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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #thriller catégorie

Critiques éclair - Pilotes NBC de la mi-saison

Publié le 22 Février 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Comédie, Sitcom, Drame, Fantastique, NBC, Thriller

Growing Up Fisher 1x01 :

Pilote de sitcom mid-season de NBC, façon Wonder Years, ou plus récemment, The Goldbergs : narration en voix off du fils d'une famille excentrique, qui raconte son enfance aux côtés de ses parents divorcés - son père aveugle (JK Simmons) et sa mère (Parker Posey, apparemment remplacée dans les épisodes suivants par Jenna Elfman) - de sa soeur aînée, et de son meilleur ami asiat à grande gueule.

Gentillet et très anecdotique, ça repose quasi-entièrement sur la cécité de JK Simmons, que la famille cachait à tout le monde jusqu'au divorce. Avec un caméo de THEYTOOKMYSON de Lost.

About a Boy 1x01 :

Pilote de sitcom mid-season de NBC (bis), showrunné par Jason Katims, réalisé par Jon Favreau, et qui réadapte le livre à l'origine du film About a Boy avec Hugh Grant. Ici, on a le lead de Bent à la place de Hugh Grant, Minnie Driver, Al Madrigal, Leslie Bibb et le gamin de 1600 Penn. Voilà voilà... pas grand chose à dire là-dessus. Comme la sitcom ci-dessus, c'est plus gentillet et inoffensif que drôle ou passionnant, donc...

Believe 1x01 :

Une gamine aux pouvoirs étranges doit absolument survivre pour sauver le monde, mais elle est poursuivie par des maychants très maychants, et est donc en cavale sous la protection d'un ancien condamné à mort.

Production Alfonso Cuaron/JJ Abrams qui a déjà connu un changement de showrunner avant même la première diffusion, ce pilote n'a vraiment pour lui que l'énergie et la réalisation efficace de Cuaron. Problème : Cuaron ne va pas réaliser tous les épisodes, et le reste est affreusement convenu et routinier, et pas très loin de Touch.

La distribution, notamment, entre Sienna Guillory, les seconds rôles, et le "protecteur", dont l'interprète est un ancien soldat peu convaincant (et difficile à prendre au sérieux en badass après avoir vu ses Google Images. La gamine mystérieuse n'est pas antipathique, cela dit.

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x12

Publié le 15 Janvier 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Fantastique, Action, Science-Fiction, Thriller, Marvel, MCU, ABC

1x12 :

Plus que jamais, une critique-éclair, à l'image de la manière dont j'ai regardé l'épisode : en avance-rapide. Au programme, une visite (soporifique) à la SHIELD Academy pour une enquête inutile, uniquement là pour raconter la genèse d'un autre super-méchant, avec en prime un Superstorm en images de synthèse (on n'est pas sur SyFy, mais presque) ; un Coulson ronchon ; et une Skye dont on continue de nous marteler qu'elle est super spéciale et super awesome, puisque toute une escouade d'agents du Shield et tout un village d'innocents ont choisi de mourir pour la protéger quand elle était bébé. Supaire. On sent que les scénaristes ont bien compris que le personnage de Skye énervait tout le monde, et que... euh... nan, rien. Au point où j'en suis, je m'en fous, désormais.

Je prédis que le prochain épisode, je le regarderai en 20 minutes, le suivant en 10, et ensuite, plus du tout.

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Critique éclair - Helix 1x01 & 1x02

Publié le 11 Janvier 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Science-Fiction, Drame, Thriller, Fantastique, SyFy

Syfy Channel, une base arctique, des scientifiques, un virus étrange, et un risque d'épidémie mondiale... voilà le pitch de nouveau show signé Ron D. Moore. De grosses attentes, de la part des fans et de critiques, donc, mais sont-elles satisfaites ?

1x02-02 :

Pas particulièrement impressionné, pour l'instant. Probablement parce que j'ai trouvé le tout assez mal rythmé, un peu pataud, et globalement terne et peu attachant : la faute à la distribution, qui me rappelle beaucoup trop celle de BSG, à savoir "un visage sympathique, et un gros paquet d'acteurs quelconques autour" (le cast féminin, qui va de "transparent" à "photocopie de Pam dans Archer, en moins sexuée", en passant par "a eu une relation amoureuse avec l'un des deux frères, et a une relation tendue avec l'autre", aka Starbuck 2.0, est particulièrement peu engageant ; le cast masculin, à part Campbell & Maeda... ce n'est pas mieux); mais aussi au concept et à son traitement, tellement vus et revus sous une forme ou une autre (The Thing, Lost, X-Files, Resident Evil, blablabla) que j'ai du mal à m'enthousiasmer pour le récit et ses rebondissements.

On n'a jamais l'impression, par exemple, qu'ils sont dans une base de 100+ habitants (100+ habitants qui ne sont là, soyons francs, que pour permettre au show de placer de nouveaux personnages et des guests à gogo au cas où le show tiendrait 5 ou 6 saisons).

Après, niveau production, c'est plus que compétent (le plan du champ de singes :mrgreen:), et ça se regarde tranquillement... mais bon. À moins d'un gros rebondissement captivant & cohérent dans les deux prochains épisodes... je ne vais probablement pas rester longtemps.

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x11

Publié le 8 Janvier 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Fantastique, Action, Thriller, Science-Fiction, Marvel, MCU, ABC

Contrairement à ce que j'avais juré aux grands dieux avant la pause de Noël, j'ai cédé à la tentation, et à la promesse d'avoir enfin des réponses au mystère Coulson... et j'ai regardé ce nouvel épisode de Shield. Je n'aurais pas dû.

1x11 :

Ah, oui, c'était bien de la grosse pantalonnade risible, et gentiment soporifique.

La séquence d'ouverture ? Du sous Mission Impossible gentiment cheap.

Les "morts" du précédent épisode/cliffhanger ? Toujours vivants.

Centipede ? On passe à autre chose.

Skye ? Toujours la chouchoute de la production, toujours au centre de l'épisode, apparemment la seul hackeuse du SHIELD capable de pirater des comptes en banque, et qui sauve tout le monde grâce à ses talents d'imitation hors-du-commun (*soupir*).

Victoria Hand ? Paradoxalement la seule agente de Shield compétente, et qui se pose les bonnes questions.

Coulson ? Tahiti n'était pas réel (merci, Captain Obvious !), il a été opéré contre son gré par le Docteur Book à l'aide d'une mystérieuse technologie... et c'est tout.

Screw you, SHIELD.

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x10

Publié le 11 Décembre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Drame, Thriller, Science-Fiction, Fantastique, Action, Marvel, MCU, ABC

1x10 :

Après un mini-break bien malvenu, le show revient pour son ultime épisode de 2013. L'occasion de faire revenir l'organisation Centipede (qu'on avait presque oubliée), skinny-J. August Richards (pour le buter en cours d'épisode ^^), et de finir le tout sur un cliffhanger (avorté, puisque désamorcé presque aussitôt).

