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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #romance catégorie

Un film, un jour (ou presque) #7 : In Your Eyes (2014)

Publié le 7 Juillet 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Fantastique, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

In Your Eyes :

Rebecca (Zoe Kazan) et Dylan (Michael Stahl-David) ne se connaissent pas et vivent l'un et l'autre à une extrémité différente du pays. Un jour, cependant, ils s'aperçoivent qu'ils sont capables de se parler par télépathie, et leurs vies s'en trouvent bouleversées...

Une production Joss Whedon, à partir de l'un de ses vieux scripts sortis du placard (et ça se sent), qui tente de décrire une romance paranormale et fantastique comme hors du commun, alors qu'en réalité, à un détail ou deux près (les interactions physiques), le même film aurait pu être fait au sujet de la relation longue-distance (par Skype ou téléphone) de deux personnes ne se connaissant pas.

Pas désagréable à regarder, et bien joué, mais étrangement daté, convenu et pas forcément très captivant.

3.5/6

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Un film, un jour (ou presque) #4 : Smashed (2012)

Publié le 4 Juillet 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Comédie, Drame, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Smashed :

Une institutrice alcoolique (Mary-Elizabeth Winstead) voit sa vie sombrer à mesure que l'alcool prend le contrôle de son quotidien ; elle décide alors d'arrêter de boire, mais ne peut compter sur le soutien de son mari fêtard (Aaron Paul)...

MEW est assez convaincante dans son rôle de fêtarde repentante, et le film est, globalement, bien interprété, ainsi que donnant une impression de vécu et de réalisme, mais... en dehors de la performance d'actrice, et d'une réalisation/écriture solide, pas grand chose de vraiment mémorable en ce qui me concerne. C'est bien fait, sans plus.

4/6

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Critique éclair - Star-Crossed 1x01

Publié le 19 Février 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, CW, Romance, Science-Fiction, Drame

Dans la série "on n'a pas d'idées, ni de moyens, mais ça ne nous empêche pas de nous lancer dans des projets de s-f", voilà la CW avec Star-Crossed, alias Roswell 2.0 mâtiné d'Alien Nation, sur des aliens rescapés d'une planète à l'agonie et en conflit, et réfugiés sur Terre parmi nous ; capturés par les humains, les aliens finissent dans un camp d'internement (aka "secteur") et, dix ans plus tard, retrouvent la liberté, s'intégrant à la vie d'un lycée, avec romance impossible à la clef entre une humaine et un alien séduisant.

Assez mal écrit, avec des acteurs vingtenaires et trentenaires dans le rôle de lycéens (Matt Lanter n'a pas grand chose à faire dans son rôle d'alien mystérieux, Aimee Teegarden a fait un régime drastique depuis Friday Night Lights et semble faire vingt ans de plus), des aliens tatoués capables de soigner les humains, un futur (2024) tout sauf imaginatif, des looks ridicules, et un intérêt proche du néant, puisque le tout a déjà été fait ailleurs, en mieux et en plus pertinent. Annulation dans moins d'une saison ?

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Critique éclair - Mixology 1x01-02

Publié le 17 Février 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Comédie, Sitcom, Romance, ABC

Mixology 1x01-02 :

Une nouvelle sitcom ABC qui repose sur un concept à la con inédit : 10 personnages se rencontrent, une nuit, dans un bar, et chaque épisode suit la soirée (plus ou moins romantique) de l'une ou l'autre des paires de protagonistes, avec toutéliage progressif à la clef. Un pitch tellement révolutionnaire et bien écrit que les networks se sont battus pour acheter le script...

... nan, je ne peux pas écrire ça et rester sérieux. Si les networks se sont battus, c'est parce que ça a été écrit et conçu par les scénaristes de The Hangover, ni plus ni moins.

Ouép. Une sitcom/romcom par les scénaristes de Very Bad Trip. Traduction : c'est exactement aussi caricatural et lourd que The Hangover. En vrac, on a un trio de potes/bros, dont un est Galifianakis barbu, sarcastique et ressemble à un clodo roux ; une latina couillue qui se comporte comme un mec ; un anglais alcoolique qui vomit dans un sac à main et envoie des dick pics ; de la drague lourde ; de l'alcool à gogo ; des flashbacks et une voix-off inutiles ; et une distribution composée à 95% d'inconnus sans charisme ou intérêt (hormis un bref caméo de Sarah Wright-Olsen, Vanessa Lengies et Sarah Bolger sont les seuls visages un tant soit peu familiers et sympathiques du lot, et doivent avoir à peine une minute de présence à l'écran sur les deux premiers épisodes).

Bref... encore une tentative de sit-rom-com destinée à finir à la poubelle.

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Christmas Yulefest 2013 - 40B - Or, Myrrhe, Encens, etc... (2)

Publié le 6 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Aventure, Fantastique, Norvège, 1001 Nuits, Télévision, Hallmark, CBS, Religion, Comédie, Romance, TNT, Jeunesse, Musique, Drame, UK, France, PaxTV, Lifetime, ABC Family

Après Noël, la Nouvelle Année est arrivée, et avec elle, la Christmas Yulefest annuelle a continué sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël... Mais aujourd'hui, alors que les Rois Mages font leur arrivée, il est temps de mettre un terme à la Yulefest, en liquidant tout ce qui me restait à voir dans le genre. Attention : fourre-tout ! 

Le Secret de l'Étoile du Nord (Journey To The Christmas Star - 2012) :

Une jeune fille courageuse part dans une quête épique à la recherche de l'Étoile de Noël, afin de sauver son royaume d'une malédiction, et de retrouver une princesse légendaire perdue à jamais... 

Conte de fée norvégien de 75 minutes à peine, tout compris, ce film propose de somptueux décors naturels, et des costumes particulièrement réussis ; dommage alors que le récit soit vraiment simpliste au possible : on sent bien les origines traditionnelles de l'histoire, avec son héroïne qui virevolte de rencontre en rencontre sans la moindre difficulté, recevant l'aide de tout le monde après trente secondes de discussion, sans le moindre effort.

Dommage que ces aventures et personnages n'aient pas été remis au goût du jour, et développés un peu plus, cela aurait fait un film un peu plus consistant pour les adultes.

3.5/6

Les Mille et une Nuits (Arabian Nights - 2000) :

Pour retarder son exécution, Sherahazade narre plusieurs histoires légendaires à son sultan, au nombre desquelles les contes d'Aladdin et d'Ali Baba...

Une mini-série Hallmark de trois heures, avec un budget conséquent, de nombreux visages connus (Tcheky Karyo, Jason Scott Lee, John Leguizamo, Dougray Scott, James Frain, Rufus Sewell, Andy Serkis, Amira Casar, Oded Fehr, James Callis, etc), et une bande originale excellente de Richard Harvey.

Malheureusement, si cette version pluri-culturelle des 1001 Nuits a des qualités certaines, notamment visuelles, elle a aussi un bon paquet de défauts, mini-série produite par les Halmi oblige : la post-synchronisation est particulièrement médiocre ; les acteurs blancs et anglais maquillés pour paraître arabes, ça passe assez moyennement ; l'interprétation est assez inégale, tout comme l'est, globalement, l'intérêt général du métrage, particulièrement dépendant de la réussite de chaque segment. Et bien sûr, comme il est d'usage dans ce genre de mini-séries, ça prend très largement son temps...

3/6

Saint Nicolas et le Nouveau Monde (Santa And Pete - 1999) :

L'histoire de Saint Nicolas et de Pierre le Noir, ainsi que la transformation de Nicolas en Santa à son arrivée aux USA, telle que racontée de nos jours par un grand-père à son petit-fils de dix ans....

Un téléfilm CBS diffusé en 1999, adapté du roman de Christopher Moore, et qui s'avère plutôt réussi visuellement.

Le récit met l'accent sur la tolérance raciale et la coopération entre les peuples, la musique d'Alan Williams est réussie (bien que dérivative), et le tout se regarde sans difficultés, offrant un regard intéressant et assez rare sur les origines de Santa Claus.

Malheureusement, tous les apartés dans le présent, avec James Earl Jones, ont tendance à plomber un peu le tout, notamment par leur écriture un peu simpliste (d'ailleurs, l'écriture de tout le téléfilm a un peu trop tendance à se montrer moralisatrice et didactique).

4.25/6 

Christmas in Connecticut (1992) :

La star d'une émission de cuisine, qui depuis des années prétend être un chef alors qu'elle ne sert rien cuisiner, doit passer les fêtes de Noël en compagnie d'un ranger séduisant, et d'une famille fictive, pour lui cuisiner, en direct, un repas de Noël... 

Un téléfilm de 1992, diffusé sur TNT, et réalisé par Arnold Schwarzenegger himself, qui s'attaque ici à un remake d'un film de 1945.

Autant dire que la tâche est considérable, et le résultat, hum... disons qu'il est, au mieux, assez discutable.

Les acteurs connus se succèdent dans des rôles plus ou moins importants (Kris Kristofferson, Tony Curtis, Richard Roundtree...) et le tout se déroule de manière assez bruyante et outrée. Cela dit, le dernier quart du métrage fonctionne plus ou moins, mais je n'ai pu m'empêcher de me demander qui était vraiment responsable de la réalisation du film : Schwarzie ou quelqu'un d'autre de non-crédité.

2.25/6

Enfants Non Accompagnés (Unaccompanied Minors - 2006) :

Une bande d'enfants non-accompagnés se trouve coincée dans un aéroport à Noël, loin de leur famille, et décide de s'inventer un Noël bien à eux, tout en semant une certaine pagaille...

Paul Feig se prend pour John Hughes, avec cette comédie familiale sympathique, qui ressemble à un mélange de Home Alone, The Terminal & The Breakfast Club.

Un film qui est totalement passé inaperçu, globalement très mal reçu par les critiques américains, et qui pourtant s'avère assez attachant, grâce à sa distribution pleine de visages connus (notamment issus de The Office), et au fait que ce métrage a très bon fond.

Il est probable que si ce Unaccompanied Minors était sorti dans les années 80 ou 90, il serait aujourd'hui considéré avec beaucoup de nostalgie et d'attachement.

4.25/6

Casse-Noisette (The Nutcracker - 1993) :

La veille de Noël, la jeune Marie s'endort en rêvant d'un monde de jouets enchantés, où le beau Casse-Noisettes est là pour la sauver du maléfique Roi des Souris...

Version filmée/adaptée des chorégraphies et de la mise en scène de George Balanchine, cette production peut surprendre de par son adhérence prononcée à la mise en scène théâtrale, tout le film étant filmé comme une pièce de théâtre en direct, avec arrière-plans et décors peints.

Qui plus est, c'est vraiment une adaptation fidèle du spectacle, uniquement portée par la musique de Tchaikovski, et par une voix off ponctuelle de Kevin Kline. Pas désagréable si l'on sait à quoi s'attendre, si l'on aime le ballet et la danse, et si le simple fait de retrouver Macauley Culkin en Casse-Noisettes suffit à contrebalancer son interprétation en ilotage automatique... mais ça reste très inégal.

3.25/6

Les Enfants de Timpelbach (2007) :

Insupportables, les enfants de la ville de Timpelbach sont un jour laissés livrés à eux-mêmes par leurs parents... mais bien vite, une guerre éclate dans la petite ville désertée...

Interprétation assez inégale (forcément, avec des enfants de tous âges) dans ce long-métrage français qui s'avère pourtant fortement sympathique, tant pour ses partis-pris artistiques intemporels et décalés, que pour son refus des compromis.

4.25/6

Lost Christmas (2011) : 

À Manchester, à l'approche de Noël, un mystérieux vagabond au savoir et aux pouvoirs étranges aide un groupe d'individus disparates à retrouver ce qu'ils ont perdu, et, par magie, à changer leur destinée...

Un film anglais de 2011 avec de nombreux visages connus (Eddie Izzard, Jason Flemyng...), et qui joue la carte du drame froid et glacial (que ce soit par la musique ou le rendu visuel), pour un résultat qui, pourtant, fonctionne joliment au final, et évite le pathos.

4/6

Le Mensonge de Noël (A Holiday For Love/Christmas In My Hometown - 1996) :

Un businessman arrive dans une petite ville pour liquider les employés d'une usine, mais avant de pouvoir s'atteler à cette tâche ingrate, il est pris pour un riche investisseur venu sauver la ville, et il s'entiche de l'une des employées, mère célibataire...

