). Très rafraîchissant.

- Récap du feud des Bromans.

- Jesse donne ce qui ressemble à une promo solide backstage, sabotée par les comms français qui se croient dans les Chevaliers du Zodiaque, la série abrégée.

- Idem pour Spud, pourtant motivé.

- Jesse très agacé et crédible dans le ring, au micro. DJ Z réplique qu'il n'est pas l'enfant d'un divorce, mais un ex-champion, alors que Jesse n'était que le boy-toy de Tara.

- Jesse vs DJ Z. Match très efficace, et jolie intensité de Jesse. Une très bonne surprise.

- Brève promo de Magnus backstage, puis dans le ring.

- Magnus vs Khoya. Les commentateurs qui partent dans un délire sur Claude François, *soupir*. Domination évidente de Magnus, Khoya qui s'en sort plutôt bien, et finish toujours faiblard de Magnus.

- Backstage, promo énervée de Bram, qui déteste tout le monde, et est doublé comme un maychant de Ken le Survivant.

- Rebel vs Marti Belle.  Marti au micro (mon dieu le doublage... le doublage !!!), du surjeu dans tous les sens, et un match laborieux (pas pire qu'un match de Velvet, cela dit), même si Rebel a des mouvements offensifs amusants, et est à l'aise en regard de son inexpérience (moins d'un an d'entraînement vs 11 ans pour Velvet). Earl qui se fait vanner par les commentateurs, ça m'amuse.

- King confiant, backstage, avec le doublage à deux doigts de virer à l'accent façon Eddie Murphy :facepalm: .

- King vs Micah, X-Division title. Pas convaincu par la présence de Micah dans un match de X-div, et le bonhomme est assez générique dans le ring. Rien de mauvais, mais oubliable.

- Roode motivé.

- Campagne électorale d'EC3. Toujours efficace.

- Bram vs Roode. Un match non-hardcore pour Bram, ça fait un bien fou à voir. Plutôt solide et assez intelligent dans son déroulement.


Un bon show, assez chargé en catch (histoire de ne pas priver les USA d'un éventuel avancement des intrigues. Les commentateurs français... euh... disons que je vais continuer à regarder en VO, hein.

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Un film, un jour (ou presque) #155 : Girlfriend (2010)

Publié le 20 Juin 2015 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Drame, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Girlfriend :

À la mort de sa mère, Evan (Evan Sneider), un jeune vingtenaire trisomique, se retrouve seul au domicile familial ; il décide alors de devenir le "petit-ami" de Candy (Shannon Woodward), une jeune divorcée paumée tiraillée entre son ex violent et colérique, et son amant marié, père de l'enfant dont elle fait payer la pension alimentaire à son ex.

Un drame indépendant constamment sur le fil du rasoir, tant il aborde des sujets sensibles et potentiellement particulièrement glauques. Et c'est probablement là qu'il faut chercher le rejet viscéral de bon nombre de critiques, qui, malgré les récompenses décernées en festival, ont descendu le métrage en flammes.

Pourtant, le film parvient à éviter bon nombre de pièges et de problèmes potentiels, en opposant à Evan des personnages multi-dimensionnels et faillibles : même Russ, le "bad guy", a une motivation très humaine, celle de connaître la paternité réelle de son enfant.

Bref, un métrage assez touchant et réussi, en ce qui me concerne, bien qu'il n'évite pas quelques facilités. En tout cas, Shannon Woodward est excellente dans son rôle constamment à fleur de peau, et Evan, lui, est parfaitement à l'aise dans le sien.

4.25/6

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Un film, un jour (ou presque) #154 : Votre Majesté (2011)

Publié le 19 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Fantastique, Aventure

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Votre Majesté (Your Highness) :

Le Prince Thadeous (Danny McBride) est un glandeur qui préfère passer son temps à fumer de la marijuana plutôt que marcher dans les pas de son frère aîné, le brave et héroïque Prince Fabious (James Franco). Lorsqu'un sorcier maléfique (Justin Theroux) enlève la promise de Fabious (Zooey Deschanel), cependant, Thadeous n'a pas d'autre choix que de prendre part à la quête de son frère, accompagné de son fidèle page (Rasmus Hardiker) et d'une aventurière aussi séduisante que coriace (Natalie Portman)...

