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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Un film, un jour (ou presque) #138 : L'Amour au Fil des Pages (2014)

Publié le 27 Mai 2015 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, Hallmark, Comédie, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

L'Amour au Fil des Pages (Love by the Book) :

Rêveuse, idéaliste et incorrigible romantique, Emma (Leah Renee) vit dans sa bulle, et gère une librairie aux finances vacillantes, tout en espérant trouver son prince charmant, à l'instar de sa soeur Marilyn (Cherilyn Wilson) et de son fiancé. Lorsqu'elle rencontre un homme irrésistible, Emma doit alors gérer de front cette nouvelle relation apparemment parfaite et idyllique, et ses rapports conflictuels avec Eric (Kristopher Turner), un consultant d'entreprise réaliste, cynique et volontaire, qui est par ailleurs le fils de l'investisseur principal de la librairie (John Schneider).

Pour être franc, je n'ai jeté un coup d'oeil à ce téléfilm Hallmark que pour Cherilyn Wilson, qui m'avait fait très forte impression dans Parasomnia, et qui depuis enchaîne les rôles télévisés anecdotiques plutôt que de trouver un rôle à sa mesure.

Et là, c'est malheureusement exactement la même chose, puisqu'elle joue les seconds couteaux dans un métrage de la même scénariste que Mon George à moi... et vu à quel point Mon George à moi m'avait horripilé, il n'est guère surprenant de retrouver ici les mêmes défauts : distribution principale insipide et peu sympathique, dialogues maladroits et forcés, musique agaçante, platitudes génériques débitées par les personnages, rythme mollasson, et une héroïne bavarde, immature et abrasive, que le récit prend un malin plaisir à rendre antipathique, avant de lui apprendre la vraie vie, et de la remettre dans le droit chemin.

Bref, c'est tout aussi mauvais, et cette pauvre Cherilyn Wilson fait de la figuration, ce qui est assez frustrant, d'autant que l'actrice principale est vraiment, vraiment transparente et quelconque.

1/6

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