Téléfilm CBS de 1996, qui n'a pas trop vieilli visuellement, avec Melissa Gilbert et une toute petite (et adorable) Michelle Trachtenberg dans le rôle de sa fille.

D'ailleurs, c'est bien Michelle qui emporte le morceau avec son personnage, et donne un dynamisme et un ton enjoué à tout le métrage.

Et comme en plus c'est plein de bons sentiments, sans être trop dégoulinant, que la distribution est convaincante et attachante, et que les décors naturels sont jolis, ça donne un résultat ma foi plutôt sympathique.

4/6

The Santa Trap (2002) :

Désireux de prouver à leurs parents que le Père Noël existe, deux enfants installent des pièges chez eux, et capturent Santa. Mais quand celui-ci finit en prison, un quiproquo improbable se met en place...

Téléfilm de 2002 diffusé sur Pax TV, cette comédie familiale bénéficie d'une distribution assez intéressante (Shelley Long, Dick Van Patten, Stacy Keach, Adrienne Barbeau, Corbin Bernsen...), mais ne décolle jamais vraiment, malheureusement, la faute à une interprétation très inégale (Shelley Long, notamment, est très mauvaise), ainsi qu'à un budget et à une réalisation limités.

1.75/6 

A Song For The Season (aka Holiday Romance - 1999) :

Une prof de musique s'entiche d'un administrateur venu mettre un terme à son programme musical, dans le cadre de coupes budgétaires ; en parallèle, elle se rapproche de la nièce de celui-ci, avec qui elle compose et écrit la chanson de Noël du lycée...

Un drama assez laborieux diffusé sur la chaîne Lifetime en 1999, mais qui donne l'impression d'avoir été tourné dix ans plus tôt.

Très country/americana dans son approche de la musique et de la société, avec une Naomi Judd assez peu attachante, mais une Alison Pill adorable (et qui chante bien). Un bon gros bof, en tout cas, pour ce téléfilm beaucoup trop orienté pathos et premier degré.

2/6

A Diva's Christmas Carol (2000) :

Une diva pop-star insupportable reçoit la visite des fantômes de Noël présent, passé et futur...

Un téléfilm VH1 qui reprend (évidemment) le Christmas Carol de Dickens, avec Vanessa Williams dans le rôle de la Scrooge de service, et Kathy Griffin en fantôme des Noëls du passé.

Assez amusant, second degré, et donc agréable, même si arrivé au fantôme des Noël présent, le film s'assagit considérablement, et perd donc pas mal en efficacité.

3.75/6

La Reine des Neiges (The Snow Queen - 2002) :

Gerda doit voyager à travers le pays pour trouver la Reine des Neiges, qui lui a volé le coeur de Kai avec sa magie...

Une mini-série Hallmark adaptée du conte d'Andersen, produite par les Halmi.

En d'autres termes, cela signifie que 1) le budget est conséquent (le rendu visuel de tout le téléfilm est crédible, convaincant et même joli), 2) il y a forcément un nom connu au centre du show (en l'occurrence, Bridget Fonda, très bien en Reine glaciale), 3) l'adaptation est relativement libre (Gerda et Kai sont ici adultes et amoureux, ce qui change considérablement certains idées et rebondissements, qui fonctionnaient avec une fillette, et ne fonctionnent plus avec des adultes - la jeune voleuse, notamment, qui a 20 ans, et est cabotinée interprétée comme si elle en avait 8 ou 10...), 4) il y a des fautes de goût improbables (l'accent de tout le monde, la princesse d'été asiatique et superficielle qu'on dirait sortie d'un teen show californien, la ballade pop à la Rod Stewart qui revient régulièrement...) et surtout 5) c'est très mal rythmé.

Comme toujours dans ce genre de mini-séries Hallmark, on peut facilement enlever 30 à 40% du récit sans que cela ne soit dommageable. Cela dit, la musique et le sound-design sont assez réussis.

3/6

Le Sauveur de Noël (The Dog Who Saved Christmas - 2009) & Le Chien de Noël (The Dog Who Saved Christmas Vacation - 2010) :

Zeus, un ancien chien policier, est adopté par une famille qui s'absente la veille de Noël, et laisse le chien confronté à deux cambrioleurs. / On prend les mêmes et on recommence, au ski, avec en prime un caniche dont Zeus s'entiche, et qui a autour du cou un collier valant une fortune.

- Téléfilm ABC Family de 2009 avec Dean Cain, Elisa Donovan et Sierra McCormick dans certains des rôles principaux, pour un mélange entre Home Alone (la copie est conforme) et Look Who's Talking, puisque le chien en question parle avec la voix de Mario Lopez (qui est étonnamment juste et enthousiaste, en comparaison de son travail habituel d'animateur tv).

Une production assez fauchée, avec de nombreux faux raccords, et plusieurs problèmes de casting : tout d'abord, un léger miscast au niveau des rôles masculins, amha, puisque Dean Cain aurait fait un bien meilleur père de famille que Gary Valentine, qui de par son physique et son jeu semblait plus approprié au rôle de l'un des deux bandits incapables. Mais bon, le bonhomme est le frère aîné de Kevin James, donc ça doit aider à choisir son rôle. Ensuite... le chien. Qui s'avère être, en lieu et place d'un chien police au mieux de sa forme, une femelle labrador molle, fatiguée et totalement inexpressif et sans réactions aux autres acteurs. Bref, quelques problèmes de taille, pour ce téléfilm parfaitement inoffensif et gentillet, à tendance fortement oubliable et peu inspiré.

2.25/6, principalement pour le capital sympathie de Donovan et McCormick.

- La suite directe, de 2010, avec de nouveaux gamins dans le rôle des enfants de la famille, des enfants supplémentaires histoire de dire, Casper Van Dien qui cachetonne, et Paris Hilton (!) au doublage du caniche supposément irrésistible. Étrangement, Hilton s'en sort plutôt bien, même si son personnage est calamiteux de superficialité et d'inutilité. Cela dit, il est à l'image de tout le reste du métrage, encore plus oubliable que le précédent.

1.75/6          

Le Sauveur d'Halloween (The Dog Who Saved Halloween - 2011) & Le Chien qui a sauvé Noël (The Dog Who Saved The Holidays - 2012) :

On reprend les mêmes, mais dans un nouveau voisinage, et à Halloween : le père de famille est persuadé que son nouveau voisin est un psychopathe, et il embauche les deux bandits des premiers films pour s'introduire dans la maison du voisin... / Revoici les fêtes de Noël pour la famille Bannister, qui partent passer les fêtes en famille, en Californie... et forcément, les deux cambrioleurs incapables se trouvent sur leur chemin.

- Paradoxalement plus sympathique que les deux téléfilms précédents, puisque se détachant enfin de l'influence Home Alone et de la période festive de Noël : ici, l'ambiance horrifique générale se prête plus aux scènes de slapstick sur les deux criminels, et bien que la formule soit de plus en plus éventée, ça fonctionne un peu mieux (merci Lance Henriksen). Malheureusement, certains choix sont assez dommageables ; pas tant le changement de doubleur de Zeus (la chienne semble par ailleurs plus enthousiaste et dynamique), mais plutôt pour le choix de rendre les actions du chien moins réalistes et plus cartoony, avec des gros plans sur des pattes de chien factices qui font des actions improbables. Dommage.

2.75/6

- Recast des enfants (Caitlin Carmichael, te revoilà !), qui rajeunissent un peu plus à chaque film, ajout d'un chiot (doublé par Peyton R. List), d'une Elisa Donovan "enceinte", et exportation du film en Californie, ce qui tue totalement et radicalement l'ambiance de Noël, et transforme ce direct-to-dvd en film banal, terne, et sans le moindre intérêt. Dommage, parce que le chiot (le vrai petit de "Zeus" ?) était adorable... mais "Zeus" se ramollit encore un peu plus, accuse son âge, et est totalement amorphe : autant dire que la série commence vraiment à tirer à la ligne.

1.25/6

Par contre, d'office, je peux le décréter : pas moyen que je m'inflige The Dog Who Saved Easter à sa sortie, l'année prochaine. Non seulement j'ai eu ma dose, mais en plus Elisa Donovan est la seule à revenir, en compagnie des deux boulets criminels, qui récupèrent un troisième larron. Ah, et "Zeus" y semble encore plus fatigué, donc... ce sera sans moi. 

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Christmas Yulefest 2013 - 40A - Or, Myrrhe, Encens, etc... (1)

Publié le 5 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Comédie, Romance, Lifetime, Thanksgiving, PaxTV, ABC Family, Jeunesse, CBS, UpTV, Religion

Après Noël, la Nouvelle Année est arrivée, et avec elle, la Christmas Yulefest annuelle a continué sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël... Mais aujourd'hui, à la veille de l'arrivée des Rois Mages, il est temps de mettre un terme à la Yulefest, en liquidant tout ce qui me restait à voir dans le genre. Attention : fourre-tout ! 

Monsieur Décembre (Twelve Men of Christmas - 2009) :

Une publiciste new-yorkaise passe les fêtes de Noël dans une petite ville du Montana, et se retrouve à mettre sur pied un calendrier avec les hommes les plus séduisants du voisinage.

Une comédie romantique Lifetime sans intérêt, que j'ai principalement regardé parce qu'elle passait à la télévision, et parce que j'ai généralement de la sympathie pour Kristin Chenoweth.

Malheureusement, là, elle est de toute les scènes, à interpréter sa citadine impertinente et épuisante, et elle s'avère presque trop envahissante, éclipsant totalement les seconds rôles sympathiques (comme Anna Chlumsky). Bref, ce n'est pas festif du tout, c'est terne, et quelconque, je passe.

1.25/6

La Parade de Noël (Love At The Thanksgiving Day Parade - 2012) :

À Chicago, l'organisatrice de la grande parade, passionnée de mode rétro, s'éprend du riche consultant financier que la ville lui impose, et avec lequel elle ne s'entend pourtant pas...

Une comédie romantique Hallmark assez classique, avec quiproquos habituels, etc, mais qui ne fonctionne pas trop mal, notamment parce qu'Autumn Reeser est attachante, et que le look vestimentaire donne une certaine patine intéressante au tout. Rien d'exceptionnel, cela dit.

2.5/6 

La Voleuse de Noël (Christmas Caper - 2007) :

Une cambrioleuse acariatre est contrainte de jouer les baby-sitters pour ses neveux lorsque leurs parents se trouvent coincés en vacances, sans moyen de rentrer au pays. Elle organise alors la fête de Noël du quartier, et décide de profiter de la distraction pour cambrioler toutes les maisons avec l'aide de ses complices...

Un téléfilm ABC Family qui reprend les grandes lignes de Stealing Christmas, en remplaçant Tony Danza par Shannen Doherty, en pilotage automatique. D'ailleurs tout le téléfilm est en pilotage automatique, et à part deux ou trois répliques bien senties, le tout s'oublie instantanément.

1.75/6

Sur la Route de Noël (The Road To Christmas - 2006) :

Une photographe de mode, lancée malgré elle dans un road trip à travers le pays à l'approche de Noël, est prise en stop par un père célibataire et sa fille adolescente. 

Une comédie romantique Lifetime assez délicate et attachante, malgré son récit ultra-prévisible et balisé : le fait que Clark Gregg et Jennifer Grey soient mari et femme à la ville joue beaucoup dans la vraisemblance de leurs rapports à l'écran, et l'on se prend à apprécier ce père sarcastique, et cette romance improbable qui se noue.

Cependant, malgré l'écriture légère et moins pataude que dans d'autres téléfilms du même genre, ça reste un téléfilm mineur.

3.25/6

J'ai vu maman embrasser le Père Noël (I Saw mommy Kissing Santa Claus - 2002) :

Un garçon surprend sa mère en train d'embrasser son père, méconnaissable car déguisé en costume de Père Noël, et l'enfant se met en tête de faire les pires bétises pour éviter que Santa ne passe à Noël...

Les jumeaux Sprouse, avant The Suite Life..., dans un téléfilm PAX Tv reposant uniquement sur les paroles de la chanson du même nom, et qui lorgne fortement sur Home Alone, dont il reprend vaguement la musique et le principe, avec un jeune garçon blond qui fabrique plein de pièges pour blesser Santa. C'est assez fauché, les Sprouse jouent de manière très inégale, et à part Corbin Bernsen qui fait de son mieux, le tout est tout de même assez mauvais, et à déconseiller aux plus de sept ou huit ans.