À sa sortie, en 2011, j'étais resté assez mitigé devant ce film :

On ne peut pas dire, en voyant le métrage, avec ses créatures animatroniques, ses sfx et ses décors, bref, son apparence globale, que les 50 M de dollars du budget aient été forcément gâchés. Le film applique à la lettre la formule Pineapple Express, se présentant comme une parodie vaguement stoner, pleine de vannes de cul et d'humour bien bas de plafond, pour finir par embrasser totalement les conventions du genre parodié, et conclure (quasiment) au premier degré, avec duel sur fond de déluge d'effet spéciaux, etc...

Mais quand même : 50 millions de dollars. Là où ça coince, pour moi, c'est que le film a les mêmes problèmes que Pineapple Express : à savoir que, lorsque c'est relativement premier degré, ça fonctionne assez bien (la poursuite en calèche, les combats contre les monstres, la bataille finale pleine de sfx). Mais le tout est globalement parasité par des vannes ultra-graveleuses, une tendance à systématiquement opter pour la facilité de la vanne de cul (oh, un yoda marionnette... pédophile et pervers ; oh, un minotaure... qui se prend pour Harvey Keitel dans Bad Lieutenant et tente de se taper le page qui ne sert à rien), et un rythme défaillant (ça se déroule plutôt bien, et puis là, paf, un couloir d'au moins 10 minutes de dialogues sans intérêt, par exemple).

C'est nettement moins stoner movie que Pineapple (heureusement), même si Franco joue le premier tiers du film dans un état pas très net, à essayer de tenir son accent d'une bouche pâteuse ; le reste du cast fait son truc (comprendre que Portman est en mode jeu limité, que Theroux cabotine, que McBride fait du McBride, et que Deschanel doit avoir 10 ou 15 lignes de dialogue dans tout le film, en surjeu) ; certains choix de réals sont hasardeux, m'enfin rien de bien dommageable... et comment terminer sans mentionner le score honteux (mais paradoxalement totalement mémorable) de Jablonsky, photocopié de Transformers et de Pirates des Caraibes, ainsi que du Zimmer synthétique des années 80.

Bref, pas terrible : j'ai passé plus de temps à lever les yeux au ciel qu'à me marrer, donc 2 ou 3/6... allez, 2.5/6.

Et après avoir revu le film, je dois bien avouer que je suis fortement tenté de revoir mon avis à la hausse. Car si tous les défauts mentionnés ci-dessus sont bel et bien présents, ils s'effacent un peu une fois que l'on sait à quoi s'attendre.

Certes, tout ce qui est vannes sexuelles et graveleuses reste affreusement déplacé, et semble rajouté à l'arrache pour justifier un classement "film pour plus de 17 ans" ; certes, Franco, Deschanel et Portman se font littéralement bouffer par McBride, son page et Theroux ; et certes, en coupant 5 ou 10 minutes de dialogues, le film serait mieux équilibré... mais sous ses atours de pantalonnade décérébrée écrite sous influence narcotique, on finit par percevoir un pastiche sincère et nostalgique des films de quête, plutôt très bien maîtrisé formellement.

Donc je remonte ma note à

3.5/6 (sans l'humour graveleux et en dessous de la ceinture, ça aurait été > 4/6)

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Catch Review : TNA Impact (17/06/2015)

Publié le 18 Juin 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Après le show très mitigé d'il y a quinze jours, et un Destination X particulièrement médiocre et decevant, la semaine dernière, Impact arrive mollement à la fin de sa séance de tapings au sein de l'Impact Zone. Espérons que ça décolle enfin un peu, à moins de deux semaines de Slammiversary...

Impact 17/06/2015 :

- Bref hommage à Dusty Rhodes, ça fait toujours plaisir.

- On ouvre sur du blabla, avec la signature de contrat d'EC3/Angle. Promo sympa d'EC3, avec des références-qui-n'en-sont-pas, réplique peu impressionnée de Kurt. Kurt choisit Lashley pour affronter EC3 dans l'intervalle. Un segment pas indispensable, mais pas désagréable.

