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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #review catégorie

Halloween Septembrrrfest 2015 - 08 - Feed The Gods (2014)

Publié le 18 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Halloween, Comédie, Fantastique

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Feed The Gods :

Will (Shawn Roberts) et Kris (Tyler Johnston) sont deux frères radicalement différents : le premier est un artiste glandeur, bodybuildé, décomplexé et fumeur de marijuana invétéré, tandis que le second, mince et sombre, est sérieux, dépressif, amer et tout en retenue. À la mort de leur mère adoptive, les deux frères découvrent alors, parmi les possessions de celle-ci, une vidéo les menant à la ville reculée de Tendale, réputée pour héberger un bigfoot, et où vivaient les parents des deux garçons. Ils partent alors en route, accompagnés par Brit (Emily Tennant), la fiancé de Kris, afin de percer à jour le mystère de la ville maudite...

Un film d'horreur très inégal, en partie crowdfundé, et qui s'avère assez frustrant, principalement parce que les bases présentes sont tout à fait saines.

Avec un postulat de ce type (des jeunes + un apprenti cinéaste glandeur et fumeur + une forêt + un bigfoot), on aurait pu craindre le pire, à savoir un métrage au format found-footage, blindé de clichés et de jeunes agaçants de débilité, avec une dose de nudité gratuite pour couronner le tout.

Et puis non, il y a là le véritable désir de raconter une histoire, de créer une légende de dieux païens et de sacrifices, d'écrire des personnages intéressants aux relations un minimum travaillées, d'imposer une ambiance, et de ménager le suspense.

Malheureusement, si le film est globalement bien joué et mis en scène (malgré une photographie un peu trop sombre, et quelques effets de style inutiles), c'est au niveau de la structure du récit que le film pêche notablement.

Pendant une bonne heure, en effet, le métrage est presque totalement premier degré, jouant la carte du mystère, de l'atmosphère pesante, de l'angoisse, avec de toutes petites touches d'humour dans l'interprétation, qui ne contrastent pas trop violemment avec le ton global.

Mais progressivement, cependant, le film perd en énergie et efficacité ; et une fois la barre des 60 minutes franchie, le script s'éparpille, semblant hésiter entre monster movie sérieux, et horror comedy décomplexée (avec notamment quelques mises à mort involontaires qui jurent totalement avec l'ambiance générale), et se concluant de manière peu satisfaisante, comme si le scénariste/réalisateur avait, petit à petit, été dépassé par son récit, probablement trop ambitieux pour son budget (ce qui se remarque notamment au niveau de la créature, assez fauchée).

Vraiment dommage.

2.5/6, voire même un petit 3/6, pour les intentions.

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 07 - Housebound (2014)

Publié le 18 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Comédie, Horreur, Halloween, Nouvelle-Zélande

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Housebound :

Criminelle néozélandaise à la petite semaine, Kylie Bucknell (Morgana O'Reilly) est arrêtée lors d'un braquage raté, et est assignée à résidence chez sa mère Miriam (Rima Te Wiata), qui vit avec son compagnon dans une maison qu'elle croit hantée. Sceptique et brute de décoffrage, Kylie ne croit pas une seconde à ces supposés phénomènes paranormaux... jusqu'à ce qu'elle commence à en faire l'expérience.

Une comédie horrifique néozélandaise à la réputation élogieuse, multi-récompensée en festival, mais qui m'a étrangement laissé très mitigé. Probablement la faute à cette hype démesurée parmi les amateurs de genre, qui a fait que je m'attendais à quelque chose de plus maîtrisé et ouvertement drôle que le produit fini (en fait un film d'horreur pas trop sérieux, sans plus).

Car dans les faits, il y a facilement une heure entière de métrage qui repose vaguement sur le décalage entre les manifestations surnaturelles et les réactions sèches et indifférentes de Kylie, ainsi que sur l'accompagnement musical horrifique et envahissant de scènes à la banalité confondante et/ou aux enjeux inexistants.

Malheureusement, la Kylie en question est à ce point insupportable durant cette première heure mollassonne qu'on en vient presque à vouloir qu'il lui arrive quelque chose de regrettable... et bien que le récit semble vouloir la faire "évoluer" et lui faire prendre conscience de ses erreurs/son caractère, dans les faits, c'est trop peu prononcé pour vraiment fonctionner.

On a donc une bonne moitié de métrage (voire même un peu plus) qui n'est ni particulièrement drôle ni particulièrement effrayante, mais simplement un peu décalée, ce qui est assez problématique pour ce qui est vendu comme "une comédie horrifique".

Par la suite, le film se décante enfin, dépassant son postulat de départ pour multiplier les fausses pistes, s'énerver un peu, et finir par devenir, dans les 10-15 dernières minutes, un slasher assez classique, à la musique envahissante, et au slapstick sanglant.

Pas forcément désagréable à suivre, mais il est difficile de ne pas être déçu en regard des attentes que j'en avais : 110 minutes, c'est très long quand près de 80 de ces minutes sont éminemment oubliables.

(d'ailleurs, il est assez amusant de constater que sur Rotten Tomatoes, où le film a 96% d'avis positifs, un certain nombre de ces critiques positives sont en fait "mitigées-positives", avec des notes juste au-dessus de la moyenne)

3/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 06 - Hangar 10 (2014)

Publié le 17 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Horreur, Science-Fiction, Found Footage

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Hangar 10 :

Une trentaine d'années après les évênements de la forêt de Rendlesham, en Angleterre, Gus (Robert Curtis), Sallie (Abbie Salt), et Jake (Danny Shayler), trois chercheurs de trésors à la recherche d'or saxon, s'aventurent dans ces bois interdits, et capturent des images incroyables d'activités ufologiques dans le ciel. Mais à l'approche de la nuit, leur équipement commence à défaillir, et le trio panique, alors qu'une mystérieuse présence les encercle...

Un found footage ufologique particulièrement mauvais, car apparemment bloqué aux origines du revival du genre : comme dans Blair Witch, on a droit à des personnages antipathiques et creux, qui paniquent seuls dans la forêt, se disputent, filment des arbres, crient, et, OVNIs obligent, voient des lumières dans le ciel, tout en étant incapables de cadrer correctement un plan plus de dix secondes.

