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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Catch Review : Chikara - 14x03 - Diamonds Are Forever (21/06/2014)

Publié le 30 Août 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, Chikara

You Only Live Twice, le premier show de la saison, ne m'avait pas convaincu ; Quantum Of Solace, encore moins. Place à Diamonds Are Forever, qui s'est déroulé le même jour que QoS...

- Los Ice Creams vs Old Fashioned : grand moment de rigolade quand les deux teams tentent de transformer le match en trios match en recrutant des enfants dans le public... :P Un bon quart d'heure de grosse déconne très très sympathique, du Chikara old-school, en somme.

- Jojo Bravo vs Max Smashmaster : un petit trapu à la queue de cheval, face au gros bedonnant de la Devastation Corp (qui a perdu plus de 50 kilos, et est désormais au gabarit de Kane) dans un squash simple et direct, qui se conclue par un superbe moonsault du colosse (un moonsault qui ressemble étrangement à celui de Tursas, qui lui aussi à perdu un poids certain... hmmmm).

- Blind Rage vs Mat Fitchett. Un high flyer aux tattoos moches vs un vétéran goth de la Chikara, pour un match bref et assez classique.

- Batiri vs Oliver Grimsly & Qefka The Quiet (de l'odditorium aka la Menagerie 2.0). Un Batiri qui démolit ses adversaires jusqu'à la disqualification. RAS.

- Juan Francisco de Coronado (aka mini-Alberto Del Rio) vs Billy Roc (un vétéran des indies, entraîneur un peu bdeonnant au style très similaire à celui de Quackenbush, en un peu moins virevoltant). Promo quelconque de JFC ; pas un match très intéressant à mes yeux, principalement parce que Coronado n'est pas un compétiteur très mémorable, et qu'une fois que le match bascule à son avantage, ça devient rapidement prévisible et basique.

- The Colony vs The Colony Xtreme Force. Tag match solide et rodé entre ces deux équipes particulièrement habituées l'une à l'autre.

- Eddie Kingston vs Jimmy Jacobs. Jacobs se pointe en tongs, trolle un peu Kingston, et tente de le convaincre de se joindre à lui pour récupérer son titre bien-aimé. Kingston s'énerve, et l'attaque, mais finit par se coucher pour Jacobs lorsqu'il mentionne son titre. Pas inintéressant, mais j'ai vraiment du mal avec le personnage de Jimmy Jacobs, qui joue les Raven-bis avec son Brood "Flood"... beaucoup trop dérivatif à mon goût.

- BDK vs 3.0 & Archie Peck. Un match bref et basique, qui vire au brawl général avec intervention de l'Odditorium et du Batiri, et qui se transforme donc en...

- Bdk & Odditorium vs Peck.0 & Batiri. Sympatoche, mais bordélique, et assez classique dans son déroulement.

 

- Bonus match ! Shynron vs Chuck Taylor. Un match assez réussi, avec un Shynron exceptionnel d'agilité, de rapidité et d'acrobaties. Dommage que les commentaires (le commentateur habituel, et l'un des deux gamins du premier match) rendent le tout assez fatiguant et saoulant par moments. M'enfin c'est toujours sympa pour le gamin.



Deux heures de show nettement plus intéressantes que les deux précédents DVDs de la compagnie. Bon, ce n'est pas encore un retour à la grande époque de la Chikara, et il y a une absence flagrante d'intrigue générale ou de direction, mais il y a du progrès, avec trois matches plus ou moins réussis sur la carte.

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Un film, un jour (ou presque) #45 : The Wedding Party (2010)

Publié le 29 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Romance, Drame, Australie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

The Wedding Party :

Sans argent, Steve (Josh Lawson) décide de recourir aux grands moyens, et accepte de s'impliquer dans un mariage blanc avec Anna (Isabel Lucas) en échange d'une certaine somme d'argent ; mais lorsque sa famille apprend l'imminence de ce faux mariage, Steve doit jouer le jeu, au risque de perdre le coeur de son ex-petite-amie (Kestie Morassi)...

Une comédie de moeurs australienne avec quelques visages familiers, qui se regarde, mais qui est trop nonchalante et vagabonde pour dépasser son postulat de départ et vraiment convaincre. Kestie est particulièrement attachante, cela dit.

2.75/6

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Un film, un jour (ou presque) #44 : Liberal Arts (2012)

Publié le 28 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Drame, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Liberal Arts :

À 35 ans, Jesse (Josh Radnor) revient dans son alma mater, le coeur plein d'enthousiasme et de nostalgie... là, il rencontre une jolie étudiante de 19 ans (Elizabeth Olsen) dont il s'éprend. Mais la différence d'âge et la virginité de la jeune femme s'avèrent des obstacles de taille pour Jesse.

Un film écrit, réalisé et interprété par Josh Radnor, qui se prend pour Woody Allen, et se met dans la peau de ce trentenaire agaçant, dont le charme fait succomber toutes les femmes, qui débite des platitudes philosophiques, s'ébaubit devant New York, a de l'humour, et est capable de conseiller autrui, quelque soit son âge et son problème.

Autant dire que le métrage m'est rapidement sorti par les oreilles, malgré Elizabeth Olsen, impeccable, et malgré les innombrables critiques américaines adorant le film. Un tout trop pompeux et prétentieux pour son propre bien, à la limite du film hipster pseudo-intellectuel supposément profond, mais finalement très conservateur.

2/6

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Catch Review : TNA Impact (27/08/2014)

Publié le 28 Août 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Après un Hardcore Justice sympathique, mais aux audiences anémiques dans son nouveau créneau horaire, Impact continue son petit bonhomme de chemin, malgré la tourmente des rumeurs et des critiques internet.

- De la hype pour la tag series, et une petite récap du finish de la semaine dernière.

