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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Résultat pour ""good place""

Critiques éclair - Star Trek Discovery - Short Treks 2x01-03 (2019)

Publié le 23 Novembre 2019 par Lurdo dans Critiques éclair, Les bilans de Lurdo, Review, Science-Fiction, Star Trek, Télévision, Aventure, Drame, CBS, Discovery

Retour de ces Short Treks, courts-métrages d'un petit quart d'heure prenant place dans la continuité de Star Trek Discovery, et s'attardant, à chaque fois, sur des aspects plus anecdotiques de l'univers Trek...

Short Treks 2x01 - Q & A :

Spock (Ethan Peck) arrive à bord de l'Enterprise, et se retrouve rapidement coincé avec Numéro Un (Rebecca Romijn) dans un turbolift en panne...

Une petite mésaventure amusante de ces deux personnages, qui se dévoilent un peu et établissent une certaine complicité au cours de ce bref incident. Sympathique, avec sa musique qui lorgne fortement sur le score de Michael Giacchino pour les films nuTrek (Giacchino est crédité comme étant "compositeur superviseur").

Cela dit, il faut bien avouer que ce court est problématique, puisqu'il ne fait que donner envie de suivre les aventures de cet Enterprise, et pas du tout celles du Discovery...

2x02 - The Trouble with Edward :

Lorsque Lynne Lucero (Rosa Salazar), officier scientifique de l'Enterprise, prend le commandement de son propre navire, elle découvre rapidement qu'Edward Larkin (H. Jon Benjamin), un scientifique excentrique travaillant à bord, mène des expériences sur les Tribules, pour en faire une source de nourriture inépuisable...

Un épisode totalement décomplexé et parodique, avec la voix d'Archer dans le rôle du scientifique le plus incapable de la flotte = c'est franchement amusant et déconneur, même si ce n'est, au final qu'une retcon approximative des origines des Tribules, qui ne colle pas vraiment à ce que l'on sait de l'espèce, notamment depuis Enterprise.

2x03 - Ask Not :

Alors que le la Starbase 28 est attaquée par des Tholiens, Thira Sidhu (Amrit Kaur), une jeune cadette, apprend qu'elle doit garder le Capitaine Pike (Anson Mount), accusé de mutinerie...

Un épisode de 8 minutes à peine, malheureusement très anecdotique, car cousu de fil blanc, et dont on devine la chute dès les premières secondes. Par chance, ça reste bien interprété, mais le problème reste posé : malgré leurs éventuels défauts, ces Short Treks donnent toujours bien plus envie qu'une série sur l'Enterprise de Pike soit mise en chantier, plutôt qu'une nouvelle saison de Discovery...

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Retrouvez aussi toutes les critiques de Star Trek Discovery et de la saga Trek publiées sur ce blog en cliquant ici...

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Critiques éclair - Star Trek Discovery - Short Treks 2x04-05 (2019)

Publié le 12 Janvier 2020 par Lurdo dans Aventure, Animation, Anthologie, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Jeunesse, Les bilans de Lurdo, Review, Science-Fiction, Star Trek, Télévision, Discovery

Après trois premiers épisodes amusants, mais ne donnant qu'une envie (regarder une série consacrée à l'Enterprise de Pike plutôt qu'au Discovery), retour de ces Short Treks, courts-métrages d'une dizaine de minutes prenant place (théoriquement) dans la continuité de Star Trek Discovery, et s'attardant, à chaque fois, sur des aspects plus anecdotiques de l'univers Trek...

Short Treks 2x04 - The Girl who made the Stars : afin de calmer sa fille Michael Burnham, apeurée par le noir, son père lui raconte une légende africaine concernant une fillette ayant apporté la lumière aux peuples primitifs effrayés par l'obscurité...

Pas désagréable, en soi, mais ça lorgne fortement sur du Disney qui se prendrait mollement les pieds dans le tapis du message de curiosité et d'exploration qu'il veut exprimer. Je ne sais pas trop quoi en penser, c'est compétent, mais il y a quelque chose qui me dérange dans le côté "grâce à son courage et à sa curiosité, elle a apporté la lumière et les étoiles à son peuple (après qu'un extraterrestre de passage les lui ai donnés, influençant de fait l'évolution de l'espèce terrestre)".

Je sais qu'on est dans le conte pour enfants, dans la métaphore, et tout et tout, mais quelque part, ça explique beaucoup de choses sur le caractère rebelle et approximatif de Michael Burnham...

2x05 - Ephraim and Dot : les mésaventures d'une mère tardigrade qui décide de pondre ses œufs à bord de l'Enterprise de Kirk, au grand dam d'un robot de sécurité qui ne l'entend pas de cette oreille...

Un adorable épisode animé réalisé et mis en musique par Michael Giacchino, qui pour l'occasion nous produit un court-métrage hommage à Tex Avery, à Pixar et à toute l'histoire de Star Trek TOS, d'une bien belle manière ludique et dynamique.

C'est drôle, c'est mignon, c'est coloré, et forcément, ça a déplu à cette frange de la fanbase Trek qui prend sa franchise trop au sérieux, s'indigne du moindre manquement à la continuité, et t'explique que Star Trek, ça n'a jamais été tous publics, et que ça devrait être réservé à une élite intellectuelle, plutôt que d'être décliné sous forme de sous-Pixar destiné aux gamins... *soupir*

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Retrouvez aussi toutes les critiques de Star Trek Discovery et de la saga Trek publiées sur ce blog en cliquant ici...

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Un film, un jour (ou presque) #1705 : SEMAINE SF RÉTRO - BONUS : D.A.R.Y.L. (1985)

Publié le 1 Août 2022 par Lurdo dans Review, Critiques éclair, Cinéma, Fantastique, USA, Science-Fiction, Jeunesse, Aventure, Science Fiction, Angleterre

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

D.A.R.Y.L. (1985) :

Lorsque le petit Daryl (Barret Oliver), amnésique, est retrouvé errant dans les bois, il est rapidement placé dans la famille Richardson (Michael McKean, Mary Beth Hurt), où il redécouvre la vie d'un petit garçon comme les autres, aux côtés de son nouvel ami Turtle (Danny Corkill). Mais Daryl n'est pas un garçon comme les autres : plus intelligent, plus rapide, plus précis, il possède un cerveau cybernétique conçu en laboratoire, et l'armée américaine semble bien décidée à remettre la main sur lui...