- Les Wolves viennent se plaindre des Dirty Heels, Roode répond qu'il s'en contrefout, et refuse le défi des Wolves, à moins que le gagnant ne puisse décider de la stip du match #4.

- Roode vs Eddie Edwards. Enfin un peu d'action, pour un match forcément solide, malgré une fin en queue de poisson.

- De la hype pour Bobby Lashley.

- Joseph Park backstage, prêt à se battre contre Bram. Mwé. Je suis content de revoir le personnage, et l'interprétation était bonne, mais ça sent clairement l'impro de dernière minute, puisque "Park" n'a même plus ses dents, son jogging, il n'est pas rasé, etc...

- De la hype pour Galloway.

- Bram vs Park. Park qui parvient presque a dominer Bram, euh... Pourquoi ?

- Taryn qui surjoue toujours.

- Une nouvelle KO censée débuter ? Si c'est le retour de Havok, ça risque d'être problématique niveau relations publiques, avec son scandale twitter...

- Dollhouse vs Brooke & Kong. Brawl immédiat, et match assez basique, mais finish sympa.

- Récap de Melendez vs Young.

- Melendez dans le ring, pour une bonne promo. EY intervient, explique qu'il se contrefout de Melendez, et se déchire pour tenter de faire fonctionner ce feud.

- Jessie vs Dj Z. Theme naze "ilétromaychan" pour Jessie, et un match bref, mais avec une jolie intensité de la part de Jessie, qui est énervé en post-match, et promo convaincante, jusqu'à l'intervention de Robbie. Segment efficace.

- Récap de Magnus/Storm.

- Magnus dans le ring, refuse de partir tant que Storm n'est pas dans le ring. Storm se pointe, se moque de tout le monde, et fait semblant d'avoir le landeau du Baby Magnus, qu'il fout en l'air pour s'enfuir. Un peu cheap, mais bon, pourquoi pas.

- EC3 vs Lashley. Un match compétent, malgré un finish bordélique/surbooké, et un spot joliment laborieux avec la mise en place de la chaise.


Un Impact assez bavard, et plutôt léger en action de grande qualité, mais en comparaison de la semaine dernière, c'était un net progrès. La semaine prochaine, c'est du live, donc j'espère un peu de surprises ou de progrès dans les storylines, ainsi qu'un public un peu plus énergique.

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Un film, un jour (ou presque) #153 : Mad Max - Fury Road (2015)

Publié le 17 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Action, Aventure, Fantastique, Science-Fiction, Australie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Mad Max - Fury Road :

Dans un futur post-apocalyptique ou le pétrole et l'eau sont les seules ressources de valeur, Immortan Joe (Hugh Keays-Byrne) conserve la main mise sur les populaces suvivantes en contrôlant ces deux ressources hors de prix. Mais lorsque Imperator Furiosa (Charlize Theron) se rebelle, et organise la fuite des cinq concubines de Joe, elle est contrainte de s'allier à Max Rockatansky (Tom Hardy), un loup solitaire qui vient d'échapper aux troupes d'Immortan. Lancés dans une course poursuite en plein désert, au volant d'un énorme semi-remorque, Max et Furiosa vont tout faire pour échapper à Immortan Joe et à ses mutants...

Une course poursuite apocalyptique de deux heures, sans vrai temps mort, pilotée de main de maître par un George Miller toujours vaillant malgré son âge. C'est épique, bourré d'imagination et de plans splendides, ça dépote constamment, c'est la bonne manière de faire du girl power, c'est une expérience sensorielle épuisante, et malgré mes doutes initiaux, Tom Hardy compose un Max bestial et en retenue, assez intéressant.

Toute aussi intéressante, l'absence complète d'arc romantique entre Max et Furiosa, ce qui aurait pu s'avérer ultra-cliché.

Alors tout n'est pas parfait, la musique est trop présente et trop peu inspirée, et j'aurais clairement préféré le voir en VO, mais pour peu qu'on adhère à l'esprit décomplexé et assumé du métrage, à son univers déglingué et à ses parti-pris esthétiques plus que narratifs (qui ne plairont clairement pas à tout le monde), ce n'est que du bonheur.