C'était bien la peine.

À part ça, c'est toujours aussi bancal niveau écriture, bourré de clichés ("il est derrrière moi, n'est-ce pas ?") et de grosses ficelles honteuses (Coulson se fait enlever pendant un échange d'otages foiré = la moitié de l'équipe se contente de regarder le tout depuis une voiture, sans jamais songer à intervenir ; Centipede et son "Clairvoyant" qui ne sont qu'une version au rabais de AIM & du "Mandarin" ; le kidnapping du gamin), Skye est toujours aussi insupportable (elle se met à chialer quand on lui explique qu'il y a plus important - à savoir la mission en cours - que l'identité de ses parents. WTF.), et on n'a toujours aucune réponse quand aux deux mystères de cette mi-saison. Ah, mais par contre, Coulson continue de raconter des banalités pompeuses et de donner des leçons de morale à tout le monde.

Désolé, Shield, mais à moins que le show ne subisse un sérieux lifting pendant le break hivernal, je vais probablement m'arrêter là.

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x09

Publié le 27 Novembre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Science-Fiction, Action, Fantastique, Thriller, Marvel, MCU

1x09 :

La pire équipe d'espions du monde se croit dans un épisode de la saison 1 des X-files lorsqu'elle croise le chemin d'une fille télékinétique, dont on s'aperçoit bien vite que les manifestations surnaturelles sont le produit d'un fantôme amoureux qui la hante...

Bref, on se retrouve dans un épisode anecdotique (un de plus) qui aurait été très à sa place durant la semaine d'Halloween, et qui n'apporte absolument rien à la série. Ah, si, on apprend qu'avant, May était exactement comme Skye, qu'elle a eu une expérience de terrain traumatisante (vaguement racontée par Coulson plutôt que montrée, parce que tous les moyens sont bons pour économiser du budget), et que depuis, elle est dâââârk et tourmentée. C'était bien la peine de teaser des révélations sur le passé de May, ou même un épisode May-centric, si c'était pour faire un épisode maison hantée, avec Fitz et Simmons qui font un concours de farces, et Skye qui prend le devant de la scène.

Parce que oui, au cas où on ne le saurait pas encore, Skye est géniale, Skye est le coeur de l'équipe, Skye est apparemment la seule à savoir utiliser Facebook, Skye peut parler religion avec la télékinétique (super utile), Skye est honnête, sincère, perceptive et possède un grand sens de l'empathie... bref, Sky est indispensable à la série, les copains !

Seul bon point de l'épisode : une absence totale de référence à l'état de Coulson. Ce qui ne peut vouloir dire qu'une chose : on va en bouffer dans le prochain épisode, celui juste avant le break de Noël...

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x08

Publié le 20 Novembre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Action, Science-Fiction, Thriller, Marvel, MCU

1x08 :

Agents of SHIELD est en sérieuse perte de vitesse dans les audiences, la fanbase (pourtant théoriquement toute pré-acquise au projet), se rebelle contre la nature routinière, basique, et peu inspirée du show... bref, les critiques fusent de toute part, et la série a bien besoin d'une injection de sang frais, ou d'une apparition de l'und es grands noms du Marvelverse.

Autant dire que cet épisode était attendu de pied ferme : un crossover avec Thor 2, tout juste sorti en salles !! Tout le monde a commencé à s'imaginer un caméo de Thor, de Kat Dennings, de Skarsgard ou de Loki : en réalité, comme bien souvent avec cette série, il valait mieux ne pas avoir du tout d'attentes.

Bon, d'office, pour les curieux, ce n'est pas du tout un crossover avec Thor 2, contrairement à ce qui était annoncé. Au mieux, on mentionne vaguement les évênements du film au début, mais aussitôt, ça enchaîne sur une lance Asgardienne dissimulé dans un tronc d'arbre en Norvège depuis des millénaires, et découverte par des campeurs. Une antiquité qui emplit celui qui la touche de rage et d'une force surpuissante. Et forcément, Ward est contaminé malgré lui, ouhlàlàlàlà suspense, va-t-il s'en sortir avant de pêter un cable et d'étrangler Skye parce qu'elle parle trop ? Malheureusement, oui.

Donc voilà... Ward est torse nu, Ward engueule tout le monde, Ward est agressif, Ward refait exactement la scène de CapAm qui a des flashbacks en boxant son punching bag, Ward a un frère tête à claques qui reviendra probablement plus tard dans la saison, Ward a un trauma d'enfance et est torturé, Ward démolit pleins de cascadeurs cablés, Ward flirte avec Skye, Ward se tape May... c'est loin d'être intéressant, tout ça.

Un peu plus sympa, cependant, Peter McNicoll qui est comme toujours attachant, dans son rôle de professeur d'histoire/asgardien exilé sur Terre. Le reste... meh. Les réactions outre-atlantiques sont très enthousiastes (principalement parce que "Simmons est adorable, même l'asgardien s'en aperçoit, ils devraient la mettre en couple avec Ward" O_o), mais personnellement, entre le surjeu des acteurs "norvégiens", le côté badass forcé de May qui se bat à la fin, le surplace continu sur le front de Coulson et d'une éventuelle intrigue de fond, le shipping, le côté "on visite toute la planète sans jamais sortir des batiments ou quitter les forêts canadiennes"... j'ai trouvé ça très très moyen, voire mauvais. Comme d'habitude.

(même si je m'attends à ce que, avec la pub mensongère forcenée d'ABC sur le "crossover avec Thor 2", les audiences remontent un peu cette semaine)

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Halloween Novembrrrfest 2013 - 31 - Frankenweenie, The Rental : 4 Dead Girls, The Raven & Crystal Lake Memories

Publié le 17 Novembre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Animation, Jeunesse, Documentaire, USA, Thriller

Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

Frankenweenie :

Le chien de Victor trouve la mort, et ce dernier décide de le ramener à la vie...

Remake (en version long-métrage) d'un des premiers courts de Burton, ce Frankenweenie s'avère une version étendue assez réussie et mignonne tout plein, avec de nombreuses références, et un côté "classique" dans le meilleur sens du terme.

4.25/6

The Rental : 4 Dead Girls - The Soul Taker :

Quatre filles - "la salope", "le couple de lesbiennes fidèles-mais-pas-trop" et "la prude vierge" - emménagent dans un appartement au loyer particulièrement bon marché, et au propriétaire étrange...

Un film d'horreur fauché, écrit et réalisé par l'interprète du propriétaire, qui enchaîne les clichés, les scènes de sexe, n'est jamais particulièrement drôle ou horrifique, assène des discussions pataudes sur la fidélité/la virginité/le sexe/la morale et fleure bon le vanity project à la The Room.