Allez, un petit film bonus pour vraiment conclure la semaine SCIENCE-FICTION RÉTRO qui s'est (théoriquement) achevée hier : D.A.R.Y.L., un métrage vu dans ma jeunesse mais dont je ne garde absolument aucun souvenir... hormis son affiche, en fait.

Et effectivement, en voyant ce métrage gentillet mais assez générique, je comprends pourquoi. DARYL n'est pas forcément un mauvais film, mais c'est un film qui aurait très bien pu être produit pour le Disney Channel, et qui ne sort jamais des sentiers battus : la réalisation est assez plate, le film n'est jamais particulièrement dynamique ou rythmé (la poursuite en voiture, notamment, est un peu pépère), l'illustration musicale est datée, et l'interprétation est inégale (Turtle n'est pas exceptionnel, par exemple).

Après, ça se regarde, ça a bon fond, et les spectateurs les plus nostalgiques devraient fermer les yeux sur les défauts du tout, mais personnellement, je suis largement resté sur ma faim (en particulier dans le dernier tiers, avec la fin à bord du Lockheed, qui manque cruellement de tension). Bof, en somme.

2.75/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Un film, un jour (ou presque) #1783 : Maurice le chat fabuleux (2022)

Publié le 3 Mars 2023 par Lurdo dans Animation, Aventure, Comédie, Critiques éclair, Cinéma, Fantastique, Review, Jeunesse, UK, USA, Allemagne

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Maurice le chat fabuleux (The Amazing Maurice - 2022) :

Chat sarcastique doué de parole suite à un incident magique, Maurice (Hugh Laurie) accompagne Keith (Himesh Patel), un humain joueur de flûte, et une troupe de rats eux aussi doués de parole et d'intelligence (Gemma Arterton, David Tennant, Joe Sugg, Julie Atherton...), de ville en ville, où ils se produisent dans un numéro bien rodé leur permettant de faire croire aux habitants qu'ils sont envahis de rats et que Keith peut les sauver moyennant finances. Jusqu'à ce qu'ils arrivent à Bad Igoince, où vit Malicia (Emilia Clarke), une ville affamée victime d'une réelle invasion de rats contrôlés par une entité maléfique (David Thewlis)...

Jolie distribution vocale pour cette adaptation du roman Le Fabuleux Maurice et ses rongeurs savants de Terry Pratchett, une parodie du Joueur de flute de Hamelin prenant place dans l'univers du Disque-Monde, et ici adapté par le scénariste de Shrek, d'Aladdin et des Pirates des Caraïbes.

Une coproduction anglo-germano-américaine plutôt fidèle à l'œuvre originale, que ce soit dans l'esprit ou dans la lettre, et qui s'avère assez agréable à regarder, bien qu'occasionnellement un peu décousu et au rythme inégal. Heureusement, les doubleurs excellents et l'humour inhérent à l'œuvre de Pratchett assurent que l'on ne s'ennuie jamais.

Après, le film n'est pas dénué de défauts : le style graphique, notamment, est assez dérivatif (l'un des chasseurs de rats de la ville ressemble comme deux gouttes d'eau au Maire du Noël de Mr. Jack), et le personnage de Malicia est honnêtement assez horripilant avec ses dialogues méta qui brisent constamment le quatrième mur (je sais que c'est inhérent au personnage, mais ça passe assez mal à l'écran, même si Emilia Clarke est excellente).

Rien de rédhibitoire, cela dit, et en tant qu'adaptation de Pratchett, ce Maurice est tout à fait honorable.

3.75/6

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Un film, un jour (ou presque) #1765 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : I Want You Back (2022)

Publié le 9 Février 2023 par Lurdo dans Comédie, Critiques éclair, Romance, USA, Amazon, Review, Cinéma, St Valentin

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...

I Want You Back (2022) :

Tous deux subitement célibataires, Peter (Charlie Day) et Emma (Jenny Slate) se rencontrent dans une cage d'escalier et sympathisent. Rapidement, ils mettent au point un plan machiavélique : Peter va tenter de devenir l'ami de Noah (Scott Eastwood), l'ex d'Emma, pour faire capoter son nouveau couple avec la jolie Ginny (Clark Backo), pendant qu'Emma, elle, va tout faire pour séduire Logan (Manny Jacinto), le nouveau compagnon artiste d'Anne (Gina Rodriguez), l'ex de Peter, et provoquer leur rupture....

Une comédie romantique indépendante légèrement corrosive qui, malgré deux acteurs principaux qui ne comptent pas, habituellement, parmi mes acteurs préférés (au contraire), s'avère plutôt sympathique et attachante.

Cette production Amazon ne surprendra pas tant par ses grandes lignes, somme toute très prévisibles (mais bien menée), que par ses digressions excentriques : ici, un numéro touchant issu de The Little Shop of Horrors, là, une amitié improbable qui se noue entre Emma et un enfant...

Et si, effectivement, tout cela rallonge un peu trop la sauce (le film frôle les deux heures, ce qui est un peu inutile), ça donne aussi du corps à cette histoire, et à ces personnages que l'on apprend à apprécier, jamais manichéens et toujours bien développés.

Une bonne surprise, à la fois drôle (sans sombrer dans le cringe) et touchante.

4.25/6 

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Un film, un jour (ou presque) #1789 : SEMAINE IRLANDE - Deadly Cuts (2021)

Publié le 13 Mars 2023 par Lurdo dans Comédie, Critiques éclair, Cinéma, Review, Irlande, Thriller, St Patrick

Pendant une semaine, comme chaque année, les Téléphages Anonymes fêtent l'Irlande à l'occasion de la Saint Patrick, le 17 mars !

Deadly Cuts (2021) :

Dans une petite ville de la banlieue de Dublin, les employées d'un salon de coiffure (Angeline Ball, Erica Roe, Shauna Higgins, Lauren Larkin) qui préparent un grand concours national sont contraintes de se débarrasser de manière sanglante d'un petit caïd local (Ian Lloyd Anderson), ce qui va renforcer leurs liens et les remotiver dans leur préparation...

Une comédie irlandaise sympathique, mais inégale, qui hésite constamment entre film noir corrosif sur des coiffeuses en mode justicières en lutte contre le crime et la corruption, et grosse parodie du monde de la mode et la coiffure, avec grand concours rigolard, interprétation très caricaturale, looks improbables, et tout et tout.