C'est visuellement laid, c'est cliché, c'est soporifique au possible, et (comme dans Blair Witch, bis) il faut attendre les trois dernières minutes pour enfin voir quelque chose d'intéressant. Quel dommage, cependant, qu'à ce point du film, le spectateur se soit endormi depuis longtemps...

1/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 05 - Tusk (2014)

Publié le 17 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Comédie, Halloween

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Tusk :

Un podcasteur américain (Justin Long) s'aventure dans les étendues "sauvages" canadiennes, à la recherche d'un vieil homme (Michael Parks) au passé extraordinaire, mais qui cache un sombre secret et une obsession relative à un morse...

Un long-métrage bizarre signé Kevin Smith, qui avait pourtant juré à plusieurs reprises qu'il abandonnait le cinéma, mais qui apparemment est trop passionné (ou défoncé au cannabis) pour vraiment mettre ses menaces à exécution.

Là, en l'occurrence, Smith s'essaie à nouveau à l'horreur après Red State (qui n'avait pas grand chose d'horrifique), en fusionnant Misery avec Human Centipede et avec une comédie potache et débile, pour un film décousu qui ne convainc jamais vraiment.

La faute à un rythme bancal (énormément de meublage dans ces 105 minutes, notamment dès que Depp apparaît), à des effets spéciaux guère meilleurs (le costume de morse fait vraiment mauvais caoutchouc foireux), à une distribution en roue libre (Long passe son temps à hurler, Depp semble être dans un film totalement différent, Parks part dans des délires poétiques étranges), et à des personnages assez antipathiques (Justin Long, notamment, est à baffer, alors que l'on est supposé s'inquiéter de son sort)...

Bref, ça s'éparpille, il y a des ruptures de ton calamiteuses (les flashbacks !), la réalisation est assez moyenne (avec notamment des mouvements de caméra et des plans inutiles) et c'est très gueulard, mais entre Johnny Depp qui surjoue en pseudo-Clouseau québécois, et le concept tellement improbable et expérimental, ça vaut tout de même le coup d'oeil.

(et les filles de Depp et de Smith sont assez à l'aise devant la caméra, je comprends que Smith veuille en faire des Clerks 2.0)

2.75/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 04 - Dracula Untold (2014)

Publié le 16 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Action, Fantastique, Halloween

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Dracula Untold :

Dans la Transylvanie du 15è siècle, le Prince Vlad Tepes (Luke Evans), est un guerrier sanguinaire mais juste et aimé de son peuple. Mais lorsque les Turcs, menés par le Sultan Mehmed II (Dominic Cooper), décide de durcir les termes de leur traité jusqu'à l'inadmissible, Vlad finit par conclure un pacte démoniaque avec une créature nocturne maléfique, en échange de pouvoirs surnaturels incroyables.

Un film assez problématique pour moi.

D'un côté, ça mange à d'innombrables râteliers tous plus ou moins déjà vus sur ce sujet, du Coppola à des dizaines d'autres films et romans à ce sujet, ça transforme une icône de l'horreur en super-héros mécompris, romantique et pacifiste, c'est assez terne visuellement, la musique est insipide au possible, et techniquement, il y a ça et là des problèmes de format et de réalisation. Ce qui fait que je n'ai aucun mal à comprendre le rejet viscéral de bon nombre d'amateurs d'horreur et de fantastique.

Mais d'un autre côté, le tout se regarde très bien, les effets spéciaux sont réussis, et les acteurs croient à ce qu'ils font (même s'ils ne sont pas toujours très bien castés, cf Cooper en méchant Turc).

Donc le tout est finalement une expérience assez frustrante, qui oscille constamment pour moi entre "tiens, c'est sympa, cette scène", et "pff, quelle utilité que celle-ci"...

Un très petit 3/6 sur l'échelle des films "origin story superflue".

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 03 - What We Do In The Shadows (2014)

Publié le 16 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Halloween, Comédie, Documentaire, Nouvelle-Zélande, Shadows

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Vampires en toute intimité (What We Do in the Shadows) :

Viago (Tiaka Waititi), Deacon (Jonathan Brugh), Vladislav (Jemaine Clement) et Petyr (Ben Fransham) sont quatre vampires d'âges et d'origines différents, qui vivent en colocation dans une demeure à Wellington, Nouvelle-Zélande. Suivis par une équipe de reporters qui tourne un documentaire sur leur groupe, les vampires vont se confier aux caméras, jusqu'à que Nick (Cori Gonzalez-Macuer) ne deviennent l'un d'entre eux et, par son manque de self-control et de manières, chamboule radicalement leurs vies.

Un documenteur signé de l'un des Flight of the Conchords, et qui parodie le genre vampirique avec habileté et humour : on ne s'ennuie jamais, les effets visuels sont de qualité pour un film à 1M$ de budget, et si certaines pistes sont un peu trop prévisibles et/ou manquent de punch pour vraiment fonctionner totalement (tout le mystère sur "La Bête" est beaucoup trop téléphoné), le tout reste éminemment sympathique et amusant.

4.25/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 02 - Catacombes (2014)

Publié le 15 Septembre 2015 par Lurdo dans Oktorrorfest, Critiques éclair, Cinéma, Review, Horreur, Halloween, Fantastique, Found Footage

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Catacombes (As Above, So Below) :

Bien décidée à retrouver la Pierre Philosophale, la jeune archéologue Scarlett Marlowe (Perdita Weeks) a découvert une nouvelle piste prometteuse : la Pierre serait cachée dans les catacombes de Paris. Avec l'aide d'une équipe de spécialistes locaux, elle s'y aventure donc, mais bien vite, il apparaît que le groupe de chercheurs a franchi les portes d'un enfer tout personnel...

Un found footage qui s'avère une assez bonne surprise, puisqu'étant presque plus un film d'aventure qu'un véritable film d'horreur, avec une Perdita (comme toujours) adorable en simili-Lara Croft sans peur et (presque) sans reproche.

L'ambiance est assez réussie, les décors parisiens font plaisir à voir (pour une fois que ce n'est pas tourné à Prague !), les personnages ne sont pas têtes à claque (un exploit dans ce genre de films), et le concept est plutôt bon (bien que capillotracté), même s'il ne peut s'empêcher de trahir son budget limité dans son dernier quart d'heure, avec des scènes pas si effrayantes que ça, et beaucoup de shaky-cam illisible pour cacher la misère.