0.25/6

The Raven :

Edgar Allan Poe enquête sur les crimes d'un tueur en série mystérieux et insaisissable, qui sévit à Baltimore et tue selon les récits de l'auteur...

Un film terne, maniéré, et finalement immédiatement oubliable, sans le moindre frisson ou suspense, avec des effets numériques hideux, et des acteurs qui cabotinent (Poe/Cusack est particulièrement agaçant).En plus, c'est trop long.

1.75/6

Crystal Lake Memories - The Complete History of Friday The 13th :

Un documentaire fleuve sur la saga de Jason Voorhees, qui s'étend sur plus de sept heures de métrage couvrant tous les films de la saga. Réalisé par la même équipe que Never Sleep Again et More Brains! A Return To The Living Dead, on a donc droit à une rétrospective approfondie et détaillée de tous les films de la série, y compris sa déclinaison tv, et son reboot. Un travail de titan, tout simplement passionnant.  

4.75/6

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Halloween Novembrrrfest 2013 - 29 - We Are What We Are, Big Ass Spider !, Hellbenders & Jug Face

Publié le 15 Novembre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Comédie, Thriller, Drame

Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

We Are What We Are :

Une famille d'extrémistes religieux cannibales voit son quotidien bouleversé lorsque la mère de famille décède en public, et que les autorités s'intéressent de trop près au clan, qui se cherche une nouvelle victime...

Remake du film mexicain du même nom par le réalisateur/scénariste de Stakeland et Mulberry Street, un métrage très lent et contemplatif, qui n'est qu'une demi-réussite. Le traitement du cannibalisme, de l'unité familial, de la maladie, etc, est intéressant, mais un peu plombé par le rythme, et par la fin bourrine qui tranche (volontairement) assez radicalement avec le reste. Demi-succès, donc.

3.25/6

Big Ass Spider ! :

Une araignée géante dévaste Los Angeles, tandis qu'un exterminateur et un agent de sécurité incapables tentent d'arrêter la créature...

Réalisé par Mike Mendez (de manière générale un réalisateur assez déconneur et volontairement nawak), avec Greg Grunberg dans le rôle principal, Clare Kramer et Ray Wise en officiers de l'armée US.

Là, malheureusement, ça lorgne beaucoup trop vers le monster movie à la Syfy : comprendre qu'à part l'arrogance de Grunberg et sa drague éhontée, le tout se prend un peu trop au sérieux pour son propre bien, manque du délire habituel des films de Mendez, et est parfois inégal au niveau sfx numériques.

Quelques brefs effets gores sont réussis, cela dit, et sur la fin ça se décoince un peu (le suppositoire pour araignée géante ^^).

3/6

Hellbenders :

Une bande de prêtres débauchés forment un commando d'exorcistes d'élite, qui commettent tous les péchés capitaux afin de pouvoir capturer et attirer les pires démons de l'enfer... mais bientôt, les choses se compliquent.

Une comédie horrifique adaptée d'un comic-book par son créateur, ce film tombe très nettement à plat, malgré sa distribution sympatoche, Clancy Brown en tête.

Ça essaie beaucoup trop d'être drôle, provocant, mordant et politiquement incorrect, mais au final, ça reste trop bordélique, fauché, et redondant pour convaincre.

2.25/6

Jug Face :

Une communauté reculée organise sa vie autour d'un puits étrange, où vit une créature indicible. Une des jeunes femmes du village, enceinte de son frère, tente de s'échapper avant d'être sacrifiée à l'entité... 

Un premier film assez réussi, à l'ambiance pesante, tendue, et à l'univers très particulier ; s'il n'est pas toujours parfait (la représentation des visions et des esprits est parfois un peu too much), le métrage parvient néanmoins à maintenir l'intérêt du spectateur de bout en bout, notamment grâce à son interprétation convaincante.

4/6

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x07

Publié le 13 Novembre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Drame, Thriller, Action, Science-Fiction, Fantastique, Marvel, MCU

1x07 :

Okay... donc ils semblent partis pour nous tenter un "Coulson et son équipe se rebellent contre le Shield" pour accompagner la sortie en salle de CapAm 2... pourquoi pas, mais bon, CapAm 2, ça ne sort que dans six mois, donc pas la peine d'en faire un enjeu capital, pour l'instant. L'opposé de l'intrigue "Coulson et son véritable état", qui commence à devenir fatiguante : cela fait sept épisodes qu'ils balancent des enclumes à la tête des fanboys pour tenter de maintenir leur intérêt, un peu de mouvement sur ce front ne serait pas de refus (même s'il est probable que si mouvement il y a, ce ne sera pas avant, au mieux, le cliffhanger du break de Décembre, ou, au pire, les sweeps de Février).

Dans l'intervalle, encore une "affaire de la semaine" sans grand intérêt, et qui ressemble à du recyclage de plein de trucs (du sous-Alias, du sous-Total Recall pour l'extraction nasale, etc) ; encore une Skye qui, après avoir trahi le Shield il y a deux ou trois épisodes, s'étonne qu'ils ne lui fassent pas confiance à 200%, et ne lui expliquent pas les tenants et aboutissants des missions taupe secrètes de niveau 8 ; encore une Skye aux superpouvoirs de hackeuse, qui, sans rien savoir des systèmes qu'elle veut pirater ou de leur protection, est capable de, je cite, "s'introduire dans l'infrastructure du Shield avec une clef USB simulant ses habitudes de surf sur reddit/son profil facebook/l'historique de son navigateur pendant que son bot piratera les banques de données de l'organisation dans un délai de trois minutes" ; encore plus de Skye la petite orpheline à la recherche de sa môman (sérieusement, s'ils osent nous expliquer qu'elle est la fille d'une superhéroïne, de May ou de Hand, et qu'elle est "spéciale", c'est boycott direct) ; encore un SHIELD dont les systèmes informatiques sont de vraies passoires aux fichiers gentiment classés et rangés dans des dossiers bien étiquetés, histoire de faciliter la tâche à d'éventuels pirates ; encore plus de Fitz et de Simmons pour de la comédie balourde et du shipping (Simmons, je comprends, à la limite, c'est la chouchoute des fanboys, mais l'autre, là... *soupir*), encore des effets visuels bancals (le sauvetage à grands coups de 747 en VTOL à 5m des toits des bâtiments ; et la scène de Ward qui tire sur les deux barils qui "explosent" est un festival de détails foireux : il tire une fois, le baril "explose" par la face opposée :huh: , le second baril est lui aussi censé exploser aussitôt sans raison :huh: , mais c'est le sol qui part en fumée à 50 cm du bidon ^_^ , et les deux barils ne bougent pas d'un poil... :sweat: ) et encore un épisode éminemment oubliable.