1.5/6

Un Ticket Gagnant pour Noël (Lucky Christmas - 2011) :

Une chef au chômage, mère célibataire et sans le sou, gagne une fortune au loto, mais se fait voler sa voiture, et le ticket de lotterie ; bientôt, elle rencontre un homme séduisant et pris de remords, qui est en réalité l'un des deux malfrats en possession du billet. 

Un téléfilm Hallmark assez banal, mais qui a le mérite, au moins, de proposer un pitch différent du sempiternel "businesswoman débordée qui redécouvre le vrai sens de Noël et l'amour dans une petite ville perdue". Après, il n'y a là rien de vraiment mémorable, et la fin du téléfilm est un peu précipitée, mais le tout est somme toute assez inoffensif.

3/6 

Une Seconde Chance pour Noël (Comfort And Joy - 2003) :

Une businesswoman carriériste et célibataire a un accident de voiture peu de temps avant Noël ; lorsqu'elle se réveille, elle se découvre mariée et mère de famille...

Bla, bla, bla... franchement, ce concept de base a tellement été vu et revu qu'on ne va pas s'attarder dessus : tous les téléfilms Lifetime ou Hallmark de ce genre fonctionnent globalement avec les mêmes rouages, et toute la différence se fait alors sur les interprètes, le rythme et le dynamisme de l'ensemble.

Et ici, à ma grande surprise, ça fonctionne plutôt bien, notamment parce que les quatre acteurs principaux (les deux adultes et les deux enfants) ont une vraie alchimie. Bref, on y croit assez, et le tout est suffisamment enlevé pour compenser la fin abrupte, et le message de base discutable (mais inhérent au genre).

3.25/6

Miracle At Christmas - Ebbie's Story (1995) :

Ebbie est une businesswoman froide, carriériste et indifférente aux fêtes de Noël ; pourtant, elle va recevoir la visite de quatre fantômes pendant la nuit du 24 décembre...

Une autre version gender-switched du Christmas Carol de Dickens, diffusée en 1995 sur Lifetime.

Rien de bien exceptionnel à signaler, donc, à part des looks forcément très datés, et quelques visages familiers (Laura Harris, Molly Parker, Wendy Crewson...). Susan Lucci est trop jeune pour faire une Scrooge convaincante, et elle n'est pas forcément la meilleure actrice de l'univers... pas suffisamment talentueuse, en tous cas, pour s'affranchir de ses réactions d'actrice de soap opera, qui resurgissent ponctuellement lors des moments dramatiques, et se remarquent fortement au milieu de ce récit terne, monotone, et mortellement sérieux.

1.5/6

Un Noël tout en lumière (Christmas On Chestnut Street - 2006) :

Lorsqu'un magasin commande 60000 ampoules de Noël par erreur, les propriétaires décident d'organiser un concours d'illuminations avec celles-ci... mais rapidement, c'est la guerre dans le voisinage.

Téléfilm Lifetime de 2006 avec Kristen Dalton dans un des rôles principaux, ce Christmas On Chestnut Street s'avère une comédie romantique (plus comédie que romantique) un peu fauchée, mais pas désagréable du tout. Une assez bonne surprise, je dois dire, entre guerre des voisins, magouilles des propriétaires, et romance improbable entre la fille du patron, une businesswoman carriériste, et l'un des employés, plus terre-à-terre.

3.75/6

Le plus beau jour de l'année / Noël entre elle et lui / Un Noël pour deux (His & Her Christmas - 2005) :

Deux rédacteurs de journaux à l'envergure radicalement différente s'affrontent, par rubriques interposées, sur le véritable sens des fêtes de fin d'année, et, ce faisant, ils s'entichent l'un de l'autre... 

Ça commence bien, par un générique à la Saul Bass, avec une chanson entraînante, et les deux leads sont sympathiques (Dina Meyer et David Sudcliffe), mais bien vite, on s'aperçoit que ce téléfilm Lifetime est ultra-bavard et, pour résumer, s'avère être une suite de gens lisant des articles narrés en voix-off, entourée de scénettes assez surjouées (Meyer prend son rôle beaucoup trop au sérieux), et particulièrement ternes.

Dans l'esprit et la forme, ça m'a rappelé Yes, Virginia, There Is A Santa Claus, et donc ça m'a très rapidement fatigué, je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout.

1.25/6

Le Miracle de Noël (Borrowed Hearts - 1997) :

Un riche businessman célibataire recrute l'une de ses employées et sa fille pour se faire passer pour sa famille, et réussir ainsi à décrocher un contrat important à l'approche des fêtes de Noël. Mais l'amour n'est pas loin...

Un téléfilm CBS assez convenu, mais assez bien mené, et à la distribution sympathique (Roma Downey, Eric McCormack, Héctor Elizondo, et une gamine attachante) ; seul vrai bémol, le final du récit, totalement forcé, artificiel et bâclé. Dommage.

3/6 

Un Noël pas comme les autres (The Sons of Mistletoe - 2001) :

Dans une petite ville, l'héritière d'un grand magasin et le jeune gérant d'un orphelinat pour garçons se rapprochent à l'approche des fêtes de Noël, alors qu'ils sont pourtant diamétralement opposés.

Un téléfilm familial CBS qui a le mérite d'avoir un pitch de départ qui change un peu des productions désormais établie comme "spéciales Noël" ; ça reste très gentillet et anecdotique, et ça repose fortement sur les bonnes bouilles des gamins et sur les bons sentiments : autrement dit, c'est tout aussi vite oublié que c'est regardé.

Sans compter que Roma Downey, en blonde et après ses premières injections de botox, n'est pas à son avantage...

2.5/6

La Grève de Noël (On Strike For Christmas - 2010) :

Une mère de famille décide de faire grève à Noël, pour donner une leçon à son mari et ses enfants ados, trop occupés pour l'aider à gérer la boutique familiale, et à organiser les fêtes et les réceptions que chacun veut tenir au domicile familial....

Un téléfilm Lifetime pas réussi du tout, malgré Daphne Zuniga et David Sutcliffe à la distribution : le récit est mollasson, les rebondissements quelconques, et l'on ne croit jamais vraiment à cette famille peu attachante constituée d'incapables. Dommage, parce que le message de base est relativement pertinent.

1.25/6

Christmas Angel (2012) :

Une fillette découvre bien vite, après avoir formulé un voeu devant une maison abandonnée, que la vieille dame y vivant a choisi de les exaucer en secret pour Noël...

Un téléfilm GMC/Up Tv (comprendre : un téléfilm fortement teinté de valeurs chrétiennes et de religion) qui se regarde sans effort, principalement grâce à sa distribution (Teri Polo, Kevin Sorbo, la gamine de Help For The Holidays...). Ça ne prêche pas trop, ça n'est pas trop mielleux, bref, ça aurait pu être pire. Cela dit, c'est loin d'être über-mémorable.

3/6

Christmas Lodge (2011) :

Une jeune femme (Erin Karpluk) retourne au chalet forestier où elle a passé les Noëls de son enfance, mais elle s'aperçoit rapidement que celui-ci est en piteux état, et qu'elle doit absolument aider le séduisant propriétaire (Michael Shanks) et sa fille (Michelle Creber) à la remettre en état.

Un téléfilm Hallmark inspiré (il me semble) d'un tableau de Thomas Kinkade, et qui se regarde tranquillement, principalement parce que la distribution est assez sympathique (Erin Karpluk, Michael Shanks, et Michelle Creber en tête).

Pas vraiment très mémorable ou particulièrement bien écrit/rythmé, le film souffre surtout d'un problème (qui est de taille) : un courant religieux sous-jacent (quoique, ils le disent plusieurs fois ouvertement dans les dialogues, donc ce n'est même pas vraiment sous-jacent, c'est assumé) qui multiplie les références à Dieu, à la prière, au destin, blablabla...

En soi, pourquoi pas, mais ce n'est pas du tout amené de manière finaude ou pertinente, et ça ressemble plus à de la prêche typiquement américaine qu'à autre chose, accompagnée d'une bonne dose de mélodrame larmoyant. Et comme en plus les intérieurs font un peu trop studio...

2.25/6 

Un Noël Recomposé (Our First Christmas - 2008) :

Une famille recomposée peine à concilier les traditions de Noël de chacune des branches du clan, ce qui amène les enfants à passer un pacte pour ne rien changer...

Encore un téléfilm Hallmark situé en Californie, mais avec une ambiance festive nettement plus prononcée que les autres téléfilms du genre.

Seul problème : l'écriture ampoulée et maladroite, qui enlève toute sincérité au téléfilm. Que les acteurs soient plus ou moins bons, en fonction de leur âge, que ce soit Dixie Carter, Julie Warner ou les adolescentes, tout le monde sonne régulièrement faux et peu naturel, ce qui est tout de même problématique.

D'autant plus problématique qu'à part ça, le récit a vraiment bon fond, et se regarde sans difficulté. Si seulement la production avait eu la main plus légère à tous les niveaux...

2.5/6 

Le Noël des petites terreurs (The Three Gifts - 2009) :

Incapable de concevoir un enfant, un couple d'artisans accueille trois orphelins dissipés pendant les fêtes de Noël, le temps que leur établissement d'accueil soit rénové...

Un téléfilm Hallmark qui prend place sur un ranch californien, donc au niveau festif, c'est assez médiocre. Après, les gamins sont convaincants, Dean Cain aussi, son épouse un peu moins... mais le tout, de manière globale, est assez peu engageant ou mémorable, sans même mentionner prévisible.

1.75/6

L'Expérience de Noël (Three Day Christmas - 2012) :

Totalement déconnecté du reste de ses proches, un père de famille comptable décide de se cloîtrer avec son épouse et ses enfants pendant trois jours, afin de redécouvrir ensemble le véritable sens de Noël...

Ouhlà la jolie daube... un téléfilm Up TV (comprendre : fauché et penchant fortement vers une certaine droite traditionnaliste) écrit, réalisé et interprété par Corbin Bernsen, qui sacrifie totalement sa distribution assez sympathique sur l'autel de personnages insupportables de connerie.

Entre le père, un connard égocentrique fini, la mère laxiste, la fillette qui regarde 24h/24 des chaînes religieuses (histoire d'avoir un message de prêche religieuse quasi-constant dans le film), l'ado rebelle qui sort avec un mec tatoué (ah, mon dieu, quel scandale !), et le garçonnet qui revend des divx à l'école (l'occasion d'une jolie tirade contre le téléchargement illégal), tous les personnages méritent plus ou moins des baffes... sans même parler du concept même du film, un exercice de survie de trois jours, particulièrement con et typiquement américain : le film dégouline le républicanisme par tous les pores, et pour couronner le tout, après la première heure, il vire au Home Alone-bis forcé, avec l'oncle survivaliste et sa famille en guise de maychants à piéger.

Le pire, je crois, c'est que techniquement, le tout se regarde sans grande difficulté : avec un scénario moins orienté et plus fin, ça serait probablement beaucoup mieux passé.

1/6

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Christmas Yulefest 2013 - 39 - Les Toiles de Noël (2008), Mandie & The Forgotten Christmas (2011), Miracle sur la 34ème Rue (1994), Le Terminal (2004), Sacré Noël : Drôle de Chorale (2012) & The Fitzgerald Family Christmas (2012)

Publié le 4 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Drame, Romance, Comédie, Biographie, Jeunesse, ION, Religion, UK, Musique

La Nouvelle Année est là, et comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël...

Les Toiles de Noël (Christmas Cottage) :

Dans les années 70, la jeunesse de feu le célèbre peintre Thomas Kinkade, et comment il a trouvé l'inspiration qui a fait démarrer sa carrière...

Au premier abord, je m'attendais à un drame biographique romancé, avec beaucoup de bons sentiments, de larmes, et d'émotions forcées... au final, l'émotion et les bons sentiments sont là, mais le tout se prend agréablement peu au sérieux, avec de l'humour assez réminiscent de celui de A Christmas Story.

Un film assez réussi, et à la distribution très éclectique et convaincante, de Peter O'Toole à Jared Padelecki, en passant par Richard Burgi et de nombreux autres.