Néanmoins, c'était plutôt dans la moyenne haute du genre found footage, et le parfum d'aventure archéologique n'était pas pour me déplaire.

3.75/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 01 - High School Possession (2014)

Publié le 15 Septembre 2015 par Lurdo dans Oktorrorfest, Critiques éclair, Cinéma, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Télévision, Lifetime

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

High School Possession :

Chloé (Jennifer Stone), une lycéenne perturbée et colérique, peine à faire face au divorce de ses parents ; et à mesure que ses troubles psychologiques prennent de l'ampleur et qu'elle devient incontrôlable, une décision doit être prise : alors que sa mère (Ione Skye) refuse fermement de voir Chloé internée, la meilleure amie de celle-ci, Lauren (Janel Parrish) arrive à la conclusion que seul un exorcisme pourra l'aider. Elle se tourne donc vers le pasteur local puis, devant son refus, vers un groupe de prière du lycée...

Un téléfilm Lifetime diffusé à Halloween dernier, et qui... hum... comment dire... qui est assez ridicule. Jennifer Stone (au relookage radical depuis Waverly Place, entre sa couleur capillaire et son régime conséquent qu'elle ne se prive pas de montrer) se démène pour interpréter son personnage d'ado troublée (à l'ultime perruque risible), mais tout ce qui l'entoure est trop médiocre pour convaincre un seul instant.

Malgré ses 85 minutes, le film se traîne donc notablement, pas aidé par un script qui joue du prétexte de l'exorcisme pour attirer le chaland, mais ne s'avère être, au final, qu'un drame psychologique de plus, teinté d'une pointe de bondieuserie sous-jacente, d'un manque assez amusant de figures paternelles (pasteur excepté ^^) et souffrant d'une Janel Parrish et de nombreux seconds rôles globalement compétents, mais assez ternes et transparents.

1.75/6 (uniquement pour Jen Stone)

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Blog Update ! - Septembre 2015

Publié le 14 Septembre 2015 par Lurdo dans Update, Cinéma, Critiques éclair, Review

Ça y est, c'est officiellement la rentrée, et après plus de 200 mini-critiques, la rubrique Un film, un jour (ou presque) prend ses vacances.

De petites vacances, à vrai dire, puisque la rubrique fera un mini-retour à partir du 16 Novembre, jusqu'au démarrage de la Yulefest 2015, début Décembre.

Dans l'intervalle, place dès demain à l'Oktorrorfest 2015, avec au programme deux films d'horreur chroniqués chaque jour, du Lundi au Vendredi, et deux autres chroniqués pendant le week-end.

Comme toujours, vous pouvez retrouver une liste des films déjà critiqués dans ces pages en passant par l'onglet Pages/Index Cinéma, ou bien en utilisant les tags des catégories de chaque article.

Bonne lecture, et bons films !

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Catch Review : TNA Impact (09/09/2015)

Publié le 13 Septembre 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Trois semaines avant Bound For Glory...

Impact Wrestling 09/09/2015 :

- EC3 au micro, qui explique qu'il n'en a rien à battre de GFW vs TNA (ça tombe bien, moi non plus), fait une récap de son feud vs Matt Hardy, et du fait que Jeff est désormais son assistant perso. EC3 humilie un peu Jeff en public, puis encore un peu plus, puis encore un peu encore, jusqu'à ce que le segment dure un peu trop longtemps. M'enfin connaissant la TNA, Hardy va se rebeller dès la semaine prochaine, pour mettre en place BFG, où tout sera bouclé, donc autant qu'ils liquident tout dès maintenant.

- Spud & Matt vs EC3 & Tyrus. Franchement RAS. Spud jobbe, et Hardy commence déjà à se rebeller.

- Drew motive les Wolves backstage.

- Taryn et les Dollhouse cabotinent et se motivent backstage.

- Madison se fait passer à tabac par la Dollhouse. Tout le monde surjoue comme ce n'est pas permis, Angelina Love se fait démolir, et zou, elle est sortie pour cause de grossesse.

- Et revoilà Jarrett et madame qui s'incrustent, avec Jarrett mécontent de Roode qui a son titre, Karen qui donne des leçons à tout le monde... bleh.

- Eli Drake, Jesse et Kenny King (qui apparamment est déjà redevenu heel après son face turn de la semaine dernière :facepalm:) refusent d'aider la team TNA, et le font savoir à Drew qui se plaint de leur comportement. Brawl contre trois faces qui jusque là n'avaient pas pris part au conflit. Franchement aléatoire et sans grande logique, m'enfin bon.

- Ec3 vient humilier un peu plus Hardy en lui donnant des trucs à faire backstage.

- Drake, Jesse & King vs Robbie, Micah & Tigre. RAS. Micah n'impressionne toujours pas.

- Brooke vs Gail Kim. KO Title. Gail clairement en train de diriger le match en donnant des instructions constantes à Brooke, pour un bon match se finissant en queue de poisson quand Tapa tente de voler le titre, et que Kong s'interpose. Tapa semble toujours peu à l'aise niveau timing, mais bon, sinon, ça allait.

- La GFW se motive backstage.

- Drew & Hardy s'encouragent, EC3 n'est pas d'accord.

- Wolves vs Lee & Myers. Tag titles. Bon match, mais on peut se demander quel intérêt il y avait à déjà redonner les titres aux Wolves, qui les ont perdus la semaine dernière... ah, mais oui, j'oubliais, toute cette invasion est baclée, car elle doit être bouclée en fin de semaine prochaine, histoire de laisser un peu de temps pour mettre BFG en place... *soupir*

- Melendez claudique backstage.

- Melendez dans le ring et EY pour des promos croisées décidément répétitives (le feud tourne affreusement en rond), ce qui est dommage, parce que l'ex-soldat est plutôt solide, au micro.

- La team TNA se motive backstage.

- Josh Matthews interviewe Mahabali en studio, et c'est la fête de l'anglais approximatif et des clichés sur l'Inde. Ils sont vraiment décidés à le pusher, ce Mahabali... pourquoi pas. Il a du potentiel.

- Chris Masters vs Drew Galloway, Lumberjack match for the Lethal Lockdown advantage. Aucun intérêt intrinsèque : le match n'était pas forcément mauvais, sans plus, mais le concept d'avantage dans le Lethal Lockdown est 1) inutile et inexistant (à la base, LL est un gimmick très mal pensé), et 2) forcément à l'avantage des heels, histoire de donner un semblant de suspense. Donc là, comme en plus ils nous ramènent un Eric Young qui trahit (forcément) la team TNA de manière ultra-téléphonée quand tous les lumberjacks sont occupés et qu'il faut contrer Jarrett...