4.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #152 : La Fille de l'Ascenseur (2010)

Publié le 16 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Hallmark, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

La Fille de l'Ascenseur (Elevator Girl) :

Totalement dévoué à son travail et particulièrement rangé et routinier, Jonathan McIntyre (Ryan Merriman), un avocat de Boston, est célibataire, malgré tous les efforts de ses collègues pour le caser ; Liberty Taylor (Lacey Chabert), elle, papillonne de métier en métier sans jamais se fixer ni s'engager réellement, totalement spontanée et aventureuse. Leur rencontre dans un ascenseur en panne est alors le début d'une relation improbable, rendue difficile par leurs conceptions radicalement différentes de la vie et du succès...

Rom-com Hallmark de 2010 avec une Lacey Chabert souriante, face à un Ryan Merriman terne et insipide au possible, dans un récit cousu de fil blanc, qui souffre de montages musicaux très peu inspirés (sur tous les plans, tant au niveau de la musique que de la mise en scène), et d'un script guère motivant.

Pour ne rien arranger, la bande originale est assez envahissante et agaçante, ce qui n'aide pas du tout. (Amusant cela dit de voir passer Joey King, excellente comme toujours dans un petit rôle anecdotique... )

1.5/6

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Catch Review : WWE Money in the Bank (14/06/2015)

Publié le 15 Juin 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

WWE Money in the Bank (14/06/2015) :

- Hommage réussi à Dusty Rhodes.

- MITB Match. Hallucinant comment aucune des prises appliquées à Kane ne paraît crédible, avec la tête de Kane qui reste à 20 cm du tapis à chaque fois ; sinon, vraiment RAS, Orton place des RKOs, Neville joue vaguement l'acrobate, il y a des spots franchement téléphonés et laborieux, et Reigns se fait voler sa victoire par Wyatt, comme prévu. Résultat : un feud Wyatt/Reigns, et Sheamus en MITB winner. ZZZZZZZZZZZZ.....

- Paige fait une promo backstage qui tente d'être une pipe bomb à la AJ, mais tombe à plat.

- Paige vs Nikki Bella, Divas Title. Les deux femmes se donnent à fond, mais ça reste très laborieux, les deux catcheuses passent leur temps à taper la discute, et le finish mérite un bon facepalm.

- Promo non-sensique de Miz.

- Big Show vs Ryback, IC Title. Un gros bordel, avec intervention de Miz en prime pour la DQ finale.

- La pub de Tough Enough, avec un Jericho qui a clairement un balai dans le fondement pendant qu'il débite son speech en prenant une pose ridicule.

- Owens vs Cena II. Pas de titre en jeu, visiblement. Je pensais que c'était un match pour la ceinture US de Cena, mais non. Match assez bon, techniquement, même si c'est assez routinier, avec des échanges interminables de finishers venant de tous les horizons, suivis de kickouts à la chaîne, et d'une victoire de Cena à la suite d'un finish faiblard.

- Sans surprise, Owens attaque Cena en post-match, probablement pour mettre en place un troisième match.

- Gros meublage de Cena blessé qui boîte, blablabla... je parie que demain soir, il sera de nouveau sur pied.

- Hommage à Dusty Rhodes, bis.

- Le New Day dans le ring au micro, whatever. Creed surjoue comme ce n'est pas permis.

- New Day vs Prime Time Players, tag titles. Un match baclé et précipité, probablement booké en urgence pour laisser de la place au main event.

- Rollins vs Ambrose, Ladder Match. Mwé. Tout moyen que le MITB ait été, difficile de passer après. Assez bof, ce match de championnat trop lent et méthodique pour son propre bien, surtout qu'en lui laissant plus de 45 minutes, la WWE s'est doublement tiré une balle dans le pied, en laissant involontairement sous-entendre que c'était pour un cash-in de Sheamus à la fin (donc le public reste passif pendant le fros du match), et en forçant les deux catcheurs à ralentir jusqu'à sembler peser 20 kilos de plus. Les deux hommes ont fait de gros efforts, mais la mayonnaise n'a pas pris sur moi, le finish était assez médiocre, et le no-selling d'Ambrose était too much à mon goût.


Un PPV globalement médiocre et totalement oubliable, avec uniquement le Cena vs Owens qui ressort à nouveau du lot, notamment si l'on aime ce genre de match, et si l'on oublie le finish.