4/6

Mandie & The Forgotten Christmas :

Alors que les fêtes de Noel approchent à grands pas, la jeune Mandie peine à s'habituer aux règlements et aux us et coutumes du pensionnat de jeunes filles où elle vit désormais... d'autant qu'en parallèle, elle découvre, dans le grenier de l'établissement, une présence étrange et un secret des plus fascinants.

Un téléfilm ION/direct-to-dvd adapté d'une série de romans américains pour enfants, du genre de La Bibliothèque Rose, avec un penchant chrétien bien-pensant assez prononcé en prime ; pas de gros budget pour ce métrage assez anecdotique, mais une distribution crédible et efficace.

Ça ne laissera pas un souvenir impérissable, mais je suppose que si l'on fait partie de la cible démographique des romans, le résultat doit probablement être assez satisfaisant.

3/6 

Miracle sur la 34ème Rue (Miracle On 34th Street - 1994) :

Un vieillard sympathique devient le Père Noël d'un grand magasin new-yorkais, et s'avère plus doué que le vrai Santa Claus...

Une production John Hughes (par ailleurs au scénario de ce remake), avec Richard Attenborough impeccable en Santa Claus, et pour l'accompagner une distribution plutôt convaincante, là aussi, dans un environnement un peu hors du temps, jamais totalement 90s, jamais totalement rétro.

La musique de Bruce Broughton est réussie, et le tout, s'il n'est probablement pas à la hauteur de l'original, et aurait bénéficié de dix minutes en moins, ainsi que d'une réalisation plus subtile, reste finalement assez sympathique.

4.25/6

The Terminal :

Son pays dissout par une guerre civile, Viktor Navorski est contraint de passer ses jours à l'aéroport de New York, en attendant d'être accepté par les USA, ou d'être expulsé. Seul parmi le personnel de l'aéroport, Viktor tente de recostruire son quotidien.

Pas vraiment un film de Noël, mais un métrage de Steven Spielberg qui respire l'humanisme à la Capra, avec en sus un léger courant satirique et un point de vue plus désenchanté sur l'Amérique. Efficace, plaisant, et simplement excellent.

4.75/6  

Sacré Noël : Drôle de Chorale (Nativity 2 : Danger In The Manger !) :

Un nouvel instituteur arrive à St Bernadette's, et prend en charge les enfants turbulents de l'école, pour les faire participer à un concours de chant national, durant lequel il affrontera la chorale de son frère jumeau maléfique rival.

David Tennant (et son accent écossais à couper au couteau) reprend la suite de Martin Freeman dans cette comédie britannique grandement improvisée au cours du tournage.

Le premier était sympatoche, sans plus, et avait certains défauts évidents, se reposant beaucoup sur la bonne bouille des gamins et le capital-sympathie de Freeman ; le second est exactement dans la même lignée, et ne vole pas vraiment plus haut.

Pire, le gimmick des frères jumeaux, s'il repose sur la prestation convaincante de Tennant, donne lieu à des facilités agaçantes, et Marc Wootton est beaucoup beaucoup trop envahissant et épuisant.

Alors déjà que le film est assez mal rythmé (tout le dernier tiers et assez laborieux, malgré Jessica Hynes), très prévisible et souvent frénétique, ça n'aide pas vraiment.

3/6

The Fitzgerald Family Christmas :

Le patriarche de la famille Fitzgerald refait surface, et décide de passer un Noël avec ses enfants, pour la première fois depuis 20 ans...

Edward Burns à la réalisation, l'écriture et l'interprétation de cette dramédie familiale bien exécutée, mais assez banale dans son genre, et qui bénéficie cependant de la présence lumineuse de Connie Britton.

Cela dit, le tout reste très convenu et prévisible, avec des rebondissements faciles parfois dignes d'un téléfilm Lifetime.

3/6

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Christmas Yulefest 2013 - 38 - Le Père Noël est Licencié ! (2013), L'Avocat du Père Noël (2011), Sauvez le Père Noël ! (2010), Un Noël en Famille (2002), Must Be Santa (1999) & Ce Noël qui a changé ma vie (2012)

Publié le 3 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Lifetime, Télévision, Hallmark, PaxTV, Canada, CBC, Jeunesse, Fantastique

La Nouvelle Année est là, et comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël...

Le Père Noël est licencié ! (Christmas In The City) :

Une jeune mère célibataire commerçante au bord de la faillite passe les fêtes de fin d'année en ville, à travailler au rayon jouet d'un Centre Commercial en difficulté financière ; là, elle trouve l'amour, Santa, et une rivale qui tente de changer radicalement le magasin...

Un téléfilm Lifetime pas particulièrement intéressant, malgré le sourire lumineux de la toujours radieuse Ashley Williams. La faute à un récit assez balisé, à des personnages peu développés, à des passages chantés inutiles, et à une interprétation très inégale : si les leads s'en sortent très bien, Ashanti est un peu trop robotique dans son interprétation, et la petite fille, si elle est adorable, n'est guère meilleure. Reste un motif musical rigolo pour Ashanti (la "casse-couilles-noisettes"), et un garde-du-corps amusant, qui vole presque la vedette aux acteurs plus importants.  2.5/6

EDIT de 12/2015 : Après un revisionnage, cette année, j'ai envie de remonter un peu la note de ce film. Oui, c'est assez balisé, parfois un peu laborieux ; Ashanti n'apporte pas grand chose à son personnage de biatch ; la meilleure copine-caution ethnique est un personnage-fonction s'il en est ; et la petite fille est assez faiblarde ; mais l'énergie d'Ashley Williams  parvient tout de même à garder le tout à flot, et les petites touches apportées par Bruno le garde-du-corps sont assez appréciables. Sans oublier ce Père Noël de grand magasin (depuis devenu un cliché incontournable des films Hallmark) qui s'avère être vraiment magique, etc... Allez, comme c'est nettement mieux passé que la première fois, et que ça parvient presque à faire oublier que tout se déroule au soleil de Los Angeles, zou, je remonte le tout à 3/6.

L'Avocat du Père Noël (The Case For Christmas) :

Un père célibataire avocat est engagé par Santa Claus pour se défendre contre un riche industriel dans un procès mettant en jeu l'existence même de Noël...

Un bon gros WTF pour ce téléfilm Hallmark qui semble à mi-chemin entre un film absurde pour enfants (avec des décors un peu cheaps, des costumes risibles, et des lutins agaçants), une comédie romantique basique et sérieuse (entre Dean Cain et Rachel Blanchard), un Miracle on 34th Street du pauvre, et une expérience de pensée dans le domaine de la justice, façon "et si un avocat devait défendre Santa face à quelqu'un l'accusant d'avoir ruiné son enfance, que ferait-il ?".

Au final, aucun de ces aspects ne fonctionne réellement, et le téléfilm tombe malheureusement fortement à plat, malgré les efforts de tous les acteurs.

2/6 (pour l'ambition)

Sauvez le Père Noël ! (The Santa Incident) :

Abattu par un jet de l'armée, Santa s'écrase dans une petite ville, où il est recueilli par deux enfants ; en parallèle, des agents du gouvernement tentent de le retrouver...

Un téléfilm Hallmark assez peu festif, dont l'intérêt principal est Greg Germann en agent incapable de la Homeland Security, et James Cosmo en Santa.

La fillette est assez attachante, elle aussi, et l'autre enfant est convaincant. À part ça, bof, et le doublage des elfes est agaçant.

1.75/6

Un Noël en Famille (Mary Christmas) :

Un businessman fortuné et sa fillette reçoivent la visite, à Noël, d'une journaliste californienne voulant faire d'eux un sujet manipulateur sur les foyers monoparentaux pendant les fêtes...

Un téléfilm Pax Tv cousu de fil blanc, et qui aurait presque pu prendre place à n'importe quelle période de l'année. Les acteurs ne sont pas mauvais, loin de là, mais le tout est sans grand intérêt, à vrai dire, et avec un retournement final improbable & capillotracté.

1.5/6 

Must Be Santa :

Un jeune afro-américain se retrouve, un peu sans prévenir, promu au poste de Santa Claus après que le précédent Père Noël, gâteux, ait connu une fin inattendue et brutale...

Un téléfilm canadien de 1999, diffusé sur CBC, et assez décalé. Malheureusement, le tout est assez mal écrit et décousu, et pas très intéressant, malgré une Deanna Milligan adorable, comme d'habitude.

1.5/6 

Ce Noël qui a changé ma vie (It's Christmas, Carol !) :

Une businesswoman froide et carriériste reçoit la visite du fantôme de son ancienne patronne, qui lui explique qu'en lieu et place des trois fantômes de Noël, c'est elle qui va s'occuper seule du cas de son ex-subordonnée...

Encore une relecture (explicite) du Christmas Carol de Dickens, avec Emmanuelle Vaugier en Scrooge, Carrie Fisher en Jacob Marley, et un des Queer Eye... dans le rôle de l'un des employés de Scrooge.

Pas particulièrement inspiré, ce téléfilm Hallmark repose intégralement sur la bonne humeur de Carrie Fisher, et déroule ses clichés habituels sans grand intérêt, ou sans y apporter la moindre originalité. Meh.

1.75/6

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Christmas Yulefest 2013 - 37 - Un Amour de Noël (2004), Un Amour de Noël II (2005), Un Orage de Printemps (2009), Un Noël à New York (2005), Des Fantômes pour Noël (2004) & Un Noël Trop Cool (2004)

Publié le 2 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Hallmark, Lifetime

La Nouvelle Année est là, et comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël...

Un Amour de Noël (Single Santa Seeks Mrs. Claus) :

Pour prendre la succession de son père, le fils de Santa Claus doit trouver une femme au plus vite, et son choix se porte sur une mère célibataire businesswoman surbookée...

Un téléfilm Hallmark assez paradoxal, car typiquement le genre d'histoire qui mettrait habituellement en scène un jeune homme de 25 ans dans le rôle du fils de Santa. Sauf que là, non seulement Steve Guttenberg est un quadragénaire avancé, mais en plus il amène avec lui toute une aura d'acteur sarcastique et moqueur, qui fait que le récit est particulièrement difficile à prendre au sérieux.

Sans même mentionner, par moments, assez bizarre lorsque Guttenberg s'adresse aux enfants avec une voix sucrée, un rire forcé, et un sourire dont la sincérité n'est jamais évidente... on se demande par moments si c'est Santa, ou bien un personnage aux desseins plus discutables.

Après, au niveau de la comédie romantique, c'est balisé, convenu, terne, illustré par une musique fauchée, et Guttenberg n'a pas grande alchimie avec Crystal Bernard, par ailleurs affublée d'une perruque assez moche. Bref, le tout ressemble à un téléfilm raté des années 80 plutôt qu'à un téléfilm de 2004 repompant The Santa Clause 2, et hormis Armin Shimerman sous-utilisé en majordome, ça ne vaut pas grand chose.

2/6

Un Amour de Noël II (Meet The Santas) :

On prend les mêmes, et on recommence, avec cette fois-ci les préparatifs de mariage de Santa et de sa fiancée, à Noël.

La suite du téléfilm Hallmark précédent, tournée un an plus tard, et repompant gentiment Meet The Fockers, sorti en 2004. Nettement plus insipide et insupportable que le premier volet ; je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout, et j'ai abandonné un peu après avoir passé la première moitié du métrage. Sans regrets.

1/6

Un Orage de Printemps (The National Tree) :

Un père et son fils traversent les USA au volant d'un camion transportant l'un de leurs sapins de Noël, choisi pour être planté devant la Maison Blanche...

Un téléfilm Hallmark gentillet avec Kari Matchett et Andrew McCarthy, qui met de côté la comédie romantique sirupeuse de rigueur dans les films de ce genre, pour se contenter d'adapter en 85 minutes une histoire de roadtrip honnête et sincère, malgré quelques péripéties un peu too much (l'incendie, avec les stock shots de feux de forêt, c'est assez moyen).

3/6 

Un Noël à New York (Silver Bells - 2005) : 

Un ado rebelle las de la ferme de sapins de son père veuf décide de fuguer jusqu'à New-York, pour y faire des études et mener une nouvelle vie... là, il reçoit l'assistance d'une employée de musée veuve, qui va bientôt faire la connaissance du père furieux et inquiet.

Un téléfilm Hallmark avec Anne Heche et Tate Donovan, assez longuet, bourré de pathos épuisant, et fortement déséquilibré en faveur du drame, ce qui le rend tout simplement très peu intéressant.

