Die Hard - Belle journée pour mourir :
Le script ? Il enchaîne les clichés, les raccourcis hasardeux, les dialogues foireux, et les personnages en carton-pâte. La mise en images ? C'est confus, baclé, terne et laid, avec un montage qui plombe toute narration, et une caméra portée tremblotante et inutile. L'interprétation ? Le "fils de McClane" est inexistant, et Willis est devenue une caricature de lui-même (comme McClane, d'ailleurs), un absolu de non-jeu et de glande qui rivalise avec les pires Steven Seagal. Les effets spéciaux ? À peu près aussi crédibles que dans une production Asylum.
Reste alors l'action. Et là, oui, ça pête dans tous les sens. Jusqu'au point de non-retour, qui transforme le tout en parodie de Die Hard, avec un McClane tank humain qui traverse
des scènes d'action illisibles, amorphes et dépourvues du moindre rythme.Bref, A Good Day To Die Hard, c'est un peu Le Police Academy à Moscou de la franchise Die Hard... en pire.
0.5/6 (dont un point pour le caméo de Mary Elizabeth Winstead... et un demi-point en moins pour l'avoir totalement coupé au montage de la version longue du film !)
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