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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Un film, un jour (ou presque) #279 : Amour et Plaquages (2016)

Publié le 25 Mars 2016 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Amour et Plaquages (Love on the Sidelines) :

Apprentie créatrice de mode au chômage, Laurel (Emily Kinney) a désespérément besoin d'un nouvel emploi, et, avec l'aide de sa nouvelle colocataire (Luisa D'Oliveira), une assistante personnelle, elle entre au service de Danny Holland (John Reardon), un footballeur blessé. Mais celui-ci aurait préféré un assistant masculin, d'autant que Laurel ne comprend absolument rien au football américain : une difficile cohabitation va alors se mettre en place, bon gré mal gré...

Comédie romantique footballistique difusée dans le cadre de la Winterfest 2016 de la chaîne Hallmark, ce téléfilm bénéficie de son postulat initial un peu différent des autres métrages de la chaîne, de sa distribution féminine sympathique (Kinney, Elise Gatien, Luisa D'Oliveira) et de son énergie.

Néanmoins, le script est un bon gros tas de stéréotypes mis bout à bout (les filles ne comprennent rien au foot et à la mécanique, les sportifs ne parlent qu'en métaphores sportives, blablabla), et le métrage souffre d'un couple principal à l'alchimie défaillante : lorsqu'il n'est pas volontairement désagréable, Reardon est transparent au possible, et Kinney, si elle est sympathique, paraît occasionnellement trop jeune, gauche et fragile pour totalement convaincre en héroïne romantique.

D'autant que paradoxalement, elle a plus d'alchimie avec Victor Zinck (le "meilleur ami" de Reardon) et avec tous les autres personnages féminins qu'avec son homologue masculin...

En somme, ça se regarde, mais c'est très anecdotique, prévisible et cliché.

2.25 + 0.25 pour le chien du footballeur = 2.5/6

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