1.5/6

Des Fantômes pour Noël (Karroll's Christmas) :

Traumatisé après avoir été plaqué par sa petite amie à Noël, des années plus tôt, Allen Karroll, concepteur de cartes de voeux pour un patron ronchon, passe des fêtes de Noël misérables... mais il reçoit bientôt la visite de Jacob Marley (un parent de Bob), et de trois fantômes... qui se sont tous trompés d'adresse.

Relecture comique et pas très politiquement correcte du Christmas Carol de Dickens, diffusée en 2004 sur la chaîne A&E (puis sur Hallmark), avec Tom Everett Scott, Verne Troyer, et Alanna Ubach, entre autres.

Amusant et rythmé, malgré des personnages aux réactions toutes plus improbables et caricaturales les unes que les autres, et un synthé joliment foireux en guise de musique pour l'orchestre en représentation. 

3.75/6 

Un Noël Trop Cool (A Very Cool Christmas) :

Une ado égoïste et fashion victim refuse de passer les fêtes de Noël en famille... jusqu'à ce qu'elle croise le chemin d'un Santa miteux, qui a perdu son mojo : c'est l'heure d'un relooking radical, pour moderniser le Père Noël !

Un téléfilm sympathique comme tout, qui existe en deux versions, une ("Too Cool For Christmas") avec un couple gay dans le rôle des parents de l'adolescente, et l'autre ("A Very Cool Christmas") avec un couple hétéro ; c'est cette dernière version qui a été diffusée sur Lifetime, forcément.

Et donc, une bonne surprise, qui se transforme rapidement en buddy comedy, avec son Père Noël distingué, et son adolescente tout droit sortie de Clueless, qui forment un duo très convaincant (et amusant). Seul vrai bémol, l'intrigue secondaire à base de garde de sécurité psychotique, beaucoup trop caricaturale et outrée. Néanmoins, le tout reste très attachant, et peu politiquement correct.

4/6

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Christmas Yulefest 2013 - 36 - A Holiday Heist (2011), A Christmas Carol : The Musical (2004), Un Père Noël au grand coeur (2003), Autant en Emporte Noël (2013), Un Rêve de Noël (2007) & Petit Papa Voleur (2003)

Publié le 1 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, ION, Hallmark, Musique, NBC, Lifetime, Fantastique, USA Network

La Nouvelle Année est là, et comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël...

A Holiday Heist :

Un groupe d'étudiants ne partant pas en Christmas Break se retrouvent embarqué dans le cambriolage d'une gallerie d'art proche du campus...

Un téléfilm ION TV qui tente d'être un mélange entre Home Alone et The Breakfast Club et qui échoue lamentablement, la faute à une écriture particulièrement amateure et peu inspirée, à une interprétation en mode cabotinage, et à une distribution secondaire principalement médiocre et anecdotique. Même Lacey Chabert et Vivica E Fox ne sauvent pas le tout.

1.25/6

A Christmas Carol - The Musical :

Scrooge, ses trois fantômes, Tiny Tim, etc... mais en musique !

Un téléfilm musical Hallmark, avec pas mal de visages familiers du petit écran dans les rôles principaux (Kelsey Grammer, Jane Krakowski, Jason Alexander, Jennifer Love-Hewitt) et Alan Menken à la musique, pour une adaptation télévisée de la version chantée de Broadway. Et ça se sent particulièrement, puisque tout dans la réalisation, la mise en scène, les chorégraphies ou l'interprétation sonne Broadway.

Autant dire que tout cela est assez peu télégénique, fait très "théâtre filmé" au rabais, et est au final assez peu mémorable. Cela dit, le budget est là, et si l'on fait abstraction de la distribution assez inégale, ça se regarde tranquillement, notamment parce qu'Alan Menken sait y faire en matière de chansons.

3/6

Un Père Noël au grand coeur (Secret Santa) :

Une journaliste fraîchement célibataire accepte de couvrir la tradition annuelle d'une petite ville où sévit tous les ans un mystérieux bienfaiteur anonyme...

Un téléfilm NBC du début des années 2000 avec une Jennie Garth alors à peine trentenaire ; un peu terne et pas forcément très passionnant, d'autant que Garth se contente de passer (avec un charme certain) d'un habitant de la ville à un autre en leur posant des questions, alors que l'identité du Secret Santa est assez facilement devinable... et c'est à peu près tout. 

2.5/6

Autant en Emporte Noël (Christmas On The Bayou) :

Une businesswoman divorcée retourne passer les fêtes de fin d'année avec sa famille, dans le Sud profond de Louisiane, où elle reprend goût à la vie, à l'amour, et à la magie de Noël...

Moui... le problème avec ces téléfilms Lifetime qui ont tous le même concept de base décliné à l'infini, c'est qu'il faut que ça se démarque suffisamment des autres téléfilms du même genre pour captiver un minimum le spectateur.

Et là, souci : j'ai toujours eu énormément de difficultés avec l'ambiance "Sud Profond des USA". Il fait chaud, c'est lent, c'est languissant, tout le monde parle avec un accent traînant, c'est mou... et voilà. Je me suis endormi au bout de 45 minutes. Donc je passe la main.

ZzzzZzZzz/6

Un Rêve de Noël (Holiday Switch) :

Une mère de famille débordée et sans le sou croise le chemin de son ex, riche et charismatique, et, après un choc sur la tête, elle se réveille dans une réalié parallèle, où elle est mariée avec ce dernier.

Pas grand chose de mémorable au programme de ce téléfilm Lifetime : l'histoire est assez téléphonée, l'interprétation inégale, et la musique plagie ponctuellement Home Alone de John Williams. À part ça... encéphalogramme plat.

2/6

Petit Papa Voleur (Stealing Christmas) :

Réfugié dans une petite ville avec pour seul vêtement un costume de Santa Claus, un voleur prévoit de dévaliser une banque, mais l'influence d'une veuve et de sa fille adolescente le font progressivement changer d'avis...

Un téléfilm de 2003, diffusé sur USA Network, et mettant en scène Tony Danza, Lea Thompson et Betty White dans un petit rôle ; tout à fait honorable, principalement parce que Danza possède un capital-sympathie notable, et que l'écriture n'est pas trop maladroite. La fin tombe un peu à plat, cependant.

3.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 35 - Un Rêve Éveillé (2013), Noël au bout des doigts (2013), Mon Père Noël Secret (2013), Guess Who's Coming To Christmas (2013), L'Arbre des Voeux (2010) & Un Mariage en Cadeau (2011)

Publié le 31 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, Hallmark, ABC Family, Lifetime, UpTV

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Rêve Éveillé (Holidaze) :

Une businesswoman occupée retourne dans sa ville natale pour les fêtes de fin d'année, afin de tenter de convaincre les habitants d'approuver l'installation d'une chaîne de supermarchés... jusqu'à ce qu'un coup sur la tête la propulse dans un univers parallèle où elle est mariée, heureuse, et n'a jamais quitté la ville où elle a grandi.

Un téléfilm ABC Family balisé au possible, et agrémenté d'une illustration musicale pop assez agaçante, mais qui fonctionne néanmoins tranquillement, grâce au capital-sympathie de Jennie Garth.

3.5/6 

Noël au bout des doigts (Santa Switch) :

Un agent de voyages au chômage et divorcé se trouve à prendre la place de Santa Claus pendant les fêtes de Noël, et décide d'utiliser ses nouveaux pouvoirs magiques pour reconquérir son ex-femme et sa famille...

Distribution sympathique (Sean Astin, Anne Dudek) pour ce téléfilm Hallmark qui marche directement dans les traces de The Santa Clause. Malheureusement, l'acteur principal un peu terne et quelconque empêche le récit de vraiment décoller, et le spectateur de vraiment s'attacher aux personnages et à leur destinée. Dommage.

2.75/6 

Mon Père Noël Secret (Dear Secret Santa) :

Une businesswoman célibataire retourne s'installer chez son père malade pour passer les fêtes de fin d'année ; là, elle reçoit des lettres anonymes, qui semblent toutes provenir de son ancien voisin et amour d'enfance, décédé trois ans plus tôt...

Un téléfilm Lifetime à  l'intrigue de paradoxe temporel assez familière et entendue, mais qui évite l'ennui grâce à sa distribution (Tatyana Ali en tête), à un ton assez léger, et à une optique assez progressiste (couples mixtes, couples gays, etc...). Rien de révolutionnaire, mais ça se regarde.

3/6

Guess Who's Coming to Christmas :

Suite à un concours, une rockstar en panne d'inspiration passe les fêtes de fin d'année au sein d'une famille gentiment excentrique, rurale et religieuse, qui lui redonne goût à Noël, à la musique et aux vraies valeurs véritables de la vie réelle et véridique...

Un téléfilm Up particulièrement bancal, structuré autour de cartons-titres inutiles qui ressurgissent ça et là, d'un message particulièrement bien-pensant, et de personnages tout aussi ternes que les acteurs qui les interprètent. En soi, ce n'est même pas forcément mauvais, mais c'est particulièrement soporifique.

1.5/6

L'Arbre des Voeux (Farewell Mr. Kringle) :

Une journaliste veuve et ronchonne part dans une petite ville pour enquêter sur le Père Noël local, un vieillard qui a choisi d'endosser l'habit du véritable Santa Claus... et à sa grande surprise, elle retrouve, dans cette bourgade, goût à la vie et à l'amour.

Téléfilm Hallmark basique, conventionnel, et pas très intéressant, notamment parce que Christine Taylor est une actrice principale assez quelconque et transparente. William Morgan Sheppard est excellent, cela dit.

1.5/6

Un Mariage en Cadeau (A Christmas Wedding Tail) :

Les efforts de deux chiens épris l'un de l'autre pour unir leurs maîtres respectifs, respectivement veuf et veuve, par les liens sacrés du mariage...

Une comédie romantique californienne made in Hallmark, avec Jennie Garth, Tom Arnold (parfaitement inutile), et deux chiens doublés par Jay Mohr et Nikki Cox. "Noël" n'est ici qu'un prétexte, rendu d'autant plus évident que le tout a clairement été filmé en été, et si le métrage fonctionne par moments grâce aux acteurs (qui font de leur mieux) et aux deux familles principales, ça reste affreusement balisé et mollasson, dans le genre "faisons une heure sur les préparatifs improbables du mariage plutôt que de raconter une histoire prenante, ça ne se remarquera pas". Meh.

2.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 34 - Un Jour Sans Fin (1993), Gremlins (1984), Nothing Like The Holidays (2007), Angels Sing (2013), Nicolas Noël (2012) & Mission Père Noël (2013)

Publié le 30 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Comédie, Romance, Jeunesse, Fantastique, Canada

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Jour Sans Fin (Groundhog Day) :

Bill Murray, Andie McDowell, une marmotte, et une boucle temporelle.

Pas grand chose de plus à dire : c'est un classique, et c'est excellent. Point final à la ligne.

5.5/6

Gremlins :

On ne présente plus Gizmo, le Mogwai, qui ruine malgré lui, à Noël, la vie des jeunes BIlly et Kate...

Un classique indémodable de Joe Dante, à mi-chemin entre l'horreur et la comédie grand public (ah, la grande époque Amblin, nostalgie...) avec une musique mémorable de Jerry Goldsmith, et des effets visuels qui tiennent aujourd'hui toujours la route.

5/6

Nothing Like The Holidays :

Le portrait d'une famille de latinos réunis à l'occasion des fêtes de Noël, alors que les parents de la famille annoncent leur divorce imminent.

Rien de vraiment mémorable dans cette comédie dramatique festive assez classique, et parfois même un peu fatigante.

2/6 

Angels Sing :

Un homme, traumatisé par le décès de son frère durant son enfance, réapprend à apprécier les fêtes de Noël en compagnie de sa famille, lorsqu'un bon samaritain lui vend une maison à prix coûtant... 

Une sorte de Christmas With The Kranks-bis (le ronchon qui déteste Noël, et qui débarque dans un voisinage où Noël est une profession de foi, avec des voisins qui tentent de l'amener à décorer, etc), mais en clairement plus maîtrisé, subtil, et tout simplement réussi. Bon, ça ne dépasse pas son postulat de départ, et ça finit par ressembler plus à un enchaînement de morceaux musicaux de stars de la country et du folk (forcément, on est dans le Sud), mais la distribution est réussie, attachante, et l'idée de choisir Willie Nelson pour interpréter un ange/Père Noël bienfaisant est excellente.