Le problème étant que la parodie prend très largement le pas sur le film noir, qui s'éclipse pendant un bon tiers du film pour laisser la place au concours, et à cette histoire très anglaise d'un groupe de coiffeuses qui tente de sauver son village d'un méchant développeur aux dents longues.

Résultat, on se retrouve avec un film qui a le postérieur entre deux chaises, jamais assez noir ou sanglant pour que le côté criminel du tout ne fonctionne, et trop décalé et parodique pour que l'on prenne le tout au sérieux un seul instant.

Après, ça reste amusant, et tout le monde s'y donne à cœur joie, mais ça manque de maîtrise.

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #1767 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : About Fate (2022)

Publié le 11 Février 2023 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Fantastique, USA, Review, St Valentin

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...

About Fate (2022) :

Margot (Emma Roberts) et Griffin (Thomas Mann) sont faits l'un pour l'autre, vivant des vies similaires, avec des intérêts similaires, des chats similaires et des caractères compatibles... mais ils sont tous deux fiancés à quelqu'un d'autre, et ne se connaissent pas. Jusqu'à ce que Kip (Lewis tan), le petit ami de Margot, la plaque lors d'une soirée au restaurant, à quelques mètres de Griffin et de sa petite-amie influenceuse (Madelaine Petsch), sur le point de se fiancer. C'est là le début d'une suite de coïncidences improbables, qui vont amener Griffin à se faire passer pour Kip et à accompagner Margot au mariage de sa sœur...

Adaptation américaine d'une comédie romantique russe, ce About Fate m'a laissé assez mitigé, accumulant les coïncidences improbables, les feintes scénaristiques qui ne fonctionnent pas vraiment (tout le quart d'heure d'ouverture filmé face caméra et monté de façon à faire croire que Margot et Griffin se parlent et vivent ensemble), les personnages féminins unanimement déglingués, hystériques et incontrôlables (les personnages masculins, bizarrement, s'en sortent mieux), un flashback totalement inutile sur le couple d'afro-américains croisé dans une scène, et un récit assez prévisible dans l'ensemble (le coup du "je me fais passer pour ta/ton petit-ami(e) lors du mariage de X ou Y où tu es invité(e), et on tombe amoureux", c'est du grand classique exploité jusqu'à plus soif par Hallmark et compagnie).

Pourtant, le métrage n'est pas désagréable pour autant, avec son ambiance hivernale et festive (qui aurait très bien pu faire entrer ce film dans le cadre de la dernière Christmas Yulefest), une Emma Roberts toujours très attachante, et un Thomas Mann sympathique... ça se regarde facilement, en somme, même si pour être totalement franc, ça ne me laissera pas forcément un souvenir très probant : à trop jouer la carte des coïncidences et du destin, on quitte la réalité pour entrer de plein pied dans une structure narrative fantaisiste et artificielle...

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #1768 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : L'Amour triomphe toujours (2022)

Publié le 12 Février 2023 par Lurdo dans Comédie, Cinéma, Critiques éclair, Romance, Télévision, USA, Review, St Valentin, Canada

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

L'Amour triomphe toujours (Be Mine, Valentine - 2022) :

Organisatrice de demandes en mariage excentriques, Piper Davis (Kaitlyn Leeb) est débordée à l'approche de la Saint Valentin, lorsque Jordan (Christopher Jacot), un nouveau client, lui demande son aide. Elle accepte néanmoins, sans se douter que Jordan et son compagnon Simon (Charlie Benger) n'ont pas grand chose en commun. Pour l'aider à gérer ce couple difficile, elle peut néanmoins compter sur l'aide d'Adam (Brendon Zub), le frère de Simon, pourtant peu enclin à la romance et spécialiste en séparations... mais qui va se laisser prendre au jeu de la jolie Piper.

Une comédie romantique canadienne assez générique et peu mémorable, qui vaut principalement pour la diversité des couples dont s'occupe l'héroïne, et pour le capital sympathie de Kaitlyn Leeb, qui fait toujours une protagoniste attachante et intéressante.

Le reste n'est pas vraiment très marquant, pour être franc, notamment Zub, qui ne m'a jamais paru être un love interest très charismatique ou intéressant dans ses films, et qui ici ne fait pas grande impression.

Un bon gros bof, en somme (c'est le genre de téléfilm qui passerait, outre-atlantique, sur UpTv ou ION, et pas sur de plus grandes chaînes), même si ce n'est pas désastreux (Leeb mérite mieux, cependant).

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #1764 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Love Accidentally (2022)

Publié le 8 Février 2023 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Romance, Critiques éclair, USA, Amazon, Review, St Valentin

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...

Love Accidentally (2022) :

Publicitaires rivaux ne se supportant pas et en constante compétition, Alexa (Brenda Song) et Jason (Aaron O'Connell) ne se parlent que pour s'insulter. Sauf par SMS, car un accident téléphonique les a mis en contact par texto, sans qu'ils connaissent l'identité l'un de l'autre : ils commencent alors à faire connaissance et à se rapprocher, sans deviner qu'ils sont en réalité prêts à s'étriper pour la même promotion...

Une comédie romantique Amazon FreeVee au budget très limité et qui aurait aussi bien pu être diffusée sur UpTv ou Ion, tant elle est générique et convenue au possible : encore une fois, on est ici en pleine relecture de Vous avez un message et de Rendez-vous (voir aussi ) appliquée au monde "merveilleux" des publicitaires, et avec, comme souvent, une actrice connue sur le retour dans le rôle de la patronne au grand cœur (Denise Richards).

La production est compétente mais aseptisée, le casting secondaire assez transparent, l'intrigue est cousue de fil blanc, ça cite Jane Austin, bref, c'est un production Hybrid assez typique... mais j'ai vu bien pire.

Après, je ne suis pas forcément objectif, puisque j'ai beaucoup d'affection pour Brenda Song, qui mériterait une carrière plus florissante, mais outre le couple principal sympathique (et pourtant, ça partait mal, avec un Jason particulièrement tête à claques), la réalisation a la bonne idée de mettre en scène ses échanges de SMS de façon dictée, évitant ainsi les scènes répétitives d'acteurs en train de faire semblant de tapoter sur leur smartphone tandis qu'en voix off, ils lisent mollement le contenu de leur correspondance : ici, au moins, ils vocalisent leurs dialogues, et cela leur donne plus de vie.

