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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #critiques eclair catégorie

Halloween Septembrrrfest 2015 - 15 - Cryptic (2014)

Publié le 23 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Horreur, Comédie, Thriller, Fantastique

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Cryptic :

Alors que le monde de la pègre anglaise est victime d'une vague de meurtres sanglants et inexpliqués, un groupe de sept criminels tous différents les uns des autres se retrouve enfermé dans une crypte, avec pour mission de garder un mystérieux cercueil métallique au contenu énigmatique. Mais bien vite, il s'avère qu'ils sont eux aussi la cible de l'assassin mystérieux... un vampire ?

Une crime/horror comedy indépendante et assez réussie en provenance d'Angleterre, avec un échantillon de personnages tous plus débiles les uns que les autres : un black abruti, un duo de frères psychopathes (les "Jonas Brothers" ^^), une hermaphrodite moldave, une racaille indienne, un dandy rationnel et intelligent, un avocat, et un junkie bourgeois et sdf, soit de quoi assurer le quota d'engueulades, de bons mots, et de répliques amusantes.

Ce huis-clos au micro-budget est par ailleurs visuellement convaincant, ce qui est toujours un plus, et même si, au niveau du rythme, c'est assez inégal (au format 60 minutes, en condensant un peu le tout, ça aurait fait un épisode parfait de Masters of Horror, ou d'une série de ce genre), le film reste intéressant de bout en bout, assumant pleinement sa filiation avec des films de gangsters à la Tarantino, et multipliant les coups tordus et les magouilles en tous genres jusqu'aux derniers instants du récit.

Certes, un spectateur avisé devinera plus ou moins à quoi s'en tenir réellement, au bout d'un moment, mais ça ne gâche pas le métrage, qui reste bien interprété, et souvent drôle.

Rien de révolutionnaire, mais un gros 4/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 14 - Kill Dead Zombie ! (2012)

Publié le 22 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Horreur, Hollande, Comédie

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Kill Dead Zombie ! (Zombibi) :

Lorsque Tess (Nadia Poeschmann), la femme de ses rêves, est prise au piège dans un immeuble au beau milieu d'une épidémie de zombie, Aziz (Yahya Gaier), un employé de bureau hollandais au chômage, décide de faire équipe avec son frère incapable, Mo (Ouled Radi), une fliquette volontaire (Gigi Ravelli) et deux petits criminels idiots, afin de traverser la ville, et de sauver Tess.

Un film hollandais qui se veut une réponse ethnique et plus parodique au Shaun of the Dead des anglais, et qui finit par être nettement plus inégale, au final. Le film souffre en effet d'un budget apparemment limité (500000€ à peine) qui restreint drastiquement les possibilités visuelles du métrage, notamment au niveau des effets gentiment fauchés.

Ensuite, le choix d'éviter les déluges de sang, pour opter plutôt pour des déluges de slime verdâtre a tendance à affaiblir l'impact de la menace zombie, déjà pas vraiment aidée par une comédie slapstick un peu idiote et faiblarde.

Disons qu'on sourit plus qu'on ne rit, et que pour chaque scène WTF (l'arrivée des deux vendeurs de kébab et de leur zombie de combat) qui amuse, on a une scène ou deux qui tombent totalement à plat, à cause de choix peu inspirés, d'une réalisation quelconque, ou d'une mise en scène amateure.

Résultat mitigé, donc, mais mitigé positif néanmoins, car bénéficiant d'une bonne humeur et d'un côté décomplexé qui sauvent la mise.

3.5/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 13 - L'Apocalypse Selon Danny (2014)

Publié le 22 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Jeunesse, Danemark

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

L'Apocalypse Selon Danny (Dannys Dommedag) :

Danny (William Jøhnk Nielsen) est un adolescent danois intelligent, au tempérament artistique et réservé ; son frère cadet, William (Thomas Garvey) est un jeune rebelle agressif, qui s'attire toujours des ennuis à l'école. Mais lorsque leur petite bourgade tranquille est la proie d'une invasion de créatures carnivores, les deux frères doivent apprendre à compter l'un sur l'autre pour espérer survivre.

Un film fantastique/horreur (pour adolescents & enfants) assez frustrant, car n'exploitant jamais vraiment (par manque de moyens, peut-être ?) un potentiel pourtant bien présent.

En effet, le film démarre bien, avec de jeunes acteurs convaincants, une réalisation dynamique, un ton sérieux et adulte, et une montée en puissance qui réussit à mettre la pression. Et puis progressivement, à partir du moment où la présence des créatures est avérée, le métrage commence à se dégonfler.

Forcément, comment maintenir un semblant de tension lorsque le script apparaît vraiment cousu de fil blanc (ce n'est pas toujours forcément un mal, si le reste compense ; là, ce n'est pas le cas, et n'importe quel spectateur avisé aura déjà prévu dès le premier quart d'heure tous les rebondissements ainsi que l'évolution narrative de chaque personnage), et que le facteur principal de tension (les monstres) reste désespérément invisible (remarquez, ce n'est pas plus mal, puisque la seule fois où l'on voit vraiment à quoi ressemblent les créatures, on découvre un poisson sur pattes joliment ridicule) ?

Et puis arrive la fin du métrage, avec un pseudo-suspense sur le gazage des créatures, et sur les retrouvailles avec les autres survivants : le tout semble particulièrement précipité, voire même baclé, et le film se termine alors qu'il y aurait facilement eu de quoi tenir 20-25 minutes de plus.

Vraiment dommage, mais d'un autre côté, pour ce que c'est (de la semi-horreur tous publics), ce métrage reste relativement honorable.

3/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 12 - Wyrmwood : Road of the Dead (2014)

Publié le 21 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Halloween, Action, Australie

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Wyrmwood - Road of the Dead :

En pleine nuit, Barry (Jay Gallagher), un mécanicien, se réveille pour découvrir l'Australie ravagée par des zombies avides de chair humaine ; contraint d'abattre sa famille, Barry part alors sur la route en compagnie de Benny (Leon Burchill), un autre survivant, à la recherche de sa soeur Brooke (Bianca Bradey), capturée par un groupe paramilitaire travaillant avec un savant fou.