Au point où en est le show, je ne regarde plus que pour voir comment ils vont résoudre le cas Coulson et s'ils vont oser buter Fitz en guise de cliffhanger... next week, un tie-in avec Thor 2 (enfin, vaguement, puisque visiblement, l'équipe devra récupérer un artefact elfique qui rend son porteur super fort, et super en colère... ça me rappelle quelque chose, mais quoi...)

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Halloween Novembrrrfest 2013 - 27 - The UnNamable I & II, Stakeland & American Mary

Publié le 13 Novembre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Thriller, Lovecraft

Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

The UnNamable :  

Inspirée de Lovecraft, l'histoire d'une bande d'étudiants qui vont explorer une maison abandonnée où habite encore une créature sans nom.

Assez fidèle au ton de la nouvelle originale, le film pâtit cependant très notablement de sa musique fauchée, et de son rythme particulièrement défaillant : la créature, si elle est esthétiquement très réussie, et très Banshee dans l'esprit, n'apparaît pas avant les huit dernières minutes (ce qui ne poserait pas un problème si elle n'était pas sur toutes les affiches & photos du film), et dans l'intervalle, les personnages en carton et l'absence totale de la moindre tension rendent le film impuissant.

1.5/6

The UnNamable II :

La suite directe, tournée 5 ans après, et très très vaguement inspirée du "Témoignage de Randolf Carter".

On y retrouve le même personnage principal, John Rhys-Davies et David Warner dans de petits rôles, et Julie Strain dans la peau de la banshee (nettement moins réussie que dans le premier opus).

Ah, et j'ai failli oublier la fille qui joue le rôle de la banshee retransformée en humaine, et qui passe les 3/4 du film nue : non seulement c'est totalement gratuit et hors-sujet, mais en plus ça donne par moments un côté exploitation/college comedy qui plombe encore plus un récit déjà pas bien vaillant.

0.75/6 

Stakeland :

Un ado et un chasseur mystérieux voyagent dans un futur proche apocalyptique, où les vampires arpentent la planète, comme des hordes de zombies assoiffés de sang.

De la même équipe que Mulberry Street et We Are What We Are, Stakeland est de nombreuses choses à la fois : une sorte de Zombieland en plus hardcore, avec un jeune ado pris sous l'aile d'un chasseur blasé et expérimenté, un road movie post-apo, un western moderne, un récit initiatique, un film de vampires/zombies, etc...

Techniquement, c'est impeccable, très réussi visuellement, avec un ton sombre, mélancolique et souvent contemplatif, c'est ambitieux... le problème, c'est que ça a très clairement les défauts de ses qualités : pour peu que l'on n'accroche pas aux personnages ou au genre western, dont le film reprend bon nombre des codes, la mélancolie devient rapidement des bons sentiments sirupeux et trop appuyés, la contemplation devient trop rapidement de la lenteur soporofique, l'économie de moyens devient rapidement cache-misère, et la narration en voix off fatigue bien vite.

Un film qui ne fera donc pas l'unanimité, et auquel on accroche ou pas (un peu comme We Are What We Are).

3.5/6

American Mary :

Une étudiante en médecine accepte de faire des opérations chirurgicales illégales pour pouvoir boucler ses fins de mois, mais lorsqu'elle se fait violer par son mentor lors d'une soirée de médecins, elle décide d'exploiter ses contacts criminels pour se venger des responsables, et sombre dans une spirale infernale...

Un thriller horrifique assez particulier, avec une atmosphère pesante, une interprétation solide des acteurs principaux (les acteurs secondaires, c'est plus inégal), et un récit qui vire au Rape/Revenge, et se perd malheureusement sur la fin. Dommage.

3.5/6

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Halloween Novembrrrfest 2013 - 26 - Skinwalker Ranch, 13 Eerie & Haunter

Publié le 12 Novembre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Found Footage, Science-Fiction, Thriller, Jeunesse

Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

Skinwalker Ranch :

L'enquête d'une équipe de chercheurs sur la disparition d'un gamin sur un ranch, enlevé par une orbe de lumière...

Un found footage de plus, particulièrement convenu et ronronnant, dans lequel les manifestations étranges se multiplient (fantômes, lumière, loups difformes, bruits, lumières, etc) jusqu'à l'overdose, la réalisation est chaotique et parasitée pour cacher les effets numériques, et quelques visages sont trop familiers pour que ça fonctionne vraiment (Erin Cahill & Jon Gries). Bref, au final, la mayonnaise ne prend jamais, et le film se finit en queue de poisson sans avoir réussi à provoquer quoi que ce soit d'autre que de l'ennui.

1.5/6

13 Eerie :

Un groupe d'étudiants en médecine légale part en travaux pratiques sur une île supervisée par leur professeur depuis un QG high-tech, près d'un pénitencier abandonné, où ont eu lieu des expériences étranges...

Mindhunters à la sauce médecine légale, qui se transforme en zombie flick fauché au bout d'une demi-heure. Mais vraiment fauché. Tout le budget a dû passer dans le salaire de Katharine Isabelle, Michael Shanks et Brendan Fehr... après, malgré tout, ça se regarde gentiment, principalement pour K.I. et pour le gore assez généreux, mais bon...

2.5/6 

Haunter :

Une ado fantômatique hante sa maison avec le reste de sa famille, prise dans une boucle temporelle, jusqu'à ce qu'elle entre en contact avec l'adolescente qui y vit, et qui est menacée par un tueur en série sépulcral.

Un film à mi-chemin entre Lovely Bones, Groundhog Day et un récit typiquement "Young Adult", avec Abigail Breslin (qui assure son rôle), et dirigé par le réalisateur de Cube, qui décidément peine à retrouver le chemin du succès.

Ici, en l'occurrence, malgré les apparences d'originalité que se donne le film, tant visuellement que formellement, le récit prend beaucoup trop son temps pour qu'on ne s'aperçoive pas de son contenu finalement assez convenu. On se retrouve donc avec un pitch digne d'un Fais-moi Peur (en à peu près aussi effrayant), mais en plus décousu, et en beaucoup plus étiré.

3/6

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Halloween Novembrrrfest 2013 - 25 - Chastity Bites, Cronos & Jaws

Publié le 11 Novembre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Comédie, Thriller

Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

Chastity Bites :

Elizabeth Bathory débarque dans une petite ville ricaine à tendance républicaine, où tous les parents tentent d'imposer un voeu de chasteté à leurs enfants.

Une comédie d'horreur sympatoche produit par Alison Scagliotti en reporter féministe, avec un cast sympatoche (bien qu'un peu inégal), et Stuart Gordon dans un micro-rôle. Au final, ça ressemble pas mal à un téléfilm façon Nickelodeon ou Buffy, donc ça se regarde.

4/6

Cronos :

Un alchimiste du XVIè siècle découvre un moyen de donner la vie éternelle à un être humain grâce à un mécanisme étrange... mais cette vie éternelle a un prix, comme le découvre à notre époque un antiquaire vieillissant.