Ça ne sauve pas le métrage, mais ça lui permet presque d'atteindre la moyenne.

2.5 + 0.25 pour Brenda Song = 2.75/6

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Un film, un jour (ou presque) #1766 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Two Tickets to Paradise (2022)

Publié le 10 Février 2023 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Hallmark, Télévision, Romance, USA, Review, St Valentin

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...

Two Tickets to Paradise (2022) :

Lorsqu'ils se rencontrent, quelques minutes après avoir été tous deux abandonnés devant l'autel, Hannah (Ashley Williams) et Josh (Ryan Peavey) se motivent mutuellement à laisser derrière eux cette mauvaise expérience, et à partir en lune de miel solo, chacun de son côté. Sans le savoir, cependant, le duo se retrouve à Hawaï, où ils partagent ces vacances improvisées et apprennent à se connaître...

Une rom-com Hallmark ensoleillé et dynamique, qui ne se prend jamais au sérieux, et qui a été tournée à Hawaï, avec ce que ça implique de décontraction et de semi-vacances au soleil pour un Peavey goguenard et une Ashley Williams qui se lâche totalement.

Le résultat est donc clairement rigolard, avec une interprétation volontairement un peu outrée, un Peavey qui passe de multiples scènes à parader ses muscles de manière totalement gratuite (et un peu risible, son surf sous le bras), des acteurs qui s'amusent, des seconds rôles locaux et de beaux paysages, le tout à peine justifié par la chanson-titre "Two Tickets to Paradise".

Une bonne surprise, donc, assez enjouée et légère, à laquelle on pourrait peut-être reprocher le sempiternel "retour du petit-ami" dans le dernier quart d'heure, et le couple gay à la limite de la caricature (mais qui a le mérite d'exister, un peu comme le couple lesbien que l'on voit passer à un moment en arrière-plan).

3.75/6

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Un film, un jour (ou presque) #1769 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : 7 Days (2021)

Publié le 13 Février 2023 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Review, USA, St Valentin, Drame, Inde

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

7 Days (2021) :

Alors que la pandémie de la COVID commence à peine à faire des ravages, Ravi (Karan Soni) et Rita (Geraldine Viswanathan) se rencontrent lors d'un rendez-vous organisé par leurs mères indiennes. Le courant ne passe pas particulièrement, mais lorsque le confinement est subitement ordonné par le gouvernement, Rita et Ravi se retrouvent coincés ensemble pendant plusieurs jours... une situation qui se complique lorsque Rita tombe malade.

Une comédie romantico-dramatique indépendante produite par les frères Duplass, et se concentrant sur les premiers jours/premières heures de la pandémie, lorsque l'on ignorait encore tout de la maladie, avec tout ce que cela comportait d'anxiété, de peur, de gestes inutiles, d'habitudes en pleine mutation, d'isolation et de solitude.

Une solitude qui débouche ici sur une histoire d'amour improbable sur fond de mariage arrangé entre enfants de la communauté indienne, et de refus des traditions - ou presque, puisque finalement, les traditions sont préservées et débouchent sur la création d'un nouveau couple, comme prévu par les mères indiennes des deux protagonistes.

Une approche un peu traditionnaliste du genre qui, malgré deux acteurs principaux très attachants, ne m'a pas totalement convaincu, principalement parce que la relation entre Ravi et Rita ressemble plus, dans sa forme et dans son fond, à une belle histoire d'amitié qu'à une histoire d'amour.

3/6 

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Un film, un jour (ou presque) #1772 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Fall Into Winter (2023)

Publié le 16 Février 2023 par Lurdo dans St Valentin, Comédie, Romance, Critiques éclair, Télévision, Cinéma, USA, GAF, GAC, Review

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

Fall Into Winter (2023) :

Parce que son frère, copropriétaire avec elle de leur confiserie familiale, a décidé de vendre ses parts pour suivre son épouse en Angleterre, Kerry (Lori Loughlin), très attachée à la tradition, se retrouve à devoir composer avec Brooks (James Tupper), le nouveau copropriétaire, un entrepreneur ambitieux que Kerry connaît (et déteste cordialement) depuis le lycée. À l'approche de la Winterfest locale, les deux collègues apprennent alors à s'apprivoiser, malgré les nombreux projets de transformation de Brooks...

Visiblement, les valeurs chrétiennes qui animent la chaîne GAF et empêchent celle-ci de mettre à l'écran des personnages ne représentant ces valeurs familiales ne s'étendent pas aux actrices condamnées, puisqu'après quelques mois en prison pour corruption, et deux années de liberté conditionnelle, revoilà Lori Loughlin (par ailleurs toujours kickbannée de la chaîne Hallmark) dans une comédie romantique hivernale, face à un James Tupper qui a pris un coup de vieux.

Cela dit, l'interprétation décontractée de ce dernier reste toujours efficace, et dans cette romcom pour quinquagénaires, il se pose efficacement en contraste d'une Lori Loughlin en mode psychorigide refusant le changement et constamment sur la défensive. D'ailleurs, globalement, j'ai trouvé l'écriture de ce métrage un peu meilleure que la moyenne, plus mature, même si l'on n'échappe pas au quiproquo de dernière minute bien balourd, de mise dans tous les téléfilms du genre.

Après, il y a toujours des défauts récurrents, comme la romance secondaire des deux sidekicks noirs sous-développés, la musique fréquemment envahissante, et autres éléments génériques, mais dans l'ensemble, compte tenu des précédents de la chaîne, je m'attendais à bien pire.

3.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #1761 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Fly Away With Me (2022)

Publié le 5 Février 2023 par Lurdo dans Hallmark, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Romance, Télévision, Review, USA, St Valentin

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...

Fly Away With Me (2022) :

Publicitaire rêvant de devenir scénariste, Angie (Natalie Hall) trouve enfin l'appartement de ses rêves, qui est sien à une condition : qu'elle n'y accueille pas d'animal domestique. Pas de problème... sauf qu'à peine installée, un perroquet s'invite chez elle et refuse de partir. Elle ne peut alors compter que sur son séduisant voisin, Ted (Peter Mooney), qui dissimule lui aussi un chien dans son appartement, pour tenter de faire illusion auprès de la propriétaire de l'immeuble, la stricte Gineen (Melinda Michael), le temps de retrouver le propriétaire du volatile...