Un long-métrage d'action-horreur australien, qui se veut au croisement de Mad Max et du film de zombies, et qui possède une énergie et une inventivité que n'aurait pas reniées un jeune Peter Jackson.

C'est drôle, bien casté (Leon Burchill est hilarant, Gallagher a du charisme à revendre), ça fourmille d'idées très comic-book et décalées, ça possède une identité stylique punk-trash très sympathique, et malgré des conditions de tournage clairement difficiles (budget limité, et tournage étalé sur quatre ans), le métrage est dynamique et homogène, tout en restant globalement bien maîtrisé.

Alors oui, il y a bien quelques ruptures de ton pas totalement réussies, un montage ultra-cut qui peut parfois agacer, des petites baisses de rythme regrettables dans la seconde moitié (avec 8-10 minutes de moins, le film aurait probablement été parfait sur ce plan), et des combats à mains nues qui sont un peu superflus, mais rien de forcément rédhibitoire.

Pour un premier long-métrage appartenant à un genre pourtant dévalué et surexposé au possible, les frères Roache-Turner transforment en effet l'essai en livrant une pellicule fun, décomplexée, et tout simplement réussie.

Bien joué.

4.25/6

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Catch Review : WWE Night of Champions (20/09/2015)

Publié le 21 Septembre 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, WWE

WWE Night of Champions 2015 :

- Preshow : Ascension & Stardust vs Lucha Dragons & Neville. L'Ascension est vraiment ridicule, et sinon, c'est exactement ce à quoi on pouvait s'attendre, de la lucha acrobatique pour les faces, et de la lutte méthodique et basique pour les heels. Pas le match le plus captivant, honnêtement.

- Le New Day est vraiment de plus en plus forcé dans la comédie absurde.

 

- Ryback vs Kevin Owens, IC Title Match. Ultra balisé et moyen, avec un Ryback qui se fait dominer par la technique de Steen, et Steen qui triche pour gagner. Mwé.

- Zigg vs Rusev #2589634331. Regardé uniquement d'un oeil, tant ce feud tourne en rond et est affreusement périmé. Rien de mauvais, mais rien d'intéressant.

- Le New Day veut sauver les tables du monde entier, et faire une promo absurde et agaçante.

- New Day vs Dudley Boys, Tag Titles Match. Un match typique de la Team 3D. Et bien sûr, ils perdent par DQ alors qu'ils sont sur le point de devenir les nouveaux champions, à 3 contre 2 (traduction : Spike Dudley n'est probablement pas loin). Et en post-match, forcément, les Dudleys passent un de leurs adversaires au travers d'une table.

Particulièrement médiocre, cette première heure.

- Nikki Bella vs Charlotte, Divas Title match. Un match particulièrement décevant, puisque du type "le héros est blessé, et le heel s'acharne sur sa blessure pendant 95% du match", et avec une Nikki pas forcément totalement à l'aise dans son rôle. Et Charlotte gagne en une prise. Une. Alors qu'elle est blessée. Facepalm.

- Kevin Owens fait une promo triomphante en expliquant qu'il a enfin ce qui lui manquait depuis ses débuts à la WWE : une ceinture de champion. Alors même qu'il a passé tout son feud contre Cena à expliquer qu'il se contrefoutait des ceintures de la WWE. M'enfin bon.

- Flair et sa fille font la fête. À peine forcé.

- Récap du feud Shield/Wyatts.

- Wyatts vs Shield + ?. Et "?" s'avère être un abruti du public qui s'incruste Y2J, ce qui ne pourrait pas être moins intéressant (nan, mais sérieusement, les Wyatts upgradent en ramenant un géant, le Shield réplique en ramenant un nabot collagéné, lulz). D'ailleurs, le match dans son ensemble est assez classique et ultra-prévisible, puisqu'on l'a déjà vu une bonne dizaine de fois, dans une version ou une autre, et que Y2J n'est pas une menace crédible.

- Interminable récap de Seth Rollins vs the world.

- Seth Rollins vs John Cena, US Title. Si Rollins était vraiment "l'architecte" et s'il était malin, il mettrait un bon coup de pied dans les bollocks de Cena, se faisant ainsi DQ, et retournerait vite fait au vestiaire se reposer, tout en étant encore champion.

Ou bien, si la WWE était maligne, elle bookerait deux matches marathons, avec un Rollins conservant ses deux titres in extremis sans tricher, et elle bookerait une défaite de Sheamus durant son cash-in : de quoi faire de Rollins une superstar instantanée, et entériner un face-turn menant à un feud contre HHH (et à la réunion inévitable du Shield, dans quelques semaines/mois).

De toute façon, en le plaçant dans deux (ou trois) matches successifs, la WWE le place déjà dans une position de face involontaire, donc autant le faire de manière intelligente et logique.
M'enfin bon, on parle de la WWE, là, et donc #Cenawinslol.

Le match était réussi l'indy spotfest habituel des matches actuels de Cena et Rollins, cela dit, bien qu'il téléphonait un peu le fait que le match contre Sting allait être principalement à l'offensive de Sting.

- Cena démolit Rollins en post-match, histoire de l'humilier un peu plus.

- Seth Rollins vs Sting. HW Title match. Un brawl inégal jusqu'à ce que Sting se cogne la tête en tombant sur la table espagnole ; ensuite, il embraye étrangement la seconde, et ça devient un match de championnat potable.. jusqu'à ce que Sting se sonne IRL sur une powerbomb, et s'effondre. Il finit le match sur les rotules et perd comme une merde.

- Sheamus démolit Rollins, mais Kane intervient, démolit Rollins et Sheamus, empêchant ce dernier d'encaisser son MITB. Une fin de PPV... médiocre.

 

J'espère que Sting est content d'être venu à la WWE pour perdre tous ses matches importants de manière pitoyable, et ne gagner qu'un match par équipe sans intérêt pendant Raw.

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 11 - The Pyramid (2014)

Publié le 20 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Horreur, Found Footage, Fantastique

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

The Pyramid :

Miles et Nora Holden (Denis O'Hare et Ashley Hinshaw), un duo père-fille d'archéologues, découvrent une étrange pyramide à trois faces enfouie dans le désert égyptien. En compagnie d'une journaliste (Christa-Marie Nicola) et de son équipe, les archéologues pénètrent dans le monument, où ils se perdent rapidement, et deviennent la proie de créatures étranges, et d'une entité surnaturelle...