Premier long-métrage de Guillermo Del Toro, dont on retrouve déjà certains gimmicks (les rouages d'horlogerie, l'angle intimiste et relationnel du récit, etc), cette histoire de vampires atypique tient toujours relativement la route, vingt ans après sa sortie. La musique est peut-être un peu datée et envahissante, cela dit, et le rythme (et ses ruptures) moyennement maîtrisé.

3.75/6

Jaws :

Les Dents de la Mer... 'nuff said.

Efficace.

5/6

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Halloween Novembrrrfest 2013 - 23 - A Monsterous Holiday, Complicity & Ferocious

Publié le 9 Novembre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Thriller, Animation, Jeunesse, Found Footage

Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

A Monsterous Holiday :

Un jeune apprenti-inventeur tente de remporter le concours scientifique de son école, en allant chercher les conseils de son voisin, le Dr Frankenstein. Mais rapidement, il rencontre la Créature, un ado tout comme lui, et les choses dégénèrent.

Un téléfilm animé de 45 minutes, pas particulièrement joli, et assez basique. Ça se regarde, sans plus.

2.5/6

Complicity :

Une bande de jeunes fait la fête chez l'une d'entre eux, mais la soirée tourne au drame, quand l'une des filles se fait supposément violer, et que le violeur se fait tuer...

Beaucoup de caméra à la première personne/camescope, un rendu visuel clippesque et arty, et un film au pitch reposant intégralement sur l'interprétation très inégale des acteurs, et son écriture guère plus assurée, aux ficelles un peu trop grosses pour bien fonctionner, et à la fin en queue de poisson. Dommage.

2.25/6

Ferocious :

Une jeune actrice à la mode revient dans sa petite bourgade natale, mais est bientôt contrainte de prendre des décisions radicales pour que son image proprette ne soit pas salie...

Assez bien joué et assez stylisé visuellement, mais assez inégal et bordélique dans sa narration, jusqu'à en devenir fatiguant.

2/6

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x06

Publié le 6 Novembre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Drame, Thriller, Action, Science-Fiction, Fantastique, Marvel, MCU

1x06 :

Cliché whedonien #256321 : tuer le perso fan-favorite de manière inattendue, pour provoquer une réaction émotionnelle forcée.

Copie de cliché whedonien #256321 : faire croire que l'on va tuer le perso censé être fan-favorite, pour essayer de provoquer un semblant de réaction émotionnelle forcée.

Problème : on en est à six épisodes, tout le monde se contrefout des persos secondaires qui n'ont jamais été développés (et pour être franc, Fitz et Simmons sont soit insupportables, soit incompréhensibles), et la probabilité de la mort d'un de ces persos si tôt dans la série est nulle.

Autrement dit : la base émotionnelle de l'épisode, et ses enjeux, étaient inexistants. Et comme tout l'épisode reposait là-dessus (et sur un caméo-éclair de Titus Welliver, qui reprend son rôle du Marvel One-Shot Item 47), ça donne un épisode gentiment creux et quelconque, comme d'habitude. Alors oui, il y a bien un semblant de tentative de développement des personnages secondaires, mais bon, ça reste un show d'espionnage au rabais, avec des scènes d'action foireuses (Ward qui saute en parachute, avec gros plan sur l'acteur les yeux plissés devant un blue screen pour simuler la chute libre :mrgreen:), et du shipping sans intérêt (Skye est tellement formidable et irrésistible que tout le monde est amoureux d'elle... d'ici à ce qu'ils nous rajoutent aussi Simmons en love-interest-potentiel-lesbien de Skye.. ^^).

(j'avoue, à mon premier essai, ce matin, j'ai passé la moitié de l'enquête en avance rapide, tellement je roupillais devant)

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Halloween Novembrrrfest 2013 - 18 - Outpost 3 : Rise of the Spetsnaz & Maniac (2012)

Publié le 4 Novembre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Thriller, Guerre

Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

Outpost 3 - Rise of the Spetsnaz :

Des spetsnazs, des nazis, des zombies... la routine.

Pas vraiment accroché à ce troisème opus. Autant j'avais bien apprécié l'épisode précédent, autant les personnages de celui-ci sont à l'image du film : ternes et redondants. Et à force de faire dans le terne et le boueux, le tout devient lassant, malgré les efforts de la prod pour proposer de l'action.

2/6

Maniac (2012) :

Elijah Wood en tueur psychotique pitoyable, traumatisé par sa mère, et qui scalpe des jeunes femmes à New York, avant de s'éprendre d'une photographe française.

Remake (d'un film que je n'ai pas vu), filmé par un français (dont le précédent opus était tout sauf mémorable), et très stylisé, tant par l'abus de vue subjective (constante), que par la bande-son 80s, et les effets visuels. On adhère ou pas, mais c'est un peu trop racoleur à mon goût (des looks racoleurs, des sfx too much, une mise en scène too much), et les ruptures de POV ne sont pas très logiques.  

3/6 pour l'exercice de style.

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Halloween Novembrrrfest 2013 - 16 - Absentia & Bad Kids Go To Hell

Publié le 2 Novembre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Thriller, Comédie, Flanagan

Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

Absentia :

Deux soeurs découvrent que la disparition du mari de l'une d'entre elles, des années plus tôt, est peut-être dûe à un tunnel proche de son domicile et à la force étrange qui y vit...

Un film financé via Kickstarter, qui compense son relatif manque de moyens par des idées sympathiques, par un mélange agréable des contes et légendes et de l'horreur plus moderne, et par un traîtement assez réussi du deuil.

4.25/6 

Bad Kids Go To Hell :

Un Breakfast Club sanguinolent sur une bande de mauvais élèves d'une école privée pour bourges, contraints de passer du temps ensemble en colle, une séance de colle qui vire au carnage.

Un métrage très étrange, et qui ne fonctionne pas vraiment : le scénario se traîne gentiment, et tente des renversements de situation et des flashbacks à la Wild Things sur la fin, sans vraiment les faire fonctionner ; les personnages sont tout sauf attachants ou intéressants : les filles sont étrangement toutes lookées comme des actrices porno, les mecs sont transparents, il y a quelques caméos (Judd Nelson et Ben Browder) qui n'apportent pas grand chose (à part de la mise en place évidente pour les twists de fin), et c'est apparemment adapté d'un comic book, mais la mayonnaise ne prend pas vraiment.

Et puis tout le processus de tourner une scène topless avec une actrice portant des pasties, pour ensuite remplacer ces derniers par des tétons en CGI scannés et rotoscopés sur l'actrice en question, c'est... euh... du gaspillage de $$ .