- Toujours pas très fan de Angle en tant que GM (toujours un peu robotique et forcé), même si les annonces faites depuis les balcons de cette salle font toujours leur petit effet. Arrivée de la team MLK, pour se plaindre de Kurt, troller le public new-yorkais, jusqu'à ce que Dreamer se pointe, et se fasse brièvement démolir. Un peu longuet pour ce que c'était, mais c'est toujours le problème de ces shows new-yorkais, on perd en concision ce qu'on gagne en énergie du public.

- Dreamer vs Lashley, Street Fight. Un Lashley dominant, une fois plus, pour un petit match efficace.

- Madison un peu jalouse de l'attention reçue par Taryn.

- Havok is coming, la semaine prochaine.

- Shaw et Gunner dans leur chambre d'hôtel, avec un Shaw au comportement suspect.

- Maddie vs Taryn. Un match assez solide, malgré son rythme parfois tranquille. Le semblant de heel turn de Maddie est intéressant, s'il se confirme.

- EY & Roode dans le bureau de Kurt.

- Shaw qui fait mumuse avec l'uniforme de Gunner.

- X-Div 6-men tag. Un match un peu précipité et brouillon par moments, mais dans l'ensemble assez fun.

- Rhino est en colère.

- Promos de Roode et EY, et Roode vs EY booké pour la semaine prochaine. Un segment solide, mais pas forcément indispensable en tant que tel.

- Les Bromans font un concours de Tinder, et entrent en compétition avec une KO mystérieuse... à suivre. Vont-ils tenter la combinaison Robbie/Assmacher à l'écran comme IRL ?

- EC3 vs Rhino. Match assez basique, jusqu'à ce que Carter pête un cable avec sa chaise, ce qui épouvante Spud.

- Storm, pour présenter The Great Sanada, aka une fusion de Sanada et Muta.

- Sanada vs Aries. Bon match, comme toujours entre ces deux hommes.

- Vidéo sur la nouvelle recrue, Chris Melendez, qui est ensuite invité dans le ring par Angle & co, pour que son histoire soit racontée par Anderson & Bully. Jolie histoire, mais segment un peu longuet.

- Team 3d vs Hardys vs Wolves, match #1 out of ?. Un main event qui part dans tous les sens, nerveux et spectaculaire. Et encore, il était clair que les trois équipes en gardaient sous le coude pour les matches suivants !


 

Un show qui n'était pas désagréable, malgré quelques segments promos un poil longs à mon goût. La tag series promet, s'ils maintiennent ce niveau-là tout du long, et sinon, les autres storylines continuent de se décanter progressivement, à leur rythme.

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Un film, un jour (ou presque) #43 : 22 Jump Street (2014)

Publié le 26 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Action, Policier

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

22 Jump Street :

Après le succès improbable du programme Jump Street, Schmidt (Jonah Hill) et Jenko (Channing Tatum) remettent le couvert, mais cette fois-ci, ils doivent infiltrer une université à la recherche d'un trafiquant de drogues...

Au premier abord, on pouvait légitimement se demander quel était l'intérêt de cette suite, qui s'affichait ouvertement comme un clone du premier opus, dans un cadre à peine différent. Et puis en fait, le film assume tellement ce statut, blindant son scénario de références méta, et autres vannes totalement décomplexées sur le statut de suite du métrage, que le tout en devient éminemment sympathique.

Et comme en plus le récit s'amuse à jouer la carte de l'inversion des rapports de force entre ses deux protagonistes, et enfonce le clou sur la nature codépendante et quasi-amoureuse de leur relation, le tout se regarde avec un grand plaisir, et amène de franches rigolades à peine entachées par l'absence du thème principal de la série.

Pas de quoi révolutionner le monde de la comédie, mais bon...

3.75/6

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Un film, un jour (ou presque) #42 : Adult World (2013)

Publié le 25 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Drame, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Adult World :

Amy (Emma Roberts) est une jeune étudiante en poésie idéaliste, maladroite et immature, qui cherche la renommée internationale ; pour subvenir à ses besoins, elle prend un job dans un sexshop, et essaie de convaincre un poète célèbre et taciturne (John Cusack) de lui servir de mentor...

Une comédie dramatique indépendante qui ne sait sur quel pied danser.

D'un côté, ça semble se vouloir une satire des rêves idiots, prétentieux et improbables d'une jeune femme immature, qui agit comme si elle avait douze ans, et dont les pensées risibles et les réactions over-the-top font qu'on ne peut que se moquer d'elle tout du long ; et de l'autre, ça prend le parcours de la demoiselle beaucoup trop au sérieux, enchaînant les clichés, les grosses ficelles narratives évidentes, et les caractérisations bancales, au point de la rendre tout simplement insupportable, en dépit du côté naturellement attachant d'Emma Roberts, avec son nez constamment rougi par le froid.

Particulièrement bancal, donc, et hésitant constamment entre deux points de vue radicalement opposés sur une même histoire.

2/6

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Un film, un jour (ou presque) #41 : Les Colocataires (Table for Three - 2009)

Publié le 24 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Colocataires (Table for Three) :

Récemment plaqué par sa petite amie, Scott (Brandon Routh) accepte d'accueillir un couple en guise de nouveaux colocataires ; mais rapidement, il s'avère que Mary (Sophia Bush) et Ryan (Jesse Bradford) sont du genre couple fusionnel, et qu'ils se mêlent d'un peu trop près aux affaires d'autrui...

Un DTV assez sympathique, principalement grâce à sa distribution attachante : Bush est adorable, Routh joue bien les straight men, et le reste du cast est à l'identique.

Après, ça reste classique, ça tombe parfois un peu trop dans l'hyper-caricatural, et l'introduction dans le bar, au format narrateur, fait pièce rapportée, mais la bonne humeur de l'ensemble fait que le tout passe plutôt bien.

