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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #transformers catégorie

Un film, un jour (ou presque) #1866 : Transformers - Rise of the Beasts (2023)

Publié le 26 Juin 2023 par Lurdo dans Cinéma, Action, Aventure, Comédie, Science Fiction, Science-Fiction, Jeunesse, Critiques éclair, USA, Review, Transformers

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Transformers - Rise of the Beasts (2023) :

Parce qu'Elena (Dominique Fishback), jeune stagiaire en archéologie, a découvert une partie d'une mythique clé de transdistorsion, cachée dans une statue antique, Scourge et les sbires d'Unicron, dévoreur de mondes, arrivent sur Terre pour dérober l'objet et permettre à leur maître de conquérir l'univers. Pour l'en empêcher, les Autobots d'Optimus Prime doivent s'allier aux Maximals, des robots réfugiés sur Terre et ayant pris l'apparence d'animaux sauvages, ainsi qu'à Noah (Anthony Ramos), un jeune homme ex-militaire tombé dans la petite délinquence...

Septième film de la franchise Transformers après le sympathique Bumblebee, Rise of the Beasts arrive une nouvelle fois sans Michael Bay (aux commandes de cet opus, le réalisateur de Creed II), sans ILM (remplacé aux effets spéciaux par Moving Picture et Weta), et sans grand argument de vente... pour ne pas dire, dans l'indifférence la plus complète.

Au programme, toujours une saga qui se prend méga au sérieux, toujours un Optimus Prime qui vire au pompeux, toujours une mythologie ronflante et gentiment bancale, sauf que là, rien n'est réellement mis en valeur à l'écran : le film est, visuellement parlant, très anonyme et générique, la distribution humaine n'est guère plus marquante ou attachante, l'illustration musicale ne marque pas les esprits et globalement, la chasse au MacGuffin est assez plate, peinant à réellement intéresser ou à surprendre.

Alors ce n'est pas le chaos (dés)organisé des films de Bay, certes, ce qui rend le tout plus lisible et direct (quitte à frôler le film d'animation pur et dur quand ne reste comme composant humain, dans la dernière ligne droite, qu'un vague visage incrusté sur un champ de bataille numérique), mais globalement, c'est dénué de personnalité, et encéphalogramme plat du début à la fin, avec l'impression qu'à chaque épisode, on change le MacGuffin, on change les personnages humains, et on refait globalement la même chose.

2/6 (et j'ai failli déduire des points pour le crossover maladroit avec GI Joe) 

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Un film, un jour (ou presque) #856 : Bumblebee (2018)

Publié le 15 Janvier 2019 par Lurdo dans Action, Aventure, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Review, Science-Fiction, Transformers

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus. ​​

Bumblebee :

En 1987, la jeune Charlie (Hailee Steinfeld) découvre une vieille coccinelle VW dans une casse, et l'obtient pour une bouchée de pain. Mais rapidement, elle réalise que cette auto, baptisée Bumblebee, est un Autobot, un robot extraterrestre transformable, réfugié sur Terre pour échapper à ses poursuivants maléfiques...

Pseudo-spinoff/reboot de la franchise Transformers, désormais débarrassée de Michael Bay, et confiée aux mains de Travis Knight, qui opte ici pour la carte de la nostalgie, en replaçant le tout dans les années 80, et en ressuscitant les designs originaux des Transformers.

Et ce n'est pas forcément plus mal, puisque sous Bay, la franchise Transformers était en roue libre, contaminée par la grandiloquence du style Bay, plus préoccupée par le spectaculaire boursouflé, l'esbrouffe et par le racoleur que par le moindre semblant de cohérence, de développement des personnages, ou autres. Ici, Knight prend le contrepieds de Bay, en diminuant considérablement la dose de spectacle et d'action décérébrée, au profit d'un film qui, bien souvent, semble décidé à rejouer la partition du premier Transformers, en remplaçant Shia Labeouf par Hailee Steinfeld, et les hymnes pétaradants de Steve Jablonsky par des chansons 80s.

Et honnêtement, si le script de ce Bumblebee (clairement le point faible du film) est bourré de clichés, de raccourcis, et de grosses ficelles narratives... ça fonctionne tout de même.

Principalement grâce aux effets spéciaux et aux versions corrigées des Transformers, plus claires, plus expressives, plus identifiables, mais aussi et surtout grâce à Hayley Steinfeld, instantanément attachante, toujours sincère et juste, bref, un personnage principal appréciable et sympathique.

On regrettera forcément que Travis Knight n'ait pas grand style visuel (forcément, après Bay, ça se remarque), que le score de Dario Marianelli ne soit guère marquant, et que la plupart des personnages secondaires n'aient pas grand chose à faire, réduits à des rôles de personnages-fonctions simplistes (ce qui est vrai de John Cena comme de Gracie Dzienny, entre autres visages familiers)... mais en comparaison du bordel non-sensique et des Transformers illisibles de Bay, le progrès est immense.