2/6

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x05

Publié le 23 Octobre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Science-Fiction, Action, Thriller, Fantastique, Marvel, MCU, ABC

1x05 :

Moi qui espérait que Coulson avait deviné que Skye était une traîtresse, et jouait le jeu pour tenter de la piéger... mais non. Le SHIELD est vraiment une bande de bras-cassés peu doués ou observateurs, et on se demande parfois comment ils réussissent à accomplir leurs missions... bon, après, rien de vraiment mémorable au programme : un mutant-of-the-week qui décide subitement d'être très maychant, sans réelle motivation, parce qu'on lui donne un surnom de maychant ; une Skye toujours mise en avant, quelle que soit sa tenue (si possible légère, parce qu'il faut faire de l'audience) ; une bad girl à peu près aussi peu charismatique que l'agent double de la saison précédente ; de la musique pataude (le score pétaradant sur une poursuite à 2 à l'heure, ça m'a rappelé le film Ecks vs Sever) ; des dialogues lourds et des faux-raccords à la pelle.

Rien de bien passionnant, ça singe les grandes lignes du pilote sous un point de vue à peine différent, 7.13M de spectateurs, et pas d'épisode la semaine prochaine. Mouais. Et puis entre la redondance de Fitz & Simmons (ils vont en buter un à un moment ou un autre, non, histoire d'avoir le quota de morts Whedoniennes ?) et les persos inconsistants (Skye l'hacktiviste qui, après 5 épisodes, prend la défense du Shield, l'organisation secrète qui torture, manipule, et utilise de la technologie sur ses prisonniers, blablabla), je redoute presque un twist "en fait, la mère de Skye, c'est May", histoire de couronner le tout.

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Halloween Oktorrorfest 2013 - 10 - A Thousand Cuts & The Apparition

Publié le 22 Octobre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Thriller

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

A Thousand Cuts :

Alors que ses films inspirent les actions d'un serial killer, le réalisateur superstar de torture porn à succès reçoit la visite du père de l'une des victimes du tueur, bien décidé à lui apprendre le véritable sens du mot horreur.

Un thriller horrifique/revenge/invasion movie indépendant au budget microscopique, entièrement tourné dans une villa californienne avec une poignée d'acteurs, et un tas de figurants (probablement gratuits) dans le premier quart d'heure.

Paradoxalement, malgré la mise en place longuette (15 min sur 75, ça fait beaucoup avant de vraiment démarrer, et ensuite, ça traîne un peu encore) et la nature bavarde et tranquille du tout, ça se regarde plutôt bien, avec des acteurs convaincants dans leurs rôles, et un début de réflexion sur le genre de l'horreur.

Bon, ça reste un huis-clos qui finit rapidement par tourner en rond, mais bel effort.  

3/6 (pour l'interprétation, principalement)

The Apparition :

Une expérience paranormale menée par Draco Malfoy et Julianna Guill échoue, et l'esprit libéré va hanter la demeure d'un collègue du groupe.

Pendant près d'une heure, le néant : Ashley Greene est jolie et sexy, mais elle n'est jamais vraiment attachante et convaincante, et son couple avec le Chapelier Fou de Once Upon A Time n'est jamais vraiment crédible.

En parallèle, toutes les manifestations paranormales sont convenues, déjà vues, et peinent à instaurer la moindre tension. Et puis quand Draco Malfoy resurgit dans le film, soudain, ça devient presque une comédie involontaire, tant le scénario tente de rendre impressionnants et épiques des moments finalement assez risibles.

1.5/6 (pour l'humour involontaire des moments pseudo-scientifiques.)

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Halloween Oktorrorfest 2013 - 09 - Monsters Wanted & Confine

Publié le 20 Octobre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Documentaire, Thriller

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

Monsters Wanted :

Documentaire sur les quelques mois qui précèdent l'ouverture d'un parc d'attraction/maison hantée énorme, au Texas. Loin d'être désagréable, et avec une jolie peinture d'un groupe soudé de personnes excentriques et dévouées à leur "art", mais pas forcément le documentaire le plus captivant et mémorable.

3.5/6 


Confine :

Un mannequin "défiguré" par un accident (comprendre qu'elle a trois pauvres cicatrices mal maquillées) et désormais cloîtrée chez elle est soudain confrontée à une criminelle qui s'introduit chez elle et la prend en otage.

Un thriller en carton-pâte, qui ressemble à une mauvaise pièce de théâtre.

C'est bien simple, rien de fonctionne : la mise en scène est statique, quelconque et amateure ; la musique hors-sujet ; la post-synchro très mauvaise ; l'interprétation manque globalement de conviction (les scènes physiques sont risibles) quand elle n'est pas tout simplement mauvaise (la lead, Daisy Lowe, récite la majorité de ses répliques sans émotion) ; et l'écriture est tout simplement défaillante, échouant à créer la moindre tension dans un métrage qui en nécessite pourtant énormément. Bref, un échec total.

1.25/6 (pour Eliza Bennett, qui essaie de sauver par son jeu un personnage écrit avec les pieds, et qui est aidée dans sa tâche par un wonderbra sympathique)

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Les bilans de Lurdo : Scooby-Doo, Mystery Incorporated - Saison 2 (2/2)

Publié le 19 Octobre 2013 par Lurdo dans Les bilans de Lurdo, Critiques éclair, Review, Télévision, Animation, Jeunesse, Comédie, Aventure, Thriller, Fantastique, Science-Fiction, Horreur

Suite et fin du bilan de la saison 2 de cette série excellente, qui a su remettre Scooby-Doo au goût du jour sans le dénaturer : 

 - 16 :

Les aliens (mais tous les aliens : petits gris, reptiliens, nordiques...) attaquent Crystal Cove (et dépouillent des magasins), l'occasion pour le show de nous refaire du X-files, des enlèvements, des rencontres du troisième type, des crop circles, des conspirations, et tutti quanti. Une première moitié assez amusante, mais la fin est plus faible.

- 17 :

Un troupeau de buffles mutants contrôlés par Pericles attaque la ville à la recherche du Disque antique. Un épisode pépère qui place une grosse référence à Aliens sur la fin, et un clin d'oeil appuyé au Roi Lion sur la lancée. La toute fin avec le "oups, on a résolu l'affaire, mais on vient de relâcher des centaines de super-prédateurs génétiquement modifiés dans l'océan par la même occasion... bon, faisons comme si de rien n'était, et tournons les talons... on n'a rien vu, on n'a rien fait, okay ?" était :mrgreen:

- 18 :

Retour des Hex Girls pour un remake officieux du dessin-animé Scooby & la légende du Vampire, avec le Gang qui enquête sur le retour à la vie d'un groupe de ska zombie. Et une grosse scène de band battle à la Scott Pilgrim pour finir, avec Scooby & co qui shreddent, et des effets spéciaux dans tous les sens. Très sympa. B)

- 19 :

Un démon glouton/gluten attaque des gens et les dévore, ce qui force l'ultra-vantard Doc Savage Spartan à intervenir. Un épisode plutôt anecdotique, mais le Doc Spartan, son couple en crise et son serviteur sarcastique sont plutôt marrants.

