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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Un film, un jour (ou presque) #1784 : Catwalk - Tales from the Cat Show Circuit (2019)

Publié le 6 Mars 2023 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Documentaire, Canada, Review

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Catwalk - Tales from the Cat Show Circuit (2019) :

Un documentaire ludique et rigolard sur une saison de concours de beauté féline au Canada, qui s'intéresse, de manière animée et bienveillante, à ces maîtresses de chats (car oui, l'immense majorité des personnes qui participent à ces concours sont, peu ou prou, sur le même modèle) qui adorent leur animal de compagnie et font tout pour le faire savoir en les montrant à des juges et à un public admiratif.

On suit notamment la rivalité existant entre, d'un côté, Kim et Bobby, son turkish angora racé et distingué, qui tente de remporter la première place de la saison, et de l'autre, Shirley et Oh La La, son persan au poil énorme et au regard très... vif (comme l'atteste le poster ci-dessus ^^), leurs adversaires directs, en deuxième position. Sans oublier les concurrents sortis de nulle part, et les participants plus anecdotiques, uniquement là pour le plaisir de montrer leurs jolis félins.

Plutôt agréable à suivre, tout ça, bien que finalement assez anecdotique, mais en tout cas nettement plus sympathique que tout ce qui est consacré aux concours "humains" équivalents.

4/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Blog Update ! - Février 2023

Publié le 5 Mars 2023 par Lurdo dans Update, Cinéma, Critiques éclair, Les bilans de Lurdo, Review, Télévision

Un mois de février consacré à la romance sur le blog des Téléphages Anonymes, avec une (grosse) quinzaine Saint Valentin et deux dernières semaines plus classiques...

#1755 - SAINT VALENTIN : Rosaline (2022) - 4/6

#1756 - SAINT VALENTIN : Trois mille ans à t'attendre (2022) - 4.5/6

#1757 - SAINT VALENTIN : Moonshot (2022) - 4/6

#1758 - SAINT VALENTIN : Meet Cute (2022) - 2.25/6

#1759 - SAINT VALENTIN : Une vie ou l'autre (2022) - 2.75/6

#1760 - SAINT VALENTIN : Spin Me Round (2022) - 2.25/6

#1761 - SAINT VALENTIN : Fly Away With Me (2022) - 2.5/6

#1762 - SAINT VALENTIN : Crush (2022) - 2.5/6

#1763 - SAINT VALENTIN : Moriah's Lighthouse (2022) - 2.25/6

#1764 - SAINT VALENTIN : Love Accidentally (2022) - 2.75/6

#1765 - SAINT VALENTIN : I Want You Back (2022) - 4.25/6

#1766 - SAINT VALENTIN : Two Tickets to Paradise (2022) - 3.75/6

#1767 - SAINT VALENTIN : About Fate (2022) - 3/6

#1768 - SAINT VALENTIN : L'Amour triomphe toujours (2022) - 2.5/6

#1769 - SAINT VALENTIN : 7 Days (2021) - 3/6

#1770 - SAINT VALENTIN : Somebody I Used to Know (2023) - 3.75/6

#1771 - SAINT VALENTIN : Ticket to Paradise (2022) - 2.5/6

#1772 - SAINT VALENTIN : Fall Into Winter (2023) - 3.5/6

#1773 - SAINT VALENTIN : Shotgun Wedding (2023) - 3.25/6

#1774 : La Légion des superhéros (2023) - 3.75/6

#1775 : Call Me Miss Cleo (2022) - 3/6

#1776 : Honk for Jesus. Save Your Soul. (2022) - 2.5/6

#1777 : Coup de théâtre (2022) - 3.75/6

#1778 : Out of Office (2022) - 3/6

#1779 : Year of the Dog (2007) - 3/6

#1780 : You People (2023) - 1.5/6

#1781 : Blade of the 47 Ronin (2022) - 2/6

#1782 : Jurassic Punk (2022) - 4/6

#1783 : Maurice le chat fabuleux (2022) - 3.75/6

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# Bilan :

Un mois assez moyen, tant au niveau de la quinzaine Saint Valentin que des deux semaines suivantes : pas beaucoup de films véritablement mauvais, mais pas non plus énormément de métrages se démarquant du lot.

Hallmark m'a agréablement surpris avec Two Tickets to Paradise, une comédie romantique très décontractée et ludique, à mettre en contraste avec Ticket to paradise, la rom-com de Julia Roberts et George Clooney, plutôt décevante.