4/6

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Catch Review : TNA One Night Only - Xtravaganza 2014

Publié le 23 Août 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

- Vidéo promo de Low-Ki assez cheesy, mais principalement parce que le bonhomme se prend tellement au sérieux que c'en est :mrgreen:

- Vidéo promo nettement moins risible sur le retour de Sabin.

- Un public globalement plat et décédé, mais bon, après le public de NYC, le contraste ne pouvait que faire mal.

- Qualifier #1 : Low Ki vs Sabin. Un match pépère, au rythme imposé par le meublage et le cabotinage heel de Sabin (ainsi que par la nécessité pour Low Ki de faire un match reposant, puisqu'il va clairement en finale). Vraiment RAS, donc, et pas de surprise.

- Promo solide d'Aries backstage.

- Qualifier #2 : Rashad Cameron vs DJ Z. Un peu le même concept que le match précédent, avec un booking et des rest-holds qui trahissent la conclusion du match. C'était nettement plus rythmé que le premier affrontement, cela dit, donc j'ai préféré.

- Qualifier #3 : Rubix vs Kenny King. Ça s'améliore, avec plus de vitesse et de rythme. Je persiste et je signe : je voudrais bien Rubix vs Low Ki, un contre un, sans limite de temps.

- Qualifier #4 : Ace Vedder (qui est à l'aise au micro, forcément) vs Manik (qui a aussi droit à une promo très sympa). Plutôt réussi.

- Kazaniels au micro, motivés et excellents. Ils me manquent un peu, je dois dire.

- Qualifier #5 : Sonjay vs Spud. Spud is awesome, et ce match semi-comique prouve bien qu'au besoin, il pourrait être un compétiteur sérieux dans la X-div.

- Promo de Petey, vidéo promo sur Tigre.

- Qualifier #6 : Petey Williams vs Tigre Uno. Très sympathique.

- Rashad devrait clairement être utilisé plus souvent.

- EC3 vient troller tout le monde, y compris la X-div. Malheureusement le public de l'IZ est mort.

- Wolves vs Bad Influence, 25000$ Ladder match. Excellent ladder match. Quel dommage qu'on n'ait jamais eu un feud conséquent entre ces deux équipes...

- Sanada vs Aries, 2 out of 3 falls. Un Aries trop confiant, un Sanada efficace, et un match excellent, à nouveau, malgré le manque de suspense.

- Ultimate X - Rashad vs Low Ki vs Vedder vs Sonjay. Peut-être le meilleur U-X depuis un bail.


Un PPV qui commençait lentement (et de manière téléphonée), mais a progressivement pris de la vitesse jusqu'à un dernier tiers tout simplement réjouissant. Je ne suis pas mécontent. 

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Un film, un jour (ou presque) #40 : Au Coeur de l'Amour (Scents and Sensibility - 2011)

Publié le 22 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Au Coeur de l'Amour (Scents and Sensibility) :

La famille Dashwood est en péril : inculpé par le FBI, le père de famille est placé en examen, et le clan Dashwood est ruiné ; à Elinor (Ashley Williams) et Marianne (Marla Sokoloff) de trouver un moyen de subsistance pour leur famille, et pour leur soeur malade...

Une adaptation très libre et moderne de Raison et Sentiments, qui ressemble beaucoup à un téléfilm Hallmark ou Lifetime, et en a à peu près le budget : illustration musicale pop au rabais, score musical fauché, réalisation très moyenne, on est dans la catégorie "budget microscopique". Heureusement qu'Ashley Williams possède un capital sympathie énorme, et s'avère l'ancre qui évite au film de partir à la dérive, d'autant que la plupart des autres personnages féminins sont assez antipathiques (Marianne y compris).

Bref, ça se regarde gentiment, mais ça ne restera pas dans les mémoires.

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #39 : Les Gardiens de la Galaxie (Guardians of the Galaxy - 2014)

Publié le 21 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Action, Aventure, Science-Fiction, Marvel, MCU

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Gardiens de la Galaxy (Guardians of the Galaxy) :

Après avoir mis la main sur une sphère étrange à l'importance insoupçonnée, l'aventurier Peter Quill se trouve contraint de faire équipe avec la tueuse Gamora, Drax le Destructeur, Rocket le raton-laveur inventeur, et Groot l'arbre bipède, pour affronter les forces du maléfique Ronan l'accusateur...

Un space opera déjanté et décalé, tour à tour prenant, spectaculaire et drôle, et pour lequel les scénaristes refusent de prendre les spectateurs par la main en leur expliquant tout dans les moindres détails : le public est immergé dans cet univers baroque et multicolore, auquel donne vie une distribution inspirée, d'excellents sfx, ainsi qu'une 3D convaincante, pour un tout qui fonctionne très bien, malgré quelques faiblesses de rythme çà et là.

4.25/6

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Catch Review : TNA Impact (20/08/2014) - Hardcore Justice 2014

Publié le 21 Août 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Nouveau créneau horaire pour Impact, et nouveau jour de diffusion, pour un show dont la diffusion sur Spike TV est assurée jusqu'à la fin de l'année, minimum.

- Bram vs Abyss, Stairway to Janice. Démarrage sur les chapeaux de roue, avec un gros hardcore ladder match gentiment dégénéré, bien qu'un peu pépère niveau rythme, Abyss oblige. Bram est une brute absolue.

- EC3 n'a pas apprécié son séjour en prison.

- Magnus est un peu jaloux de Bram.

- Team EC3 dans le ring, pour se plaindre du traîtement subi la semaine dernière ; EC3 s'en prend à Rhino, qui réplique, mais ça n'impressionne pas Carter, qui passe à l'assaut, et démolit Rhino, sous le regard paniqué de Spud.

- Joe nous parle un peu de son passif avec Ki.