 

La même histoire que la semaine dernière : de l'action convaincante dans le ring, mais un booking baclé, précipité, téléphoné, et affreusement peu intéressant.

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Un film, un jour (ou presque) #215 : San Andreas (2015)

Publié le 11 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Action, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

San Andreas :

Alors que la faille de San Andreas entre enfin en activité et détruit San Francisco et la Californie, un sauveteur (Dwayne Johnson) tente de rejoindre son ex-femme (Carla Gugino) et sa fille (Alexandra Daddario), prises dans la tourmente.

San Andreas, c'est ce qui se passe lorsque des producteurs veulent faire du Roland Emmerich, mais avec un script encore plus cliché et mal écrit que du Roland Emmerich, des effets spéciaux encore plus approximatifs, dénués de poids, et à la physique improbable (et ce dès la première scène !) que du Roland Emmerich, des personnages encore plus caricaturaux que du Roland Emmerich, et des péripéties encore plus improbables que du Roland Emmerich.

Autant dire que c'est mauvais de bout en bout, avec des personnages en carton-pâte recyclant les pires clichés du genre, un rythme bancal, et un récit des plus stupides qui singe les films-catastrophes made in Emmerich de la pire des manières.

Heureusement que dans ce cartoon involontaire, il reste un trio de tête sympathique en la personne de The Rock, de Carla Gugino et d'Alexandra Daddario qui, s'ils forment une famille moyennement crédible (le père métis, la mère caucasienne, et la fille-de-20-ans-qui-semble-en-avoir-25-30 qui n'a absolument rien pris du père), portent néanmoins le métrage sur leurs épaules, qu'elles soient littérales et musclées comme celles de Dwayne, ou plus métaphoriques et pleines de courbes tressautantes comme celles des deux actrices.

2/6 (pour le trio, et parce qu'on ne s'ennuie pas trop malgré la durée abusive)

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Un film, un jour (ou presque) #214 : Une Ombre sur le Mariage (2014)

Publié le 10 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Comédie, Policier, Hallmark, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Une Ombre sur le Mariage (Wedding Planner Mystery) :

Carnegie Kincaid (Erica Durance) est une organisatrice de mariage impertinente et séduisante qui décroche le contrat de ses rêves, pour les noces de la belle héritière Nicky Parrys (Chelan Simmons). Mais bien vite, ce rêve se transforme en cauchemar lorsqu'un cadavre est découvert pendant la réception, que Carnegie est accusée à tort, qu'un journaliste agaçant se mèle de tout ça, et que Nicky finit par être enlevée... à Carnegie de découvrir le vrai responsable avant qu'il ne soit trop tard.

Une pseudo "comédie policière" signée Hallmark, adaptée d'un roman, et qui échoue sur tous les plans.

Le script est affreusement plat et soporifique (j'ai déjà à moitié oublié les motivations des criminels, alors que je viens de finir de regarder le film), la réalisation est basique et assez laide, la musique (supposément) légère est envahissante et agaçante, la voix off qui narre le récit par intermittence est inutile, et tout le monde est légèrement en surjeu, probablement à cause d'une direction d'acteurs inexistante.

Résultat, ce n'est ni drôle, ni léger, ni prenant, ça n'a pas le moindre suspense ni mystère (ce qui, pour une comédie policière, est problématique), et ça se paie tous les clichés des romances Hallmark, de la meilleure copine black à la love story improbable. J'ai beau avoir de la sympathie pour Durance et Simmons, là, je passe.

1.25/6

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Un film, un jour (ou presque) #213 : Les Pingouins de Madagascar (2014)

Publié le 9 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Animation, Comédie, Jeunesse, Dreamworks, Aventure

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Pingouins de Madagascar (Penguins of Madagascar) :

Skipper, Kowalski, Rico et P'tit Gars, les quatre pingouins de Madagascar, doivent faire équipe avec le Vent du Nord, un groupe d'espions surentraînés, pour lutter contre Dave (John Malkovich), un poulpe jaloux des pingouins, et décidé à transformer tous les animaux mignons en monstres hideux.

Un film d'animation Dreamworks assez générique et décevant, avec son action incessante et frénétique, sa musique générique au possible (Lorne Balfe n'est décidément pas un compositeur très mémorable), et son script basique.

Ça fonctionne par moments, mais le tout reste beaucoup trop inégal pour convaincre.

Un très petit 3/6.

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Un film, un jour (ou presque) #212 : Les Prisonnières (2015)

Publié le 8 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Drame, Télévision, Lifetime, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Prisonnières (Kept Woman) :

Après avoir subi un cambriolage particulièrement violent, Jess Crowder (Courtney Ford), une conceptrice graphique de talent, déménage de la ville pour s'installer en banlieue avec son fiancé Evan (Andrew W. Walker). Ils font aussitôt la connaissance de leur nouveau voisin, Simon (Shaun Benson), un universitaire très conservateur, tant dans ses opinions que dans ses choix vestimentaires. Bientôt, Jess attire l'attention de Simon, qui s'avère un dangereux psychopathe, et kidnappe Jess pour l'enfermer dans son sous-sol : là, elle passe ses journées cloîtrée dans un décor en carton-pâte typé années 50, en compagnie de Robin (Rachel Wilson), une précédente victime de Simon, à l'esprit brisé et reformaté par le maniaque...

Un thriller Lifetime supposément inspiré par une histoire vraie et qui, sur un postulat intéressant et bien interprété, reste assez capillotracté, tirant un peu en longueur, en dépit de quelques ellipses pourtant présentes.

Rien de forcément mauvais, dans l'absolu, mais rien de vraiment mémorable non plus, si ce n'est le tueur, qui ressemble beaucoup au catcheur Rockstar Spud avec son style rétro-hipster, et est donc assez difficile à prendre au sérieux par moments...