Hors comédies romantiques, on peut tout de même citer Maurice, le chat fabuleux, une adaptation animée de Terry Pratchett -  imparfaite, mais tout à fait honorable. Idem pour La légion des superhéros, une origin story intéressante de Supergirl ; ou encore Coup de théâtre, un pastiche de whodunit à l'anglaise, à la distribution très attachante, mais à l'écriture qui ne va pas assez loin.

 

# Film(s) du mois : 

Outre Jurassic Punk, un documentaire intéressant pour les amateurs de cinéma, on peut citer quatre comédies romantiques qui m'ont agréablement surpris : I want you back, une comédie mordante et gentiment corrosive ; Moonshot, un teen movie prenant place dans l'espace ; Rosaline, ou Roméo et Juliette du point de vue de l'ex de Roméo ; et Trois mille ans à t'attendre, de George Miller, une œuvre imparfaite mais très réussie visuellement...

 

# Flop(s) du mois : 

Le You People de Kenya Barris, une comédie raciale bancale et maladroite, comme la plus grande partie de l'œuvre de Barris ; Blade of the 47 Ronin, une suite fauchée et approximative d'un film déjà peu glorieux ; et, à égalité, Moriah's Lighthouse, une rom-com Hallmark plate au possible malgré ses paysages bretons, Spin Me Round, une comédie satirique indépendante qui ne parvient jamais à trouver un ton cohérent, et Meet Cute, une rom-com mâtinée de voyage temporel, qui souffre de choix d'écriture peu probants...

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# Petit écran :

Pas énormément de séries passées en revue, durant ce mois de février : la fin de la saison 1 d'Andor, que je continue malheureusement à trouver en grande partie surestimée par les critiques du Web ; I Love that for You, une satire des chaînes de télé-achat américaines, qui ressemble trop souvent à un sketch du SNL en version XXL ; l'épisode spécial Saint Valentin de Harley Quinn, pas désagréable, mais toujours phagocyté par la relation Harley/Ivy ; et les deux dernières saisons du Cuphead Show, un programme qui peine toujours à concilier son format, son ton, ses origines, sa continuité et sa narration.

 

 

Retrouvez aussi les bilans de toutes les séries critiquées jusqu'à présent en ces pages depuis l'index Séries alphabétique qui leur est consacré.

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# À venir :

En mars, programme quasiment normal sur le blog des Téléphages Anonymes : du cinéma, des séries, des documentaires, avec uniquement une petite parenthèse consacrée à l'Irlande à l'occasion de la Saint Patrick...

 

Dans l'intervalle, toutes les mises à jour du blog sont disponibles sur la page Updates, et la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog est accessible dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Les bilans de Lurdo : Le Cuphead Show ! - saison 3 (2022)

Publié le 4 Mars 2023 par Lurdo dans Action, Aventure, Animation, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Jeunesse, Les bilans de Lurdo, Netflix, Review, Télévision, USA

À peine eu le temps de passer en revue la saison 2 de la série que la saison 3 est arrivée sur Netflix au moins de novembre dernier, pour 11 épisodes au format nettement plus variable que précédemment, avec notamment une prépondérance de double-épisodes, et un épisode spécial Noël dépassant les 25 minutes.

 

Le Cuphead Show ! - saison 3 (The Cuphead Show, season 3 - 2022) :

À nouveau, une saison mi-figue mi-raisin, qui part un peu dans plein de directions plus ou moins convaincantes, avec cependant une présence plus importante du Diable et de Chalice, principalement dans la seconde moitié de la saison.

Le début de saison, en effet, est un peu anecdotique, avec un épisode qui résout le cliffhanger de fin de saison 2 de manière assez catapultée (Cuphead va chercher son frère en enfer, y sème la zizanie, et voilà...), et puis rapidement, ça retombe dans une certaine routine d'épisodes individuels de 7-8 minutes : les deux frères refusent d'ouvrir la porte à Baby Bottle, ils tentent de décrocher le rôle de Cup Rogers au théâtre, Cuphead s'improvise impresario de King Dice, etc.

Seule différence : le diable est plus présent, tentant lui aussi d'obtenir le rôle de Cup Rogers, puis infiltrant le foyer de Cuphead sous la forme d'un chat... jusqu'à l'arrivée des épisodes de Noël. Un premier épisode dans lequel Cuphead et Mugman tentent de trouver un arbre de Noël, puis l'épisode spécial Noël de 25 minutes, totalement centré sur le Diable.