Un long-métrage dirigé par Grégory Levasseur, et qui s'avère une jolie déception.

Probablement parce que le film ne sait jamais s'il veut être un film d'horreur classique, ou s'il veut adhérer à son postulat de départ de found-footage : le métrage fonctionne ainsi à base de plans subjectifs de caméra, comme pour suivre le format présenté dans ses cartons-titres d'ouverture, et puis soudain, on va avoir droit à un plan d'ensemble en vue omnisciente, ou bien un gros plan gore impossible, qui détruit instantanément toute l'immersion et l'utilité du concept de found-footage (déjà que la bande originale qui accompagne tout le film n'aide pas vraiment...)

Un peu comme si le film avait été pensé comme un pur found-footage, avant que le concept ne soit abandonné en cours de route pour y rajouter trois tonnes de plans impossibles dans ces conditions.

Cela dit, ce n'est pas forcément une mauvaise chose, tant un vrai found-footage tourné par ces personnages tous horripilants aurait probablement été quelque chose d'assez pénible.

Là, en l'état, le film ne fonctionne jamais vraiment, avec ses personnages agaçants, ses monstres en CGI médiocres (des chats ; et... autre chose, forcément filmé en vision nocturne, histoire de camoufler les effets numériques), ses jump scares inefficaces, ses scènes de meublage inutiles, et son absence totale de véritable suspense ou d'horreur (désolé, mais lorsqu'une créature surnaturelle et sanguinaire est aux trousses de tes protagonistes, la moindre des choses est d'éviter de les faire discuter à voix haute de tout et de rien, comme s'ils faisaient du tourisme).

C'est plat, sombre, particulièrement prévisible et générique, bref : bof.

Restent uniquement l'ambiance générale et l'environnement égyptien, qui font toujours leur petit effet, notamment lorsqu'il y a des passages secrets et autres pièges qui se déclenchent.

2/6 (- 0.5 pour le générique final hors-sujet, à base de métal bien pourri) = 1.5/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 10 - Bloodline (aka The Cabin - 2013)

Publié le 20 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Horreur, Drame

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Bloodline (aka The Cabin) :

Jeune séminariste sur le point de devenir prêtre, Brett Ethos (Matt Thompson) doute de sa vocation, et, à la mort de son grand-père, il décide d'accompagner ses amis en forêt, pour aller explorer un chalet dont il vient d'hériter. Mais une fois dans ce chalet, des phénomènes étranges se produisent, et bien vite, Ethos comprend que sa lignée est victime d'une ancienne malédiction indienne, et qu'il doit passer à l'action s'il veut survivre à cette épreuve...

Un mélange pas très convaincant de plusieurs sous-genres (slasher, vengeance, possession, malédiction, film de chalet), qui s'écroule sous le poids de son ambition, et sous un rythme quasi-léthargique.

En soi, le mélange des genres n'est pas inintéressant, mais entre le séminariste bodybuildé tout droit sorti d'une série CW (qui est, en plus, le réalisateur/scénariste/monteur/directeur de casting du film... rien que ça ^^), le jeu approximatif de certains des jeunes, et le fait que tout se traîne considérablement, difficile d'être passionné par tout ça.

2/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 09 - Prowl (2010)

Publié le 19 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Halloween

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Prowl :

Jeune femme désireuse de quitter sa campagne pour rejoindre Chicago, Amber (Courtney Hope) parvient à convaincre ses amis Peter (Joshua Bowman), Suzy (Ruta Gedmintas), Eric (Oliver Hawes), Fiona (Perdita Weeks) et Ray (Jamie Blackley) de l'accompagner sur la route, afin de visiter un appartement en ville. Mais après une panne de moteur, le groupe finit par monter à bord d'un semi-remorque conduit par Bernard (Bruce Payne), qui accepte de les amener à Chicago ; seul problème : la remorque est pleine de sang humain, et Bernard les emmène dans un hangar reculé, où une horde de créatures sanguinaires attendent leurs nouvelles proies...

Un métrage qui se positionne à mi-chemin entre le slasher basique, et le film de vampires, ce qui n'est pas forcément une mauvaise combinaison.

Certes, les personnes sont creux au possible, ne servent que de chair à canon, les vampires sont génériques et le script est particulièrement pataud et capillotracté, notamment dans son retournement improbable de situation, à la barre des 60 minutes... mais il y a là un certain potentiel dans cette approche originale, et tout n'est pas à jeter, notamment l'interprétation de l'actrice principale.

Malgré cela, cela reste tout de même assez médiocre, pas aidé par une réalisation agaçante (aux effets de style superflus), par l'accent bancal de Bruce Payne, et par un budget visiblement limité, à en juger par les effets de fond vert calamiteux lorsque la petite bande voyage en auto.

2.5/6

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Catch Review : TNA Impact (16/09/2015)

Publié le 19 Septembre 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, TNA, Télévision

Deux semaines avant Bound For Glory...

Impact du 16/09/2015 :

- JB dans le ring, avec des acclamations clairement pré-enregistrées, pour la signature de contrat du main event entre Dixie et JJ/Karen. Toujours le même duel de promos, avec les deux camps qui se balancent des vacheries semi-réelles à la tête... Plus de dix minutes soporifiques, et un Jarrett qui assomme JB pour conclure. Et Karen s'est sentie obligée d'avoir le dernier mot, forcément.

- Un peu de meublage.

- Ec3 et Hardy arrivent à l'IZ, et EC trolle gentiment son esclave.

- Des recaps.

- Abyss vs Shera. Shera danse, le public danse, Bigfoot danse... WTF. Un match médiocre (Shera fait des efforts et a du potentiel, mais il est encore ultra-n00b), le finish est bordélique, on oublie.

- EC3 et Tyrus s'amusent.

- La GFW (et EY) se motive.

- EC3 dans le ring, pour présenter Hardy dans un costume à l'effigie de Carter ; Hardy continue de se rebeller, Spud intervient pour rappeler à tout le monde que c'est la même storyline que lorsque Spud était le sbire d'EC3 (c'est idiot de le rappeler au spectateur, mais bon), fait une promo motivée, et se prend un coup de la part d'EC3, avant de répliquer. Hardy continue de se rebeller, mais finit par frapper Spud. C'était longuet, la storyline est baclée et précipitée, mais ce n'était pas forcément désagréable dans l'absolu, parce qu'ils étaient tous à fond dedans.