- Anderson dans une campagne de pub contre le tabac.

- Les Hardys promettent une résurgence de la tag Division.

- Un peu de hype pour Joe/Ki.

- Low Ki vs Samoa Joe, X-div title. Public déchaîné, et un excellent match entre les deux hommes, intense et nerveux.

- Les Hardys rendent visite à la Team 3D.

- Anderson en veut toujours à Shaw, et début de brawl backstage.

- Anderson vs Shaw, I quit. pas mauvais du tout, malgré une fin assez abrupte.
- 3D et Hardys ont convenu d'une idée pour relancer la Tag Div.

- Brawl backstage, la semaine dernière, entre Gail & Angelina ; Angle n'est pas content.

- Roode réfléchit sur sa carrière.

- Hardys, Wolves et 3D dans le ring, pour annoncer des matches imminents entre les trois équipes pour les ceintures.

- Dixie dans son lit, pour expliquer qu'elle souffre le martyr, et qu'elle va désormais se concentrer sur le côté business de la compagnie. Dixie la mégère qui sonne son mari d'un coup de sifflet pour qu'il rajuste son oreiller = :mrgreen:

- Hemme est enceinte.

- Storm continue de reformater Sanada... pour se constituer progressivement une armée révolutionnaire ?

- Gail Kim vs Angelina Love, Last KO Standing. À part les comptes mous et démotivés de Hebner, un bon LKS match, avec un finish efficace.

- Angle booke 3D vs Hardys vs Wolves, pour une série de matches à stipulations variables, dès la semaine prochaine.

- Promo un peu longuette de la Team MVP.

- 6 sides of Steel, #1 Contender. Un peu bordélique et court, mais assez fun, et avec un finish en suspens qui devrait mener à quelque chose de sympa.


 

Deux très bons matches (KOs & X-div), trois si l'on est fan du style hardcore du match Bram/Abyss, et deux autres dans la moyenne. Hormis la promo passable de MVP (qui aurait pu être zappée, pour laisser place à cinq minutes de plus dans le main event), c'était un show assez sympathique, ma foi.

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Un film, un jour (ou presque) #38 : Hercules (2014)

Publié le 19 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Action, Aventure, Histoire, Fantastique

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Hercule (Hercules) :

Hercule (The Rock), un mercenaire prêt à tout pour gagner un peu d'or aux côtés de sa bande de guerriers, est embauché par le Seigneur Cotys (John Hurt) pour entraîner les troupes de Thrace en vue d'un conflit armé contre un général ennemi... mais la destinée du demi-dieu le rattrape bien vite.

Une version révisionniste du personnage d'Hercule, qui se veut clairement iconoclaste et réaliste, en faisant du demi-dieu un homme moralement faible, tourmenté, et en proie à des hallucinations. Pourquoi pas, après tout : c'est un postulat de départ comme un autre, et une relecture potentiellement intéressante... mais malheureusement, plus que de rehausser l'intérêt du récit, cette approche le flingue totalement.

Car sous la caméra de Brett Rattner, la Grèce surnaturelle d'Hercule se transforme en monde terre à terre, terne et sombre, à la musique quelconque, au rendu gentiment fauché, au rythme pépère, et sans le moindre souffle épique. Les seules scènes qui font illusion dans le métrage sont les deux grosses scènes de bataille, malheureusement trop courtes, et un peu plombées par des effets spéciaux très inégaux.

Reste alors la distribution, Dwayne Johnson en tête, qui fait de son mieux avec un script prévisible, plat, et des personnages peu développés.

2/6

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Un film, un jour (ou presque) #37 : Heatstroke (2013)

Publié le 18 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Drame, Thriller, Action

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Heatstroke :

Malgré les réticences de sa fille Josie (Maisie Williams), Paul (Stephen Dorff) l'emmène, ainsi que sa nouvelle compagne Tally (Svetlana Metkina), dans une expédition africaine au fin fond de la savane, pour y étudier des hyènes. Mais lorsque Paul est abattu, Tally et Josie se retrouvent seules au milieu de nulle part, traquées par les animaux, par des braconniers, et par un dangereux trafiquant d'armes (Peter Stormare).

Un thriller qui fait brièvement illusion : les paysages africains sont superbes, Dorff est efficace, et Maisie Williams comme toujours attachante... mais ça s'arrête là. Forcément : quelle idée idiote de faire reposer l'intégralité de ce survival sur les épaules de l'actrice russe, qui surjoue régulièrement, et n'est jamais vraiment convaincante. Une fois Dorff évacué du métrage, une grosse partie de l'intérêt de celui-ci disparaît ; et comme en plus le script n'est clairement pas à la hauteur, tant dans sa structure que dans ses dialogues...

1.5/6

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Catch Review : WWE Summerslam 2014 (17/08/2014)

Publié le 18 Août 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, WWE

J'avoue : hormis les PPVs, j'ai presque totalement abandonné la WWE. La faute à des Raws répétitifs et sans intérêt intrinsèque, à des SDs inexistants, à du NXT trop inégal, et à un booking globalement soit trop téléphoné et prévisible, soit nonsensique. Rajoutez à cela la promotion constante et insupportable de ce foutu Network anémique à 9.99$, et je peine vraiment à supporter plus de 15 minutes du programme.

Mais Summerslam reste Summerslam, et malgré une carte assez peu engageante (sérieusement, Stephanie McMahon vs Brie Bella ? Ugh.), il y a toujours l'espoir d'une bonne surprise ou deux...

- Kickoff - RVD vs Cesaro : six ou sept minutes de match (dont deux de headlock, et un même spot délibérément répété trois ou quatre fois, histoire de bien meubler), une pub pour le Network en plein milieu, l'entrée pourrie de Cesaro, et une victoire de RVD. *soupir*

- Hogan, pour faire la promotion du WWE Network, et tout le public qui chante "9.99" en choeur, comme les bons robots lobotomisés qu'ils sont. J'ai honte pour eux.