3/6

Nicolas Noël - Mon Histoire Magique :

Accompagné de son fidèle lutin Grésille, Nicolas Noël crée le personnage du Père Noël pour apporter joie et bonheur aux enfants du monde...

Une comédie musicale canadienne (apparemment un spin-off d'un autre moyen-métrage narrant l'aventure de Noël d'Arthur l'Aventurier) qui raconte la vie et les aventures du Père Noël.

Pas forcément désagréable (l'acteur qui joue Santa est assez crédible), mais à réserver néanmoins aux plus-petits, tant parce que ça s'adresse directement à eux, que parce que les chansons sont particulièrement... enfantines et naïves, en plus d'être fréquentes.

1.5/6

Mission Père Noël (A Country Christmas, aka The Great Santa Rescue) :

Alors que le maychant gouvernement tente d'éradiquer la croyance en Santa Claus, deux enfants tentent d'aider le Père Noël et son elfe, privés de pouvoirs et cachés dans leur grange, à reconquérir le coeur des Américains, et à sauver Noël...

Une comédie familiale de Noël assez classique, très country (comme son nom l'indique), avec des visages familiers de cette scène musicale, ainsi que Joey Laurel Adams, Kevin Pollak, et Abraham Benrubi en Père Noël.

Ça se regarde tranquillement (même si ça tombe parfois un peu dans le pathos) principalement parce que ça a bon fond, et que la jeune actrice (Caitlin Carmichael) est franchement adorable et attachante.

3.5/6

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Christmas Yulefest 2013 - 33 - Mon Père Noël Bien Aimé (2012), Rendez-vous à Noël (2012), Le Père Noël prend sa retraite (2013), L'Invité de Noël (2008), Boule de Neige/Le Noël Rêvé d'Angela (2007) & Le Noël Rêvé de Megan (2013)

Publié le 29 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, Hallmark, Lifetime, ION, ABC Family

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Mon Père Noël Bien Aimé (Matchmaker Santa) :

Une pâtissière va passer les fêtes de fin d'année dans le chalet familial de son fiancé, un riche entrepreneur, mais, grâce à l'intervention providentielle du Père Noël, elle finit par se rapprocher de l'assistant de celui-ci...

J'ai de la sympathie pour Lacey Chabert, mais honnêtement, elle ne fait quasiment aucune impression sur le télespectateur dans ce téléfilm Hallmark hautement oubliable, qui coche presque toutes les cases de la rom-com télévisée quelconque. La musique est envahissante, l'histoire basique, et hormis les rôles secondaires amusants, le reste s'oublie instantanément. Pas mauvais, mais particulièrement transparent.

2.5/6

Rendez-vous à Noël (Love At The Christmas Table) :

L'amitié et la relation de deux amis d'enfance qui ont l'habitude de passer Noël ensemble, et qui découvrent, progressivement, qu'ils ont des sentiments l'un pour l'autre...

Une production Asylum pour Lifetime, et une très bonne surprise, puisque cette comédie romantique pleine de fantaisie et de légèreté s'avère être charmante et dynamique, avec une distribution impeccable, des leads qui ont une jolie alchimie, des rebondissements, et une citation de Conan le Barbare en prime. Très agréable.

4.25/6 

Le Père Noël prend sa retraite (My Santa) :

Une mère célibataire tombe amoureuse du Santa du centre commercial, un jeune Santa qui s'avère être le fils du véritable Père Noël...

Un téléfilm ION TV particulièrement mauvais sur tous les plans : enchaînement de clichés et de dialogues en carton, écriture pataude, interprétation médiocre et surjouée de tout le monde (de la lead aux seconds rôles, en passant par tous les figurants), réalisation à l'identique, direction d'acteurs inexistante... bref, ION TV continue de prouver qu'elle est le discount des chaînes de tv à Noël, avec une incapacité chronique à développer autre chose qu'un projet médiocre et fauché.

1/6

L'Invité de Noël (The Most Wonderful Time Of The Year) :

Une businesswoman mère célibataire dépassée par les fêtes de fin d'année retrouve goût à Noël lorsque son oncle Ralph débarque à la maison en compagnie d'un jeune chef séduisant rencontré à l'aéroport...

Léger facepalm devant ce globe-trotter séduisant, charismatique, doux, attentionné, talentueux, etc... qui se remet en question parce qu'à 30 ans il ne s'est pas encore posé et n'a pas de famille... mais heureusement, le reste de ce téléfilm Hallmark s'avère une surprise agréable, qui ne se prend pas trop au sérieux, et avec une distribution principale qui fonctionne très bien ensemble. Au final, rien d'exceptionnel ou de particulièrement excellent, mais un film qui se regarde tranquillement néanmoins, et est même assez sympathique.

3.5/6

Le Noël Rêvé d'Angela/Boule de Neige (Snowglobe) :

Une jeune bouchère-charcutière italo-cubaine à la famille envahissante reçoit une boule à neige mystérieuse et, chaque nuit, se retrouve plongée dans le monde parfait et enneigé de la boule, où elle trouve l'amour et la magie de Noël qui lui manquait...

Je... hum. J'aime bien l'actrice principale, Christina Milian. À vrai dire, j'aime bien toute la distribution, composée d'acteurs et d'actrices sympathiques (Milian, Karpluk, Cooke, Keeslar, Willes), et au vu du pitch original, je m'attendais à apprécier ce téléfilm ABC Family... mais dès le premier quart d'heure, on comprend rapidement que ça ne va pas être possible. On a le choix entre des scènes familiales insupportables dans le monde réel, et un monde imaginaire toc, volontairement très Stepford Wives, où les personnages ne sont qu'archétypes en carton. Le tout, saupoudré d'une romance assez cousue de fil blanc avec Josh Cooke, en parallèle des scènes familiales du monde réel. Autant dire qu'on passe de Charybde en Scylla, avec des scènes sans réel poids, une héroïne indécise et peu passionnante, et un récit patchwork assez mal structuré. Dommage.

2/6 pour la distribution.

Le Noël Rêvé de Megan (A Snow Globe Christmas) :

Une scénariste-productrice de tv débordée, sarcastique et cynique de téléfilms sirupeux et romantiques de Noël se réveille, après un choc à la tête, mariée, mère de deux enfants, dans un petit village idyllique et couvert de neige, semblable à celui contenu dans la boule à neige qu'elle tenait lors de l'accident...

Zéro originalité dans ce téléfilm Asylum produit pour Lifetime : on pense à It's A Wonderful Life, à The Family Man, et à d'innombrables autres téléfilms festifs de la tv américaine... en tête desquels le Snowglobe de Christina Milian. Une Christina Milian qui, coïncidence (?), apparaît ici aussi, dans le rôle d'un ange gardien malicieux.

Bref, ce n'est pas dans le scénario qu'il faut chercher quoi que ce soit ; d'ailleurs, à vrai dire, tout ce téléfilm semble resté au stade du premier jet : premier jet de scénario, avec un script au rythme hésitant et saccadé, et des personnages à l'épaisseur d'un papier à cigarettes, mais aussi premier jet de réalisation et de direction d'acteurs, avec une distribution qui surjoue légèrement pendant tout le métrage, et des réactions qui auraient mérité une deuxième prise plus subtile.

Et pourtant, le tout parvient à être dynamique, et même par moments assez amusant à regarder : principalement grâce à l'abattage d'Alicia Witt (en mode sarcastique méta) et de Donald Faison, qui forment un couple mixte (premier bon point) à la répartie amusante, et aux échanges assez crédibles et réjouissants (que des bons points !). Ça ne fait pas de ce téléfilm un chef d'oeuvre, mais en l'état, c'est assez regardable.

3.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 32 - Sous le Charme du Père Noël (2011), Une Seconde Chance pour Noël (2012), Noël Sans Cadeaux (2010), À la Recherche de l'Esprit de Noël (2013) & La Magie de Noël (2013)

Publié le 28 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Fantastique, Romance, ABC Family, ION, Drame, Hallmark

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Sous le Charme du Père Noël (Desperately Seeking Santa) :

Une jolie responsable des relations publiques d'un centre commercial décide de rafraîchir l'image de marque de l'établissement en organisant un concours pour élire un Santa Claus sexy... dont elle tombe amoureuse.

Une Laura Vandervoort pas très motivée dans un téléfilm ABC Family totalement orienté à destination d'un public gay/féminin... Par conséquent, je ne suis pas du tout le public ciblé, et je me suis ennuyé comme un rat mort de bout en bout.

1/6 

Une Seconde Chance pour Noël (A Christmas Wedding Date) :

Une jeune businesswoman célibataire se fait renvoyer juste avant Noël, et décide de passer les Fêtes en famille, en Floride, où l'une de ses amies se marie... mais bien vite, le surnaturel se manifeste.

Alors j'aime beaucoup Marla Sokoloff (mais vraiment, hein, au point de mettre d'office 1.5 points à tout ce qu'elle fait), mais là, ce remake gender-swapped d'Un Jour Sans Fin diffusé sur Ion TV, c'est affreusement quelconque et anecdotique. Sans compter que le tout n'est pas vraiment festif, avec son soleil de Floride, etc...

2.5/6 (dont la majorité des points pour Marla et Chelan Simmons) 

Noël Sans Cadeaux (Gift of the Magi) :

Un couple sans argent se promet de ne pas dépenser d'argent pour des cadeaux de Noël, mais finit par se démener pour s'offrir mutuellement un cadeau en secret...

Une adaptation Hallmark d'une histoire courte apparemment classique aux USA.

Rien de vraiment mémorable ou exceptionnel pour cette histoire pleine de bons sentiments, assez instantanément oubliable, mais rien de vraiment mauvais non plus.

Peut-être est-ce trop "réaliste", terne et déprimant pour vraiment convaincre, d'autant que la nouvelle originale est extrèmement courte, et que ce téléfilm rallonge la sauce jusqu'à plus soif...

2.25/6

À la Recherche de l'Esprit de Noël (The Christmas Spirit) :

Une journaliste et un entrepreneur arriviste pris dans un accident de voiture s'affrontent sur le plan astral, pour décider de l'avenir de la petite ville où ils se sont croisés...

Un téléfilm Hallmark assez quelconque, trop centré autour de sa "star" (Nicolette Sheridan) et pas assez autour d'un récit solide et développé, qui finit par n'être qu'un ersatz de Ghost à la sauce Noël. Et Sammi Hanratty est sous-exploitée, alors qu'elle pourrait faire beaucoup plus.

2/6 

La Magie de Noël (All I Want For Christmas - 2013) :

À San Francisco, Une businesswoman égocentrique croise le chemin d'un elfe du Père Noel, qui lui confère le don d'entendre les pensées d'autrui...

Un téléfilm ION qui n'est qu'un repackaging gender-switched de What Women Want, vaguement repeint aux couleurs de Noël...

Ça se regarde, principalement parce que le concept est rôdé, et que Melissa Sagemiller est sympathique, mais le tout est clairement trop caricatural, et trop peu original pour convaincre plus que ça.

3/6

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Christmas Yulefest 2013 - 31 - L'esprit de Noël (2011), L'Ange des Neiges (2010), Un Cadeau de Noël Presque Parfait (2012) & Le Procès du Père Noël (2013)

Publié le 27 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark, Lifetime, Fantastique, ABC Family, ION, Drame

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

L'esprit de Noël (Mistletoe Over Manhattan) :

Pour aider le Père Noël à retrouver l'esprit de Noël, la Mère Noël part à New York, et y croise le chemin d'une famille au bord du divorce, dont elle devient la nounou...

Moui... un téléfilm Hallmark qui donne un peu l'impression d'avoir été fini dans la précipitation, et assez mal casté, puisqu'aucun des personnages n'est intéressant, attachant, ou chaleureux : la Mère Noël béate parle à tout le monde comme à des enfants attardés, Tricia Helfer paraît agressive, froide et détachée, les enfants sont inexistants, l'elfe surjoue... Pas convaincant du tout.

1.5/6

L'Ange des Neiges (Christmas Cupid) :

Publiciste à succès faisant passer sa carrière avant sa vie sentimentale et ses valeurs morales, Sloane reçoit la visite de l'esprit de l'une de ses clientes fraîchement décédée, qui l'avertit qu'elle va bientôt être hantée par les fantômes de trois de ses exs, afin de lui faire changer ses mauvaises habitudes...