- Galloway et JJ s'engueulent backstage, et JJ annonce un nouveau membre de son équipe.

- Earl Hebner intronisé dans le HOF.... pendant un House Show. Whatever.

- Kong vs Gail vs Brooke vs Tapa. KO Title. Pas mauvais du tout, bien qu'un peu bordélique, et totalement prévisible. Assez frustrant de voir que la compagnie est incapable d'envisager sa KO Div sans Gail Kim en championne, d'autant qu'ils n'ont absolument rien fait du règne de Brooke, totalement éclipsée par les conneries de la Dollhouse et des Beautiful People.

- Encore une promo générique de Galloway.

- EC3 engueule Hardy backstage. Encore une fois, cette histoire est tellement baclée et précipitée qu'ils nous font l'équivalent de 3 semaines de progression en un seul show.

- Récaps de trois ou quatre minutes.

- GFW vs TNA, Lethal Lockdown. Et là, mon intérêt s'est complètement éteint : quinze minutes de meublage (la première phase du match), Bram qui se pointe sans raison pour aider la team TNA, et dix minutes de bourrinage, avec une victoire obligatoire de la TNA à la clef, qui achève ainsi d'enterrer la GFW, et qui met un terme à ce feud médiocre et baclé.

 

Un Impact qui avait pour objectif de conclure l'intrigue GFW/TNA. Ça, c'est fait, et heureusement qu'il y avait le match des KOs, parce que sinon, c'était particulièrement bavard, oubliable, et médiocre.

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 08 - Feed The Gods (2014)

Publié le 18 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Halloween, Comédie, Fantastique

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Feed The Gods :

Will (Shawn Roberts) et Kris (Tyler Johnston) sont deux frères radicalement différents : le premier est un artiste glandeur, bodybuildé, décomplexé et fumeur de marijuana invétéré, tandis que le second, mince et sombre, est sérieux, dépressif, amer et tout en retenue. À la mort de leur mère adoptive, les deux frères découvrent alors, parmi les possessions de celle-ci, une vidéo les menant à la ville reculée de Tendale, réputée pour héberger un bigfoot, et où vivaient les parents des deux garçons. Ils partent alors en route, accompagnés par Brit (Emily Tennant), la fiancé de Kris, afin de percer à jour le mystère de la ville maudite...

Un film d'horreur très inégal, en partie crowdfundé, et qui s'avère assez frustrant, principalement parce que les bases présentes sont tout à fait saines.

Avec un postulat de ce type (des jeunes + un apprenti cinéaste glandeur et fumeur + une forêt + un bigfoot), on aurait pu craindre le pire, à savoir un métrage au format found-footage, blindé de clichés et de jeunes agaçants de débilité, avec une dose de nudité gratuite pour couronner le tout.

Et puis non, il y a là le véritable désir de raconter une histoire, de créer une légende de dieux païens et de sacrifices, d'écrire des personnages intéressants aux relations un minimum travaillées, d'imposer une ambiance, et de ménager le suspense.

Malheureusement, si le film est globalement bien joué et mis en scène (malgré une photographie un peu trop sombre, et quelques effets de style inutiles), c'est au niveau de la structure du récit que le film pêche notablement.

Pendant une bonne heure, en effet, le métrage est presque totalement premier degré, jouant la carte du mystère, de l'atmosphère pesante, de l'angoisse, avec de toutes petites touches d'humour dans l'interprétation, qui ne contrastent pas trop violemment avec le ton global.

Mais progressivement, cependant, le film perd en énergie et efficacité ; et une fois la barre des 60 minutes franchie, le script s'éparpille, semblant hésiter entre monster movie sérieux, et horror comedy décomplexée (avec notamment quelques mises à mort involontaires qui jurent totalement avec l'ambiance générale), et se concluant de manière peu satisfaisante, comme si le scénariste/réalisateur avait, petit à petit, été dépassé par son récit, probablement trop ambitieux pour son budget (ce qui se remarque notamment au niveau de la créature, assez fauchée).

Vraiment dommage.

2.5/6, voire même un petit 3/6, pour les intentions.

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 07 - Housebound (2014)

Publié le 18 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Comédie, Horreur, Halloween, Nouvelle-Zélande

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Housebound :

Criminelle néozélandaise à la petite semaine, Kylie Bucknell (Morgana O'Reilly) est arrêtée lors d'un braquage raté, et est assignée à résidence chez sa mère Miriam (Rima Te Wiata), qui vit avec son compagnon dans une maison qu'elle croit hantée. Sceptique et brute de décoffrage, Kylie ne croit pas une seconde à ces supposés phénomènes paranormaux... jusqu'à ce qu'elle commence à en faire l'expérience.

Une comédie horrifique néozélandaise à la réputation élogieuse, multi-récompensée en festival, mais qui m'a étrangement laissé très mitigé. Probablement la faute à cette hype démesurée parmi les amateurs de genre, qui a fait que je m'attendais à quelque chose de plus maîtrisé et ouvertement drôle que le produit fini (en fait un film d'horreur pas trop sérieux, sans plus).

Car dans les faits, il y a facilement une heure entière de métrage qui repose vaguement sur le décalage entre les manifestations surnaturelles et les réactions sèches et indifférentes de Kylie, ainsi que sur l'accompagnement musical horrifique et envahissant de scènes à la banalité confondante et/ou aux enjeux inexistants.

Malheureusement, la Kylie en question est à ce point insupportable durant cette première heure mollassonne qu'on en vient presque à vouloir qu'il lui arrive quelque chose de regrettable... et bien que le récit semble vouloir la faire "évoluer" et lui faire prendre conscience de ses erreurs/son caractère, dans les faits, c'est trop peu prononcé pour vraiment fonctionner.

On a donc une bonne moitié de métrage (voire même un peu plus) qui n'est ni particulièrement drôle ni particulièrement effrayante, mais simplement un peu décalée, ce qui est assez problématique pour ce qui est vendu comme "une comédie horrifique".

