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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #abc family catégorie

Un film, un jour (ou presque) #1361 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Dans ses rêves (2005)

Publié le 9 Février 2021 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Review, Romance, Télévision, USA, St Valentin, ABC Family

Pendant deux semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques...

Dans ses rêves (Everything you want/Love Surreal - 2005) :

Dotée d'un tempérament artistique et d'un caractère rêveur, Abigail (Shiri Appleby) a fini par s'imaginer un petit-ami parfait, Sy (Orlando Seale), qui l'accompagne depuis son enfance jusqu'à l'âge adulte, à la faculté d'art. Cependant, lorsqu'elle rencontre Quinn (Nick Zano), un étudiant arrogant et antipathique, elle se retrouve à lui servir de tuteur et à devoir passer du temps avec lui... de quoi leur permettre de se rapprocher, malgré des tempéraments radicalement différents.

Une comédie romantique télévisée diffusée en 2005 sur ABC Family, et particulièrement datée de son époque : la mode, les coiffures trop travaillées, la musique pop-rock insipide, le casting masculin exempt de tout charisme, tout renvoie directement au début des années 2000, pour le meilleur et pour le pire.

Le meilleur étant une Shiri Appleby à peine sortie de Roswell, attachante et radieuse, le pire étant... un peu tout le reste. Notamment un couple principal qui ne fonctionne pas du tout, en mode rivalité/hostilité pendant plus d'une demi-heure, jamais compensé par la moindre alchimie.

Pas aidé par une écriture plate et un personnage trop souvent premier degré, Zano a en effet tout du cliché du jock balourd, qui finit par révéler qu'il est sensible, artistique et intelligent ; de son côté, Orlando Seale n'est guère plus marquant ou convaincant, en petit-ami imaginaire british et jaloux, et n'a pas plus d'alchimie avec Appleby. Idem pour K.C. Clyde, le patron, tout aussi générique et transparent.

Résultat : tout le côté romance et triangle amoureux du métrage tombe un peu à plat, et malgré les efforts d'Appleby et des autres (Alexandra Holden, notamment, mais aussi Will Friedle, franchement amusant en meilleur copain déglingué de Quinn), le ton global du film reste incertain, oscillant entre légèreté caricaturale (tout le monde joue, à un moment ou à un autre, de manière un peu outrée ; les parents d'Abigail décorent leur future tombe de décorations de Noël, et les scènes de Friedle partent dans des directions improbablement cartoonesques) et absence totale de plausibilité (personne ne s'inquiète vraiment de la relation psychologiquement problématique d'Abigail et de Sy, pour qui elle cuisine, se fait belle, fait semblant de le cacher aux yeux des autres, avec qui elle se dispute, etc).

Bref : je vois bien quelle était l'idée du film (le passage à l'âge adulte, tout ça), c'est gentillet, mais je n'ai pas vraiment accroché au tout, malgré une atmosphère hivernale et festive (neige, Thanksgiving, etc) pas désagréable, et quelques moments amusants.

2.5/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Christmas Yulefest 2017 - 44 - Clarence (1990)

Publié le 20 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Yulefest, Noël, Christmas, Télévision, ABC Family, Comédie, Religion, Drame, Canada, USA, Nouvelle-Zélande

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Clarence :

Lorsque Clarence Odbody (Robert Carradine), l'ange qui avait autrefois aidé George Bailey, accepte de sortir de sa semi-retraite pour empêcher le suicide de Rachel (Kate Trotter), la jeune veuve de Jeremy (Richard Fitzpatrick), un autre ange, il ignore à quoi s'attendre. Et voilà donc Clarence qui découvre l'Amérique urbaine de la fin des années 80, tout en séjournant avec Rachel et ses deux enfants (Nicolas Van Burek & Jamie Rainey), victimes de l'acharnement professionnel d'un businessman ambitieux (Louis Del Grande)....

Au rayon des suites inutiles que personne n'avait jamais demandées, voici donc Clarence, un téléfilm canado-américano-néo-zélandais diffusé sur l'équivalent du ABC Family de la fin des années 80, réalisé par un habitué des productions télévisuelles Henson, et se proposant comme une suite directe au classique de Noël, La Vie est Belle de Capra.

Et comme si cette idée n'était pas déjà assez mauvaise en soi, la production nous place cette suite dans le milieu des jeux vidéo de 1989 (grosse rigolade, avec du recul), avec un ange maladroit et décalé, qui prend brièvement l'apparence d'un adolescent au lycée et qui embrasse la femme qu'il est supposée sauver/protéger, et avec un Joseph (le supérieur hiérarchique de Clarence) incarné par un jeune pré-ado typiquement 80s, sarcastique et horripilant.

Ajoutez à cela une atmosphère festive totalement absente (il y a trois flocons de neige miteux, vers la fin), un rendu visuel particulièrement fauché et daté, une interprétation inégale, un rythme mollasson, et un manque total d'intérêt, et on comprend sans problème que ce téléfilm soit désormais quasiment introuvable, et n'ait jamais été réédité depuis l'époque de la VHS.

1.75/6

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Comme toujours, retrouvez la liste complète (et mise à jour avec les titres français) des films de Noël déjà passés en revue sur ce blog les années précédentes, en consultant notre Index Christmas Yulefest disponible ici...

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Un film, un jour (ou presque) #494 : Une Célibataire à New York (2003)

Publié le 17 Avril 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, ABC Family, Review, Comédie, Télévision, Romance

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Une Célibataire à New York (See Jane Date) :

Éditrice dans une maison de publication new-yorkaise, Jane (Charisma Carpenter) n'a que quelques semaines pour trouver l'homme de ses rêves, à temps pour l'union de sa cousine Dana (Kim Schraner), à laquelle elle a été invitée. Mais entre sa famille insupportable, sa vie professionnelle compliquée - sa cliente, Natasha Nutley (Holly Marie Combs), actrice hollywoodienne, est aussi son ancienne rivale de lycée -, et ses deux meilleures amies Eloise (Rachelle Lefevre) et Amanda (Sadie LeBlanc), qui la poussent à se caser, Jane peine à mettre de l'ordre dans son quotidien...

Une comédie romantique diffusée sur ABC Family et adaptée d'un livre à succès, qui choisit d'adopter un ton léger et peu sérieux pour raconter les mésaventures amoureuses de sa protagoniste.

Malheureusement, ce téléfilm a de nombreux défauts, au nombre desquels Charisma Carpenter : non pas qu'elle joue mal, au contraire, elle est même attachante... mais il y a un véritable problème de réalisme lorsque l'on essaie de nous faire croire que Charisma/Jane - ultra-sexy, constamment dans des tenues particulièrement flatteuses, souriante, drôle, sympathique, facile à approcher, intelligente, etc - n'a aucun succès en amour.

Pire, on nous demande de croire que, parmi les nombreux hommes qu'elle croise durant le film, pas un ne soit particulièrement intéressé par elle - enfin si, un, Antonio Sabato Jr (par ailleurs calamiteux dans son rôle)... qui la trompe aussitôt.

