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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #histoire catégorie

Critiques éclair - Pilotes 2013 - Sleepy Hollow & Masters of Sex

Publié le 20 Septembre 2013 par Lurdo dans Critiques éclair, Review, Télévision, Drame, Fantastique, Fox, Histoire

Sleepy Hollow 1x01 :

Mouarf le gros truc foutraque...

Entre le cast transparent au possible, le toutéliage nawak avec les Cavaliers de l'Apocalypse, la Bible de Washington, les conspirations francmaçonniques, etc, la musique envahissante, les CGI très moyens, les vannes habituelles sur le déplacé temporel, Sleepy Hollow la bouche de l'enfer, le Cavalier sans tête/Rambo, le démon du miroir, et la combo Wiseman + Orci/Kurtzman qui ne font jamais dans la finesse et la subtilité (ni dans l'exactitude - la sorcière enterrée dans un cimetière consacré, par exemple), on ne peut pas dire que ça vole très haut.

Ça se regarde, cela dit, même si ça arrive clairement un mois trop tôt sur le calendrier, et que ça lorgne gentiment sur le ton Supernatural (mais en combinant 5 saisons de backstory en 45 minutes)... d'ailleurs, annoncer à l'avance que l'intrigue va durer sept ans, c'est gentil, mais c'est un peu mettre la charrue avant les boeufs (surtout que de l'aveu de la prod, ils n'ont que la s1 d'à peu près planifiée).

Masters of Sex 1x01 :

Showtime refait Kinsey en s'intéressant à la carrière du Dr Masters (Michael Sheen) et de sa collègue (Lizzy Caplan).

Pas de surprise vue la chaîne et vu le sujet, il y a de la nudité dans tous les sens, ça tente de rameuter et de choquer un peu le bourgeois, et ça conserve un ton gentillet assez léger : bref, ça se regarde, c'est plutôt bien joué, et le cachet "série en costumes" est un plus, mais bon, ça ne casse pas vraiment trois pattes à un canard unijambiste et borgne.

Tout à fait honorable, mais j'ai un peu l'impression d'avoir déjà vu le tout en 2004, et je ne suis pas certain de vouloir retenter l'expérience étalée sur plus de douze heures.

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Oktorrorfest 2012 - 08 : Grabbers & Abraham Lincoln Vampire Hunter

Publié le 24 Octobre 2012 par Lurdo dans Oktorrorfest, Critiques éclair, Cinéma, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Comédie, UK, Histoire, Action

Grabbers :

Des aliens tentaculaires s'attaquent à une île irlandaise, et le seul moyen de leur résister est de boire, car les créatures ne supportent pas l'alcool.

Visuellement très joli (les paysages, forcément, mais aussi les bestioles, aux sfx réussis), avec Richard Coyle dans le role d'un flic bourré, Russell Tovey en légiste, et Ruth Bradley en fliquette qui vient d'arriver dans les parages.

La première demi-heure est assez décevante, car particulièrement sérieuse et premier degré ; et puis progressivement, à mesure que le degré d'alcool augmente dans les veines des protagonistes, et que les monstres se font plus présents, le film se décoince sympathiquement, et devient plutôt amusant (la version plus vulgaire d'une certaine réplique culte d'Aliens est assez fun).

3.75/6

Abraham Lincoln Vampire Hunter :

C'était sympa ce DTV.

Ah, non, c'est sorti en salles ? Hum, okay, pourquoi pas.

Il faut quand même en vouloir pour dépenser 10€ pour aller voir ça, que ce soit en 2D ou en 3D, tant c'est du Timur typique : généreux et regardable, mais creux, pas très finaud, avec des ralentis à gogos, des CGI très inégaux et souvent moches, et un paquet de trucs inutiles.

Sans oublier un protagoniste assez terne et transparent (heureusement, MEW parvient à donner de la consistance à son rôle, sinon, ça aurait été un beau doublé perdant).

3/6 (sur l'échelle des blockbusters décérébrés de Timur)

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Critiques éclair - Marathon d'Halloween, épisode 9

Publié le 4 Novembre 2011 par Lurdo dans Oktorrorfest, Critiques éclair, Cinéma, Review, Halloween, Horreur, Fantastique, Thriller, Drame, Histoire, Télévision, Syfy

Octobre, c'est le mois d'Halloween, de l'horreur et des ténèbres : et comme tous les ans, pour Lurdo, Octobre était le mois d'un marathon de films et de séries de genre, pendant 31 jours, voire plus si affinités...