Par la suite, le film se décante enfin, dépassant son postulat de départ pour multiplier les fausses pistes, s'énerver un peu, et finir par devenir, dans les 10-15 dernières minutes, un slasher assez classique, à la musique envahissante, et au slapstick sanglant.

Pas forcément désagréable à suivre, mais il est difficile de ne pas être déçu en regard des attentes que j'en avais : 110 minutes, c'est très long quand près de 80 de ces minutes sont éminemment oubliables.

(d'ailleurs, il est assez amusant de constater que sur Rotten Tomatoes, où le film a 96% d'avis positifs, un certain nombre de ces critiques positives sont en fait "mitigées-positives", avec des notes juste au-dessus de la moyenne)

3/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 06 - Hangar 10 (2014)

Publié le 17 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Horreur, Science-Fiction, Found Footage

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Hangar 10 :

Une trentaine d'années après les évênements de la forêt de Rendlesham, en Angleterre, Gus (Robert Curtis), Sallie (Abbie Salt), et Jake (Danny Shayler), trois chercheurs de trésors à la recherche d'or saxon, s'aventurent dans ces bois interdits, et capturent des images incroyables d'activités ufologiques dans le ciel. Mais à l'approche de la nuit, leur équipement commence à défaillir, et le trio panique, alors qu'une mystérieuse présence les encercle...

Un found footage ufologique particulièrement mauvais, car apparemment bloqué aux origines du revival du genre : comme dans Blair Witch, on a droit à des personnages antipathiques et creux, qui paniquent seuls dans la forêt, se disputent, filment des arbres, crient, et, OVNIs obligent, voient des lumières dans le ciel, tout en étant incapables de cadrer correctement un plan plus de dix secondes.

C'est visuellement laid, c'est cliché, c'est soporifique au possible, et (comme dans Blair Witch, bis) il faut attendre les trois dernières minutes pour enfin voir quelque chose d'intéressant. Quel dommage, cependant, qu'à ce point du film, le spectateur se soit endormi depuis longtemps...

1/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 05 - Tusk (2014)

Publié le 17 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Comédie, Halloween

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Tusk :

Un podcasteur américain (Justin Long) s'aventure dans les étendues "sauvages" canadiennes, à la recherche d'un vieil homme (Michael Parks) au passé extraordinaire, mais qui cache un sombre secret et une obsession relative à un morse...

Un long-métrage bizarre signé Kevin Smith, qui avait pourtant juré à plusieurs reprises qu'il abandonnait le cinéma, mais qui apparemment est trop passionné (ou défoncé au cannabis) pour vraiment mettre ses menaces à exécution.

Là, en l'occurrence, Smith s'essaie à nouveau à l'horreur après Red State (qui n'avait pas grand chose d'horrifique), en fusionnant Misery avec Human Centipede et avec une comédie potache et débile, pour un film décousu qui ne convainc jamais vraiment.

La faute à un rythme bancal (énormément de meublage dans ces 105 minutes, notamment dès que Depp apparaît), à des effets spéciaux guère meilleurs (le costume de morse fait vraiment mauvais caoutchouc foireux), à une distribution en roue libre (Long passe son temps à hurler, Depp semble être dans un film totalement différent, Parks part dans des délires poétiques étranges), et à des personnages assez antipathiques (Justin Long, notamment, est à baffer, alors que l'on est supposé s'inquiéter de son sort)...

Bref, ça s'éparpille, il y a des ruptures de ton calamiteuses (les flashbacks !), la réalisation est assez moyenne (avec notamment des mouvements de caméra et des plans inutiles) et c'est très gueulard, mais entre Johnny Depp qui surjoue en pseudo-Clouseau québécois, et le concept tellement improbable et expérimental, ça vaut tout de même le coup d'oeil.

(et les filles de Depp et de Smith sont assez à l'aise devant la caméra, je comprends que Smith veuille en faire des Clerks 2.0)

2.75/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 04 - Dracula Untold (2014)

Publié le 16 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Action, Fantastique, Halloween

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Dracula Untold :

Dans la Transylvanie du 15è siècle, le Prince Vlad Tepes (Luke Evans), est un guerrier sanguinaire mais juste et aimé de son peuple. Mais lorsque les Turcs, menés par le Sultan Mehmed II (Dominic Cooper), décide de durcir les termes de leur traité jusqu'à l'inadmissible, Vlad finit par conclure un pacte démoniaque avec une créature nocturne maléfique, en échange de pouvoirs surnaturels incroyables.

Un film assez problématique pour moi.

D'un côté, ça mange à d'innombrables râteliers tous plus ou moins déjà vus sur ce sujet, du Coppola à des dizaines d'autres films et romans à ce sujet, ça transforme une icône de l'horreur en super-héros mécompris, romantique et pacifiste, c'est assez terne visuellement, la musique est insipide au possible, et techniquement, il y a ça et là des problèmes de format et de réalisation. Ce qui fait que je n'ai aucun mal à comprendre le rejet viscéral de bon nombre d'amateurs d'horreur et de fantastique.

Mais d'un autre côté, le tout se regarde très bien, les effets spéciaux sont réussis, et les acteurs croient à ce qu'ils font (même s'ils ne sont pas toujours très bien castés, cf Cooper en méchant Turc).

Donc le tout est finalement une expérience assez frustrante, qui oscille constamment pour moi entre "tiens, c'est sympa, cette scène", et "pff, quelle utilité que celle-ci"...

Un très petit 3/6 sur l'échelle des films "origin story superflue".

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 03 - What We Do In The Shadows (2014)

Publié le 16 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Horreur, Halloween, Comédie, Documentaire, Nouvelle-Zélande, Shadows

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Vampires en toute intimité (What We Do in the Shadows) :

Viago (Tiaka Waititi), Deacon (Jonathan Brugh), Vladislav (Jemaine Clement) et Petyr (Ben Fransham) sont quatre vampires d'âges et d'origines différents, qui vivent en colocation dans une demeure à Wellington, Nouvelle-Zélande. Suivis par une équipe de reporters qui tourne un documentaire sur leur groupe, les vampires vont se confier aux caméras, jusqu'à que Nick (Cori Gonzalez-Macuer) ne deviennent l'un d'entre eux et, par son manque de self-control et de manières, chamboule radicalement leurs vies.