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Un film, un jour (ou presque) #151 : Let's Kill Ward's Wife (2014)

Publié le 14 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Let's Kill Ward's Wife : 

Stacy (Dagmara Dominczyk), la femme de Ward (Donald Faison), est une mégère insupportable, que tout le monde déteste parmi ses amis, et qui ruine la vie du jeune père de famille. Un jour, cependant, alors que tous rèvent de la voir passer l'arme à gauche, elle a un "accident" tragique : soulagée de ce poids improbable, la bande va s'efforcer de dissimuler cette mort inattendue, et de profiter au maximum de ce répit imprévu.

Une comédie noire à la distribution sympathique (Faison, Amy Acker, James Carpinello, Greg Grunberg, Patrick Wilson), mais qui s'écroule tout simplement sous le poids d'une direction plate, générique, et d'un rythme anémique, qui tue tout semblant d'humour et d'intérêt.

Il y a bien quelques réactions amusantes de l'un ou l'autre des personnages durant le quart d'heure qui suit le décès, mais ensuite, ça tourne totalement à vide, jusqu'à cette fin plate et quelconque.

Dommage d'avoir gâché cette distribution avec un script si anémique.

1.25/6

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Un film, un jour (ou presque) #150 : La Jeune Fille aux Fleurs (2009)

Publié le 13 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Hallmark, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

La Jeune Fille aux Fleurs (Flower Girl) :

La jolie Laurel (Marla Sokoloff), une fleuriste attachante et désespérément romantique, est célibataire depuis si longtemps qu'elle redoute de finir vieille fille. Mais malgré l'insistance de ses amies et de sa grand-mère Rose (Marion Ross), elle n'est pas totalement convaincue par le Dr. Evan Cooper (Terry Maratos), qui a pourtant tout du prétendant idéal, étant stable, doux, inoffensif, galant, et possédant une formation de botaniste. D'autant qu'en parallèle, elle s'est entichée de Stephen (Kieren Hutchison), un auteur mystérieux, imprévisible, spontané, et tempérament impertinent...

Un téléfilm Hallmark ultra-générique et basique, en plus d'être longuet, mollasson, et dégoulinant de bons sentiments.

D'autant plus dommage qu'il commençait assez bien, par un montage musical d'ouverture d'une durée de plusieurs minutes, qui présentait les personnages simplement et efficacement, avec en prime un soupçon de nostalgie plutôt bienvenu.

Mais j'ai beau trouver Marla positivement adorable, et être prêt à tout lui pardonner, là, il ne faut pas abuser : entre les platitudes et les conseils pourris de la meilleure copine ethnique, les personnages masculins affreusement insipides, le récit assez improbable dans sa chronologie, la nature désespérée de l'héroïne, et son comportement assez discutable (elle fréquente en parallèle les deux hommes qui lui plaisent, sans leur dire la vérité, le temps de faire son choix entre les deux : inversez les sexes, et le film se transformerait en portrait d'un dragueur sans états d'âme, ni romantique ni attachant), il y a vraiment de quoi trouver le métrage agaçant, et assez lassant.

À zapper.

1.75/6 (dont 1.5 pour Marla)

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Un film, un jour (ou presque) #149 : Concrete Blondes (2013)

Publié le 12 Juin 2015 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Thriller, Action

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Concrete Blondes :

Trois amies entrent accidentellement en possession d'une énorme somme d'argent, et doivent alors faire face aux conséquences de leurs actes...

Une crime comedy à la distribution sympathique (Diora Baird, Carly Pope, Samaire Armstrong, John Rhys-Davies), mais qui souffre de son déroulement assez convenu et prévisible : les filles sont stupides, les méchants très méchants, les rebondissements sont soit téléphonés, soit improbables (Carly Pope qui se transforme en super tueuse badass sous un prétexte gentiment capillotracté), et la construction en actes et en flashbacks a beau donner un peu de rythme, elle est gentiment superflue, et passe totalement à la trappe dans le dernier tiers du film, qui connaît un traitement trop premier degré pour convaincre.