Léger problème de crédibilité, donc, qui explique d'ailleurs probablement pourquoi Charisma n'a pas enchaîné les rom-coms dans sa carrière, alors que son style de jeu est particulièrement approprié à ce genre : elle est trop sexy pour ce genre de rôle, qui demande souvent une héroïne jolie-mais-pas-trop, à laquelle toutes les spectatrices peuvent s'identifier.

Mais passons. Ce téléfilm, donc, prend des allures épisodiques, enchaînant les rendez-vous manqués avec bon nombre de visages familiers (Joshua Malina, Zachary Levi, Sabato, etc).

Cela ne fonctionne pas trop mal en soi, d'autant que la distribution secondaire du film est assez sympathique : Rachelle Lefevre, Yannick Bisson, Yanic Truesdale... ; à l'identique, Holly Marie Combs est excellente, et donne corps à un personnage moins cliché qu'il ne semblait l'être à l'origine (à vrai dire, la vrai histoire d'"amour" du film, c'est entre elle et Jane, qui se réconcilient et apprennent à s'apprécier).

On ne peut pas en dire autant de tous les autres personnages secondaires : outre les deux meilleures copines de Jane, Natasha, et Max, tous ces protagonistes sont envahissants, insupportables, caricaturaux, etc, notamment la famille de Jane, qui n'a même pas droit à une scène bien sentie durant laquelle Jane la remettrait en place.

C'est d'ailleurs peut-être là l'autre problème du film : Jane est une serpillière. Elle se fait insulter/critiquer, on se moque d'elle, on la blesse sentimentalement, on la trompe, et Jane se contente trop souvent d'encaisser, passive et transparente.

Assez frustrant, surtout avec la fin du métrage, qui tente de se présenter comme une coïncidence heureuse, mais qui a des faux airs de "on sait ce qui est bon pour toi, alors continue de rester passive, et fais ce qu'on te dit".

2.5/6 (principalement pour la distribution)

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Halloween Oktorrorfest 2016 - 123 - Teen Witch (1989) & L'Initiation de Sarah (2006)

Publié le 2 Novembre 2016 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Télévision, ABC Family, Comédie, Thriller, Fantastique, Halloween, Jeunesse

Halloween, c'est terminé, et jusqu'à la fin de la semaine, on achève l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme la fin de ce marathon de cinéma fantastique et d'horreur qui a duré un peu moins de deux mois, de mi-Septembre à début Novembre...

Teen Witch :

Lycéenne timide et complexée, Louise (Robyn Lively) découvre qu'elle possède des pouvoirs magiques qu'elle pourra utiliser dès le jour de ses 16 ans. Aussitôt, elle les exploite pour obtenir ce qu'elle a toujours désiré : être populaire au lycée, et conquérir le coeur de Brad (Dan Gauthier), le sportif le plus populaire de l'établissement. Mais bien vite, son comportement se retourne contre elle...

Spin-off officieux de la série des Teen Wolf (le film a été conçu comme une déclinaison féminine des deux Teen Wolf, avant d'être transposé des garous aux sorcières), ce métrage est tellement daté "années 80" qu'il en est devenu involontairement culte ; générique de début périmé, histoire insipide grandement calquée sur les Teen Wolf (avec Jean-Pierre Stevens dans le rôle du père, et Zelda Rubinstein dans celui d'une voyante), passages musicaux involontairement hilarants (des rap battles épiques !) et à la chorégraphie bancale, tenues improbables, bande originale au saxophone, bref : c'est objectivement calamiteux, mais subjectivement, c'est tellement kitsch que ça en devient incontournable... au second degré.

1.5/6

L'Initiation de Sarah (The Initiation of Sarah) :

Deux soeurs, Sarah (Mika Boorem) et Lindsay (Summer Glau), arrivent à l'université, et sont impatientes d'intégrer Alpha Nu, une sororité à laquelle leur mère (Morgan Fairchild) appartenait autrefois, et qui est désormais dirigée par Corrine (JoAnna Garcia). Mais en parallèle, Eugenia Hunter (Jennifer Tilly) gère la sororité Pi Epsilon Delta, et elle aussi est intéressée par les deux arrivantes : en effet, Sarah et Lindsay ont des pouvoirs inexplicables, et le campus va bientôt se transformer en champ de bataille lors d'un affrontement de sorcières et de maisons rivales...

Remake d'un téléfilm de 1978, ce téléfilm ABCfamily vaut surtout pour sa distribution sympathique (même si Boorem et Glau n'auront jamais l'air de soeurs, ni d'être les filles de Fairchild) ; car s'il a beau être très regardable, bénéficier d'un budget confortable, et ne pas être trop mal écrit, il souffre aussi d'un énorme coup de mou une fois la première heure passée, et reste donc extrèmement anecdotique et dispensable.

(reste toujours la curiosité de voir une Summer Glau bimbo-ifiée, ce qui est toujours amusant)

2.75/6

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Un film, un jour (ou presque) #384 : Les Demoiselles d'honneur s'en mêlent (2010)

Publié le 17 Août 2016 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Télévision, ABC Family, Comédie

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Les Demoiselles d'honneur s'en mêlent (Revenge of the Bridesmaids) :

De passage dans leur petite ville natale du sud des USA, Abigail (Raven-Symoné) et Parker (JoAnna Garcia), deux New-Yorkaises, découvrent que leur amie d'enfance Rachel (Chryssie Whitehead) est la demoiselle d'honneur de Caitlyn (Virginia Williams), riche héritière qu'elles connaissent depuis toujours. Seul problème : Rachel est dévastée, car Caitlyn épouse son ex-fiancé Tony (Lyle Brocato). Agacées par ce mariage de raison, et par la famille prétentieuse de la mariée, Abigail et Parker décident alors de s'improviser demoiselles d'honneur, et de faire capoter cette union problématique...

Une comédie ABCFamily qui repose principalement sur l'excellent duo Raven-Symoné & JoAnna Garcia, qui font une paire très sympathique et attachante, à l'alchimie indubitable. D'ailleurs, le casting dans son ensemble est assez réussi, avec de nombreux seconds-rôles amusants (Brittany Ishibashi, notamment)...

Quel dommage alors que le film ne conserve pas son énergie et son rythme de manière satisfaisante et homogène : on se retrouve ainsi devant un métrage soufflant le chaud et le froid, alternant moments de comédie décomplexée (souvent portés par Raven) et moments relationnels plus sérieux et quelconques. Vraiment dommage.

3/6

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Christmas Yulefest 2015 - 104 - Les 12 Noël de Kate (2011)

Publié le 4 Janvier 2016 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Télévision, Christmas, Noël, Comédie, Romance, ABC Family, Fantastique

2016 est enfin là, mais comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année, jusqu'à l'arrivée des Rois Mages, le 6 Janvier...