Un documenteur signé de l'un des Flight of the Conchords, et qui parodie le genre vampirique avec habileté et humour : on ne s'ennuie jamais, les effets visuels sont de qualité pour un film à 1M$ de budget, et si certaines pistes sont un peu trop prévisibles et/ou manquent de punch pour vraiment fonctionner totalement (tout le mystère sur "La Bête" est beaucoup trop téléphoné), le tout reste éminemment sympathique et amusant.

4.25/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 02 - Catacombes (2014)

Publié le 15 Septembre 2015 par Lurdo dans Oktorrorfest, Critiques éclair, Cinéma, Review, Horreur, Halloween, Fantastique, Found Footage

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

Catacombes (As Above, So Below) :

Bien décidée à retrouver la Pierre Philosophale, la jeune archéologue Scarlett Marlowe (Perdita Weeks) a découvert une nouvelle piste prometteuse : la Pierre serait cachée dans les catacombes de Paris. Avec l'aide d'une équipe de spécialistes locaux, elle s'y aventure donc, mais bien vite, il apparaît que le groupe de chercheurs a franchi les portes d'un enfer tout personnel...

Un found footage qui s'avère une assez bonne surprise, puisqu'étant presque plus un film d'aventure qu'un véritable film d'horreur, avec une Perdita (comme toujours) adorable en simili-Lara Croft sans peur et (presque) sans reproche.

L'ambiance est assez réussie, les décors parisiens font plaisir à voir (pour une fois que ce n'est pas tourné à Prague !), les personnages ne sont pas têtes à claque (un exploit dans ce genre de films), et le concept est plutôt bon (bien que capillotracté), même s'il ne peut s'empêcher de trahir son budget limité dans son dernier quart d'heure, avec des scènes pas si effrayantes que ça, et beaucoup de shaky-cam illisible pour cacher la misère.

Néanmoins, c'était plutôt dans la moyenne haute du genre found footage, et le parfum d'aventure archéologique n'était pas pour me déplaire.

3.75/6

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Halloween Septembrrrfest 2015 - 01 - High School Possession (2014)

Publié le 15 Septembre 2015 par Lurdo dans Oktorrorfest, Critiques éclair, Cinéma, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Télévision, Lifetime

Halloween approche lentement, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à mi-Novembre...

High School Possession :

Chloé (Jennifer Stone), une lycéenne perturbée et colérique, peine à faire face au divorce de ses parents ; et à mesure que ses troubles psychologiques prennent de l'ampleur et qu'elle devient incontrôlable, une décision doit être prise : alors que sa mère (Ione Skye) refuse fermement de voir Chloé internée, la meilleure amie de celle-ci, Lauren (Janel Parrish) arrive à la conclusion que seul un exorcisme pourra l'aider. Elle se tourne donc vers le pasteur local puis, devant son refus, vers un groupe de prière du lycée...

Un téléfilm Lifetime diffusé à Halloween dernier, et qui... hum... comment dire... qui est assez ridicule. Jennifer Stone (au relookage radical depuis Waverly Place, entre sa couleur capillaire et son régime conséquent qu'elle ne se prive pas de montrer) se démène pour interpréter son personnage d'ado troublée (à l'ultime perruque risible), mais tout ce qui l'entoure est trop médiocre pour convaincre un seul instant.

Malgré ses 85 minutes, le film se traîne donc notablement, pas aidé par un script qui joue du prétexte de l'exorcisme pour attirer le chaland, mais ne s'avère être, au final, qu'un drame psychologique de plus, teinté d'une pointe de bondieuserie sous-jacente, d'un manque assez amusant de figures paternelles (pasteur excepté ^^) et souffrant d'une Janel Parrish et de nombreux seconds rôles globalement compétents, mais assez ternes et transparents.

1.75/6 (uniquement pour Jen Stone)

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Blog Update ! - Septembre 2015

Publié le 14 Septembre 2015 par Lurdo dans Update, Cinéma, Critiques éclair, Review

Ça y est, c'est officiellement la rentrée, et après plus de 200 mini-critiques, la rubrique Un film, un jour (ou presque) prend ses vacances.

De petites vacances, à vrai dire, puisque la rubrique fera un mini-retour à partir du 16 Novembre, jusqu'au démarrage de la Yulefest 2015, début Décembre.

Dans l'intervalle, place dès demain à l'Oktorrorfest 2015, avec au programme deux films d'horreur chroniqués chaque jour, du Lundi au Vendredi, et deux autres chroniqués pendant le week-end.

Comme toujours, vous pouvez retrouver une liste des films déjà critiqués dans ces pages en passant par l'onglet Pages/Index Cinéma, ou bien en utilisant les tags des catégories de chaque article.

Bonne lecture, et bons films !

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Catch Review : TNA Impact (09/09/2015)

Publié le 13 Septembre 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Trois semaines avant Bound For Glory...

Impact Wrestling 09/09/2015 :

- EC3 au micro, qui explique qu'il n'en a rien à battre de GFW vs TNA (ça tombe bien, moi non plus), fait une récap de son feud vs Matt Hardy, et du fait que Jeff est désormais son assistant perso. EC3 humilie un peu Jeff en public, puis encore un peu plus, puis encore un peu encore, jusqu'à ce que le segment dure un peu trop longtemps. M'enfin connaissant la TNA, Hardy va se rebeller dès la semaine prochaine, pour mettre en place BFG, où tout sera bouclé, donc autant qu'ils liquident tout dès maintenant.

- Spud & Matt vs EC3 & Tyrus. Franchement RAS. Spud jobbe, et Hardy commence déjà à se rebeller.

- Drew motive les Wolves backstage.

- Taryn et les Dollhouse cabotinent et se motivent backstage.

- Madison se fait passer à tabac par la Dollhouse. Tout le monde surjoue comme ce n'est pas permis, Angelina Love se fait démolir, et zou, elle est sortie pour cause de grossesse.

- Et revoilà Jarrett et madame qui s'incrustent, avec Jarrett mécontent de Roode qui a son titre, Karen qui donne des leçons à tout le monde... bleh.