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #211 : Une Affaire de Coeur (2004)

Publié le 7 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Une Affaire de Coeur (Laws of Attraction) :

Audrey Woods (Julianne Moore) et Daniel Rafferty (Pierce Brosnan) sont les deux meilleurs avocats de New-York en matière de divorce, et tout les oppose : elle est froide, distante, légèrement maniaque et particulièrement coincée ; lui est gouailleur, charmeur, irrésistible, et totalement décomplexé. Pourtant, ils sont implacablement attirés l'un par l'autre, et cette relation à la fois conflictuelle et passionnée culmine lors d'un séjour professionnel en Irlande, dans le château d'une star du rock (Michael Sheen) en instance de divorce avec son épouse créatrice de mode (Parker Posey).

Une comédie romantico-légale assez classique et convenue, malgré sa structure un peu inhabituelle, et qui s'inspire de Madame porte la culotte (1949) sans réellement parvenir à s'en rapprocher.

À vrai dire, le métrage serait totalement oubliable, si ce n'était pour sa distribution impeccable : Moore & Brosnan forment un couple particulièrement attachant, Sheen et Posey leur équivalent totalement déjanté, et ensemble, ils apportent au tout une jolie énergie qui sauve le tout.

Bref, pas mémorable pour un sou, mais sympatoche.

3.5/6

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Catch Review : TNA Impact (02/09/2015)

Publié le 5 Septembre 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Quatre semaines avant Bound For Glory...

Impact Wrestling 02/09/2015 :

- Grosse envie de changer de chaîne, tout de suite, dès le début, avec la GFW qui envahit le ring, pour encore une promo de Jarrett & de sa femme, insupportable. Masters se vante de sa taille (alors que 95% des mecs de la GFW sont des avortons, lol), et lance un open challenge accepté par Lashley. Très laborieux, comme début de show, et très peu engageant, car encore une invasion pour le contrôle de la compagnie, ça commence à me gonfler.

- Lashley vs Masters. Match honorable, mais rien d'exceptionnel, et une fin en queue de poisson forcément agaçante. Assez pitoyable que seuls les Wolves daignent prendre la défense de la TNA.

- Karen se pointe avec la valise de FoF de Magnus (!?), et l'encaisse sur les Wolves (après avoir démoli Hebner), qui se font battre en une minute (sur tricherie) et perdent leurs ceintures au profit de la GFW. Énorme :facepalm: de ma part.

- Roode en a assez de tout le monde, GFW et TNA inclus.

- Ec3 pour se moquer des Hardys au micro de JB. Comme toujours assez bon.

- PJ Black vs Roode. KOTM title. Promo moyenne de Roode en pré-match, match pas mauvais, mais PJB catche toujours au semi-ralenti, comme s'il était encore à la WWE. Roode récupère la ceinture malgré l'intervention de la GFW (contrée par Galloway), ce qui n'est pas un mal.

- Jarrett est furieux, Dixie se pointe, le duo se dispute avec des commentaires à la limite du shoot, pas franchement passionnant ; Dixie et Jarrett se mettent d'accord pour un Lethal Lockdown dans deux semaines (youpi...), avec pour enjeu le contrôle total de la compagnie. Dixie recrute Galloway, les Wolves et Lashley, et on a encore droit à une promo répétitive de Galloway.

- La GFW est motivée.

- Encore du meublage de la part des commentateurs. Mwé.

- Face turn de Kenny King, qui relance Open Fight Night, et se retrouve face à Bram.

- Bram vs King. King s'en sort bien, mais finit par se faire démolir comme une merde. Pourquoi ? *soupir*

- Promo générique et quelconque des Hardys.

- Velvet Sky au micro... avant de se faire passer à tabac par la Dollhouse 2.0, et sauver par les Beautiful People qui se reforment à cette occasion. Pourquoi ?! *soupir* Surtout qu'en plus, ALove est enceinte, et donc elle ne sera pas dans la suite de cette storyline...

- Matt Hardy vs EC3. HW Title. Pas forcément mauvais, mais absolument aucun intérêt tant le résultat était couru d'avance, pour d'innombrables raisons.

 

Un show qui... euh... Au moins c'était compétent et efficace dans le ring. Le reste, par contre.... *soupir*

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Un film, un jour (ou presque) #210 : Vive les Vacances (2015)

Publié le 4 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Vive les Vacances (Vacation) :

Parce qu'il se souvient avec nostalgie de ses vacances familiales à Wally World, Rusty Griswold (Ed Helms) décide de faire une surprise à sa femme (Christina Applegate) et à ses deux fils, en organisant un road-trip à travers le pays jusqu'au parc d'attraction. Malheureusement, la malchance des Griswold rattrape rapidement la famille de Rusty, et le voyage se transforme en cauchemar...

Un reboot/suite de Bonjour les Vacances (1983, de Harold Ramis et de John Hughes) qui tente de moderniser le récit original, en le mettant au goût du jour avec un humour plus graveleux, vulgaire et agressif (le petit frère qui passe tout le film à essayer de tuer son aîné... okay).

Si la distribution est sympathique, le tout manque cependant cruellement du charme, de l'humour, et de la sensibilité des Vacation originaux, et finit par s'avérer un métrage très générique, globalement éclipsé par le récent Les Miller, une famille en herbe (2013), plus amusant dans le genre road trip familial catastrophique.

Sans même oublier un côté très racoleur (Liz Gillies qui ne sert qu'à débiter quelques dialogues dans un bikini minimaliste) et bancal (certains gags, comme la scène des agents de police à la frontière, tombent totalement à plat, et sont interminables), et un Chevy Chase qui n'a qu'une scène et demi, mais qui parvient à en faire trois tonnes, jusqu'à faire oublier son personnage par son surjeu : on ne voit plus Clark Griswold, mais Chase qui tente de voler la vedette aux autres acteurs parce qu'il n'a qu'une scène à l'écran.

2.25/6

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Un film, un jour (ou presque) #209 : H8RZ (2015)

Publié le 3 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Thriller, Jeunesse

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

H8RZ :

Après qu'un incendie mystérieux ait ravagé un lycée, et coûté la vie à plusieurs étudiants, l'avocate de l'école (Abigail Spencer) interroge l'unique témoin des événements, Alex, qui se lance alors dans un récit mélangeant harcèlement, corruption, détournement de fonds, triche et chantage... mais les apparences ne sont pas ce qu'elles semblent être...

Attention, spoilers :

Déception notable pour ce qui était l'un des scripts de la fameuse Liste Noire des scripts les plus en vue à Hollywood, et qui ne s'avère, au final, qu'une photocopie éhontée et quasi-mécanique d'Usual Suspects, transposée dans un lycée.