- Miz dans le ring, botche sa promo.

- Miz vs Zigg, IC Title. RAS. Pas un mauvas match, et le résultat était satisfaisant, mais vu que je n'ai absolument rien à faire de Miz, que ce soit niveau personnage ou lutte... bof.

- Énième récap de Brie/Steph.

- AJ vs Paige, Divas Title. Pas un mauvais match, mais affreusement plat, mal rythmé, et prévisible. Sans compter que c'est à nouveau un retour au status-quo d'il y a quelques mois.

- Rusev vs Swagger, Pseudo-Flag match. *soupir* Encore une fois, ce n'était pas mauvais, mais Rusev mérite mieux que ce stupide gimmick en carton. Quant à Swagger... DGAF ?

- Ambrose vs Rollins, Lumberjack match. Un gros bordel non-sensique avec lumberjacks qui viennent parasiter le moindre début de truc intéressant. M'enfin c'était amusant à regarder.

- Jericho vs Wyatt. ZzzzzzzzzzZzzzzzZZZzzz. La routine habituelle de Wyatt et Jericho, meh. Et puis la chanson en post-match, meh again.

- Encore une récap de Brie/Steph. Ugh.

- Brie vs Steph. Un match très méthodique et lent, histoire de laisser le temps à une Steph dominante de placer tous les trucs répétés à l'entraînement. Ça aurait pu être pire, mais bon, ça ne faisait pas un bon match pour autant. D'autant que le finish était affreusement téléphoné de bout en bout.

- Un segment WTF sur un truc... euh... un fan promu catcheur à NXT pour une opé promotionnelle, un truc du genre... Euh... passons.

- Orton vs Reigns. ZzzzzzZZZZZzzzzzZZZZzzzz. Reigns devrait faire un Cena 2.0 parfait, il a le même nombre de mouvements dans le ring.

- Cena vs Lesnar. HW Title. Ils nous refont exactement Undertaker vs Brock, et Brock démolit donc Cena sans effort, enchaînant 250 german suplexes et finishers sans la moindre réponse. En gros, c'est une partie de WWE 2k14 entre un joueur normal, et un gamin qui ne connaît que deux mouvements, et les spamme non-stop sur sa manette jusqu'à gagner. D'un côté c'était profondément stupide (notamment parce que Cena a déjà encaissé bien pire au cours de sa carrière), et de l'autre c'était assez fun.

 

Un show étrange. D'un côté, je vois l'internet se pâmer devant ce PPV, parler de show fantastique, de meilleur PPV depuis des années, etc... et de l'autre, si l'action dans le ring était assez solide de bout en bout (bien que toujours discutable ça et là), le booking m'a paru... eh. D'ailleurs, en fait, tout le PPV m'a laissé assez circonspect, au niveau de l'intérêt de son booking...

Quel intérêt de donner une victoire à RVD, et d'enterrer Cesaro ? Quel intérêt de donner une ceinture insignifiante à Dolph ? Quel intérêt de redonner la ceinture à Paige, après le fail de son précédent règne ? Quel intérêt dans les feuds Rusev/Swagger et Wyatt/Y2J ? Quel intérêt d'avoir Steph qui domine son match, et gagne sur heel turn ? Quel intérêt d'avoir Reigns mis à ce point en avant alors qu'il est si limité ? Et enfin quel intérêt de soudainement booker Lesnar comme une bête invincible qui démolit Cena en 18 mouvements, alors que Cena a déjà survécu à bien pire dans ses matches, pour toujours triompher à la fin ?

(enfin, cette dernière question est rhétorique. Je vois très bien pourquoi ils l'ont booké ainsi : Brock avait besoin de légitimité après son match discutable contre Taker, surtout s'ils tentent de booker Bryan vs Brock, ou Brock vs Reigns. Mais j'ai trouvé la manière de faire affreusement maladroite et pataude, et limite contre-productive à force de trop en faire)

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Un film, un jour (ou presque) #36 : Jodorowsky's Dune (2013)

Publié le 16 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Documentaire, Histoire, Science-Fiction, Biographie, USA

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Dune selon Jodorowsky (Jodorowsky's Dune) :

Un documentaire très intéressant sur la genèse avortée du Dune de Jodorowsky, dans toute sa grandeur, sa folie, et son anticipation. C'est fascinant, mais (parce qu'il y a toujours un mais) il y a une telle unanimité sur le génie de Jodo, sur son talent, sur sa grandeur, sur son imagination inégalée, sur l'influence qu'il a eu sur toutes les productions de genre de ces trente dernières années, etc... que je ne peux m'empêcher d'y voir un documentaire en partie assez complaisant, répété et passant beaucoup de brosse-à-reluire. Sans oublier le grand nombre d'affirmations improbables, jamais étayées par des témoignages croisés, et qui semblent souvent tenir de l'affabulation pure et simple...

Jodo le visionnaire ? Sans nul doute. Jodo le génie absolu à qui le cinéma doit tout, mwé. Je reste dubitatif, d'autant que de reporter intégralement l'échec de Dune sur la frilosité des exécutifs hollywoodien, c'est un peu oublier que les concepts de Jodo sont tellement psychédéliques et surréalistes, tellement ancrés dans leur époque "stupéfiante", qu'ils auraient laissé l'immense majorité des spectateurs à la porte du film.

4/6

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Un film, un jour (ou presque) #35 : Lucy (2014)

Publié le 15 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Action, Thriller, Fantastique, Science-Fiction

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Lucy :

Lucy (Scarlett Johansson), étudiante en Asie, se trouve embarquée dans une histoire de trafic de drogues qui la met en contact avec un produit révolutionnaire : désormais capable d'utiliser des zones inexplorées de son cerveau, elle développe des pouvoirs extraordinaires...