Les 12 Noël de Kate (12 Dates of Christmas) :

La veille de Noël, Kate (Amy Smart) est bien décidée à reconquérir le coeur de son ex, Jack (Benjamin Ayres), quitte à mettre en péril la blind date arrangée avec Miles (Mark-Paul Gosselaar) par ses proches. Mais Kate est trop égocentrée pour son propre bien, et la journée est un désastre. Heureusement, un tour du destin lui permet de revivre, à douze reprises, cette veille de Noël, sans nulle autre conséquences : à Kate de faire son possible pour transformer cette journée catastrophique en journée magique et inoubliable...

Encore une nouvelle version d'Un Jour Sans Fin, cette fois-ci signée ABC Family et qui, après une mise en place assez médiocre chargeant un peu trop son héroïne dans le registre "égoïste, superficielle et égocentrique" (au point de presque parvenir à la rendre antipathique malgré le charme d'Amy Smart), finit par trouver son rythme de croisière et par dérouler sa mécanique éprouvée.

Absolument rien de révolutionnaire ou d'innovant, mais pour un téléfilm de ce type, forcément dérivatif, ça fonctionne assez bien, et ça exploite très bien le capital sympathie de Smart et de Gosselaar, en les entourant de personnages secondaires amusants et intéressants.

3.75/6

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Christmas Yulefest 2015 - 89 - Un Fiancé pour Noël (2007)

Publié le 30 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Télévision, ABC Family, Christmas, Noël, Comédie, Romance

Noël est passé, mais comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Un Fiancé pour Noël (Holiday in Handcuffs) :

Trudie Chandler (Melissa Joan Hart) est une artiste ratée, qui perd sa place de serveuse et son riche fiancé la veille de Noël, alors qu'elle est sur le point de rejoindre sa famille en compagnie de ce dernier, pour aller passer les fêtes dans le chalet des Chandler. Victime de folie passagère, Trudie kidnappe alors le séduisant David (Mario Lopez), un client de son restaurant, et l'oblige à se faire passer pour son fiancé pendant les quelques jours de cette réunion familiale. Mais progressivement, malgré les événements, Trudie et David vont finir par se rapprocher l'un de l'autre...

"Syndrôme de Stockholm : la comédie" : voilà comment aurait pu s'appeler cette farce improbable, qui a le mérite d'être plus décalée et excentrique que la moyenne du genre.

Ce qui est une force (les personnages secondaires sont tous plus ou moins barrés et caricaturaux, et donc intéressants), mais aussi une grosse faiblesse, car le script tente de rendre crédible la relation des deux protagonistes, ainsi que sa métamorphose progressive, tout en la faisant coexister avec le grand n'importe quoi général... ce qui ne fonctionne pas.

D'autant que pour fonctionner, cette relation doit reposer totalement sur le charme, le charisme et l'alchimie des deux acteurs principaux... et que si Mario Lopez est assez sympathique, je dois dire que je suis nettement plus dubitatif sur Melissa Joan Hart.

Peut-être est-ce parce que je n'ai jamais fait partie du fan-club de Sabrina la sorcière ; que je la trouve particulièrement quelconque et terne, notamment dans ce film ; que son personnage agit de manière tellement outrancière dès le début du film, avant même sa folie passagère, que je n'arrive pas du tout à prendre son parti par la suite ; ou tout simplement qu'elle n'a pas vraiment d'alchimie avec Lopez... mais pour faire simple, je ne l'ai pas du tout appréciée dans ce film, et je n'a pas cru un seul instant à l'évolution de cette romance assez forcée.

Au point que, par moments, j'en venais à regretter que ce ne soit pas Vanessa Evigan (qui joue ici la soeur de Trudie, et qui, IRL, est accessoirement la soeur de Briana Evigan) la protagoniste de ce film, plutôt que d'être à ce point inexploitée.

2.5/6 (probablement plus si l'on est un fan de Melissa Joan Hart)

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Christmas Yulefest 2015 - 35 - L'Assistant du Père Noël (2015)

Publié le 12 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Télévision, ABC Family, WWE, Comédie, Romance, Action

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

L'Assistant du Père Noël (Santa's Little Helper) :

Dax (The Miz), un cadre arrogant, vantard et sans pitié, est renvoyé à quelques jours de Noël, et est sur le point de tout perdre lorsqu'une charmante blonde, Billie (AnnaLynne McCord), sonne à sa porte, pour lui proposer un marché irrésistible : s'il parvient à passer les quelques épreuves qu'elle va lui proposer, alors une carrière de rêve s'offrira à lui. Dax accepte sans hésiter, sans se douter que Billie est une elfe du Père Noël (Eric Keenleyside), qui cherche un successeur à son maître d'atelier... mais la jalouse Eleanor (Paige), fille de l'ancien maître d'atelier, est bien décidée à hériter du poste de son père, et à empêcher Dax de remporter celui-ci.

La précédente comédie de Noël de The Miz, Christmas Bounty, diffusée sur ABC Family, était particulièrement mauvaise, jamais vraiment crédible, festive, ou drôle, et avec un Miz encore assez moyen dans son interprétation. Ici, le téléfilm est à destination d'USA Network, et s'avère un programme clairement meilleur... ce qui ne veut pas forcément dire grand chose.

Le problème n'est pas dans la distribution - Miz est encore un peu raide et mécanique dans sa diction, mais il s'est amélioré ; McCord est enthousiaste et sympathique ; et Paige, de manière peu surprenante, est convaincante en elfette raleuse et mécontente, bien que les pointes de ses oreilles soient trop bronzées pour être raccords avec sa peau d'albâtre - mais bien dans le reste de la production, et surtout dans l'écriture très faiblarde : sur l'heure trente de métrage, on a près d'une heure durant laquelle Miz passe des épreuves creuses et insipides, tournées pour pas cher en Californie ; puis il apprend l'existence de Santa, on a droit à quelques scènes façon Un Conte de Noël ou La Vie Est Belle, et Miz part au Pôle Nord, où il affronte enfin Paige, jusque là quasi-inexistante.

Et alors que cet affrontement, s'il avait été bien écrit, ou si Paige avait été utilisée comme une antagoniste récurrente pendant tout le film, aurait pu être très distrayant, il se traduit à l'écran par un parcours du combattant mollasson dans une forêt verdoyante, alors que les habitants du Pôle Nord regardent le tout (en surjouant l'excitation) depuis une salle multimédia, devant un écran géant.

Bref, le script donne vraiment l'impression d'un premier jet de scénario mis en production hâtivement, avec des dialogues maladroits et des scènes inutiles, et filmé à la va-vite, sans grand budget, avant d'être illustré musicalement comme un mauvais téléfilm des années 90s.

Assez frustrant, car il y avait là le potentiel d'un film de Noël sympathique et décomplexé, en résumant par exemple les "épreuves" à la première demi-heure de film, en faisant de Paige un personnage plus présent et manipulateur, ou en passant plus de temps au Pôle Nord... mais en l'état, le tout se regarde, sans être particulièrement calamiteux.