Un téléfilm ABC Family qui rejoue A Christmas Carol, avec Christina Milian, et Ashley Benson dans le rôle de la cliente décédée. Très superficiel et oubliable, avec cependant une Ashley Benson plutôt sympathique et convaincante en Jacob Marley-bis. Ce qui compense un peu Milian, agaçante, égocentrique et antipathique, sans le capital charme nécessaire pour rendre le personnage intéressant.

2/6 

Un Cadeau de Noël Presque Parfait (Holly's Holiday) :

Une jeune publicitaire célibataire se prend un coup sur la tête en rêvant à un mannequin dans une vitrine de Noël, et à son réveil, le mannequin prend vie...

Un téléfilm Lifetime qui, sous le prétexte de briser les préjugés et les clichés sur "le grand amour, parfait et idéal", enquille les clichés sur le célibat pendant les fêtes de Noël, etc, et laisse en cours de route la moitié de ses personnages.

Comme en plus, c'est un remake gender-switched à peine déguisé du film Mannequin, qu'il joue la carte du "ce n'était qu'un rêve", et que, hormis Ryan McPartlin à fond dedans, la distribution est affreusement terne (une lead enthousiasmante, comme Dreama Walker ou Kristen Bell, aurait peut-être pu sauver le tout, mais la demoiselle, là, est tout juste adéquate), ça ne fonctionne pas.

1.75/6 

Le Procès du Père Noël (Defending Santa) :

Le shérif d'une station de ski découvre un Père Noël inconscient au milieu de la forêt, au beau milieu de la nuit ; bien vite, celui-ci va devoir se justifier de son identité dans un tribunal, avec l'aide d'une jolie avocate...

Et revoici une production ION TV, comme d'habitude particulièrement fauchée (musique ultra-cheap, post-synchro bancale, décors faisant assez carton-pâte, éclairage de mauvaise sitcom, effets visuels ratés - les écrans bleus, la neige en image de synthèse, maquillages/costumes baclés - la perruque et le coussin qui sert de ventre à Santa) et pas très inspirée.

Cela dit, en comparaison d'autres productions ION, ça se regarde vaguement, principalement parce que ça a bon fond ; parce qu'un courtroom drama, ça se rate difficilement ; parce qu'un acteur ou deux sont sympatoches (Dean Cain & Jodi Sweetin) ; et parce que tout le monde est à peu près juste.

C'est beaucoup trop inégal, et ça meuble beaucoup trop pour réussir à s'établir comme un nouveau Miracle sur la 34è Rue, mais ça aurait pu être pire... et au moins ils essaient.

2.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 30 - Holiday High School Reunion (2012), Une Famille pour Noël (2007), L'Étoile de Noël (2004) & Les 12 Voeux de Noël (2011)

Publié le 26 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Comédie, Romance, Fantastique, Lifetime, Hallmark, ION

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Holiday High School Reunion / Christmas Crush :

Toujours amoureuse, malgré les années, de son ex-petit-ami de lycée, une jeune femme s'aperçoit bientôt, à l'occasion d'une réunion de lycée aux alentours de Noël, qu'elle est peut-être éprise de la mauvaise personne...

Un scénario de rom-com basique pour ce téléfilm Lifetime assez classique, reposant quasi-intégralement sur le charme de son interprète principale, Rachel Boston, et qui n'a de festif que son titre, et une vague ambiance de Noël (enfin, trois chansons de Noël).

Bref, ça aurait très bien pu se dérouler à n'importe quelle période de l'année, et si ça se regarde gentiment (principalement parce que ce n'est pas très sérieux, et que tout le monde semble s'amuser), ça ne casse pas trois pattes à un canard amputé.

2.75/6

Une Famille pour Noël (The Family Holiday) :

Donald Holiday, un arnaqueur/joueur de billard invétéré et endetté doit se faire passer pour un père de famille modèle s'il veut hériter de 10 millions de dollars...

Dave Coulier dans le rôle principal de cette comédie Lifetime assez classique et légère. Rien de révolutionnaire, cependant, et ça rappelle légèrement le pitch de départ du plus récent (et meilleur) "We're the Millers", une dose d'ambiance festive en prime.

2.75/6

L'Étoile de Noël (Eve's Christmas) :

Une businesswoman à succès fait un voeu à Noël, et se trouve renvoyée dans le temps par son ange gardien, avec l'opportunité de changer son passé...

Un téléfilm Hallmark au récit assez quelconque et convenu, malgré les efforts d'une distribution très sympathique et attachante (Elisa Donovan, Cheryl Ladd & Erin Karpluk).

2.75/6

Les 12 Voeux de Noël (12 Wishes of Christmas) :

Laura, une businesswoman un peu dépassée par les évènements, reçoit douze voeux pour Noël... mais elle découvre rapidement que ces voeux ont des effets scondaires imprévisibles...

Elisa Donovan, Sarah Thompson & Fred Willard dans ce téléfilm Ion TV un peu fauché, et à la post-synchro assez médiocre.

Je l'avais déjà vu en partie l'année dernière, et le film m'avait semblé sympatoche, sans plus, mais après un second coup d'oeil, les défauts prennent le dessus sur le capital sympathie de Donovan.

2.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 29 - Trois Voeux Pour Noël (2006), Un Défi pour Noël (2005), Le Costume du Père Noël (2010) & Silver Bells (2013)

Publié le 25 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark, Lifetime, Fantastique, UpTV

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Trois Voeux Pour Noël (Holiday Wishes) :

Une jeune organisatrice de Fêtes de Noël, orpheline et à la recherche de sa soeur perdue, se retrouve embarquée dans une histoire d'adolescentes ayant échangé leur corps respectif après un voeu étrange.

Holy sh*t quel plantage magistral que ce téléfilm Lifetime qui ne fonctionne sur aucun plan.

Au niveau du scénario, c'est un grand bordel sans structure, ni écriture cohérente, qui ne sait pas s'il veut raconter l'histoire de la party planner, ou celle des deux adolescentes ; résultat, ça passe de l'un à l'autre de manière totalement forcée et artificielle, sans même mentionner prévisible au possible ; ça manque de temps pour développer tous ses personnages ; ça multiplie les personnages secondaires caricaturaux et inutiles, ainsi que les raccourcis dans la narration ; la caractérisation des héroïnes est défaillante ; la musique est comique, et en décalage total avec le récit ; et enfin l'interprétation... disons qu'Amber Benson se limite à trois expressions (essouflée/émue, sarcastique, et en larmes) et qu'elle y est, au mieux, médiocre.

Les deux ados (dont Britt McKillip) s'en sortent mieux, mais la direction d'acteurs est approximative et grossière, donc elles ne peuvent pas faire de miracle... Bref, un bon gros échec.

1/6 (pour Britt)

Un Défi pour Noël (Recipe For A Perfect Christmas) :

Jeune critique gastronomique débutante, JJ se voit envahie par sa mère bohème, exubérante et critique, peu de temps avant Noël... pour s'en débarrasser, elle conclut alors un marché avec un chef désireux d'obtenir une bonne critique pour son restaurant : il doit sortir avec la mère de JJ pendant deux semaines, le temps que cette dernière finisse ses articles.

Une rom-com Lifetime assez sympathique, dynamique et bien interprétée, à la distribution solide (Carly Pope, Bobby Cannavale et Christine Baranski), et qui, hormis un côté prévisible inhérent au genre, n'a comme vrai défaut qu'une intemporalité relative, qui fait que la période de Noël n'est qu'un prétexte sans réelle influence sur le récit.

3.5/6 

Le Costume du Père Noël (The Santa Suit) :

Le patron d'une entreprise de jouets, avide et ambitieux, redécouvre la magie de Noël lorsque Santa lui jette un sort, et le fait apparaître, aux yeux de tous, sous l'apparence d'un vieux Père Noël...

Un téléfilm Hallmark plein de bons sentiments, mais jamais niais, et finalement plutôt réussi, notamment parce que Kevin Sorbo est convaincant, et toujours attachant.

3.75/6

Silver Bells (2013) :

Un présentateur tv ultra-compétitif (Bruce Boxleitner) spécialisé dans le sport redécouvre le vrai sens des fêtes de fin d'année lorsqu'il est condamné, suite à une échauffourée, à passer Noël à réunir des fonds pour l'Armée du Salut, aux côtés d'un vieil homme sage (Antonio Fargas)...

Un téléfilm Up Tv, ce qui signifie, forcément, que le tout est très connoté bonnes valeurs chrétiennes, et fait ici la promotion de l'Armée du Salut, qui a aidé à produire le métrage.

On aurait pu craindre du prosélytisme religieux à gogo, mais heureusement, le tout met plutôt l'accent sur les bonnes actions et sur la charité envers son prochain plus que sur la Foi et sur Dieu, donc ça passe assez bien, d'autant que la distribution est suffisamment sympathique (outre Boxleitner et Fargas, il y a aussi Laura Spencer dans un petit rôle, et de manière générale, le cast est plutôt agréable ; le fils est un peu transparent, cela dit) pour rendre le message très supportable.

Rien de transcendant ou d'exceptionnel, mais pour du UpTV, c'est assez réussi. Et puis c'est filmé en hiver, avec de la neige partout, ce qui fait toujours plaisir.

3.5/6

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Christmas Yulefest 2013 - 27 - Un Noël Sur Mesure (2012) & Nuit Magique (2001)

Publié le 23 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Critiques éclair, Review, Télévision, Comédie, Romance, Noël, Christmas, Lifetime, Jeunesse, Disney, Fantastique, Cinéma

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Noël Sur Mesure (The Christmas Consultant) :

Une famille surbookée doit organiser une réception spectaculaire à Noël pour l'un des clients de la mère businesswoman ; ils se tournent alors vers un Christmas Planner des plus excentriques... qui en profite pour améliorer le quotidien de la famille.

Un téléfilm Lifetime qui n'est objectivement pas bon, pas bien écrit ou bien monté, mais qui est étrangement fascinant, puisque THE David Hasselhoff en fait trois tonnes dans son rôle de spécialiste excentrique à l'accent "anglais", étrange et un peu creepy, à la Willy Wonka.

2/6 (mais 12/6 pour Hasselhoff) 

Nuit Magique (Twas The Night) :

Un ado et son oncle arnaqueur/pirate informatique mettent Noël en péril lorsqu'ils "empruntent" le traîneau ultra-moderne du Père Noël...

Une comédie Disney Channel de 2001, avec Bryan Cranston, et Torri Higginson dans un petit rôle. Le tout est particulièrement puéril et enfantin (ce qui n'est pas forcément surprenant), avec des acteurs qui cabotinent gentiment, un duo principal assez tête-à-claque, et un mickey-mousing musical fatiguant. Cela dit, le costume du Père Noël est superbe.

2/6

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Christmas Yulefest 2013 - 26 - La Fille du Père Noël (2000) & La Fille du Père Noël 2 (2001)

Publié le 22 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, ABC Family

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

La Fille du Père Noël (Once Upon A Christmas) :

Au Pôle Nord, Santa en a assez de l'ingratitude et de la méchanceté des enfants, et décide de faire grève. Pour le persuader de continuer, sa fille Kristin relève le défi de trouver une famille et de la faire repasser sur la liste des enfants sages...

Un autre classique festif diffusé chaque année dans les cadre des célébrations d'ABC Family, OUAC place Kathy Ireland dans le rôle de la fille de Santa, qui doit réussir à convaincre son paternel que la famille dont elle a la charge est généreuse, etc, tout en contrant les manigances de sa soeur aînée.

L'univers à la Santa Clause (avec tous les autres personnages de contes de fées) n'est pas désagréable, ça cabotine gentiment parmi les acteurs, et ça se regarde tranquillement, sans être forcément trop mémorable, la faute à un gros coup de mou dans le dernier tiers du film.

3.25/6

La Fille du Père Noël 2 (Twice Upon A Christmas) :

Kristin vit toujours avec la famille du premier épisode, mais elle est désormais amnésique, et sur le point de se marier ; de son côté, sa soeur décide de ruiner Noël en vendant des morceaux du Pôle Nord... 

La suite du précédent, avec une grosse partie des mêmes acteurs, mais en nettement moins inspiré, puisque le gimmick de l'amnésie est vraiment forcé, et que tout le reste du scénario donne dans le caricatural-avec-musique-ridicule.

Assez décevant en regard du premier volet, et puis le coup de la fille du Père Noël qui prie Dieu pour avoir des réponses, non merci.