Besson décide de refaire Limitless à la sauce super-héroïne transcendentale (d'ailleurs, oui, j'ai pensé à Transcendance, aussi), avec bourrinage bessonnien en prime... pas grand chose à dire de plus, en fait.

C'est (souvent) gentiment con-con, cliché, pataud et bancal, mais comme souvent chez Besson, ça se regarde bien, et c'est efficace, pour peu que l'on éteigne son cerveau en entrant dans la salle.

Pourquoi pas, après tout, d'autant que ScarJo est comme toujours particulièrement convaincante dans ce type de rôle... m'enfin bon, ça donne un peu l'impression d'un Groluc en pilotage automatique, qui noie ses bonnes idées sous un paquet de facilités... Comme souvent ces temps-ci.

3/6

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Catch Review : TNA Impact Live (14/08/2014)

Publié le 15 Août 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Alors même que la TNA vient d'annoncer un changement de créneau horaire pour Impact, qui passe le Mercredi soir de manière permanente, et enterre probablement par là-même toutes les rumeurs de non-renouvellement du programme, la diffusion des tapings de NYC continue...

- Bully dans le ring, sous les ovations du public, après son exploit de la semaine dernière. Idem pour Devon. Les Hardys s'incrustent, les deux équipes se passent de la brosse à reluire, et teasent un match supplémentaire entre elles. Segment efficace, bien qu'un peu hâché au montage (ça durait clairement quelques minutes de plus à l'origine).

- Joe confiant en sa capacité à défendre la ceinture de la X-div.

- La Team Dixieland fait piètre figure.

- Aries, Roode et EY se moquent cordialement de Dixie, et sont prêts à évacuer la Team MLK.

- Low Ki vs Tigre Uno vs Manik vs Homicide vs Crazy Steeve vs Zema, Elimination Match. Un match très fun, et qui va à 200 à l'heure.

- La Team Dixieland est mécontente.

- Team Dixieland dans le ring, pour se plaindre, interrompue par Kurt Angle, qui demande à la police de NYC (dont un avec un gros tatouage - on y croit à fond ^^) d'intervenir, et d'évacuer EC3 & co. Amusant.

- Gunner et Shaw se font confiance, sans rancune.

- La Team Dixieland tente de soudoyer les flics jusque dans la rue.

- Anderson vs Gunner. Un début de match sans réaction du public, qui commence à chanter des trucs sans rapport (CM Punk et le thème d'Adam Rose, il me semble), avant l'intervention des ciseaux du monteur de la TNA, et de Shaw, qui met fin au match, reçoit un "Thank you Dexter" du public, et clot le segment. Passons.

- Le post-crash de la semaine dernière, avec Bully qui chante "Ding Dong the Witch is Dead" sur le cadavre d'une Dixie qui reste immobile dans le ring pendant trois plombes.

- Love vs Sky vs Gail & Taryn, KO title match. Assez inégal, selon la lutteuse qui attaque ou défend. RAS.

- MLK se contrefoutent du sort de Dixie.

- MLK vs Aries, Roode & EY. Trios match solide et dynamique, avec une Spear mémorable.

- H*V*K is coming.

- Les Wolves sont attentifs à la suite du show.

- Abyss veut récupérer Janice, Bram et Magnus approchent, confiants. Bram trolle Abyss, et zou, un Full Metal Mayhem/Stairway to Janice est booké, avant un mini-brawl. Un segment un peu inégal dans son rythme.

- James Storm, qui développe un peu plus son personnage de laveur de cerveau avec "The Great Sanada". J'aime bien ce développement, même si ça crie déjà un peu partout au plagiat de la Wyatt Family... ^^

- Hardyz vs Team 3D. Très bon main event, avec quelques spots bien amenés.


 

Un show plus déséquilibré que les semaines précédentes, avec le gros de l'action confiné à la seconde heure de show, une première heure servant de transition et de reboot post-Dixie, et un public un peu plus dissipé & distrait que précédemment. Cela dit, ça reste tout à fait honorable, bien qu'un peu en dessous de ce à quoi les tapings new-yorkais nous avaient habitués.

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Un film, un jour (ou presque) #34 : The Art Of The Steal (2013)

Publié le 13 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Thriller, Canada

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

The Art of the Steal :

Crunch Calhoun, motard et ancien meneur d'une bande de cambrioleurs de haute voltige, décide de remonter son groupe de malfaiteur pour monter un dernier casse... mais rien ne se déroule comme prévu.

Un film de casse semi-comique, canadien, qui bénéficie surtout d'un casting quatre étoiles : Kurt Russell, Jay Baruchel, Katheryn Winnick, Matt Dillon, Jason Jones, Terence Stamp...

Malheureusement, si le métrage possède un capital sympathie certain, il peine à captiver au final : la faute à un script assez paresseux, dérivatif et mal rythmé, qui tente des retournements de situation, mais s'embrouille un peu trop pour que ceux-ci aient l'impact voulu.

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #33 : Hotel Noir (2012)

Publié le 12 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Hôtel Noir :

À Los Angeles, à la fin des années 50, un flic (Rufus Sewell) poursuivi par des tueurs se réfugie dans un hôtel où, au cours de la nuit, il va faire la connaissance de tous ses occupants, et de leurs destinées qui s'entremêlent...

Un pastiche de film noir signé par le couple Guttierez/Gugino, et qui suit la formule habituelle des films de cette équipe : des jolies filles, des acteurs connus, des caméos un peu partout, et une tendance à faire dans la nostalgie, le dialogue impertinent et les personnages féminins forts.

Pas désagréable, mais trop brouillon et décousu pour véritablement fonctionner.