C'est juste particulièrement médiocre... ce qui est toujours mieux que Christmas Bounty.

2.5/6

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Christmas Yulefest 2015 - 26 - Un Noël pour l'Éternité (2006)

Publié le 9 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Fantastique, Télévision, ABC Family, Romance

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Un Noël pour l'Éternité (Christmas Do-Over) :

Les fêtes de Noël sont là, mais comme toujours, Kevin (Jay Mohr) a oublié d'acheter un cadeau pour son fils Ben (Logan Grove), et doit s'y prendre à la dernière minute ; pour ne rien arranger, il doit ensuite retrouver Ben, son ex-femme Jill (Daphne Zuniga), et le nouveau compagnon de celle-ci, Todd (David Millbern), chez les parents de Jill (Adrienne Barbeau et Tim Thomerson), une expérience qui ne l'enchante pas le moins du monde. Mais cette fois-ci, Kevin va avoir une chance inespérée (et surnaturelle) : il va devoir revivre cette journée en boucle, jusqu'à ce qu'il cesse de se comporter en père indigne, et trouve enfin le bonheur...

Un remake "adulte" de Tous les Jours Noël (1996) pour ABC Family... ce qui en fait donc un bon gros "photocopillage" d'Un Jour Sans Fin : Un Noël pour l'Éternité est ultra-convenu et déjà vu, et sans réel charme ou intérêt, mais relativement regardable.

Du moins, si l'on fait abstraction de la toute fin du métrage, qui préfère (spoilers) réunir les parents séparés pour une happy end typiquement "famille nucléaire traditionnelle", quitte à tout simplement "oublier" l'existence de Todd, le petit-ami de la mère, bien sous tous rapports, attentionné, prévenant, bref, l'homme idéal, qui disparaît tout simplement du film sans autre formalité.

Aberrant, et la preuve de scénaristes plus préoccupés par le respect des conventions que par la logique.

2.5/6

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Christmas Yulefest 2015 - 24 - À la Poursuite de Noël (2005)

Publié le 8 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Fantastique, Télévision, ABC Family

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

À la Poursuite de Noël (Chasing Christmas) :

Jack Cameron (Tom Arnold) est un divorcé amer et bougon, qui déteste les fêtes de fin d'année depuis que son épouse l'a quitté ; les autorités du Bureau des Affaires Festives dépèchent alors le Fantôme des Noëls Passés (Leslie Jordan) pour rappeler à Jack le vrai sens de Noël, mais l'esprit déprimé en a plus qu'assez de cette mission épuisante, et il décide soudain de démissionner, laissant Jack seul dans les années 60. Le Fantôme des Noëls Présents (Andrea Roth) doit alors tout faire pour retrouver Jack dans le passé et pour le ramener à son époque, sans oublier de le faire changer d'avis sur les fêtes de Noël...

Un téléfilm ABC Family qui reprend le Conte de Noël de Dickens, et lui apporte suffisamment d'originalité et de variations pour rester sympathique et agréable à suivre, en renversant notamment le point de vue du Conte en question pour adopter celui des Esprits.

C'est gentillet, un peu cabotin, et malheureusement un peu trop fauché pour totalement convaincre, mais ça se regarde tout de même sans trop d'ennui.

3.25/6

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Christmas Yulefest 2015 - 17 - Les Amoureux de Noël (2005)

Publié le 6 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, ABC Family

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Les Amoureux de Noël (Christmas in Boston) :

Gina (Marla Sokoloff) et Seth (Patrick J. Adams) se connaissent depuis 13 ans, lorsqu'ils sont devenus correspondants. Depuis, ils ne se sont jamais rencontrés, ni ne se sont parlés au téléphone, mais ils sont pourtant épris l'un de l'autre. À l'occasion d'un salon du jouet à Boston, où vit Gina, Seth lui donne rendez-vous en ville à l'approche des fêtes de Noël... mais ni Gina ni Seth n'osent se présenter. Gina envoie son amie Ellen (Lindy Booth) se faire passer pour elle, tandis que Seth, lui, envoie Matt (Jonathan Cherry) tenir son rôle. Et pendant qu'Ellen et Matt tombent amoureux l'un de l'autre, au grand dam de Gina et de Seth, ces deux derniers finissent par se croiser sous des noms d'emprunt, et par faire connaissance...

Une comédie romantique de Noël diffusée sur ABC Family en 2005, et qui enchaîne les quiproquos de boulevard sympathiques, mais pas particulièrement mémorables.

Néanmoins, si le film souffre par ailleurs un peu d'une distribution masculine générique et oubliable, il bénéficie cependant d'un duo principal féminin (Booth et Sokoloff) adorable et attachant, qui est pour beaucoup dans l'intérêt du métrage.

3.25/6

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Christmas Yulefest 2015 - 12 - De Mémoire de Père Noël (Le Secret du Père Noël 2 - 2008)

Publié le 4 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, ABC Family

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

De mémoire de Père Noël (Le Secret du Père Noël 2 / Snow 2 : Brain Freeze) :

Trois jours avant Noël, Nick Snowden (Tom Cavanagh), le nouveau Père Noël, se dispute avec son épouse Sandy (Ashley Williams), et traverse alors un miroir magique. Lorsqu'il en émerge, il a perdu la mémoire et tout oublié de sa réelle identité. À Sandy de l'aider à retrouver ses souvenirs, et à sauver Noël, tandis que Buck Seger (Patrick Fabian) fait son grand retour, bien décidé à exploiter l'amnésie de Nick à son avantage...

Suite directe du Secret du Père Noël (2004), toujours sur ABC Family, cette suite m'a nettement moins convaincu, la faute à un postulat de départ clairement capillotracté et forcé.

Dommage, parce qu'Ashley Williams a ici un rôle nettement plus important, et qu'elle est toujours très très attachante.

3/6

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Christmas Yulefest 2015 - 10 - Le Secret du Père Noël (2004)

Publié le 4 Décembre 2015 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Comédie, Romance, Jeunesse, Télévision, ABC Family, Noël, Christmas

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Le Secret du Père Noël (Snow) :

Prêt à prendre la succession de son père, le Père Noël, Nick Snowden (Tom Cavanagh) laisse malencontreusement s'échapper son renne préféré, Buddy, trois jours à peine avant Noël. Capturé par le chasseur Buck Seger (Patrick Fabian), le renne finit au zoo de San Ernesto, en Californie, sous la surveillance de la charmante Sandy Brooks (Ashley Williams), une employée de l'établissement. Bien décidé à récupérer son animal, Nick s'installe alors dans une pension de famille voisine, où il fait la connaissance d'un enfant précoce (Bobb'e J. Thompson), et tombe progressivement sous le charme de Sandy...

Un téléfilm ABC Family d'il y a maintenant plus de 10 ans, et qui bénéficie d'une distribution excellente (Cavanagh et Fabian sont excellents, comme toujours ; Ashley Williams est adorable ; et le mini-Tracy Morgan est assez amusant).