Dans l'absolu, il ne fallait pas attendre grand chose d'autre de la part du scénariste et réalisateur de La Famille Jones (2009), une comédie dramatique bancale avec David Duchovny, Demi Moore et Amber Heard, qui finissait par rapidement tourner à vide malgré une idée de base intéressante ; mais tout de même, quand un film repose à ce point sur son twist final, il est préférable de se débrouiller pour qu'il ne soit pas éventé dès la première scène.

Ou plutôt la deuxième, dès l'instant où Alex est interrogé dans la salle de classe : on repère tout de suite que quelque chose cloche dans l'apparence du "garçon", et dès qu'il lève la tête pour parler, ses yeux et ses traits trahissent aussitôt le fait que c'est Eliza Bennett déguisée en lycéen.

Et à partir de là, puisque tout le film est raconté par elle, on retombe aussitôt dans Usual Suspects, et ce à tous les niveaux. On ne croit plus rien de ce qui nous est montré, et on attend avec une frustration croissante que le film fasse preuve de la moindre originalité, et surprenne.

D'autant plus agaçant que Bennett et les autres acteurs (les autres ados, mais aussi Jeremy Sisto, Cary Elwes et Abigail Spencer) font de leur mieux avec le script... en vain.

1.75/6

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Un film, un jour (ou presque) #208 : Drôles d'Oiseaux (2011)

Publié le 2 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Drôles d'Oiseaux (The Big Year) :

Dans l'univers impitoyable des ornithologues amateurs, une année parfaite est l'objectif de tous les amateurs d'oiseaux : réussir à voir le plus grand nombre de volatiles possibles en moins de 365 jours. Cette année, trois hommes sont en compétition : Kenny (Owen Wilson), l'actuel détenteur du record, Stu (Steve Martin), un riche homme d'affaires fraîchement retraité, et Brad (Jack Black), un trentenaire divorcé sans perspective d'avenir. S'engage alors un combat de chaque instant entre les trois compétiteurs...

Casting particulièrement prestigieux (outre les trois acteurs principaux, on a  Rashida Jones, Anjelica Huston, Jim Parsons, Rosamund PIke, Joel McHale, Corbin Bernsen, Kevin Pollak, etc, etc, etc) pour cette comédie narrée en voix-off par John Cleese, sur un un sujet des plus improbables.

Malheureusement, la mayonnaise ne prend jamais, et le film est beaucoup trop inégal pour fonctionner : les gags sont rares, le film est assez mal rythmé, les intrigues parallèles ne sont pas assez abouties, et le tout ronronne très rapidement, manquant d'énergie et de dynamisme, ce qui s'avère assez rédhibitoire.

Reste le fond gentillet du film (il faut suivre ses rêves, connaître ses priorités, trouver un sens à sa vie, blablabla), et des paysages assez jolis, mais bon, c'est franchement trop peu. Et donc franchement dommage.

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #207 : Love & Mercy, la véritable histoire de Brian Wilson des Beach Boys (2014)

Publié le 1 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Drame, Biographie, Musique

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Love & Mercy, la véritable histoire de Brian Wilson des Beach Boys :

Dans les années 60, le chanteur et compositeur Brian Wilson (Paul Dano) connaît un succès sans précédent avec son groupe, les Beach Boys. Mais progressivement, il commence à exhiber les symptômes d'un déséquilibre mental croissant, qu'il parvient un temps à canaliser dans sa musique visionnaire, mais qui finissent par le rattraper... Dans les années 80, Brian Wilson (John Cusack) n'est plus qu'un homme perdu et à la dérive, sous le contrôle médicamenté de son médecin, Eugene Landy (Paul Giamatti). Mais sa rencontre avec Melinda Ledbetter (Elizabeth Banks) va lui permettre de retrouver un peu d'espoir, et de retrouver le chemin de la guérison...

Un biopic musical particulièrement réussi, qui alterne les années 60 et 80 au travers de flashbacks pertinents, en gardant toujours comme ligne directrice la lente descente aux enfers de Wilson.

Le produit fini est un métrage mélancolique et doux-amer, qui réussit à être à la fois captivant et touchant, notamment lors des sessions d'enregistrement des hits du groupe, et dont la durée extensive (plus de deux heures, qui auraient peut-être pu être raccourcies de 10 minutes, notamment dans les années 80, un peu en demi-teinte en comparaison des scènes des années 60) permet au script de rester nuancé et subtil, et d'illustrer de manière créative (notamment d'un point de vue auditif) les hallucinations et problèmes mentaux du musicien.

Une réussite, donc, très bien interprétée et dirigée, et qui réconcilie avec le genre parfois pataud du biopic.

4.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #206 : Furious 7 (2015)

Publié le 31 Août 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Action, Drame

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Furious 7 :

Après avoir triomphé d'Owen Shaw (Luke Evans), Dominic Toretto (Vin Diesel), Brian O'Conner (Paul Walker) et toute leur équipe sont retournés à une vie plus normale. Mais Deckard Shaw (Jason Statham), agent spécial invisible et le frère aîné d'Owen, est décidé à venger le terroriste international. Dom et compagnie n'ont alors plus d'autre choix que de s'associer avec un agent gouvernemental (Kurt Russell) pour récupérer un système informatique révolutionnaire qui leur permettrait de retrouver Deckard et de l'éliminer pour de bon...

Dès la première apparition de Statham, le ton est donné : une scène au chevet de son frère, jouée des plus platement par Statham, et qui laisse craindre le pire... jusqu'à ce qu'on découvre le reste de l'hôpital, ravagé et en flammes, plein de cadavres et réduit en miettes par la seul force de Statham.

Et là tout est dit : c'est gentiment con-con, c'est simpliste au possible, c'est du comic-book live, et à partir de là, il ne faut pas s'attendre à autre chose qu'un gros cartoon géant avec des voitures et des mecs chauves qui se mettent sur la tronche avec un jeu d'acteur minimal.

Dans cette catégorie, il faut bien avouer qu'il est difficile de faire plus efficace que les derniers Fast & Furious, qui assument totalement leur côté débile, fantaisiste et décomplexé (dans le précédent film, le mélange n'était pas totalement homogène, ce qui créait un effet de rupture lors du sauvetage impossible de Michelle Rodriguez par Dom en plein saut motorisé), et en mettent plein la vue (malgré quelques moments qui font lever les yeux au ciel, que ce soit des cascades aux effets numériques sans poids réel, ou bien des accélérations de l'image trop visibles pendant les poursuites).