- 20 :

Un bandit-séducteur de grand chemin (semi-hommage au chanteur Adam Ant) terrorise les routes autour de Crystal Cove. Au gang de l'arrêter, avec Scooby et Shaggy qui se travestissent, et en prime des séquences de rêve à la Twin Peaks (la Red Room et un nain) et à la American Werewolf in London (Nazis attack !). Pas forcément exceptionnel, mais je me marre encore de la manière dont ils ont intégré les conneries d'Ancient Aliens à la mythologie du show (avec Amy Acker au doublage de la petite amie de Scooby ^^). :mrgreen: 

- 21 :

L'équipe enquête dans une maison hantée assez classique, sauf que... Univers Miroir (littéralement) avec Fred, remplacé IRL par son double négatif, et qui se retrouve dans un monde post-apocalyptique dévasté et empli de squelettes où il est le dernier homme sur Terre, car le gang n'a pas réussi à empêcher "Nibiru" sans le vrai Fred. Un épisode très réussi dans lequel Fred montre qu'il n'est pas que le muscle de la bande... et que sa relation avec ses parents est toujours très complexe. Ah, et visiblement, Pericles tente de libérer une entité d'outre-monde emprisonnée là depuis des éons... :P


- 22 :

À nouveau la Red Room de Twin Peaks, Amy Acker & Michael J Anderson au doublage, et la Miskatonic University, mais cette fois-ci pour un épisode dans lequel ne manquait que Freddy Krueger, puisqu'on a affaire à un être monstrueux qui tue dans les rêves. Le Gang est donc obligé de s'immerger dans le monde des rêves, ce qui donne lieu à de nombreuses scènes oniriques à travers le temps et les âges, à une référence inattendue à The Room de Tommy Wiseau et à des réponses à l'arc narratif global de la série. (et en prime, je viens de tilter que les personnages de la Mystery Inc précédente, celle de l'époque avant le Scooby Gang, étaient tous des copies exactes du cast de The Many Loves Of Dobbie Gillis, la série des 50s/60s qui a inspiré Scooby Doo à l'origine ^^)

- 23 :

Le groupe part au Yucatan pour tenter de trouver le Coeur du Jaguar, l'artefact nécessaire pour empêcher le réveil de l'entité. Pas forcément l'épisode le plus captivant, même si certains clins d'oeil à Indy, The Ruins ou Grease sont amusants, et que toute l'histoire de la mère de Velma, sex-symbol au Yucatan, est :mrgreen: 

- 24 :

Retour du Gang à Crystal Cove, qui est ravagée par des Tremors, et dont les habitants ont été réduits en esclavage par Pericles & co ; un peu plus d'explications au sujet du mystère Nibiru (vue la manière dont ils parlent d'affaiblissement des murs entre les dimensions, et d'effacer tout le mal qu'a fait l'entité par le biais de son influence, j'ai l'impression qu'on va avoir droit à un reboot final à la mort de la créature du sarcophage, wait & see...) ; une séance de bricolage à la A-Team ; Sammy, Scooby et le shérif qui se découvrent un courage inattendu et mènent l'insurrection des habitants de Crystal Cove ; et la destruction de la Mystery Machine avec reprises des dialogues et du rythme vocal de Shatner dans Star Trek III. Un bon épisode de quasi-fin de saison, avec en prime un Udo Kier qui s'éclate à doubler Pericles et à lancer des ordres en allemand à ses Kriegstaffelbots.

- 25 :

Des réminiscences d'Indiana Jones, à nouveau, puisque le Gang est contraint de déjouer les pièges successifs du tombeau de l'entité, sous la menace de Pericles et de ses troupes, qui retiennent des otages (au nombre desquels Hot Dog Water, la "copine" de Velma, qui se sacrifie, au grand désespoir de cette dernière). À nouveau, un épisode très réussi, dans lequel Fred repasse sur le devant de la scène en déjouant tous les pièges successifs, prouvant que son obsession de toujours l'a bien préparé pour ce moment. Avec en prime un petit clin d'oeil à Pirates des Caraibes At World's End, pour l'océan à l'envers.

- 26 :

L'entité poulpesque tentaculaire est désormais libre... au gang de l'arrêter. Une fin de saison épique, qui s'ouvre sur Amy Acker qui explique toute la mythologie des deux saisons précédentes, qui continue par des morts par centaines, et qui se finit par la destruction de la Terre en même temps que Cthulhu l'entité.

Et comme prévu, reboot final qui renvoie le Gang dans la Happiest Timeline (pour paraphraser Community), où tout le monde est heureux, Daphne et Fred vont se marier, Velma et Hot Dog Water partagent un même lit (pour lire, voyons, tsss....), et l'entité n'a jamais influencé des générations d'innocents... ou presque, puisqu'à la toute fin, le gang décide de s'inscrire à la Miskatonic University, pour suivre les cours de chasseurs de fantômes de Harlan Ellison, et se lancer ensuite sur les routes pour pourfendre les criminels se déguisant en fantôme. En guise de reboot, on a donc droit en fait à un toutéliage avec la toute première série Scooby-Doo, toutéliage tant thématique que musical et visuel. :wacko:

Grosse grosse seconde saison, donc. À quelques moments, peu aidé par sa diffusion chaotique, le show a failli succomber à une overdose de mythologie et d'épisodes lui étant consacrés, mais au final, c'est un succès. Les deux saisons de la série fonctionnent parfaitement en tant que stand-alone, la fin est arrivée au bon moment, et les personnages du show ont rarement (si ce n'est jamais) été aussi attachants et bien développés. Maintenant, j'ai un peu peur de ce qui viendra ensuite pour la franchise Scooby (à vrai dire, je crains un retour de bâton à la Doctor Who : "ces deux saisons étaient trop complexes, on veut un truc plus simple maintenant, quitte à ce que ce soit simpliste et abêti").

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Halloween Oktorrorfest 2013 - 08 - Come Out And Play & Saturday Morning Mystery

Publié le 16 Octobre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Horreur, Halloween, Fantastique, Thriller, Comédie

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

Come Out And Play :

Un couple arrive sur une île désolée, dans un village sud-américain uniquement occupé par des enfants. Bien vite, la situation dégénère...

Remake quasi plan-pour-plan d'un film de 1976, le métrage tourne rapidement à vide, confondant lenteur sinistre et atmosphérique avec rythme mollasson et soporifique.

De plus, le score agaçant n'aide guère à apprécier ce film contemplatif qui, par moments, semble même un peu prétentieux... tout en passant totalement à côté du moindre semblant de message, en faisant de ses gamins meurtriers des machines à tuer mécaniques et identiques.