2.75/6

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Catch Review : TNA Impact (10/06/2015) - Destination X

Publié le 11 Juin 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Après le show très mitigé de la semaine dernière, place à Destination X...

Impact 10/06/2015 - Destination X :

- Une vidéo de hype pour D-X... qui inclue Grado. LULZ.

- Angle et Spud prêts backstage.

- EC3 vient se plaindre dans le ring, décide d'annuler D-X, Angle vient le contrer, et EC3 part.

- Angle vs Spud, World Title. Josh Matthews qui n'a aucune confiance en Spud, et un match qui ouvre le show, ce n'est pas top pour rendre le résultat de ce match imprévisible. Bel effort de Spud pour un match pas très long, mais sympathique. Rien d'exceptionnel, cela dit.

- Taryn explique que si Kong veut l'affronter, ce sera au cours d'un lingerie pillowfight match... euh... okay. C'est de la X-div, ça ?

- Présentation des matchs de qualification de la X-div, qui se moque de Grado... alors pourquoi l'inclure ?

- Low Ki vs Steve vs Manik. Match très rapide, et pas forcément exceptionnel, avec un Steve gardé à l'écart du gros de l'action. Mwé.

- Grado est au courant qu'il n'a pas sa place dans la X-div, mais est bien décidé à prouver que si, et fait le con en faisant du parkour. Inutile.

- Récap de Mickie.

- DJ Z vs Andrews vs Tigre. Un match acrobatique pas désagréable, de moins de 5 minutes là aussi, et avec un Tigre qui démolit Andrews à l'atterrissage.

- En post-match, Godderz démolit DJ Z, histoire de dire.

- Grado continue d'essayer de perdre du poids backstage, Tigre le traite d'abruti. Inutile.

- Taryn et la Dollhouse dans le ring, Kong n'est pas en lingerie, démolit la Dollhouse, et Taryn se fait contrer par Brooke, qui trouve qu'un lingerie pillowfight est indigne des KOs. Pas faux. Brooke finit par foutre Taryn en lingerie, et celle-ci s'enfuit, humiliée. Mouais. Clairement pas de la X-Division, tout ça.

- Encore une fois Grado qui se pèse à poil backstage, au secours.

- Grado vs Kenny King vs Cruz. No comment. Pauvre Cruz, qui a fait bien des efforts, pourtant.

- Bram vient parasiter Destination X. Au point où on en est, après tout... *soupir*

- Bram répète ce qu'il vient de dire backstage, défie un catcheur du passé de la compagnie... et Crimson, ce célèbre X-divisioneur, se pointe. Whouhou.

- Crimson vs Bram. Absolument RAS et assez inutile.

- Angle vs Aries, World Title match. Forcément très bon... mais sans surprise. EC3 débarque en post-match pour achever Angle.


Bilan général : si c'était un Impact normal, ce serait un Impact assez moyen, décousu, avec un main event qui sauve la mise. En tant que Destination X, c'est risible. 15 minutes de X-division tout compris, deux matches de championnat poids-lourd prévisibles au possible, du maublage, et du Grado. Whouhou, c'est supaire. :wallbash:

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Un film, un jour (ou presque) #148 : Kung Fury (2015)

Publié le 10 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Action, Fantastique, Suède, Science-Fiction

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Kung Fury :

Dans le Miami des années 80, Kung Fury (David Sandberg) est un super-flic héritier d'une tradition ancestrale et doté de super-pouvoirs martiaux, avec lesquels il fait régner la loi et l'ordre en ville, au prix de beaucoup de casse. Mais lorsque Adolf Hitler (Jorma Taccone), le Kung Führer, traverse les couloirs du temps et abat tous les collègues de Kung Fury, ce dernier décide alors de remonter le temps jusqu'aux années 40, afin de tuer Hitler...

Un moyen-métrage/fanfilm suédois totalement nawak, financé via Kickstarter, et qui combine, dans une ambiance ultra-référentielle et décalée, toutes les influences cinématographiques, vidéoludiques, musicales et télévisuelles des enfants ayant grandi dans les années 80-90.

Le résultat est absurde, hilarant, spectaculaire, et totalement décomplexé, tout en étant assez maîtrisé techniquement. Certains détesteront, et parleront de fan-service creux, mais moi, j'ai adoré.