Comédie romantique Hallmark au postulat capillotracté, et qui ressemble presque plus à une production un peu plus économique pour UpTV ou ION qu'à un métrage Hallmark : c'est léger, certes (peut-être un peu trop, même, ça surjoue pas mal), mais la distribution secondaire (y compris les deux hommes dans la vie d'Angie, et la propriétaire des lieux) est particulièrement transparente et caricaturale, guère mise en valeur par le travail peu inspiré du département coiffure et maquillage.

Un bon gros bof, en somme, même si Natalie Hall est toujours très sympathique, et que les deux bestioles ne sont pas désagréables.

2.5/6 (dont 0.25 pour la toute fin, amusante)

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Un film, un jour (ou presque) #1771 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Ticket to Paradise (2022)

Publié le 15 Février 2023 par Lurdo dans Comédie, Cinéma, Critiques éclair, Romance, USA, Review, St Valentin

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

Ticket to Paradise (2022) :

Divorcés depuis des années, David (George Clooney) et Georgia (Julia Roberts) acceptent de faire une trêve dans leur conflit incessant lorsque leur fille Lily (Kaitlyn Dever) leur annonce qu'elle abandonne ses ambitions de devenir avocate pour se marier et s'installer à Bali avec son fiancé. David et Georgia prennent alors l'avion pour assister au mariage, et espérer faire changer leur fille d'avis avant qu'il ne soit trop tard...

Un film à plus gros budget à ne pas confondre avec le Two Tickets to Paradise de Hallmark, et qui boucle la boucle, en quelque sorte, puisque cette quinzaine a débuté avec Kaitlyn Dever, et se termine avec Kaitlyn Dever.

Ici dans un rôle secondaire, certes, mais tout de même. Par contre, malheureusement, ce Ticket to Paradise m'a semblé bien en dessous de son sympathique Rosaline, un résultat bizarrement frustrant compte tenu des acteurs impliqués.

Parce qu'après tout, des décors paradisiaques, deux stars confirmées comme George Clooney et Julia Roberts, un ton à priori pas trop sérieux, des personnages secondaires attachants, le scénariste d'Indian Palace et réalisateur de Mama Mia 2, ça pouvait donner, non, ça aurait dû donner quelque chose d'amusant, de dynamique et de léger.

Et puis non : le script est relativement plat et dénué d'énergie ou de charme, préférant donner un côté doux-amer et semi-dramatique à la relation de Clooney et Roberts (ce qui tue, au passage, leur alchimie romantique), tout en sous-développant tout le reste, notamment la seconde romance du métrage, celle de Kaitlyn Dever et de son prétendant.

Le résultat est un film assez terne malgré de jolis paysages, assez plat malgré un Clooney et une Roberts qui s'amusent (il n'y a qu'à voir le bêtisier final, plus mémorable et amusant que l'intégralité du film), et surtout, au final, c'est une rom-com gentillette et quelconque, trop anecdotique en regard de son potentiel. Bof.

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #1799 : The Honeymoon (2022)

Publié le 23 Mars 2023 par Lurdo dans Action, Cinéma, Critiques éclair, Thriller, Romance, Italie, UK, Review, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

The Honeymoon (2022) :

Adam (Pico Alexander) et sa jeune épouse Sarah (Maria Bakalova) partent à Venise pour leur lune de miel... avec Bav (Asim Chaudhry), le meilleur ami d'Adam, un véritable boulet qui a récemment perdu son emploi et qui songe au suicide. Sur place, cependant, Sarah attire l'attention de Giorgio (Lucas Bravo), un séduisant criminel, qui oblige Adam et Bav à lui servir de mules pour transporter de la cocaïne en Slovénie...

Présenté comme une comédie romantique, ce métrage est en fait plus proche d'une comédie en mode bromance, saupoudrée de comédie semi-romantique assez peu présente, ou plutôt éclipsée par le trait très forcé de tout le côté cringe, avec un Bav tellement caricatural et aux actions tellement imbuvables qu'on en vient rapidement à détester ce personnage mythomane, envahissant et trop cartoonesque pour que l'on parvienne à croire au reste.

Résultat, le film devient rapidement assez laborieux et pénible, et l'on se lasse vite de cette histoire, qui finit par être un peu comme un film de Francis Weber dont le François Pignon serait totalement dénué de tout capital sympathie et mériterait de se faire tuer dès les premières minutes du métrage.

La distribution n'est pas désagréable, et le réalisateur avait pourtant conçu Joyeuses funérailles (2007), qui était plutôt réussi, mais je n'ai absolument pas accroché au ton ou à l'écriture.

1.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #1804 : The Estate (2022)

Publié le 30 Mars 2023 par Lurdo dans Comédie, Critiques éclair, Cinéma, USA, Review

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

The Estate (2022) :

Lorsqu'elles apprennent que leur Tante Hilda (Kathleen Turner), très aisée, est atteinte d'un cancer au stade terminal, Macey (Toni Collette) et Savannah (Anna Faris), en difficultés financières, décident de tenter de revenir dans ses bonnes grâces - et dans son testament. Elles lui rendent donc visite, mais sur place, les deux sœurs découvrent que les autres membres de leur famille sont aussi sur les rangs : Beatrice (Rosemarie DeWitt), hypocrite et manipulatrice très appréciée de sa tante, son époux James (Ron Livingston), chef, et Richard (David Duchovny), séducteur balourd déjà dans les petits papiers de Hilda...

Je l'ignorais totalement durant le visionnage, mais ce The Estate est le fruit du travail du scénariste- réalisateur de Joyeuses Funérailles/Panique aux funérailles, de Love Wedding Repeat, de Moonwalkers et de The Honeymoon, récemment passé en revue dans ces pages.

Autant dire que le côté inabouti et générique du produit fini ne surprend guère, tant les œuvres de Dean Craig sont inégales et semblent toujours manquer de quelque chose : de folie, de rythme, d'énergie, d'originalité... au choix.

Ici, The Estate est une course à l'héritage très conventionnelle, une comédie satirique qui donne l'impression d'avoir été vue et revue des dizaines de fois, et qui est constamment prévisible au possible.

