Lucy :
Besson décide de refaire Limitless à la sauce super-héroïne transcendentale (d'ailleurs, oui, j'ai pensé à Transcendance, aussi), avec bourrinage bessonnien en prime... pas grand chose à dire de plus, en fait.
C'est (souvent) gentiment con-con, cliché, pataud et bancal, mais comme souvent chez Besson, ça se regarde bien, et c'est efficace, pour peu que l'on éteigne son cerveau en entrant dans la salle.
Pourquoi pas, après tout, d'autant que ScarJo est comme toujours particulièrement convaincante dans ce type de rôle... m'enfin bon, ça donne un peu l'impression d'un Groluc en pilotage automatique, qui noie ses bonnes idées sous un paquet de facilités... Comme souvent ces temps-ci.
3/6
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