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #32 : 51-50 Mall Cop (2005)

Publié le 11 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Policier

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

51-50 Mall Cop :

Frank, un agent de sécurité dans un centre commercial, perd son bras dans un accident de travail ; lorsqu'il revient, plus tard, sur les lieux de l'incident, il fait la connaissance de Donna, sa remplaçante, une jeune femme séduisante, mais timide...

Une comédie indépendante typique du genre, à savoir décalée et plus proche d'une tranche de vie bizarre que d'une véritable comédie.

Ici, tout tourne autour de l'ambiance, une ambiance étrange et cotonneuse, presque pesante, avec des personnages autres et des situations improbables, dans un environnement intemporel, qui rappelle fortement les 80s.

Étrangement, cependant, ça fonctionne par moments, principalement parce que la distribution est sympatoche (Jennifer Morrison, notamment, est assez amusante en punkette éprise de Kathleen Robertson). Cela dit, le rythme est assez bancal et la structure du scénario, à base de retours en arrière pour un autre point de vue, peine à vraiment convaincre.

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #31 : G.B.F. (2013)

Publié le 10 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Jeunesse

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

G.B.F. :

Tanner (Michael J. Willett) & Brent (Paul Iacono) sont deux lycéens secrètement gays, dans un établissement où les trois cliques les plus populaires sont à la recherche d'un GBF, un Gay Best Friend. Lorsque Tanner devient la coqueluche du lycée, cependant, la relation des deux amis change à jamais...

Une teen comedy LGBT très satirique et outrancière, assez inégale tant dans son intérêt que dans son interprétation. Ce n'est pas désagréable à regarder, et le message reste tout à fait recommandable, mais un peu moins de flamboyance (je sais, le sujet ne se prête guère à de la retenue ^^) aurait été la bienvenue. Et puis il y a quelque chose d'amusant dans ce défilé d'anciennes teen actresses qui se lâchent ici gentiment... ne manquait que Lohan, en fait,

3/6

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Catch Review : Chikara - 14x02 - Quantum of Solace (21/06/2014)

Publié le 10 Août 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, Chikara

Malgré mon indifférence globale devant le précédent show de la compagnie, You Only Live Twice, servant de reprise après son année de hiatus, je continue cette saison en cours, avec un nouveau show intitulé d'après un James Bond, QoS.

- Submission Squad vs The Throwbacks. Un match match gentillet, sans plus. De l'ouverture de carte honorable.

- Heidi Lovelace vs Ophidian. Un match mixte assez méthodique et semi-technique, qui ne passe malheureusement jamais la seconde, et se contente d'enchaîner des tentatives de tombé, des kicks et des transitions travaillées mais relativement lentes. Pas forcément mauvais, mais les commentateurs décrivant le match comme un affrontement épique et hors-du-commun finissent par être contre-productifs.

- Quack dans le ring au micro, pour passer un peu de brosse à reluire communautariste à ses fans-qui-sont-les-meilleurs-du-monde blablabla.

- Baltic Siege (Latvian Proud Oak & Lithuanian Snow Troll) vs Block Party (Mr Azerbaijin & Prakash Sabar). Un comedy match tout droit sorti des promotions dérivées de la Chikara, avec des visages connus sous des masques improbables. Autrement dit, c'est de la pantalonnade amusante, mais finalement assez peu mémorable, notamment vu le finish en queue de poisson.

- deviANT vs Worker Ant. Un semi-brawl/semi-match-stratégique assez moyen, sans rien de particulièrement original ou spectaculaire.

- Pieces of Hate (Shard & Jigsaw) vs AC/DC. Tag match tranquille, avec passage en slo-mo obligatoire pour Corben, qui se transforme alors en John Cena. Pour être franc, la slo-mo commence à devenir un peu clichée systématique, mais elle fonctionne tout de même, principalement parce que les fans et les commentateurs jouent le jeu à 200%.

- Proletariat Boar of Moldova vs Estonian Thunderfrog. Encore un match made in WiF, encore un match moyennement sérieux, et encore un affrontement assez rapidement oubliable, d'autant que le Boar est un lutteur mollasson, hésitant et peu convaincant.

- Blaster McMassive & Oleg the Usurper & Jaka vs Spectral Envoy. Trios match assez classique pour le Spectral Envoy, qui maîtrise parfaitement le genre. En face, on est assez désordonné, et nettemment moins rodé au genre, donc un affrontement assez inégal, avec des problèmes de placement occasionnels.



Bref, deux heures assez quelconques, voire médiocres, et l'impression de voir un show de Wrestling is Fun plutôt que de la Chikara. C'est particulièrement anodin, plat et oubliable, tout ça.

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Un film, un jour (ou presque) #30 : Divergente (Divergent - 2014)

Publié le 8 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Science-Fiction, Action, Fantastique, Romance, Jeunesse

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Divergente (Divergent) :

Dans un Chicago dystopien où la société est divisée en cinq factions, les adolescents deviennent des adultes en choisissant leur groupe d'appartenance, et en modelant leur vie sur celle de leurs semblables ; mais Beatrice (Shailene Woodley) est divergente : elle ne se reconnaît dans aucun des groupes, et décode de remettre en question son avenir en rejoignant les Audacieux, la faction rebelle et cool...

Une adaptation young adult de plus, qui constitue un joli paradoxe : ça se veut posséder un message anti-conformiste et intelligent, une sorte de "trouve ton propre chemin, ta propre identité, et refuse de te couler dans un moule", ça se veut original... et pourtant, c'est affreusement insipide, basique et sans la moindre originalité.