- Eli Drake, Jesse et Kenny King (qui apparamment est déjà redevenu heel après son face turn de la semaine dernière :facepalm:) refusent d'aider la team TNA, et le font savoir à Drew qui se plaint de leur comportement. Brawl contre trois faces qui jusque là n'avaient pas pris part au conflit. Franchement aléatoire et sans grande logique, m'enfin bon.

- Ec3 vient humilier un peu plus Hardy en lui donnant des trucs à faire backstage.

- Drake, Jesse & King vs Robbie, Micah & Tigre. RAS. Micah n'impressionne toujours pas.

- Brooke vs Gail Kim. KO Title. Gail clairement en train de diriger le match en donnant des instructions constantes à Brooke, pour un bon match se finissant en queue de poisson quand Tapa tente de voler le titre, et que Kong s'interpose. Tapa semble toujours peu à l'aise niveau timing, mais bon, sinon, ça allait.

- La GFW se motive backstage.

- Drew & Hardy s'encouragent, EC3 n'est pas d'accord.

- Wolves vs Lee & Myers. Tag titles. Bon match, mais on peut se demander quel intérêt il y avait à déjà redonner les titres aux Wolves, qui les ont perdus la semaine dernière... ah, mais oui, j'oubliais, toute cette invasion est baclée, car elle doit être bouclée en fin de semaine prochaine, histoire de laisser un peu de temps pour mettre BFG en place... *soupir*

- Melendez claudique backstage.

- Melendez dans le ring et EY pour des promos croisées décidément répétitives (le feud tourne affreusement en rond), ce qui est dommage, parce que l'ex-soldat est plutôt solide, au micro.

- La team TNA se motive backstage.

- Josh Matthews interviewe Mahabali en studio, et c'est la fête de l'anglais approximatif et des clichés sur l'Inde. Ils sont vraiment décidés à le pusher, ce Mahabali... pourquoi pas. Il a du potentiel.

- Chris Masters vs Drew Galloway, Lumberjack match for the Lethal Lockdown advantage. Aucun intérêt intrinsèque : le match n'était pas forcément mauvais, sans plus, mais le concept d'avantage dans le Lethal Lockdown est 1) inutile et inexistant (à la base, LL est un gimmick très mal pensé), et 2) forcément à l'avantage des heels, histoire de donner un semblant de suspense. Donc là, comme en plus ils nous ramènent un Eric Young qui trahit (forcément) la team TNA de manière ultra-téléphonée quand tous les lumberjacks sont occupés et qu'il faut contrer Jarrett...

 

La même histoire que la semaine dernière : de l'action convaincante dans le ring, mais un booking baclé, précipité, téléphoné, et affreusement peu intéressant.

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Un film, un jour (ou presque) #215 : San Andreas (2015)

Publié le 11 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Action, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

San Andreas :

Alors que la faille de San Andreas entre enfin en activité et détruit San Francisco et la Californie, un sauveteur (Dwayne Johnson) tente de rejoindre son ex-femme (Carla Gugino) et sa fille (Alexandra Daddario), prises dans la tourmente.

San Andreas, c'est ce qui se passe lorsque des producteurs veulent faire du Roland Emmerich, mais avec un script encore plus cliché et mal écrit que du Roland Emmerich, des effets spéciaux encore plus approximatifs, dénués de poids, et à la physique improbable (et ce dès la première scène !) que du Roland Emmerich, des personnages encore plus caricaturaux que du Roland Emmerich, et des péripéties encore plus improbables que du Roland Emmerich.

Autant dire que c'est mauvais de bout en bout, avec des personnages en carton-pâte recyclant les pires clichés du genre, un rythme bancal, et un récit des plus stupides qui singe les films-catastrophes made in Emmerich de la pire des manières.

Heureusement que dans ce cartoon involontaire, il reste un trio de tête sympathique en la personne de The Rock, de Carla Gugino et d'Alexandra Daddario qui, s'ils forment une famille moyennement crédible (le père métis, la mère caucasienne, et la fille-de-20-ans-qui-semble-en-avoir-25-30 qui n'a absolument rien pris du père), portent néanmoins le métrage sur leurs épaules, qu'elles soient littérales et musclées comme celles de Dwayne, ou plus métaphoriques et pleines de courbes tressautantes comme celles des deux actrices.

2/6 (pour le trio, et parce qu'on ne s'ennuie pas trop malgré la durée abusive)

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Un film, un jour (ou presque) #214 : Une Ombre sur le Mariage (2014)

Publié le 10 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Comédie, Policier, Hallmark, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Une Ombre sur le Mariage (Wedding Planner Mystery) :

Carnegie Kincaid (Erica Durance) est une organisatrice de mariage impertinente et séduisante qui décroche le contrat de ses rêves, pour les noces de la belle héritière Nicky Parrys (Chelan Simmons). Mais bien vite, ce rêve se transforme en cauchemar lorsqu'un cadavre est découvert pendant la réception, que Carnegie est accusée à tort, qu'un journaliste agaçant se mèle de tout ça, et que Nicky finit par être enlevée... à Carnegie de découvrir le vrai responsable avant qu'il ne soit trop tard.

Une pseudo "comédie policière" signée Hallmark, adaptée d'un roman, et qui échoue sur tous les plans.

Le script est affreusement plat et soporifique (j'ai déjà à moitié oublié les motivations des criminels, alors que je viens de finir de regarder le film), la réalisation est basique et assez laide, la musique (supposément) légère est envahissante et agaçante, la voix off qui narre le récit par intermittence est inutile, et tout le monde est légèrement en surjeu, probablement à cause d'une direction d'acteurs inexistante.

Résultat, ce n'est ni drôle, ni léger, ni prenant, ça n'a pas le moindre suspense ni mystère (ce qui, pour une comédie policière, est problématique), et ça se paie tous les clichés des romances Hallmark, de la meilleure copine black à la love story improbable. J'ai beau avoir de la sympathie pour Durance et Simmons, là, je passe.

1.25/6

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Un film, un jour (ou presque) #213 : Les Pingouins de Madagascar (2014)

Publié le 9 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Animation, Comédie, Jeunesse, Dreamworks, Aventure

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Pingouins de Madagascar (Penguins of Madagascar) :

Skipper, Kowalski, Rico et P'tit Gars, les quatre pingouins de Madagascar, doivent faire équipe avec le Vent du Nord, un groupe d'espions surentraînés, pour lutter contre Dave (John Malkovich), un poulpe jaloux des pingouins, et décidé à transformer tous les animaux mignons en monstres hideux.