Une assez bonne surprise en tout cas, qui n'est pas trop mal rythmée, et qui, sans révolutionner quoi que ce soit, s'avère un téléfilm de Noël sympathique comme tout.

3.75/6

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Christmas Yulefest 2014 - 45 - Tous les jours Noël (1996)

Publié le 23 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Télévision, Noël, Christmas, Comédie, Fantastique, ABC Family, Jeunesse

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Tous les jours Noël (Christmas Every Day) :

Particulièrement mécontent à l'approche de Noël, Billy Jackson (Erik Von Detten) passe des fêtes de fin d'année déplorables, entre son oncle businessman venu ruiner l'économie de Greenwood Falls en ouvrant un supermarché, sa petite soeur envahissante (Yvonne Zima), et les autres jeunes de son école, qui l'humilient au basket. Jusqu'au jour où sa soeur fait un voeu, qui est exaucé : Billy doit désormais revivre le jour de Noël en boucle, jusqu'à ce qu'il ait enfin appris le véritable sens de ce jour magique.

Pas grand chose à dire au sujet de ce téléfilm ABC Family (semi-remaké en 2006 sous le titre Un Noël pour l'Éternité, avec Daphne Zuniga et Jay Mohr), qui marche clairement dans les pas de Un Jour Sans Fin, tout en étant (supposément et très librement) adapté d'une nouvelle de 1892.

Seul problème, ici, le héros est une tête à claques insupportable, qui surjoue affreusement, et dont on n'a qu'une envie : qu'il souffre un maximum avant la fin du film. Bon, je caricature un peu, mais le personnage et son interprète sont vraiment agaçants, à la fois transparent et antipathique.

En fait, hormis la petite Zima, les autres ados entourant "Billy" sont à son image : interprétation médiocre, caricatures ambulantes, etc... bref, ça n'aide nullement un métrage déjà bien balisé et prévisible, et ça se regarde vaguement, sans grand intérêt. 

En somme, c'est bien loin d'arriver à la cheville de son modèle.

2/6

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Christmas Yulefest 2014 - 22 - Un Nouveau Départ (2003)

Publié le 11 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, ABC Family

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Un Nouveau Départ (Picking Up and Dropping Off) :

Monsieur Météo, Will (Scott Wolf) n'a la garde de son fils que durant les congés scolaires ; Jane (Amanda Detmer), elle, a la garde de sa fille toute l'année, sauf durant ces mêmes vacances. Alors qu'ils se rendent tous deux à l'aéroport de Denver pour déposer et/ou récupérer leur progéniture respective à la veille des fêtes de Noël, Will et Jane se croisent, et progressivement, au fil des départs et des arrivées, une relation prudente et sincère se construit entre les deux divorcés.

Un téléfilm ABC Family de 2003 qui n'est finalement pas du tout orienté "Noël" (hormis la première rencontre à l'aéroport), puisqu'il se déroule sur un an ou deux, à toutes les saisons.

Malgré ce hors-sujet évident (le métrage a pourtant été diffusé dans le cadre des "25 Jours de Noël" de la chaîne), le tout se regarde étrangement bien, réussissant à décrire de manière assez jolie et subtile les difficultés éprouvées par les divorcés pour se reconstruire romantiquement... et ce malgré les clichés inhérents au genre de la rom-com tv.

Bref, le couple principal est convaincant et attachant, les seconds rôles sympathiques et en fin de compte, c'est tout à fait honorable pour ce que c'est.

3.5/6

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Christmas Yulefest 2013 - 40B - Or, Myrrhe, Encens, etc... (2)

Publié le 6 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Aventure, Fantastique, Norvège, 1001 Nuits, Télévision, Hallmark, CBS, Religion, Comédie, Romance, TNT, Jeunesse, Musique, Drame, UK, France, PaxTV, Lifetime, ABC Family

Après Noël, la Nouvelle Année est arrivée, et avec elle, la Christmas Yulefest annuelle a continué sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël... Mais aujourd'hui, alors que les Rois Mages font leur arrivée, il est temps de mettre un terme à la Yulefest, en liquidant tout ce qui me restait à voir dans le genre. Attention : fourre-tout ! 

Le Secret de l'Étoile du Nord (Journey To The Christmas Star - 2012) :

Une jeune fille courageuse part dans une quête épique à la recherche de l'Étoile de Noël, afin de sauver son royaume d'une malédiction, et de retrouver une princesse légendaire perdue à jamais... 

Conte de fée norvégien de 75 minutes à peine, tout compris, ce film propose de somptueux décors naturels, et des costumes particulièrement réussis ; dommage alors que le récit soit vraiment simpliste au possible : on sent bien les origines traditionnelles de l'histoire, avec son héroïne qui virevolte de rencontre en rencontre sans la moindre difficulté, recevant l'aide de tout le monde après trente secondes de discussion, sans le moindre effort.

Dommage que ces aventures et personnages n'aient pas été remis au goût du jour, et développés un peu plus, cela aurait fait un film un peu plus consistant pour les adultes.

3.5/6

Les Mille et une Nuits (Arabian Nights - 2000) :

Pour retarder son exécution, Sherahazade narre plusieurs histoires légendaires à son sultan, au nombre desquelles les contes d'Aladdin et d'Ali Baba...

Une mini-série Hallmark de trois heures, avec un budget conséquent, de nombreux visages connus (Tcheky Karyo, Jason Scott Lee, John Leguizamo, Dougray Scott, James Frain, Rufus Sewell, Andy Serkis, Amira Casar, Oded Fehr, James Callis, etc), et une bande originale excellente de Richard Harvey.

Malheureusement, si cette version pluri-culturelle des 1001 Nuits a des qualités certaines, notamment visuelles, elle a aussi un bon paquet de défauts, mini-série produite par les Halmi oblige : la post-synchronisation est particulièrement médiocre ; les acteurs blancs et anglais maquillés pour paraître arabes, ça passe assez moyennement ; l'interprétation est assez inégale, tout comme l'est, globalement, l'intérêt général du métrage, particulièrement dépendant de la réussite de chaque segment. Et bien sûr, comme il est d'usage dans ce genre de mini-séries, ça prend très largement son temps...

3/6

Saint Nicolas et le Nouveau Monde (Santa And Pete - 1999) :

L'histoire de Saint Nicolas et de Pierre le Noir, ainsi que la transformation de Nicolas en Santa à son arrivée aux USA, telle que racontée de nos jours par un grand-père à son petit-fils de dix ans....

Un téléfilm CBS diffusé en 1999, adapté du roman de Christopher Moore, et qui s'avère plutôt réussi visuellement.

Le récit met l'accent sur la tolérance raciale et la coopération entre les peuples, la musique d'Alan Williams est réussie (bien que dérivative), et le tout se regarde sans difficultés, offrant un regard intéressant et assez rare sur les origines de Santa Claus.