Ça suit donc pas à pas les clichés habituels du genre young adult dystopien à la Hunger Games, ça ne dépasse jamais le niveau d'un high-school movie où les cliques seraient remplacées par ces factions, avec les mêmes rivalités, les mêmes romances, les mêmes platitudes, etc... bref, c'est à se demander si ça n'a pas été écrit par une adolescente à peine sortie du lycée (réponse : c'est apparemment quasiment le cas, puisque l'auteure avait tout juste la vingtaine quand elle l'a écrit, après plusieurs années de réflexion) tant c'est médiocre d'un point de vue narratif. 

Quant à cette adaptation, les acteurs font de leur mieux, mais ça reste un tout particulièrement mollasson, niais et puéril, avec des personnages caricaturaux, sans épaisseur, et un métrage qui se traîne lentement pendant 110 minutes, pour virer semi-actioner pendant sa dernière demi-heure, et mettre alors en place les suites de cette trilogie (que je ne verrai clairement jamais). Bref, un énorme bof... typiquement le genre de film qui, à l'instar de Hunger Games, sert clairement la soupe à son public cible, mais n'a aucun véritable intérêt intrinsèque pour les autres catégories démographiques.

1/6

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Catch Review : TNA Impact Live (07/08/2014)

Publié le 8 Août 2014 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Après un Destination X plus que réussi, la TNA continue d'ignorer les rumeurs idiotes du web, et enchaîne avec la suite des tapings new-yorkais...

- La team ECW est confiante, et prête à foutre le souk.

- Tonight, #ithappens.

- Abyss vs Bram, Monster's Ball. Un public bouillant et ultra-motivé pour un match hardcore assez classique, mais néanmoins efficace. Bram continue d'assurer.

- Joe satisfait de retrouver la X-Div, mais moins content de revoir Ki.

- La Team EC3 est confiante, et trolle gentiment l'héritage de l'ECW. À nouveau, EC3 s'avère excellent au micro.

- La Team MLK parade dans le ring, avec un paquet de bimbos. MVP hype un peu Lashley, sous les huées du public. Roode arrive, reçoit un accueil de superstar de la part des fans new-yorkais, et nous fait une bonne promo qui remet les choses à leur place, jusqu'à ce que King et MVP le démolissent. Sauvetage de Aries et EY, qui mettent MLK en fuite.

- Anderson continue de troller Shaw/Gunner.

- La Team ECW refuse de dévoiler l'identité de leur partenaire.

- Bromans vs Anderson, Shaw & Gunner. Anderson, uber populaire à NYC, trolle toujours Shaw, mais perd malgré un gros coup de main enthousiaste de Samuel.

- Dixie se motive avec King Mo.

- Anderson et Gunner s'engueulent backstage, séparés par Shaw, qui reste humble et s'excuse.

- Team EC3 vs Team ECW. Hardcore War. Un Gauntlet assez sympa - bien que se limitant, au final, à de l'action hardcore assez basique, ce qui n'a jamais été mon style préféré - avec un comeback assez jouissif d'Al Snow et de sa tête en plastoc, et un public déchaîné. La Team ECW trolle un peu Dixie, qui se planque derrière King Mo.

- Les Beautiful People font le trottoir marchent backstage.

- EC3 est déçu de ses coéquipiers, mais persiste et signe.

- Alove exige son rematch, Taryn l'interrompt, ALove trolle le public, Gail se pointe, et organise un four-way pour le titre, la semaine prochaine. Microbrawl pour finir, malgré le manque d'intérêt évident du public.

- Storm continue de laver le cerveau de Sanada.

- Havok is coming.

- Bully est content de sa soirée, et en veut plus encore.

- Sanada (w/Storm) vs Low Ki vs Joe, X-Div Title. Le main event spot pour la X-Div, ça fait plaisir, surtout quand le match est bon, et que Joe remporte le titre. Le feud inévitable Joe/Low Ki devrait être excellent.

- Dixie pête un cable, vire Zeke et Snitsky, insulte le public, jusqu'à l'arrivée de la Team ECW. Et ensuite... #ItHappened. Assez impressionnant à voir, je dois dire, avec le public en délire, le roster qui encourage le tout, et Dixie qui morfle (bon, elle n'était tout de même pas très rassurée, cela dit, ça se voyait par moment durant les segments précédents.)


 

Un show dans la direct lignée des Impacts précédents, avec de l'action, un public en délire, et un finish mémorable. Bien sûr, l'interwebz se plaint déjà, et accuse la TNA de misogynie et de sexisme, de promouvoir les violences contre les femmes, etc... le plus drôle étant qu'en parallèle, ce sont les mêmes qui se plaignent du PG, du politiquement correct de la compétition, du manque de violence, et des trop nombreuses limites imposées au catch moderne... *soupir*

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Un film, un jour (ou presque) #29 : La Belle et la Bête (2014)

Publié le 6 Août 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Drame, Romance, Jeunesse, France, Fantastique

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

La Belle et la Bête :

Afin de préserver la vie de son père, Belle accepte de se sacrifier, et de vivre dans le château de la mystérieuse Bête, un Prince maudit à l'apparence bestiale. Après quelques temps passés en sa compagnie, Belle finit par tomber amoureuse...

Par tous les saints, quelle daube abyssale.

Alors attention, c'est assez joli, visuellement, même si on n'évite pas l'abus de CGI et autres rustines numériques pour les paysages... mais le visuel, ça reste le domaine de prédilection de Christophe Gans, donc ça assure un minimum.

Le reste, par contre, c'est un plantage absolu : les acteurs récitent tous leur texte de manière robotique ; Lea Seydoux est froide, distante et fausse ; la Bête est laide et jamais crédible visuellement ; le scénario est mal structuré et l'on ne croit jamais à l'histoire d'amour centrale ; les créatures en CGI ne servent à rien ; la montée en puissance est inutile et mal gérée... bref, le film est la définition même d'une coquille vide, un navet friqué qui repompe à droite et à gauche sans jamais convaincre sur aucun plan.

1/6

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