3.5/6 + 0.5 point de bonus pour Steinfeld et pour la très bonne surprise que représente ce métrage = un petit 4/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien...

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Un film, un jour (ou presque) #549 : Transformers 5 - The Last Knight (2017)

Publié le 3 Juillet 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Action, Science-Fiction, Transformers

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Transformers 5 - The Last Knight :

Après le départ d'Optimus Prime, l'Humanité a déclaré la guerre aux Transformers, qui se cachent un peu partout sur Terre. Aidé par Bumblebee, Cade Yeager (Mark Walhberg) fait tout son possible pour protéger les robots de l'espace, mais cette tâche se complique un peu plus lorsqu'il doit gérer simultanément la présence d'une jeune orpheline débrouillarde, Izabella (Isabela Moner), la collaboration des Decepticons et du gouvernement américain décidés à le retrouver, et l'existence d'une ancienne prophétie liée à Merlin (Stanley Tucci) et aux Chevaliers de la Table Ronde : la grande confrontation entre la Terre et Cybertron, désormais en ruines et contrôlée par Quintessa, est inéluctable, et seul l'un des deux astres survivra à cette rencontre.

Cette critique-ci, je vais la faire très courte : si vous en aviez déjà assez des scénarios bordéliques des épisodes précédents, de leurs personnages innombrables et paradoxalement totalement inutiles et pour la plupart insipides, et que vous espérez un changement pour ce qui est supposément le dernier film Transformers de Michael Bay, passez votre chemin.

Ici, c'est plus bordélique et confus que jamais, et pour ne rien arranger, Bay semble ne plus en avoir rien à faire de cette franchise.

Si par contre, vous êtes prêts à subir tous les défauts habituels des Transformers, étalés sur deux heures boursouflées emplis de personnages superflus, de dialogues interminables et d'action quelconque (un comble pour du Bay !), d'occasions ratées, d'idées bâclées, etc, en échange d'une dernière demi-heure visuellement spectaculaire et proposant même des moments impressionnants dans le genre, alors faites-vous plaisir.

Personnellement, j'avais déjà eu beaucoup de mal avec le précédent chapitre, et ici, je me suis vraiment ennuyé comme un rat mort pendant ces deux premières heures, donc...

2/6 pour le travail de malade d'ILM, et le jemenfoutisme la désinhibition totale de Michael Bay

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Un film, un jour (ou presque) #12 : Transformers 4 - L'Âge de l'extinction (Transformers: Age of Extinction - 2014)

Publié le 14 Juillet 2014 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Review, Action, Science-Fiction, Transformers

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Transformers 4 - L'Âge de l'extinction (Transformers: Age of Extinction) :

Quatre ans après la Bataille de Chicago, Transformers et Decepticons sont désormais traqués par le gouvernement, qui en exploite les restes pour créer leur propre armée robotique télécommandée ; mais lorsque Cade Yeager (Mark Wahlberg), un inventeur à la petite semaine, réanime le corps sans vie d'Optimus Prime, lui, sa fille (Nicola Peltz) et le petit ami de cette dernière (Jack Reynor) se trouvent pris pour cible par les autorités, ainsi que par un chasseur de primes intergalactique...

Transformers 1 était une relecture Bayenne du genre "a boy & his..." typique des années 80 : ça fonctionnait plutôt bien pour peu qu'on ne soit pas allergique au style de Bay (4/6) ; Transformers 2 était la même chose, mais en bigger louder dumber, et donc n'avait pas grand intérêt intrinsèque (2.5/6) ; Transformers 3, lui, mettait la barre encore plus haut dans le registre destruction massive, et donc fonctionnait un peu mieux au niveau grand spectacle décomplexé (3.5/6 en 3D). Restait cependant un problème de taille, outre la côté too much et trop long des métrages : en trois films, les Autobots n'ont jamais passé le stade de "jolis personnages numériques assez peu intéressants".

Ici, avec ce quatrième opus, ce problème s'avère clairement rédhibitoire, plus encore que dans les précédents volets : en effet, ici, la famille Yeager est tout simplement insipide (ce qu'on ne pouvait pas dire de Shia et de ses parents fumeurs de beuh), et donc on regarde tout ça sans grand intérêt. D'autant que le script apparaît comme une sorte de compilation des trois métrages précédents, avec des passages obligés exécutés sans grande passion, et des ellipses narratives parfois bizarres. Ce qui fait à peu près illusion pendant la première moitié du film, lorsque l'on apprend à connaître les personnages, et que l'on a l'espoir de quelque chose de plus consistant... mais rapidement, on tombe dans le routinier, pas aidé par une musique inexistante, et par un finish précipité, comme toujours.

Bref, c'était un opus inutile, qui n'apporte rien de bien essentiel à la saga (même pas les Dinobots, qui font de la figuration à la toute fin du film).

2/6

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