Un film d'animation Dreamworks assez générique et décevant, avec son action incessante et frénétique, sa musique générique au possible (Lorne Balfe n'est décidément pas un compositeur très mémorable), et son script basique.

Ça fonctionne par moments, mais le tout reste beaucoup trop inégal pour convaincre.

Un très petit 3/6.

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Un film, un jour (ou presque) #212 : Les Prisonnières (2015)

Publié le 8 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Drame, Télévision, Lifetime, Thriller

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Prisonnières (Kept Woman) :

Après avoir subi un cambriolage particulièrement violent, Jess Crowder (Courtney Ford), une conceptrice graphique de talent, déménage de la ville pour s'installer en banlieue avec son fiancé Evan (Andrew W. Walker). Ils font aussitôt la connaissance de leur nouveau voisin, Simon (Shaun Benson), un universitaire très conservateur, tant dans ses opinions que dans ses choix vestimentaires. Bientôt, Jess attire l'attention de Simon, qui s'avère un dangereux psychopathe, et kidnappe Jess pour l'enfermer dans son sous-sol : là, elle passe ses journées cloîtrée dans un décor en carton-pâte typé années 50, en compagnie de Robin (Rachel Wilson), une précédente victime de Simon, à l'esprit brisé et reformaté par le maniaque...

Un thriller Lifetime supposément inspiré par une histoire vraie et qui, sur un postulat intéressant et bien interprété, reste assez capillotracté, tirant un peu en longueur, en dépit de quelques ellipses pourtant présentes.

Rien de forcément mauvais, dans l'absolu, mais rien de vraiment mémorable non plus, si ce n'est le tueur, qui ressemble beaucoup au catcheur Rockstar Spud avec son style rétro-hipster, et est donc assez difficile à prendre au sérieux par moments...

3/6

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Un film, un jour (ou presque) #211 : Une Affaire de Coeur (2004)

Publié le 7 Septembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Une Affaire de Coeur (Laws of Attraction) :

Audrey Woods (Julianne Moore) et Daniel Rafferty (Pierce Brosnan) sont les deux meilleurs avocats de New-York en matière de divorce, et tout les oppose : elle est froide, distante, légèrement maniaque et particulièrement coincée ; lui est gouailleur, charmeur, irrésistible, et totalement décomplexé. Pourtant, ils sont implacablement attirés l'un par l'autre, et cette relation à la fois conflictuelle et passionnée culmine lors d'un séjour professionnel en Irlande, dans le château d'une star du rock (Michael Sheen) en instance de divorce avec son épouse créatrice de mode (Parker Posey).

Une comédie romantico-légale assez classique et convenue, malgré sa structure un peu inhabituelle, et qui s'inspire de Madame porte la culotte (1949) sans réellement parvenir à s'en rapprocher.

À vrai dire, le métrage serait totalement oubliable, si ce n'était pour sa distribution impeccable : Moore & Brosnan forment un couple particulièrement attachant, Sheen et Posey leur équivalent totalement déjanté, et ensemble, ils apportent au tout une jolie énergie qui sauve le tout.

Bref, pas mémorable pour un sou, mais sympatoche.

3.5/6

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Catch Review : TNA Impact (02/09/2015)

Publié le 5 Septembre 2015 par Lurdo dans Catch, Critiques éclair, Review, Télévision, TNA

Quatre semaines avant Bound For Glory...

Impact Wrestling 02/09/2015 :

- Grosse envie de changer de chaîne, tout de suite, dès le début, avec la GFW qui envahit le ring, pour encore une promo de Jarrett & de sa femme, insupportable. Masters se vante de sa taille (alors que 95% des mecs de la GFW sont des avortons, lol), et lance un open challenge accepté par Lashley. Très laborieux, comme début de show, et très peu engageant, car encore une invasion pour le contrôle de la compagnie, ça commence à me gonfler.

- Lashley vs Masters. Match honorable, mais rien d'exceptionnel, et une fin en queue de poisson forcément agaçante. Assez pitoyable que seuls les Wolves daignent prendre la défense de la TNA.

- Karen se pointe avec la valise de FoF de Magnus (!?), et l'encaisse sur les Wolves (après avoir démoli Hebner), qui se font battre en une minute (sur tricherie) et perdent leurs ceintures au profit de la GFW. Énorme :facepalm: de ma part.

- Roode en a assez de tout le monde, GFW et TNA inclus.

- Ec3 pour se moquer des Hardys au micro de JB. Comme toujours assez bon.

- PJ Black vs Roode. KOTM title. Promo moyenne de Roode en pré-match, match pas mauvais, mais PJB catche toujours au semi-ralenti, comme s'il était encore à la WWE. Roode récupère la ceinture malgré l'intervention de la GFW (contrée par Galloway), ce qui n'est pas un mal.

- Jarrett est furieux, Dixie se pointe, le duo se dispute avec des commentaires à la limite du shoot, pas franchement passionnant ; Dixie et Jarrett se mettent d'accord pour un Lethal Lockdown dans deux semaines (youpi...), avec pour enjeu le contrôle total de la compagnie. Dixie recrute Galloway, les Wolves et Lashley, et on a encore droit à une promo répétitive de Galloway.

- La GFW est motivée.

- Encore du meublage de la part des commentateurs. Mwé.

- Face turn de Kenny King, qui relance Open Fight Night, et se retrouve face à Bram.

- Bram vs King. King s'en sort bien, mais finit par se faire démolir comme une merde. Pourquoi ? *soupir*

- Promo générique et quelconque des Hardys.

- Velvet Sky au micro... avant de se faire passer à tabac par la Dollhouse 2.0, et sauver par les Beautiful People qui se reforment à cette occasion. Pourquoi ?! *soupir* Surtout qu'en plus, ALove est enceinte, et donc elle ne sera pas dans la suite de cette storyline...

- Matt Hardy vs EC3. HW Title. Pas forcément mauvais, mais absolument aucun intérêt tant le résultat était couru d'avance, pour d'innombrables raisons.

 

Un show qui... euh... Au moins c'était compétent et efficace dans le ring. Le reste, par contre.... *soupir*

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