Ce dernier tente ainsi de passer sur la liste des enfants sages du Père Noël, et finit par prendre la place de ce dernier pour effectuer la tournée de Noël. Plutôt joli visuellement, amusant, plein de clins d'œil à certains classiques festifs, des chansons - une réussite, en somme.

Et puis arrive la dernière ligne droite de la saison (trois épisodes), avec le retour de Chalice, une Chalice qui a droit à une origin story (assez moyenne) expliquant ses pouvoirs (elle a fait un pacte avec le diable), et qui est placée, en fin de saison, en face d'une décision de taille : sacrifier les âmes de Cuphead et Mugman, ou risquer d'être envoyée immédiatement en Enfer.

Malheureusement, si un peu plus de continuité est toujours une bonne chose, il faut bien avouer que les enjeux sont limités, et la manière dont Chalice se sort de cette situation (elle défie le Diable à un concours de danse, et finit par être sauvée par Cuphead au cours d'un jeu de pierre-feuille-ciseaux) semble un peu facile et catapultée, avec une Chalice qui se découvre soudainement une conscience (un développement de ce personnage jamais totalement mérité, la faute à une caractérisation globale assez sommaire).

À la fin de cette saison 3, donc, The Cuphead Show se trouve dans une situation bancale : la série est fascinée par son diable incapable et balbutiant, et lui consacre toujours plus de temps, mais il en résulte un manque total de menace et d'enjeux pour le reste des personnages.

On se retrouve donc avec un paquet d'épisodes unitaires sans grand intérêt à part un peu de slapstick brouillon, et avec quelques épisodes sérialisés sans réels enjeux. Alors certes, comme dans la saison précédente, dès que la série se donne le temps de respirer et de développer son monde dans des épisodes plus longs (ici, l'épisode de Noël), ça devient tout de suite plus intéressant, mais ce n'est clairement pas à l'ordre du jour de manière plus régulière... et c'est bien dommage.

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Retrouvez aussi toutes les autres séries passées en revue sur ce blog en cliquant ici.

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Un film, un jour (ou presque) #1783 : Maurice le chat fabuleux (2022)

Publié le 3 Mars 2023 par Lurdo dans Animation, Aventure, Comédie, Critiques éclair, Cinéma, Fantastique, Review, Jeunesse, UK, USA, Allemagne

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Maurice le chat fabuleux (The Amazing Maurice - 2022) :

Chat sarcastique doué de parole suite à un incident magique, Maurice (Hugh Laurie) accompagne Keith (Himesh Patel), un humain joueur de flûte, et une troupe de rats eux aussi doués de parole et d'intelligence (Gemma Arterton, David Tennant, Joe Sugg, Julie Atherton...), de ville en ville, où ils se produisent dans un numéro bien rodé leur permettant de faire croire aux habitants qu'ils sont envahis de rats et que Keith peut les sauver moyennant finances. Jusqu'à ce qu'ils arrivent à Bad Igoince, où vit Malicia (Emilia Clarke), une ville affamée victime d'une réelle invasion de rats contrôlés par une entité maléfique (David Thewlis)...

Jolie distribution vocale pour cette adaptation du roman Le Fabuleux Maurice et ses rongeurs savants de Terry Pratchett, une parodie du Joueur de flute de Hamelin prenant place dans l'univers du Disque-Monde, et ici adapté par le scénariste de Shrek, d'Aladdin et des Pirates des Caraïbes.

Une coproduction anglo-germano-américaine plutôt fidèle à l'œuvre originale, que ce soit dans l'esprit ou dans la lettre, et qui s'avère assez agréable à regarder, bien qu'occasionnellement un peu décousu et au rythme inégal. Heureusement, les doubleurs excellents et l'humour inhérent à l'œuvre de Pratchett assurent que l'on ne s'ennuie jamais.

Après, le film n'est pas dénué de défauts : le style graphique, notamment, est assez dérivatif (l'un des chasseurs de rats de la ville ressemble comme deux gouttes d'eau au Maire du Noël de Mr. Jack), et le personnage de Malicia est honnêtement assez horripilant avec ses dialogues méta qui brisent constamment le quatrième mur (je sais que c'est inhérent au personnage, mais ça passe assez mal à l'écran, même si Emilia Clarke est excellente).

Rien de rédhibitoire, cela dit, et en tant qu'adaptation de Pratchett, ce Maurice est tout à fait honorable.

