Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.
La Belle et la Bête :
Afin de préserver la vie de son père, Belle accepte de se sacrifier, et de vivre dans le château de la mystérieuse Bête, un Prince maudit à l'apparence bestiale. Après quelques temps passés en sa compagnie, Belle finit par tomber amoureuse...
Par tous les saints, quelle daube abyssale.
Alors attention, c'est assez joli, visuellement, même si on n'évite pas l'abus de CGI et autres rustines numériques pour les paysages... mais le visuel, ça reste le domaine de prédilection de Christophe Gans, donc ça assure un minimum.
Le reste, par contre, c'est un plantage absolu : les acteurs récitent tous leur texte de manière robotique ; Lea Seydoux est froide, distante et fausse ; la Bête est laide et jamais crédible visuellement ; le scénario est mal structuré et l'on ne croit jamais à l'histoire d'amour centrale ; les créatures en CGI ne servent à rien ; la montée en puissance est inutile et mal gérée... bref, le film est la définition même d'une coquille vide, un navet friqué qui repompe à droite et à gauche sans jamais convaincre sur aucun plan.
1/6
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