Ce n'est pas forcément désagréable à regarder, principalement parce que les acteurs y mettent du leur (Duchovny est assez amusant en beauf moustachu et musclé voulant séduire sa cousine ; Anna Faris, par contre, en fait encore et toujours trois tonnes de trop, à grand renfort de grimaces), mais dans l'ensemble, on se retrouve encore une fois avec un script qui donne l'impression d'avoir été sous-développé, ou d'être à peine plus qu'une pièce de boulevard. Pas assez mordant, pas assez drôle, pas assez original, pas assez méchant, pas assez pêchu... Mwé.

2.75/6

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Un film, un jour (ou presque) #1811 : SPÉCIAL PÂQUES - L'Âge de glace : La grande chasse aux oeufs (2016)

Publié le 9 Avril 2023 par Lurdo dans Animation, Aventure, Jeunesse, Comédie, Critiques éclair, Pâques, Review, USA

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

L'Âge de glace : la grande chasse aux œufs (Ice Age : The Great Egg-Scapade - 2016) :

Alors que tous les animaux de l'Âge de glace s'affairent à préparer les festivités du printemps qui approche, Sid (John Leguizamo) décide de mettre en place une crèche pour les œufs de ses congénères. Mais Squint (Seth Green), lapin pirate, est bien décidé à se venger de Sid et ses amis, et dérobe tous les œufs, emmenant la petite bande dans une chasse au trésor pour retrouver ces œufs maquillés et cachés dans la nature...

Un petit bonus à l'occasion de Pâques, avec ce mini-épisode de 25 minutes consacrés à l'Âge de glace, qui fête Pâques à sa manière, en trouvant à cette fête pourtant très chrétienne une origine préhistorique relativement amusante. Avec en prime les origines du premier avril.

Après, ça reste l'Âge de glace, une franchise qui a grandement perdu en intérêt à mesure que les suites et spin-offs se sont succédés, et que j'ai totalement cessé de suivre après le deuxième ou troisième film. Donc forcément, là, la moitié des personnages (toujours aussi moches) m'est totalement inconnue, et mon intérêt pour le slapstick et la comédie habituelle de la franchise n'est pas forcément au rendez-vous...

Mais bon, ça se regarde tranquillement, sans plus. 

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Halloween Oktorrorfest 2021 - 21 - Boys from County Hell (2021)

Publié le 25 Octobre 2021 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Drame, Halloween, Horreur, Oktorrorfest, Review, Thriller, UK, Irlande

Chez les Téléphages Anonymes, de fin septembre à début novembre, on fête Halloween et l'Oktorrorfest, un marathon quotidien de cinéma fantastique et d'horreur...

Boys from County Hell (2021) :

Dans un recoin perdu de l'Irlande, le seul titre de gloire de la bourgade de Six Mile Hill est d'avoir brièvement hébergé Bram Stoker, qui se serait inspiré d'une légende vampirique locale pour écrire son Dracula. Seul problème : lorsque Eugene (Jack Rowan) accepte de travailler aux côtés de son père (Nigel O’Neill) au rasage d'une colline voisine, pour faciliter le passage d'un nouvelle route, il réveille malencontreusement Abhartach, le vampire en question, qui s'en prend aussitôt à la petite communauté, mais n'obéit pas forcément aux règles du vampirisme telles que le grand public les connaît...

Une comédie horrifique irlandaise un peu trop inégale pour son propre bien, mais finalement tout à fait regardable, et assez typique de sa ruralité : après une scène d'ouverture in media res très efficace, notamment au niveau des effets spéciaux, le film repart en arrière, pour une bonne demi-heure de mise en place en mode quasi-drame social et campagnard, pas forcément désagréable à suivre, mais jamais particulièrement captivant.

L'humour s'invite enfin au bout d'une grosse demi-heure, en même temps que les vampires, et la petite heure qui suit se déroule de manière tranquille et nonchalante, bien que plus sanglante : de quoi proposer un métrage sympathique, mais pas forcément très mémorable, et qui s'égare ponctuellement dans quelques scènes inutilement caricaturales (la jambe du père).

En fait, on sent clairement que le tout est une version "longue" d'un court-métrage, tant le développement effectué autour de quelques idées fortes est assez inégal. Pas forcément assez horrifique pour marquer, pas forcément assez comique pour emporter totalement l'adhésion, pas forcément assez dramatique pour susciter l'émotion, le film se retrouve le postérieur entre plusieurs chaises, et s'avère, au final, assez moyen.

3/6

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Christmas Yulefest 2020 - 24 - Un fabuleux coup de foudre pour Noël (2020)

Publié le 11 Décembre 2020 par Lurdo dans Christmas, Cinéma, Critiques éclair, Comédie, Hallmark, Noël, Review, Romance, Télévision, USA, Yulefest, Fantastique, Religion

Noël est en chemin : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefestet ce jusqu'à mi-janvier...

Un fabuleux coup de foudre pour Noël (A Godwink Christmas 3 - Second Chance, First Love - 2020) :

Divorcé et au chômage depuis peu, Pat (Sam Page) retourne à Boise avec ses deux fils, pour y retrouver sa mère et passer ensemble les fêtes de fin d'année. Mais sur place, il retombe sur Margie (Brooke D'Orsay), sa petite-amie de lycée, pour qui il a toujours des sentiments...

Nouveau volet de cette anthologie Hallmark adaptée d'une série de livres reposant sur un gimmick, celui des "Godwinks", ces coïncidences improbables qui sont "un signe divin" et qui guident les protagonistes vers le bonheur. Après avoir vu le premier en 2018, j'avais fait l'impasse sur le second téléfilm de la série (intitulé Le fabuleux destin de Noël), faute d'acteurs motivants.

Ici, ce problème ne se pose pas, Brooke D'Orsay et Sam Page sont des valeurs sûres, dont l'alchimie est naturelle et efficace. On ne peut cependant pas en dire autant du reste du film, une romance basique qui ronronne beaucoup, privée de véritables rebondissements, ou d'une intrigue de fond, et victime de "godwinks" affreusement surlignés par un carillon céleste superposé sur la bande son.

Pour ne rien arranger, le casting est assez inégal : si le duo principal, les enfants ou la grand-mère sont sympathiques, le compagnon habituel de Margie ou les deux adolescents choisis pour le flashback peinent à convaincre.

Et puis il y a cette conclusion en voix-off, sur les "véritables" Margie et Pat, une conclusion qui arrive comme un cheveu sur la soupe tant le couple contraste avec les acteurs choisis pour le représenter.