Malheureusement, tous les apartés dans le présent, avec James Earl Jones, ont tendance à plomber un peu le tout, notamment par leur écriture un peu simpliste (d'ailleurs, l'écriture de tout le téléfilm a un peu trop tendance à se montrer moralisatrice et didactique).

4.25/6 

Christmas in Connecticut (1992) :

La star d'une émission de cuisine, qui depuis des années prétend être un chef alors qu'elle ne sert rien cuisiner, doit passer les fêtes de Noël en compagnie d'un ranger séduisant, et d'une famille fictive, pour lui cuisiner, en direct, un repas de Noël... 

Un téléfilm de 1992, diffusé sur TNT, et réalisé par Arnold Schwarzenegger himself, qui s'attaque ici à un remake d'un film de 1945.

Autant dire que la tâche est considérable, et le résultat, hum... disons qu'il est, au mieux, assez discutable.

Les acteurs connus se succèdent dans des rôles plus ou moins importants (Kris Kristofferson, Tony Curtis, Richard Roundtree...) et le tout se déroule de manière assez bruyante et outrée. Cela dit, le dernier quart du métrage fonctionne plus ou moins, mais je n'ai pu m'empêcher de me demander qui était vraiment responsable de la réalisation du film : Schwarzie ou quelqu'un d'autre de non-crédité.

2.25/6

Enfants Non Accompagnés (Unaccompanied Minors - 2006) :

Une bande d'enfants non-accompagnés se trouve coincée dans un aéroport à Noël, loin de leur famille, et décide de s'inventer un Noël bien à eux, tout en semant une certaine pagaille...

Paul Feig se prend pour John Hughes, avec cette comédie familiale sympathique, qui ressemble à un mélange de Home Alone, The Terminal & The Breakfast Club.

Un film qui est totalement passé inaperçu, globalement très mal reçu par les critiques américains, et qui pourtant s'avère assez attachant, grâce à sa distribution pleine de visages connus (notamment issus de The Office), et au fait que ce métrage a très bon fond.

Il est probable que si ce Unaccompanied Minors était sorti dans les années 80 ou 90, il serait aujourd'hui considéré avec beaucoup de nostalgie et d'attachement.

4.25/6

Casse-Noisette (The Nutcracker - 1993) :

La veille de Noël, la jeune Marie s'endort en rêvant d'un monde de jouets enchantés, où le beau Casse-Noisettes est là pour la sauver du maléfique Roi des Souris...

Version filmée/adaptée des chorégraphies et de la mise en scène de George Balanchine, cette production peut surprendre de par son adhérence prononcée à la mise en scène théâtrale, tout le film étant filmé comme une pièce de théâtre en direct, avec arrière-plans et décors peints.

Qui plus est, c'est vraiment une adaptation fidèle du spectacle, uniquement portée par la musique de Tchaikovski, et par une voix off ponctuelle de Kevin Kline. Pas désagréable si l'on sait à quoi s'attendre, si l'on aime le ballet et la danse, et si le simple fait de retrouver Macauley Culkin en Casse-Noisettes suffit à contrebalancer son interprétation en ilotage automatique... mais ça reste très inégal.

3.25/6

Les Enfants de Timpelbach (2007) :

Insupportables, les enfants de la ville de Timpelbach sont un jour laissés livrés à eux-mêmes par leurs parents... mais bien vite, une guerre éclate dans la petite ville désertée...

Interprétation assez inégale (forcément, avec des enfants de tous âges) dans ce long-métrage français qui s'avère pourtant fortement sympathique, tant pour ses partis-pris artistiques intemporels et décalés, que pour son refus des compromis.

4.25/6

Lost Christmas (2011) : 

À Manchester, à l'approche de Noël, un mystérieux vagabond au savoir et aux pouvoirs étranges aide un groupe d'individus disparates à retrouver ce qu'ils ont perdu, et, par magie, à changer leur destinée...

Un film anglais de 2011 avec de nombreux visages connus (Eddie Izzard, Jason Flemyng...), et qui joue la carte du drame froid et glacial (que ce soit par la musique ou le rendu visuel), pour un résultat qui, pourtant, fonctionne joliment au final, et évite le pathos.

4/6

Le Mensonge de Noël (A Holiday For Love/Christmas In My Hometown - 1996) :

Un businessman arrive dans une petite ville pour liquider les employés d'une usine, mais avant de pouvoir s'atteler à cette tâche ingrate, il est pris pour un riche investisseur venu sauver la ville, et il s'entiche de l'une des employées, mère célibataire...

Téléfilm CBS de 1996, qui n'a pas trop vieilli visuellement, avec Melissa Gilbert et une toute petite (et adorable) Michelle Trachtenberg dans le rôle de sa fille.

D'ailleurs, c'est bien Michelle qui emporte le morceau avec son personnage, et donne un dynamisme et un ton enjoué à tout le métrage.

Et comme en plus c'est plein de bons sentiments, sans être trop dégoulinant, que la distribution est convaincante et attachante, et que les décors naturels sont jolis, ça donne un résultat ma foi plutôt sympathique.

4/6

The Santa Trap (2002) :

Désireux de prouver à leurs parents que le Père Noël existe, deux enfants installent des pièges chez eux, et capturent Santa. Mais quand celui-ci finit en prison, un quiproquo improbable se met en place...

Téléfilm de 2002 diffusé sur Pax TV, cette comédie familiale bénéficie d'une distribution assez intéressante (Shelley Long, Dick Van Patten, Stacy Keach, Adrienne Barbeau, Corbin Bernsen...), mais ne décolle jamais vraiment, malheureusement, la faute à une interprétation très inégale (Shelley Long, notamment, est très mauvaise), ainsi qu'à un budget et à une réalisation limités.

1.75/6 

A Song For The Season (aka Holiday Romance - 1999) :

Une prof de musique s'entiche d'un administrateur venu mettre un terme à son programme musical, dans le cadre de coupes budgétaires ; en parallèle, elle se rapproche de la nièce de celui-ci, avec qui elle compose et écrit la chanson de Noël du lycée...

Un drama assez laborieux diffusé sur la chaîne Lifetime en 1999, mais qui donne l'impression d'avoir été tourné dix ans plus tôt.

Très country/americana dans son approche de la musique et de la société, avec une Naomi Judd assez peu attachante, mais une Alison Pill adorable (et qui chante bien). Un bon gros bof, en tout cas, pour ce téléfilm beaucoup trop orienté pathos et premier degré.

2/6

A Diva's Christmas Carol (2000) :

Une diva pop-star insupportable reçoit la visite des fantômes de Noël présent, passé et futur...

Un téléfilm VH1 qui reprend (évidemment) le Christmas Carol de Dickens, avec Vanessa Williams dans le rôle de la Scrooge de service, et Kathy Griffin en fantôme des Noëls du passé.

Assez amusant, second degré, et donc agréable, même si arrivé au fantôme des Noël présent, le film s'assagit considérablement, et perd donc pas mal en efficacité.