3.75/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Un film, un jour (ou presque) #1782 : Jurassic Punk (2022)

Publié le 2 Mars 2023 par Lurdo dans Cinéma, Documentaire, Biographie, Critiques éclair, USA, Review

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Jurassic Punk (2022) :

Un documentaire intéressant qui revient sur la transition fondamentale du monde de l'industrie des effets spéciaux du pratique au numérique, au travers du portrait de Steve Williams, petit génie de l'imagerie numérique, responsable à 90 % (à l'en croire) de cette révolution des effets spéciaux numériques (aux côtés de Mark Dippé) au travers de ses efforts sur The Abyss, Terminator 2 et Jurassic Park, lorsqu'il était chez ILM.

Un Steve Williams clairement visionnaire et très doué, qui avait su percevoir le potentiel des effets numériques au cinéma, au point d'être responsable du passage de Jurassic Park d'un projet mixte (principalement en stop-motion) à du quasi-tout-numérique, suite à un test d'animation d'un T-Rex en CGI que Williams avait bricolé dans son coin, en dépit des remontrances de tous ses supérieurs.

Parce que c'est bien cela que l'on retient de ce portrait : le caractère de Steve Williams, insupportable, immature, capricieux, alcoolique, arrogant, bref, un sale gosse rebelle incontrôlable, qui avait quitté le Canada "trop oppressif" pour rejoindre les USA, "pays de la liberté absolue", et qui toute sa vie, s'est comporté comme un mec über-viril, vindicatif et anti-conformiste, refusant toute concession... au point d'y perdre sa carrière.

Deux fois divorcé, immergé dans l'alcool, Williams a brûlé tous ses ponts professionnels, jalousant ses collègues et ses supérieurs (y compris des grands noms de la discipline, oscarisés, contre lesquels Williams a de nombreux griefs), et aujourd'hui, il ne fait plus rien, si ce n'est regretter d'avoir ouvert la boîte de Pandore des CGI au cinéma, désormais surexploités et vidés de leur sens.

En soi, un documentaire plutôt intéressant, comme je le disais, tant pour son récapitulatif de l'histoire des CGI et d'une période charnière du secteur, que pour la personnalité horripilante mais intrigante de son protagoniste. On pourra toujours reprocher au film de prendre pour argent comptant l'histoire de son sujet, et de se ranger bien souvent à ses dires, mais comme le tout se termine par un constat assez dépressif et malheureux pour lui, ça s'équilibre un peu.

4/6 

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Un film, un jour (ou presque) #1781 : Blade of the 47 Ronin (2022)

Publié le 1 Mars 2023 par Lurdo dans Action, Cinéma, Critiques éclair, Japon, Fantastique, Review, USA

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Blade of the 47 Ronin (2022) :

Lorsque Yurei (Dan Southworth), un sorcier maléfique, décide de rompre une paix millénaire entre Samurais et Sorciers, et de réunir les deux moitiés d'une épée légendaire qui le rendrait invulnérable : il s'en prend donc aux derniers représentants des familles ancestrales du Japon, pour finir par jeter son dévolu sur Luna (Anna Akana), une jeune Américaine d'origine japonaise qui ne connaît rien de ses origines. Onami (Teresa Ting), l'une des geishas combattantes de Lord Shinshiro’s (Mark Dacascos), est alors contrainte de prendre cette dernière sous son aile pour la former au combat en quelques jours à peine...

Un DTV d'action co-écrit par Aimee Garcia (actrice aperçue dans Dexter et Lucifer) et par AJ Mendez (ancienne catcheuse et épouse de CM Punk), produit par Universal 1440 (la branche d'Universal qui produit de mauvaises suites vidéo des licences cinématographiques du studio, pour un budget minimal), et voulu, initialement, comme une suite indirecte à 47 Ronin, le flop de 2013 mettant en scène Keanu Reeves dans un Japon médiéval fantastique.

Ici, plus de Moyen-âge ni de Japon, budget oblige, mais le Budapest d'aujourd'hui, pour une histoire insipide et mal foutue qui se déroule 300 ans après le film original, et lui est à peine liée.

Et tout de suite, dès les premières scènes, les limites budgétaires du projet apparaissent : post-synchro approximative, beaucoup de sang et de gore numérique, des éclairages au néon ultra-contrastés, une interprétation raide, des chorégraphies parfois molles, plein de ralentis poseurs dans la mise en scène, et une vision assez weeb du Japon, du monde de la pègre locale et de l'histoire du pays.

Autant dire que ça ne m'a pas du tout convaincu, d'autant que le script mollasson tente une feinte très évidente au sujet d'Akana, qui finit par ne pas servir à grand chose du tout dans le film (et pourtant, j'aime bien la demoiselle).

2/6 

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