En somme, un téléfilm assez quelconque, qui n'atteint la moyenne que par le capital sympathie de ses personnages principaux, et parce que çà et là, on y trouve quelques notions pas désagréables (j'ai notamment apprécié que Pat et son ex-femme soient toujours en de bons termes, et que celle-ci soit présente le matin de Noël, sans que cela ne suscite la moindre jalousie).

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #1370 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Une New-Yorkaise à la montagne (2021)

Publié le 14 Février 2021 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Hallmark, Review, Romance, Télévision, USA, St Valentin, Canada

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...

Une New-Yorkaise à la montagne (Snowkissed - 2021) :

Citadine jusqu'au bout des ongles, Kate (Jen Lilley) ne jure que par New York... Aussi, lorsqu'elle est envoyée au fin fond du Canada pour une interview, elle est prise au dépourvu. D'autant que l'auteur qu'elle doit rencontrer se fait désirer : dans l'intervalle, elle et sa meilleure amie Jayne (Amy Groening) logent dans un bed & breakfast tenu par Noah (Chris McNally) et son collègue Simon (Rodrigo Beilfuss), deux hommes séduisants qui peinent à mettre sur pied un service de visites guidées touristiques de la région. Les deux new-yorkaises vont alors les aider à se lancer...

Un téléfilm Hallmark qui appartient à la collection hivernale 2021, et qui s'avère assez peu marquant ou engageant.

Ce n'est pas forcément la faute de la distribution (les deux hommes sont compétents, Amy Groening est amusante), mais il faut bien avouer que le numéro de citadine névrosée et élitiste de Jen Lilley est assez lassant, à la longue, et que la direction artistique, toute en tons froids, surexposés, modernes et en guirlandes lumineuses blanches (qui n'ont pas été décrochées depuis Noël ?) peine à emporter l'adhésion.

Ce n'est même pas forcément mauvais, mais c'est totalement oubliable... d'autant que les paysages enneigés canadiens, s'ils sont jolis, manquent un peu de personnalité.

2.75/6

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Christmas Yulefest 2021 - 12 - The Great Christmas Switch (2021)

Publié le 8 Décembre 2021 par Lurdo dans Christmas, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Noël, Review, Romance, Télévision, USA, Yulefest, GAC

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

The Great Christmas Switch (2021) :

Mère de famille débordée vivant dans l'Ohio, Kaelynn (Sarah Lind) passe Noël seule, sans ses enfants partis passer les fêtes avec leur père. Sa sœur jumelle, Sophia (Sarah Lind), est cadre dans une entreprise californienne, où elle se plie aux quatre volontés de son patron. L'espace de quelques jours, pendant les fêtes de Noël, les deux sœurs vont échanger leur place pour tenter de se changer un peu les esprits... avec des conséquences inattendues.

L'un des tous premiers téléfilms de Noël diffusés par GAC Family (la chaîne qui lave plus blanc que blanc et qui trouve que Hallmark est devenue trop libérale...) et un postulat ultra-classique pour ce qui, finalement, est une comédie de Noël pas désagréable à suivre.

Ça ressemble fortement à une production indépendante rachetée par la chaîne, au budget relativement limité (il n'y a qu'à voir la perruque fauchée utilisée au début du film et sur l'affiche), et je dirais que l'écriture et l'interprétation y sont parfois inégales, mais l'énergie qu'y met Sarah Lind fait que le tout se suit sans trop de problèmes, aidé par un ton qui ne se prend pas trop au sérieux (et par un husky plutôt mignon).

Certes, on a l'impression d'avoir déjà vu ça à de multiples reprises (cf Le Pacte secret de Noël, avec Candace Cameron Bure), et ce n'est pas totalement maîtrisé, mais au moins on ne s'ennuie pas.

Un petit 3.25/6

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Christmas Yulefest 2021 - 15 - Becoming Santa (2011)

Publié le 10 Décembre 2021 par Lurdo dans Biographie, Cinéma, Christmas, Critiques éclair, Documentaire, Noël, Review, USA, Yulefest

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Becoming Santa (2011) :

Un documentaire sympathique écrit par Jack Sanderson, et qui suit le parcours de ce dernier tout au long d'une saison festive, alors qu'il a décidé d'endosser l'habit du Père Noël pendant les fêtes de fin d'année. On l'accompagne ainsi lors de son premier essayage de costume, de sa première teinture capillaire, de ses quelques jours à la Santa School, puis durant ses premiers événements en tant que Père Noël agréé.

Le tout rythmé par les commentaires goguenards de Sanderson, qui apprécie l'opportunité qui lui est offerte, mais ne perçoit pas forcément ce rôle comme une vocation. Pourtant, le bonhomme est fait pour ça, et chacune de ses apparitions dans le rôle est confondante de naturel, surtout lorsqu'il est vu au travers du regard émerveillé des enfants.

La juxtaposition de ces moments magiques et des commentaires pas dupes de Sanderson permet ainsi au documentaire de garder un ton léger et amusant, sans jamais se moquer pour autant des Santa Claus plus investis, qui ont consacré leur vie au rôle. Le message de Becoming Santa reste ainsi un message de bienveillance et de charité, qui évite le prosélytisme ou les querelles de clocher.

Après, je reste plus dubitatif sur les segments "historiques" centrés sur les origines du personnage de Santa Claus, via Saint Nicolas et compagnie. Non seulement ils laissent beaucoup de place à des intervenants trop contents d'affirmer qu'on doit presque toutes les traditions de Noël et de Santa Claus aux Américains, mais on a aussi droit à un passage maladroit et indigné sur Black Pete, le compagnon de Saint Nicolas, ce qui contribue à renforcer un peu une certaine sensation d'éparpillement du documentaire (un documentaire qui s'intéresse aussi, en passant, aux œuvres caritatives new-yorkaises, etc).

Rien de bien méchant, cependant, et le film reste sympathique dans l'ensemble.

4/6

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Christmas Yulefest 2021 - 21 - Love Hard (2021)

Publié le 14 Décembre 2021 par Lurdo dans Christmas, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Netflix, Review, Romance, USA, Yulefest, Noël

C'est bientôt Noël : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusque début janvier...