3.75/6

La Reine des Neiges (The Snow Queen - 2002) :

Gerda doit voyager à travers le pays pour trouver la Reine des Neiges, qui lui a volé le coeur de Kai avec sa magie...

Une mini-série Hallmark adaptée du conte d'Andersen, produite par les Halmi.

En d'autres termes, cela signifie que 1) le budget est conséquent (le rendu visuel de tout le téléfilm est crédible, convaincant et même joli), 2) il y a forcément un nom connu au centre du show (en l'occurrence, Bridget Fonda, très bien en Reine glaciale), 3) l'adaptation est relativement libre (Gerda et Kai sont ici adultes et amoureux, ce qui change considérablement certains idées et rebondissements, qui fonctionnaient avec une fillette, et ne fonctionnent plus avec des adultes - la jeune voleuse, notamment, qui a 20 ans, et est cabotinée interprétée comme si elle en avait 8 ou 10...), 4) il y a des fautes de goût improbables (l'accent de tout le monde, la princesse d'été asiatique et superficielle qu'on dirait sortie d'un teen show californien, la ballade pop à la Rod Stewart qui revient régulièrement...) et surtout 5) c'est très mal rythmé.

Comme toujours dans ce genre de mini-séries Hallmark, on peut facilement enlever 30 à 40% du récit sans que cela ne soit dommageable. Cela dit, la musique et le sound-design sont assez réussis.

3/6

Le Sauveur de Noël (The Dog Who Saved Christmas - 2009) & Le Chien de Noël (The Dog Who Saved Christmas Vacation - 2010) :

Zeus, un ancien chien policier, est adopté par une famille qui s'absente la veille de Noël, et laisse le chien confronté à deux cambrioleurs. / On prend les mêmes et on recommence, au ski, avec en prime un caniche dont Zeus s'entiche, et qui a autour du cou un collier valant une fortune.

- Téléfilm ABC Family de 2009 avec Dean Cain, Elisa Donovan et Sierra McCormick dans certains des rôles principaux, pour un mélange entre Home Alone (la copie est conforme) et Look Who's Talking, puisque le chien en question parle avec la voix de Mario Lopez (qui est étonnamment juste et enthousiaste, en comparaison de son travail habituel d'animateur tv).

Une production assez fauchée, avec de nombreux faux raccords, et plusieurs problèmes de casting : tout d'abord, un léger miscast au niveau des rôles masculins, amha, puisque Dean Cain aurait fait un bien meilleur père de famille que Gary Valentine, qui de par son physique et son jeu semblait plus approprié au rôle de l'un des deux bandits incapables. Mais bon, le bonhomme est le frère aîné de Kevin James, donc ça doit aider à choisir son rôle. Ensuite... le chien. Qui s'avère être, en lieu et place d'un chien police au mieux de sa forme, une femelle labrador molle, fatiguée et totalement inexpressif et sans réactions aux autres acteurs. Bref, quelques problèmes de taille, pour ce téléfilm parfaitement inoffensif et gentillet, à tendance fortement oubliable et peu inspiré.

2.25/6, principalement pour le capital sympathie de Donovan et McCormick.

- La suite directe, de 2010, avec de nouveaux gamins dans le rôle des enfants de la famille, des enfants supplémentaires histoire de dire, Casper Van Dien qui cachetonne, et Paris Hilton (!) au doublage du caniche supposément irrésistible. Étrangement, Hilton s'en sort plutôt bien, même si son personnage est calamiteux de superficialité et d'inutilité. Cela dit, il est à l'image de tout le reste du métrage, encore plus oubliable que le précédent.

1.75/6          

Le Sauveur d'Halloween (The Dog Who Saved Halloween - 2011) & Le Chien qui a sauvé Noël (The Dog Who Saved The Holidays - 2012) :

On reprend les mêmes, mais dans un nouveau voisinage, et à Halloween : le père de famille est persuadé que son nouveau voisin est un psychopathe, et il embauche les deux bandits des premiers films pour s'introduire dans la maison du voisin... / Revoici les fêtes de Noël pour la famille Bannister, qui partent passer les fêtes en famille, en Californie... et forcément, les deux cambrioleurs incapables se trouvent sur leur chemin.

- Paradoxalement plus sympathique que les deux téléfilms précédents, puisque se détachant enfin de l'influence Home Alone et de la période festive de Noël : ici, l'ambiance horrifique générale se prête plus aux scènes de slapstick sur les deux criminels, et bien que la formule soit de plus en plus éventée, ça fonctionne un peu mieux (merci Lance Henriksen). Malheureusement, certains choix sont assez dommageables ; pas tant le changement de doubleur de Zeus (la chienne semble par ailleurs plus enthousiaste et dynamique), mais plutôt pour le choix de rendre les actions du chien moins réalistes et plus cartoony, avec des gros plans sur des pattes de chien factices qui font des actions improbables. Dommage.

2.75/6

- Recast des enfants (Caitlin Carmichael, te revoilà !), qui rajeunissent un peu plus à chaque film, ajout d'un chiot (doublé par Peyton R. List), d'une Elisa Donovan "enceinte", et exportation du film en Californie, ce qui tue totalement et radicalement l'ambiance de Noël, et transforme ce direct-to-dvd en film banal, terne, et sans le moindre intérêt. Dommage, parce que le chiot (le vrai petit de "Zeus" ?) était adorable... mais "Zeus" se ramollit encore un peu plus, accuse son âge, et est totalement amorphe : autant dire que la série commence vraiment à tirer à la ligne.

1.25/6

Par contre, d'office, je peux le décréter : pas moyen que je m'inflige The Dog Who Saved Easter à sa sortie, l'année prochaine. Non seulement j'ai eu ma dose, mais en plus Elisa Donovan est la seule à revenir, en compagnie des deux boulets criminels, qui récupèrent un troisième larron. Ah, et "Zeus" y semble encore plus fatigué, donc... ce sera sans moi. 

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Christmas Yulefest 2013 - 40A - Or, Myrrhe, Encens, etc... (1)

Publié le 5 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Comédie, Romance, Lifetime, Thanksgiving, PaxTV, ABC Family, Jeunesse, CBS, UpTV, Religion

Après Noël, la Nouvelle Année est arrivée, et avec elle, la Christmas Yulefest annuelle a continué sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël... Mais aujourd'hui, à la veille de l'arrivée des Rois Mages, il est temps de mettre un terme à la Yulefest, en liquidant tout ce qui me restait à voir dans le genre. Attention : fourre-tout ! 

Monsieur Décembre (Twelve Men of Christmas - 2009) :

Une publiciste new-yorkaise passe les fêtes de Noël dans une petite ville du Montana, et se retrouve à mettre sur pied un calendrier avec les hommes les plus séduisants du voisinage.

Une comédie romantique Lifetime sans intérêt, que j'ai principalement regardé parce qu'elle passait à la télévision, et parce que j'ai généralement de la sympathie pour Kristin Chenoweth.