5/6

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Un film, un jour (ou presque) #147 : Die Hard - Belle journée pour mourir (A Good Day to Die Hard - 2014)

Publié le 9 Juin 2015 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Action, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Die Hard - Belle journée pour mourir :

Afin d'aider son fils Jack (Jai Courtney) à éviter la prison, John McClane (Bruce Willis) doit se rendre en Russie, où il se trouve bien vite embarqué dans un sinistre complot politico-terroriste...

Die Hard 4 était décevant, mais regardable, et parfois même sympathique. Ce Die Hard 5 ? Une purge immonde. Vraiment. Je m'attendais à quelque chose du niveau du 4, au pire... mais non. Ce tâcheron de John Moore, associé à un Skip Woods tout aussi incapable, nous livrent ici un film en pilotage automatique intégral, où tout pue l'amateurisme et le je-m'en-foutisme.

Le script ? Il enchaîne les clichés, les raccourcis hasardeux, les dialogues foireux, et les personnages en carton-pâte. La mise en images ? C'est confus, baclé, terne et laid, avec un montage qui plombe toute narration, et une caméra portée tremblotante et inutile. L'interprétation ? Le "fils de McClane" est inexistant, et Willis est devenue une caricature de lui-même (comme McClane, d'ailleurs), un absolu de non-jeu et de glande qui rivalise avec les pires Steven Seagal. Les effets spéciaux ? À peu près aussi crédibles que dans une production Asylum.

Reste alors l'action. Et là, oui, ça pête dans tous les sens. Jusqu'au point de non-retour, qui transforme le tout en parodie de Die Hard, avec un McClane tank humain qui traverse sans broncher et sans la moindre égratignure des scènes d'action illisibles, amorphes et dépourvues du moindre rythme.

Bref, A Good Day To Die Hard, c'est un peu Le Police Academy à Moscou de la franchise Die Hard... en pire.

0.5/6 (dont un point pour le caméo de Mary Elizabeth Winstead... et un demi-point en moins pour l'avoir totalement coupé au montage de la version longue du film !)

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Un film, un jour (ou presque) #146 : The Anomaly (2014)

Publié le 8 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Thriller, Science-Fiction, Action, UK

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

The Anomaly :

Dans un futur proche, Ryan (Noel Clarke) se réveille à l'arrière d'un camion, amnésique, avec un jeune garçon menotté. Rapidement, ils parviennent à s'évader, mais bien vite, Ryan est propulsé dans un autre endroit, à un autre moment : il est en effet la victime d'expériences scientifiques illégales pratiquées par un médecin (Brian Cox) et son fils (Ian Somerhalder), et ne dispose que de brèves tranches de 9 minutes 47 secondes pour résoudre le mystère de l'Anomalie...

Un long-métrage d'anticipation signé Noel Clarke, qui co-écrit, produit, réalise et joue dans le film, tout en exhibant volontiers ses muscles et ses fesses de façon gratuite, et pas du tout vaniteuse. Du tout.

Le métrage dans son ensemble est, de la même manière, un showcase Noel Clarke, dans lequel il joue (mal) la confusion et le trouble, dans lequel il couche avec Alexis Knapp (en prostituée au grand coeur), et dans lequel il se bat au ralenti de manière répétitive, superflue, et assez mal chorégraphiée (les ralentis à gogo façon bullet time, c'est sympathique, sauf lorsqu'il devient évident que tous les mouvements ont été répétés jusqu'à plus soif, et sont tous télégraphiés et contrés avant même d'être lancés).

Au final, le tout est ultra-dérivatif, plat, et générique, avec une illustration musicale techno/électro insipide, et un script brouillon qui mange à tous les rateliers, desservi par une réalisation quelconque au possible.

1.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #145 : The Rewrite (2014)

Publié le 6 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

The Rewrite :

Scénariste cynique et en perte de vitesse, Keith Michaels (Hugh Grant) est contraint de prendre un job de professeur universitaire pour boucler les fins de mois, et enseigner l'art du scénario cinématographique. Là, seul à l'autre bout du pays, il doit faire face à une enseignante en littérature huppée (Allison Janney), et il entreprend de choisir ses futures élèves en fonction de leur physique, et de leur potentiel amoureux. Lorsqu'il croise le chemin d'une mère célibataire (Marisa Tomei) qui tente d'obtenir son diplôme tout en menant de front ses carrières et sa famille, cependant, Keith commence à revoir ses priorités...