Love Hard (2021) :

Journaliste malheureuse en amour, Natalie (Nina Dobrev) tombe sur l'homme parfait sur une application de rencontre, et décide de le surprendre en passant les fêtes de Noël avec lui, à l'autre bout du pays. Mais quand elle arrive, elle découvre que Josh (Jimmy O. Yang) lui a menti sur tous les plans, et a utilisé les photos de Tag (Darren Barnet), l'un de ses amis, pour la séduire. Contre toute attente, Natalie décide alors de rester sur place pour tenter de séduire Tag avec l'aide de Josh, qui lui demande en contrepartie de se faire passer quelques jours pour sa petite-amie.

Une comédie romantique Netflix produite par McG, et qui m'a laissé plutôt mitigé, malgré son couple principal assez sympathique, et son ton relativement léger.

Difficile d'identifier ce qui m'a vraiment frustré : l'absence d'alchimie entre les deux acteurs principaux ? Le déroulement assez cliché et téléphoné du tout, qui ressemble fréquemment à un mélange basique de plusieurs comédies romantiques Hallmark ? L'héroïne un peu abrasive, et ses réactions improbables ? Josh, qui n'est guère plus vertueux dans ses actions ? La réalisation pas très belle ? Ou encore l'impression persistante d'un script écrit en 2010-2015 et resté en development hell tout ce temps (ce qui se traduit, dans les faits, par une succession de références et d'échanges datés semblant tout droit sortis des gros titres et des colonnes d'opinion racoleuses des sites web de l'époque - Die Hard est le meilleur film de Noël ! Top Gun est un film gay ! Baby it's cold outside est une chanson malsaine ! Love Actually est un film de m*rde ! Le catfishing est une menace de chaque instant ! Les Asiatiques ne sont pas populaires sur les applications de rencontre !) ?

Bref. L'écriture du métrage ne m'a vraiment pas convaincu, malgré quelques moments qui fonctionnent, des acteurs qui s'investissent, et un message sur les apparences trompeuses, blablabla ; sans oublier la durée du film (près d'1h45), finalement assez inutile.

Un bon gros bof, donc.

2.75/6

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Christmas Yulefest 2020 - 08 - Noël au Château (2020)

Publié le 3 Décembre 2020 par Lurdo dans Christmas, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Hallmark, Review, Romance, Télévision, USA, Yulefest, Noël

Noël est en chemin : chez les Téléphages Anonymesc'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefestet ce jusqu'à mi-janvier...

Noël au Château (Chateau Christmas - 2020) :

Pianiste internationale réputée mais pleine de doutes, Margot (Merritt Patterson) revient au Château Neuhaus, un hôtel de luxe, pour y passer les fêtes de fin d'année en famille, et retrouver le goût de la musique. Sur place, cependant, elle rencontre Jackson (Luke MacFarlane), son ex, qui tente de la convaincre de prendre part au concert de Noël annuel du Château...

Troisième téléfilm Hallmark visionné cette saison, et déjà, on commence à repérer une tendance dans les thématiques : le cliché de la musicienne ultra-talentueuse dont la carrière est au point mort et qui retrouve l'inspiration en même temps que l'amour.

C'était déjà le cas dans Christmas Tree Lane, c'est le cas ici, et j'ai cru comprendre qu'il y avait plusieurs autres téléfilms Hallmark à venir fonctionnant sur des notes similaires (sans mauvais jeu de mots).

Par chance, ici, ça fonctionne mieux qu'avec Alicia Witt. Peut-être parce que comme Merritt Patterson n'est pas, à ma connaissance, une pianiste de niveau international (contrairement à Witt qui est musicienne IRL), le récit ne se sent pas obligé de se centrer (autant que dans Christmas Tree Lane) sur ses tourments d'artiste et sur une performance tellement exceptionnelle qu'elle sauve Noël.

Ici, il n'y a pas de rue commerçante ou de village à sauver, mais simplement un concert à organiser, avec des musiciens à recruter, un gérant d'hôtel plutôt sympathique (le toujours fiable Jess Hutch) et un déroulé relativement agréable à suivre.

Après, ça reste un téléfilm mineur, malgré un couple principal à l'excellente alchimie, et des clichés (légèrement) détournés : pas sûr que le tout reste particulièrement dans les mémoires. Mais pour le moment, ça reste un peu au-dessus du reste de la saison Hallmark.

3.5/6

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Halloween Oktorrorfest 2021 - 34 - Jakob's Wife (2021)

Publié le 2 Novembre 2021 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Halloween, Horreur, Oktorrorfest, Review, Romance, Thriller, USA

Chez les Téléphages Anonymes, de fin septembre à début novembre, on fête Halloween et l'Oktorrorfest, un marathon quotidien de cinéma fantastique et d'horreur...

Jakob's Wife (2021) :

Étouffant dans son mariage routinier à Jakob (Larry Fessenden), pasteur charismatique et austère d'une petite ville tranquille, Anne (Barbara Crampton) décide de le tromper avec un ami d'enfance. Mais rapidement, cette aventure d'un soir se transforme en cauchemar lorsqu'elle devient la victime d'un vampire qui la transforme à son tour. Désormais dotée d'une soif de sang et d'une assurance inédite, Anne va alors trouver un nouveau sens à sa vie...

Ce n'était pas prévu ainsi, mais finalement, ça fonctionne tout aussi bien : deuxième film de la journée, et deuxième métrage avec Barbara Crampton, une Crampton ici en mode vampire, pour un métrage aux variations de ton surprenantes, puisque d'un thriller vampirique assez basique et classique, le film prend un virage vers la quasi-comédie horrifique à partir de la transformation d'Anne, au bout d'une heure de métrage.

Et ce n'est pas plus mal, puisqu'on évite pas ainsi pas mal d'écueils inhérents au genre : en impliquant presque immédiatement le pasteur dans le vampirisme de son épouse, le film se permet d'avoir un Fessenden un peu moins rigide, de placer des gags à base de marijuana, d'avoir CM Punk en flic à moustache, et de rendre aussitôt ses effets (parfois un peu limités) nettement plus acceptables.

En effet, ce qui ressemblait à une simple métaphore dramatique sur l'émancipation de la femme devient ainsi un métrage semi-comique aux effets sanglants et dégoulinants, qui présente un maître vampire de sexe féminin mais à l'apparence de Nosferatu, et qui se finit en métaphore du mariage, avec un couple qui doit apprendre à se faire confiance tout en menaçant constamment de se tuer mutuellement.

Pas désagréable, tout ça, à défaut d'être particulièrement subtil.

3.5/6

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