Triple Combo Eliza Bennett :

F (2010), de Johannes Roberts :

Un instituteur traumatisé par l'un de ses élèves violents reprend du service après trois mois de récupération, mais est désormais alcoolique, parano, et colérique. Et lorsqu'il avertit tout le monde d'une montée de la violence dans les parages, personne ne l'écoute... jusqu'à ce que son lycée soit assiégé par un groupe d'assaillants mystérieux yamakazis.

Avec Eliza Bennett dans le rôle de la fille rebelle du prof.

Une sorte de Assaut on Precinct 13 ou d'Eden Lake in a school pas vraiment maîtrisé, ni réfléchi : le rythme est inégal, l'ambiance assez moyenne, les personnages globalement antipathiques, et la mayonnaise ne prend pas, la faute à un scénario qui préfère jouer la carte de la non-explication et du mystère plutôt que d'apporter un peu de fond au tout. La musique forcée, façon comptines, n'aide pas non plus, tout comme les jump scares.

2.25/6

Roadkill (2011), de Johannes Roberts :

Une bande de jeunes en vadrouille en Irlande renverse une gitane, qui les maudit ; Un Krakoukass oiseau roc en CGI foireux les traque alors un à un, en même temps que la famille en colère de la gitane.

Même réalisateur que F, pour un téléfilm Syfy typique du genre : c'est fauché, parfois approximatif dans le jeu, et supra basique dans son scénario et ses rebondissements. Eliza Bennett a un joli décolleté, cela dit, et reste la moins tête-à-claques du lot, mais vu qu'elle meurt à mi-film...

1.5/6 

From Time To Time (2009), de Julian Fellowes :

1941 : un jeune garçon arrive dans le manoir familial où vit sa grand-mère. Rapidement, pour s'occuper, il explore les environs, et s'aperçoit bien vite qu'il est capable de voir le passé de manoir, et ses occupants, comme autant d'apparitions fantomatiques. À lui alors de résoudre le mystère de la demeure...

Un costume drama anglais totalement typique du genre, du créateur de Downton Abbey, avec ce que ça implique d'acteurs talentueux, de décors naturels et de réalisation classieuse, mais aussi de ficelles habituelles du genre.

Un récit convenu, donc, mais qui se laisse bien regarder, avec notamment Maggie Smith, et Eliza Bennett en jeune fille aveugle avec qui le héros communique via les couloirs du temps.

3/6

Bereavement (2010), de Stevan Mena :

Préquelle/standalone d'un autre film du même réalisateur, sur un gamin insensible à la douleur kidnappé par un psychopathe fondamentaliste, qui décide alors de lui apprendre comment tuer les gens, à commencer par une jeune adolescente brune à forte poitrine fraîchement capturée.

On sent que le réalisateur est ambitieux, et qu'il veut faire autre chose qu'un simple slasher : les personnages sont plus développés (bien qu'ils soient très convenus), et le visuel est assez joli et réussi... mais ça ne va pas plus loin : le rythme défaillant et le récit assez convenu empêche de s'intéresser particulièrement au film, et le spectateur ne peut alors que se raccrocher au décolleté très généreux de la sympathique Alexandra Daddario (qui devrait aller loin).

2.5/6

My Soul To Take (2010), de Wes Craven :

Seize ans après la disparition d'un tueur-en-série impossible à tuer, et souffrant de personnalités multiples, sept jeunes nés le même jour se font tuer un à un par un assassin mystérieux, ressemblant trait pour trait au serial killer d'antan...

Vu en deux fois tant le récit est soporifique et balisé. Pourtant, on ne peut pas nier que visuellement, Craven sait toujours y faire. Et sa distribution adolescente est globalement assez bonne, en plus de paraître son âge (chose assez rare pour être signalée).

Mais ça se traîne, c'est bavard, et au final, c'est du slasher ultra-basique et faiblard, voire même involontairement drôle par moments.

1.5/6

Zombie Apocalypse (2011), de Nick Lyon :

Des zombies, une apocalypse, des survivants, et un tigre mort-vivant...

Syfy Channel + The Asylum = forcément un truc tout naze, sans un centime de budget, avec Ving Rhames et Crabman inside. Et un tigre zombie en CGI fauchés. Au secours.

0.5/6

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