Cet opus est, en plus, doté d'une certaine charge émotionnelle, mort de Walker oblige, qui hante tout le script, jusqu'à des adieux franchement réussis, et même touchants (ce qui était loin d'être gagné vu le niveau bourrin et bas de plafond de la franchise).

À noter aussi que James Wan nous livre ici un métrage plutôt bien filmé, notamment dans ses combats, dotés d'effets de réalisation intéressants, et souvent filmés en plans larges, ce qui fait un bien fou, et rend le tout toujours très lisible et efficace.

Bref, c'est très très bête (le pitch même du film n'a aucun sens : Dom accepte d'aider les militaires pour obtenir un système lui permettant de retrouver Deckard... mais à chaque étape du film, c'est Deckard qui les traque et se présente toujours où ils sont.), très très bourrin, mais on en a pour son argent, ce qui est suffisamment rare pour être mentionné.

4/6 (sur l'échelle des Fast & Furious, qui est, convenons-en, une échelle bien à part)

(par contre, l'interprétation en pilotage automatique de Baboulinet commence vraiment à faire tache)

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Catch Review : WWE Summerslam (2015)

Publié le 30 Août 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, WWE

WWE Summerslam (2015) :

- Jon Stewart qui fait très bien son boulot de présentateur, aidé par Mick Foley, pour un petit sketch amusant, et pour interviewer Lesnar plus tard dans la soirée.

- Intro cheesy pour Summerslam.

- Orton vs Sheamus. ZzzzzzzZZzzzzz.

- Fatal 4 way tag titles match. Intro pénible du New Day, un début de match peu prometteur (règles improbables, botch de Sin Cara), et une suite qui se calque sur le modèle classique et attendu du spotfest bordélique et fourre-tout des matches par équipe des PPvs de la WWE (pfiou, phrase à rallonge). Divertissant, sans plus. Tous ces matches par équipe sont tellement interchangeables qu'on n'en retient rien, au final.

- Neville, Stewart, son fils et le Green Arrow assistent au passage d'un Taker dans la brume. :mrgreen:

- Rusev vs Zigg. La routine habituelle. Rien de mauvais (hormis toutes les conneries autour de Lana/Summer Rae, et le finish naze), mais rien d'exceptionnel non plus.

- Photoshoppage tout pourri pour le visage de Stephen Amell.

- Bande annonce comic-book supra-cheesy, mais finalement assez amusante.

- Amell & Neville vs Stardust & Barrett. Amell qui fait son entrée en quasi-Arrow, c'était amusant, et le bonhomme s'en sort tout à fait bien dans son match, au moins aussi bien que les n00bs de NXT.

- Ryback vs Show vs Miz, IC Title. Me suis absenté cinq minutes, je n'ai rien vu, et je m'en contrefous.

- Stewart vs Heyman backstage, amusant.

- 2/3 de Wyatt Family vs 2/3 de Shield. Quelques moments forcés (Ambrose et son 360 sous la corde du bas depuis l'extérieur du ring), et un match assez classique, sans rien de vraiment surprenant.

- Cena vs Rollins, HW & US Title match. Match plutôt sympa, même si finalement toujours un échange de finishers jusqu'à une fin assez naze.

- Divas Elimination Trios match. Rien de particulièrement calamiteux, mais assez long et médiocre, d'autant que, l'essentiel du match étant les Bellas en train de dominer tout le monde, ce n'était pas particulièrement captivant.

- Owens vs Cesaro. Très bon match, mais finish un peu décevant. La pop-up powerbomb n'est pas un finisher très impressionnant, surtout quand on a vu Joe l'utiliser comme un mouvement de transition pendant des années.

- Brock vs Taker. Taker a vraiment pris un coup de vieux, et en plus il se déplume considérablement. Sinon, un match un peu différent des précédents (comprendre : Lesnar no-sells beaucoup moins), ce qui n'est pas désagréable, mais n'est pas toujours ultra-crédible. Bon, par contre, tout le finish, entre la cloche qui sonne sans raison, le coup bas, et Lesnar qui abandonne, c'était tout pourri.

 

 

Un show longuet, et qui donne l'étrange impression que Vince Russo est de retour à la WWE, avec ses heel turns aléatoires, et ses fins de matches quelconques, qui ont tendance à affaiblir considérablement et rétroactivement des affrontements tout à fait honorables.

Ah, et puis 4 heures, il ne faut plus, monsieur WWE. 3, ça suffit.

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Catch Review : TNA Impact (26/08/2015)

Publié le 29 Août 2015 par Lurdo dans Catch, Review, Critiques éclair, Télévision, TNA

Cinq semaines avant Bound For Glory...

Impact Wrestling 26/08/2015 :

- Les Hardys dans le ring, Jeff Hardy au micro, pour encourager son frère, et le soutenir dans son push. Matt passe de la brosse à reluire à l'IZ, pense être l'homme providentiel qui propulsera la TNA vers un futur radieux (mwé, non), et demande un match de championnat. EC3 se pointe, les trolle, et accepte le title shot, si Jeff devient son assistant perso en cas de défaite de Matt. EC3 était bon, les Hardys étaient en mode Cena (les faces qui se plaignent, se font battre proprement et exigent un autre match, et profitent de leur popularité pour forcer la main du heel). Mwé.

- EY s'énerve backstage. Il s'en donne du mal pour un feud plat contre Melendez.

- Melendez vs EY. Un match éclair qui n'a pour objet que de faire durer un peu plus encore le feud, et pour insister un peu plus sur la méchanceté de EY, qui n'en a pas vraiment besoin.

- Sonjay vs Tigre vs DJZ. XDiv title match. Un peu brouillon, et assez générique dans le genre 3-way X-division. Sonjay a bien ralenti, au fil des ans.

- Storm kickbanne officiellement Shera de la Revolution, et remotive son équipe.

- Revolution vs Wolves, tag titles. RAS, pas de surprise au programme, y compris au niveau des interventions de Shera et de Storm.

- Les Hardys de retour au micro, pour annoncer qu'ils acceptent l'offre d'EC3. Pas franchement utile.