Tout l'intérêt de la thématique des enfants meurtriers (le contraste innocence/meurtre, et le dilemme moral lorsque vient le moment de se défendre) est donc ici annihilé, malgré les efforts du couple d'adultes...

1/6 

Saturday Morning Mystery :

Une parodie "modernisée" et live de Scooby Doo, dans laquelle le Scooby Gang s'attaque au mystère d'une maison/école à la sinistre réputation.

Les dix premières minutes ont du potentiel, avec un générique réussi, et une mise en place pas désagréable... les acteurs s'en sortent, sans faire d'étincelles, et l'on se dit que la balade peut être fun, notamment grâce à quelques effets de réalisation sympatoches... mais le tout se met rapidement à ronronner comme ce n'est pas permis, et à donner dans la combinaison sex, drugs & gore qui n'est jamais drôle, jamais effrayante, jamais sexy et jamais tendue...

Bref, ça se transforme très rapidement en grand néant inintéressant avec, comble du comble, un chien qui n'est jamais utilisé. Déception.

Et contrairement à ce que prétend la jacquette, ça n'a rien à voir avec Evil Dead. C'est plutôt "Scooby-Doo meets The Hills Have Eyes".

2/6 (pour le début, le concept, et quelques scènes ponctuelles)

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x04

Publié le 16 Octobre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Marvel, MCU, ABC, Thriller, Action, Fantastique, Science-Fiction

1x04 :

Jeff Bell seul à l'écriture d'un épisode réalisé par B'elanna Torres = ça redresse (un tout petit peu) la barre. Le problème, en fait, c'est qu'à nouveau, le pitch était convenu au possible : le coup du "l'ancien protégé du leader de l'équipe est passé à l'ennemi, et il faut le retrouver au plus vite pour l'empêcher de nuire, mais la situation est moins manichéenne qu'au premier abord, parce qu'elle est forcée de travailler pour l'ennemi", on y a eu droit dans toutes les séries d'espionnage, ou même dans des NCIS et consorts... donc bon gros bof pour le scénario, et pour l'actrice qui jouait l'ex-protégée de Coulson. Ce qui pose problème quand tout le suspense de l'épisode repose sur la survie ou non de la fille en question... surtout qu'en plus, il y a toujours les grosses ficelles habituelles (l'opération chirurgicale improvisée pratiquée par une scientifique inexpérimentée, mébiensûr ; toute l'intro avec les transporteurs de diamands en mode Anonymous, rien de tel pour passer inaperçu ! ; Skye qui hacke tout et n'importe quoi à partir d'un laptop, y compris les systèmes des maychants, qui ont pourtant 10 ans d'avance technologique sur le Shield, laule ; la team qui choisit d'envoyer Ward à la place d'une femme, au lieu de May, qui était pourtant là et prête à l'action, *soupir*).

Par contre, si sur le front de l'intrigue ça ne fonctionnait pas vraiment, sur celle de l'écriture des personnages, c'était un peu mieux : tous les personnages, de manière globale, étaient en mode mineur en comparaison des épisodes précédents, ce qui était appréciable. Cela dit, l'anti-jeu rigide et volontaire de Ming-Na risque d'être fatiguant à la longue.

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Halloween Oktorrorfest 2013 - 07 - Frankenstein's Army & Nothing Left to Fear

Publié le 15 Octobre 2013 par Lurdo dans Oktorrorfest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Found Footage, Histoire, Thriller

Halloween approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...

Frankenstein's Army :

Un "reporter" soviétique part avec un commando pour libérer une région d'Allemagne de l'Est, et découvre le laboratoire de recherche d'un savant nazi... Frankenstein.

Un found footage historique plutôt sympatoche, tant niveau reconstitution que mise en image et bestiaire. Après, le rythme est un peu bancal, et niveau tension ou peur, ce n'est pas top, idem pour l'interprétation (les monstres sont beaucoup trop théâtraux) mais pour l'atmosphère et l'originalité, allez...

un petit 2.5/6 

Nothing Left to Fear :

La famille d'un pasteur s'installe dans un village rural aux habitants menaçants, qui semblent étrangement intéressés par les deux filles des arrivants...

Un film fantastique/horreur produit par Slash, particulièrement mollasson, et qui se traîne gentiment sur toute la longueur, se contentant de recycler des gimmicks et une imagerie redondantes et convenues sans réussir à créer la moindre tension.

1.5/6 (parce que j'aime bien le cast - James Tupper, Anne Heche, Jennifer Stone, Ethan Peck et Clancy Brown...)

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Critique éclair - Marvel's Agents of SHIELD 1x03

Publié le 9 Octobre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Thriller, Action, Fantastique, Science-Fiction, Marvel, MCU, ABC

1x03 :

Moui. Il y a du mieux (une origin story de supervillain, c'est toujours sympa ; et Coulson qui continue d'être clairement anormal - cela dit, j'ai un doute : est-ce que les Life Model decoys peuvent avoir des bleus/saigner, dans les comics ? Je ne me souviens plus.), mais ça reste vraiment un truc écrit avec les pieds, sans aucune subtilité (tiens, si on répétait à trois reprises dans l'épisode que Coulson est "rouillé", histoire de bien le faire comprendre au spectateur), depuis l'ouverture un peu stupide ("il faut qu'on capture Machin en vie : catapultons son camion dans les airs, espérons que la remorque du camion retombe à la verticale, et que le harnais de Machin soit suffisamment résistant pour qu'il en sorte vivant"), les persos qui ont tous des backgrounds torturés (l'histoire du frangin de Ward, délivrée sans la moindre expression faciale), Skye (et son brushing constant) qui apprend une prise de self defense (ça tombe bien, c'est la seule dont elle aura besoin dans l'épisode, c'est pratique), les bavardages intensifs d'exposition, le script téléphoné (la prise de self defense, donc, mais aussi toute la grosse perche qu'on tend dès le début de l'épisode au sujet du "defining moment", la pseudo-trahison de Skye - supposée être crédible, alors qu'elle n'a ni utilisé sa prise, ni son gadget qu'on t'a expliqué en long, en large et en travers...) et plein de détails sur lesquels il faut fermer les yeux (Skye qui "infiltre" la réception, passe la moitié de son temps à parler en tenant son oreillette, et est instantanément présentée à tout le monde comme "Skye du mouvement de pirates informatiques Rising Tide" O_o, Ward et Coulson qui se pointent tranquillement à Malte en plein jour, en bateau et en costume cravate et tenue de terrain :mrgreen:, le shipping souligné par la musique, Skye qui nous fait un concours de robe mouillée)...

Bon, et puis la musique overzetaupe et le cast transparent, comme d'hab... :rolleyes:

(désolé, mais Skye ou Ward... nope ; et la faute en revient autant aux acteurs qu'aux scénaristes.)

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