Une comédie avec un Hugh Grant en pilotage automatique, face à une Marisa Tomei adorable comme toujours, mais dont le personnage reste générique.

D'ailleurs, c'est un peu le problème avec l'intégralité du métrage, à vrai dire : ses personnages secondaires sont très clichés, et tout s'oublie tout aussi vite que ça se regarde, malgré une distribution assez sympathique.

Reste le recul du personnage de Hugh Grant, assez agréable puisqu'il a totalement conscience de ses défauts et les assume frontalement tout au long du film.

3.25/6

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Un film, un jour (ou presque) #144 : Veronica Mars (2014)

Publié le 5 Juin 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Comédie, Drame, Policier, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Veronica Mars :

Sur le point de tourner définitivement la page sur son passé de détective privé afin de devenir avocate à New York, Veronica Mars (Kristen Bell) reçoit alors un appel de Logan (Jason Dohring), son ex-petit-ami de lycée, accusé de meurtre. Avec réticence, Veronica retourne donc à Neptune, dans sa ville natale, à l'occasion du dixième anniversaire de sa promotion scolaire, et avec une seule idée en tête : innocenter Logan.

On ne présente plus Veronica Mars, la série, ou encore la genèse improbable de ce long-métrage, très bien narrée dans le sympathique making of du film, intitulé By The Fans. Revenons cependant sur le titre de ce making of : "Par les fans, pour les fans".

Dans ce titre est contenu tout le problème de ce film Veronica Mars.

Financés par les fans, Rob Thomas et compagnie se sont sentis obligés de jouer au maximum la carte du fanservice, ce qui se traduit, au final, par un film très très moyen, blindé de références et de caméos en tous genres, et qui sert la soupe aux shippers Logan/Veronica (en évacuant Piz de manière sèche et brutale, sans le moindre remords) quitte à faire passer son héroïne pour une femme volage et infidèle.

Pour être clair, je n'ai pas détesté le film, ça fait toujours plaisir de retrouver tous ces personnages et leur univers, mais... il faut bien avouer que le métrage n'est pas un très bon film de cinéma, en soi.

Il ne fait nul doute à mes yeux que le film aurait probablement été meilleur s'il avait été ouvertement conçu pour la télévision : au lieu d'un long-métrage de 100+ minutes, au rythme bancal, et à la structure trop épisodique (on a l'impression que Rob Thomas recycle toutes les idées d'épisodes et de sous-intrigues qu'il a eues ces dernières années, et tente de les lier de façon à former un long métrage), on aurait probablement eu un téléfilm-anniversaire de 84 minutes, nettement plus élagué de son superflu, et rythmé par les coupures pub obligatoires... ce qui aurait probablement mieux fonctionné.

D'autant que Veronica Mars, dans sa forme actuelle, est finalement très inégal : on sent que tous les ingrédients sont présents, mais que la mayonnaise ne prend pas toujours. Les références méta à la grossesse de Bell, au spin-off avorté de Veronica au FBI, etc, sont plutôt sympathiques, tout comme les guests stars (pas forcément toujours indispensables : autant j'ai souri en voyant Eden Sher, Justin Long, ou Dax Shepard débarquer, autant j'aurais pu me passer sans problème du caméo d'un James Franco comme toujours défoncé) mais ça et là, étrangement, on sent que Bell a trop répété son texte, que certaines scènes manquent de spontanéité, ou auraient nécessité quelques prises supplémentaires (que ne pouvait pas se permettre la production, compte tenu des conditions de tournage), ou encore que personne n'a voulu dire à Rob Thomas que les morceaux pop/rock de la soundtrack commençaient à être envahissants.

M'enfin bon, rien de forcément rédhibitoire, dans l'absolu. C'est juste qu'avec moins de fanservice, le film aurait probablement été bien meilleur, et aurait peut-être pu être autre chose qu'un simple bonus pour les fans. Dommage.

3/6

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