1.75/6

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Christmas Yulefest 2013 - 25 - Christmas Bounty (2013) & À la Recherche de Madame Noël (2012)

Publié le 21 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Comédie, Jeunesse, Télévision, WWE, ABC Family, Action, Romance, Lifetime

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Christmas Bounty :

Une ex-chasseuse de primes de la Jersey Shore devenue institutrice à Manhattan doit faire face à un criminel issu de son passé, et à son ex-petit-ami chasseur-de-primes...

Un téléfilm WWE/ABC Family (déjà, ça promet) qui tente de nous faire croire que Francia Raisa (avec son mètre 59, sa personnalité délicate et son physique de latina sexy) est une chasseuse de primes badass et exceptionnelle.

Désolé, mais autant je peux concevoir que Miz (malgré sa tête à claques) soit un bounty hunter, autant la demoiselle, ça passe moyen. Et de manière générale, la distribution toute entière est assez étrange, jamais totalement convaincante dans les rôles qui leur sont assignés. Oui, je sais, c'est superficiel, tout ça, mais quand on essaie de faire croire au spectateur la réalité d'une institutrice en hauts-talons qui, sur son temps libre, joue les bounty hunters, il y a plutôt intérêt à embaucher une actrice physiquement imposante et/ou crédible. Là, avec Raisa, je n'ai jamais eu cette impression, ne serait-ce que visuellement.

Le récit en lui-même était assez quelconque et cousu de fil blanc, Noël n'était qu'un prétexte à une histoire d'actioner/thriller basique, et à part Chelan Simmons amusante dans un petit rôle, c'était particulièrement dispensable.

1.5/6

À la Recherche de Madame Noël (Finding Mrs. Claus) :

La Mère Noël et le Père Noël ont des problèmes de couple (et de sexe), et Mme Claus décide de partir pour Vegas, pour y aider une jeune mère célibataire à la recherche d'un époux...

Aouch... un téléfilm Lifetime qui choisit de tenter la carte "comédie parodique", avec des choix créatifs tellement WTF qu'ils ne peuvent qu'avoir été pris sous l'influence de drogues...

Déjà, la distribution : Will Sasso et Mira Sorvino en Santa & sa femme (à la fois vieux sous trois tonnes de maquillage, et jeunes), un sidekick elfe agaçant qui finit avec une prostituée de Vegas, une elfette quadra, Laura Vandervoort (27 ans, qui en fait 5 de moins) en mère célibataire d'une gamine de 10 ans... un bon gros n'importe quoi généralisé, pas aidé par du cabotinage global de la part de tout ce qui touche aux occupants du Pôle Nord, et par un script gentiment chargé en sous-entendus sexuels débiles.

2/6

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Christmas Yulefest 2013 - 24 - La Plus Belle Vitrine de Noël (2013) & Le Noël où tout a changé (2013)

Publié le 20 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark, Lifetime

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

La Plus Belle Vitrine de Noël (Window Wonderland) :

Une décoratrice de vitrines de Noël (Chyler Leigh) coincée et professionnelle est en compétition avec un rival impertinent et sarcastique (Paul Campbell), dont elle finit par tomber amoureuse...

Chyler Leigh et Paul Campbell, deux acteurs pourtant sympathiques et attachants, en couple vedette de ce téléfilm Hallmark particulièrement terne et quelconque, à la froideur assez clinique, très paradoxale dans le cadre d'une histoire de vitrines de Noël.

Seulement voilà : ici, tout est moderne, urbain et typiquement new-yorkais, et les vitrines de Noël "design" sont relativement laides et sans inspiration.

Autant dire que pour l'ambiance de Noël, c'est un zéro absolu, et que le film ne parvient pas à se rendre intéressant par son écriture : alors que Campbell est naturellement charismatique et décalé, ici, le script en fait une tête à claques sarcastique qui ne se tait jamais ; le personnage de Naomi Judd - en mère de Chyler Leigh - n'est pas très original (la femme de ménage très sage et avisée), mais l'actrice s'en sort bien ; et enfin, le final façon Undercover Boss ne fonctionne pas du tout, tant il apparaît forcé et inutile.

Bref, un échec agaçant, qui gâche son cast et son potentiel de base.

1.25/6  (critique mise à jour en 12/2015)

Le Noël où tout a changé (Kristin's Christmas Past) :

Une trentenaire fêtarde qui a coupé tous les ponts avec sa famille s'endort le soir de Noël, et se réveille dix-sept ans plus tôt, à la veille d'un réveillon familial particulièrement chaotique...

Un téléfilm Lifetime assez sympatoche, plein de visages familiers, de Shiri Appleby à Debby Ryan, en passant par Elizabeth Mitchell et Judd Nelson. Appleby porte tout le récit sur ses épaules, rend son personnage instantanément attachant, et le tout se regarde très facilement, même si on pourra regretter quelques raccourcis & ellipses un peu trop prononcées, qui donnent un sentiment d'inachevé ou de coupes sauvages au montage.

3.5/6

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Christmas Yulefest 2013 - 23 - The Christmas List (1997) & On The Second Day Of Christmas (1997)

Publié le 19 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Review, Comédie, Fantastique, Romance, ABC Family, Lifetime, Télévision

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

The Christmas List :

Une vendeuse en parfumerie de Seattle, déçue par sa vie, fait une liste de souhaits au Père Noël, qu'elle dépose sans trop y croire dans la boîte aux lettres du magasin où elle travaille ; à sa grande surprise, les voeux commencent à se réaliser... mais dégénèrent bien vite.

Mimi Rogers dans un téléfilm de 1997, désormais considéré comme un "classique" de la chaîne ABC Family. C'est assez sympathique à regarder, mais le téléfilm accuse un certain coup de mou passée la première demi-heure, avant de se rattraper sur la fin.

3.5/6 

On The Second Day Of Christmas :

Une pickpocket/voleuse à l'étalage et sa nièce se font prendre en pleine action dans un grand magasin, et un garde de sécurité au grand coeur accepte de les superviser plutôt que de les voir punies par la loi...

Un téléfilm Lifetime de la fin des années 90, avec un jeune Mark Ruffalo dans le rôle de l'agent de sécurité.

Pas particulièrement intéressant, puisque reposant quasi-uniquement sur le trio principal et leur alchimie (faiblarde).

Ce n'est même pas particulièrement mauvais, seulement totalement oubliable, et la voleuse & sa gamine ne sont pas assez attachantes pour qu'on leur pardonne leurs actions.

Ah, et Ruffalo ne chante pas très juste, ce qui n'aide pas franchement à rendre son rôle de musicien/chanteur amateur très crédible.

2.5/6

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Christmas Yulefest 2013 - 21 - Jessie et le petit renne du Père Noël (1989) & Tonnerre, le petit renne du Père Noël (2001)

Publié le 17 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse, Fantastique, Drame, Romance

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Jessie et le petit renne du Père Noël (Prancer) :

Une petite fille dont la famille est en difficultés découvre un renne blessé dans la forêt et, convaincue que c'est l'un des rennes du Père Noël, elle décide de le soigner...

Un film de Noël particulièrement déconcertant, puisque très sombre et déprimant, à la limite du pathos.

L'intention du scénariste était clairement de faire un parallèle avec la fameuse lettre "Yes, Virginia, there is a Santa Claus" (citée dans le film), et d'utiliser le récit pour décrire les liens difficiles entre un père et sa fille, tous deux séparés par le deuil... mais étrangement, le film finit par ressembler à la description de la dépression d'une fillette qui, totalement déconnectée de son frère moqueur et de son père caractériel, met tellement d'espoirs dans un renne blessé qu'elle finit par perdre tout contact avec la réalité, par prendre des risques insensés et par s'imaginer voir le renne s'envoler pour rejoindre son traîneau, alors que le renne s'est jeté au pied d'une falaise.

Le film n'est clairement pas supposé être interprêté ainsi, mais entre la musique atmosphérique et menaçante, l'esthétique réaliste et sombre, et tout le reste, ça donne une impression particulièrement étrange, qui ne donne pas envie de revoir le film une nouvelle fois. Cela dit, le tout est bien joué.

3/6

Tonnerre, le petit renne du Père Noël (Prancer II - Prancer Returns) :

Dans la même ville que le premier film, Charlie, un garçonnet un peu rêveur et naïf, issu d'une famille de divorcés, découvre l'histoire de Prancer, et finit par croiser le renne en question (et son fils) dans la forêt...

Même schéma narratif que le premier film, en nettement plus léger & plus ouvertement surnaturel, avec Jack Palance en lieu et place de Cloris Leachman.

C'est donc largement moins déprimant, mais malheureusement c'est d'autant plus redondant, préivisble, c'est plus axé sur la vie amoureuse de la mère de Charlie, ça a recours à une chanson pop sirupeuse, et ça utilise un animatronique peu convaincant pour certaines scènes.

3/6

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Christmas Yulefest 2013 - 20 - Maman, c'est le hold-up de Noël ! (2012) & Le Bonheur au Pied du Sapin (2013)

Publié le 16 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse, Télévision, ABC Family, Hallmark, Romance

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Maman, c'est le hold-up de Noël ! (Home Alone 5 - The Holiday Heist) :

Trois cambrioleurs tentent de dérober un tableau inestimable se trouvant dans une vieille maison hantée du Maine, dans laquelle la famille Baxter vient d'emménager...

Une production ABC Family récente, avec Crabman de My Name Is Earl, Malcolm McDowell et Debi Mazar dans le rôle des criminels pas si méchants que ça (ils ne veulent qu'un tableau n'appartenant pas aux Baxter), et Jodelle Ferland dans celui de la grande soeur de Finn, le héros.

Un héros qui est un peu plus moderne et malin que ses prédécesseurs, mais une histoire qui met un temps fou à se mettre en place, et n'est jamais très intéressante, mêlant histoire de (faux) fantôme à tout le reste.

Gros bof, donc, mais c'est toujours moins détestable que le précédent volet.

2/6

Le Bonheur au Pied du Sapin (Fir Crazy) :

Après avoir grandi sur une exploitation de sapins de Noël, la businesswoman Elise fait tout pour éviter les fêtes. Mais lorsqu'elle perd son emploi et son petit ami, elle est contrainte de passer l'hiver à vendre des sapins dans la rue pour le compte de ses parents en difficulté financière...

Un téléfilm Hallmark malheureusement un peu trop premier degré et axé romance. D'autant plus dommage que Sarah Lancaster fait une héroïne assez sympathique... mais ça s'arrête là.

2.5/6

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Christmas Yulefest 2013 - 13 - La Saison des Miracles (1999) & La Baby-sitter de Noël (2012)

Publié le 9 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Télévision, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Hallmark

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

La Saison des Miracles (A Season For Miracles) :

Une famille en cavale bénéficie de la magie de Noël, et de l'intervention d'un ange bienveillant, qui les aiguille vers une maison délaissée, dans la petite ville de Bethlehem, où elle prend l'identité de la fille d'une ancienne résidente.

Un vieux téléfilm Hallmark de la fin des années 1990, avec Carla Gugino dans le rôle de la tante SDF de deux enfants (dont Mae Whitman), Laura Dern dans celui de sa soeur toxicomane en centre de désintoxication, et Patty Duke en ange.

Gugino est forcément très attachante, les gamins sont justes, et toute la distribution secondaire est au diapason, dans un téléfilm plutôt rondement bien mené, et qui se regarde d'une traite.

Une bonne surprise, qui aurait peut-être gagné à être plus courte de 10 minutes.

4/6

La Baby-sitter de Noël (Help For The Holidays) :

Une jolie elfette, lasse de sa vie au Pôle Nord, reçoit la mission d'aider une famille de mortels à retrouver l'esprit de Noël, en se faisant passer pour leur nounou... et elle tombe amoureuse de l'oncle des enfants.

Bon, d'office, je dois l'avouer, Summer Glau est adorable en elfette. Voilà, c'est dit. Moi qui ne suis habituellement pas forcément fan de la demoiselle, et de son air naïf et déboussolé, j'ai trouvé qu'elle se prêtait parfaitement bien au rôle principal de ce téléfilm Hallmark.

Toute la distribution, à vrai dire, est très sympathique et juste, et même si le récit est relativement balisé, ça se suit très bien, et ça évite notamment de trop s'apesantir sur le côté romance. Une bonne surprise.

4.25/6

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