- Récap de GFW/TNA.

- Velvet vs Brooke, KO Title match. Match totalement générique et quelconque (bien qu'honorable pour un match de Velvet), interrompu par la Dollhouse, qui met un terme au match pour passer Velvet à tabac, avec l'aide de Rebel, qui fait un heel turn totalement gratuit et inutile. Ça ne va pas faire remonter le niveau de la division, tout ça.

- Promos de Roode et de Galloway. Je crois. J'avoue, j'étais un peu absent (physiquement et/ou mentalement) pendant ce gros quart d'heure.

- Lashley vs Storm vs Anderson vs Roode, #1 contender for the GFW title. Un bon 4-way qui n'aurait pas été déplacé sur une carte de PPV, avec cinq minutes de plus.

- EC3 content de la décision de Matt.

- 15 minutes de Dixie/Jarrett, qui se passent de la brosse à reluire, jusqu'à ce que Jarrett et Karen, forcément, fassent un heel turn, et déclarent la guerre à Dixie et Galloway (qui s'est aperçu que JJ est un fourbe grâce à des vidéos de surveillance, lulz). Gros brawl entre les deux compagnies. ZzzzZ.

 

Et voilà, on retombe dans le néant créatif, entre EY/Melendez qui tourne à vide, les tag champs qui n'ont pas de compétition, les KOs qui n'ont aucune direction et dont le niveau continue à chuter, le push des Hardys, et cette invasion en carton, tellement télégraphiée que même le fan le plus aveugle l'avait vue venir.

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Un film, un jour (ou presque) #205 : Bad Teacher (2011)

Publié le 28 Août 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Bad Teacher :

Arriviste et sans-gêne, Elizabeth (Cameron Diaz) est prête à tout pour se trouver un mari aisé, et néglige totalement son poste d'enseignante ; lorsque son fiancé la plaque après avoir découvert ses manigances et ses habitudes déplorables, Elizabeth est contrainte de se rabattre sur Scott (Justin Timberlake), un jeune enseignant remplaçant, héritier d'une famillle fortunée. Mais elle a de la compétition, car Amy (Lucy Punch), une collègue bien sous tous rapports, a elle aussi des vues sur Scott, et n'apprécie pas du tout les méthodes "alternatives" d'Elizabeth.

Avant la série tv, il y avait Bad Teacher, le film, une comédie signée Jake Kasdan, et écrite par deux scénaristes de The Office US et de Hello Ladies.

Seul problème, si la distribution du métrage est particulièrement sympathique (principalement tous les seconds rôles, de Lucy Punch à Kaitlyn Dever, en passant par Timberlake, Smith, Higgins, Segel, Munck, ou encore Lennon), ce métrage gentiment vulgaire et trashouille manque cruellement de punch, et ne parvient jamais à vraiment décoller.

La faute au script, beaucoup trop inégal, à un montage par moments un peu bancal et abrupt, et à Cameron Diaz qui, si elle fait preuve d'une belle énergie, et se donne à fond dans un personnage pourtant pas très attachant, ne convainc pas toujours dans ce rôle de super-canon irrésistible, mangeuse d'hommes, et au sex-appeal absolu.

Certes, c'est une question de goûts personnels, mais bon... en ce qui me concerne, Ari Graynor était nettement plus convaincante dans l'adaptation tv. Enfin bref, passons.

Pour résumer, une comédie très inégale, au script un peu trop léger et au rythme mollasson, mais qui évite le naufrage complet grâce à l'énergie de ses acteurs, en particulier une Lucy Punch exemplaire.

2.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #204 : L'Entremetteur (1997)

Publié le 27 Août 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Romance, UK

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

L'Entremetteur (The Matchmaker) :

Désireuse de faire réélire le Sénateur John McGlory (Jay Sanders), son assistante Marcy Tizard (Janeane Garofalo) part pour l'Irlande, à la recherche des origines du politicien. Mais en arrivant dans la bourgade côtière de Ballinagra, elle découvre que c'est "la saison des entremetteurs", durant laquelle célibataires de tous bords se retrouvent au village pour trouver l'âme soeur, et confient leurs services à plusieurs entremetteurs ; prise dans la tourmente de cette tradition, Marcy tente alors d'accomplir sa mission, tout en esquivant les innombrables prétendants qui la trouvent très à leur goût...

Pas mal de clichés sur l'Irlande dans cette comédie romantique en partie scriptée par Graham Linehan (Father Ted), et datant de 1997, une époque à laquelle Janeane Garofalo était encore une tête d'affiche crédible pour des films de ce genre.

À l'époque, Garofalo était à la fois adorable et approchable, avec un immense sourire lumineux particulièrement mémorable... mais les impératifs de l'industrie étant ce qu'ils sont, rapidement, les démons de l'actrice ont pris le dessus : complexes physiques (dans une industrie où il faut être grande, sexy et mince, difficile d'être une petite brune à la bouille ronde qui aime les tatouages), troubles psychologiques (anxiété, phobies, dépression), engagement politique agressif et refus du compromis, caractère rebelle et sarcastique qui n'a fait que se renforcer de plus en plus, alcoolisme... Garofalo a progressivement coupé les ponts avec les studios, fait des choix de carrière regrettables, et a abandonné cette carrière de tête d'affiche pourtant prometteuse pour se consacrer au stand-up et à des seconds rôles jamais pérennes.

Franchement dommage, car non seulement elle est ici très attachante, mais en plus elle apporte au film une attitude et du répondant qui font par ailleurs défaut à ce dernier. Car le reste du métrage est particulièrement routinier dans le genre "comédie romantique en terre étrangère"... pire : il est même assez mal rythmé et peu intéressant, des problèmes qui s'ajoutent à un manque crucial d'alchimie entre Garofalo et l'acteur masculin principal, David O'Hara, qui n'a pas le moindre charme, et souffre d'un personnage particulièrement peu attirant (une sorte d'équivalent au Gerard Butler de certaines rom-coms récentes, mais sans le charisme et la virilité barbue).

Bref, entre cette romance qui ne fonctionne pas, le rythme mollasson, les chansons pop-rock locales et envahissantes, et le récit ultra-balisé, le tout s'avère globalement plat et décevant. Heureusement qu'il y a Garofalo, quelques seconds rôles bien castés, et les paysages irlandais pour éviter un naufrage complet.

2/6

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