Malheureusement, là, elle est de toute les scènes, à interpréter sa citadine impertinente et épuisante, et elle s'avère presque trop envahissante, éclipsant totalement les seconds rôles sympathiques (comme Anna Chlumsky). Bref, ce n'est pas festif du tout, c'est terne, et quelconque, je passe.

1.25/6

La Parade de Noël (Love At The Thanksgiving Day Parade - 2012) :

À Chicago, l'organisatrice de la grande parade, passionnée de mode rétro, s'éprend du riche consultant financier que la ville lui impose, et avec lequel elle ne s'entend pourtant pas...

Une comédie romantique Hallmark assez classique, avec quiproquos habituels, etc, mais qui ne fonctionne pas trop mal, notamment parce qu'Autumn Reeser est attachante, et que le look vestimentaire donne une certaine patine intéressante au tout. Rien d'exceptionnel, cela dit.

2.5/6 

La Voleuse de Noël (Christmas Caper - 2007) :

Une cambrioleuse acariatre est contrainte de jouer les baby-sitters pour ses neveux lorsque leurs parents se trouvent coincés en vacances, sans moyen de rentrer au pays. Elle organise alors la fête de Noël du quartier, et décide de profiter de la distraction pour cambrioler toutes les maisons avec l'aide de ses complices...

Un téléfilm ABC Family qui reprend les grandes lignes de Stealing Christmas, en remplaçant Tony Danza par Shannen Doherty, en pilotage automatique. D'ailleurs tout le téléfilm est en pilotage automatique, et à part deux ou trois répliques bien senties, le tout s'oublie instantanément.

1.75/6

Sur la Route de Noël (The Road To Christmas - 2006) :

Une photographe de mode, lancée malgré elle dans un road trip à travers le pays à l'approche de Noël, est prise en stop par un père célibataire et sa fille adolescente. 

Une comédie romantique Lifetime assez délicate et attachante, malgré son récit ultra-prévisible et balisé : le fait que Clark Gregg et Jennifer Grey soient mari et femme à la ville joue beaucoup dans la vraisemblance de leurs rapports à l'écran, et l'on se prend à apprécier ce père sarcastique, et cette romance improbable qui se noue.

Cependant, malgré l'écriture légère et moins pataude que dans d'autres téléfilms du même genre, ça reste un téléfilm mineur.

3.25/6

J'ai vu maman embrasser le Père Noël (I Saw mommy Kissing Santa Claus - 2002) :

Un garçon surprend sa mère en train d'embrasser son père, méconnaissable car déguisé en costume de Père Noël, et l'enfant se met en tête de faire les pires bétises pour éviter que Santa ne passe à Noël...

Les jumeaux Sprouse, avant The Suite Life..., dans un téléfilm PAX Tv reposant uniquement sur les paroles de la chanson du même nom, et qui lorgne fortement sur Home Alone, dont il reprend vaguement la musique et le principe, avec un jeune garçon blond qui fabrique plein de pièges pour blesser Santa. C'est assez fauché, les Sprouse jouent de manière très inégale, et à part Corbin Bernsen qui fait de son mieux, le tout est tout de même assez mauvais, et à déconseiller aux plus de sept ou huit ans.

1.5/6

Un Ticket Gagnant pour Noël (Lucky Christmas - 2011) :

Une chef au chômage, mère célibataire et sans le sou, gagne une fortune au loto, mais se fait voler sa voiture, et le ticket de lotterie ; bientôt, elle rencontre un homme séduisant et pris de remords, qui est en réalité l'un des deux malfrats en possession du billet. 

Un téléfilm Hallmark assez banal, mais qui a le mérite, au moins, de proposer un pitch différent du sempiternel "businesswoman débordée qui redécouvre le vrai sens de Noël et l'amour dans une petite ville perdue". Après, il n'y a là rien de vraiment mémorable, et la fin du téléfilm est un peu précipitée, mais le tout est somme toute assez inoffensif.

3/6 

Une Seconde Chance pour Noël (Comfort And Joy - 2003) :

Une businesswoman carriériste et célibataire a un accident de voiture peu de temps avant Noël ; lorsqu'elle se réveille, elle se découvre mariée et mère de famille...

Bla, bla, bla... franchement, ce concept de base a tellement été vu et revu qu'on ne va pas s'attarder dessus : tous les téléfilms Lifetime ou Hallmark de ce genre fonctionnent globalement avec les mêmes rouages, et toute la différence se fait alors sur les interprètes, le rythme et le dynamisme de l'ensemble.

Et ici, à ma grande surprise, ça fonctionne plutôt bien, notamment parce que les quatre acteurs principaux (les deux adultes et les deux enfants) ont une vraie alchimie. Bref, on y croit assez, et le tout est suffisamment enlevé pour compenser la fin abrupte, et le message de base discutable (mais inhérent au genre).

3.25/6

Miracle At Christmas - Ebbie's Story (1995) :

Ebbie est une businesswoman froide, carriériste et indifférente aux fêtes de Noël ; pourtant, elle va recevoir la visite de quatre fantômes pendant la nuit du 24 décembre...

Une autre version gender-switched du Christmas Carol de Dickens, diffusée en 1995 sur Lifetime.

Rien de bien exceptionnel à signaler, donc, à part des looks forcément très datés, et quelques visages familiers (Laura Harris, Molly Parker, Wendy Crewson...). Susan Lucci est trop jeune pour faire une Scrooge convaincante, et elle n'est pas forcément la meilleure actrice de l'univers... pas suffisamment talentueuse, en tous cas, pour s'affranchir de ses réactions d'actrice de soap opera, qui resurgissent ponctuellement lors des moments dramatiques, et se remarquent fortement au milieu de ce récit terne, monotone, et mortellement sérieux.

1.5/6

Un Noël tout en lumière (Christmas On Chestnut Street - 2006) :

Lorsqu'un magasin commande 60000 ampoules de Noël par erreur, les propriétaires décident d'organiser un concours d'illuminations avec celles-ci... mais rapidement, c'est la guerre dans le voisinage.

Téléfilm Lifetime de 2006 avec Kristen Dalton dans un des rôles principaux, ce Christmas On Chestnut Street s'avère une comédie romantique (plus comédie que romantique) un peu fauchée, mais pas désagréable du tout. Une assez bonne surprise, je dois dire, entre guerre des voisins, magouilles des propriétaires, et romance improbable entre la fille du patron, une businesswoman carriériste, et l'un des employés, plus terre-à-terre.

3.75/6

Le plus beau jour de l'année / Noël entre elle et lui / Un Noël pour deux (His & Her Christmas - 2005) :

Deux rédacteurs de journaux à l'envergure radicalement différente s'affrontent, par rubriques interposées, sur le véritable sens des fêtes de fin d'année, et, ce faisant, ils s'entichent l'un de l'autre... 

Ça commence bien, par un générique à la Saul Bass, avec une chanson entraînante, et les deux leads sont sympathiques (Dina Meyer et David Sudcliffe), mais bien vite, on s'aperçoit que ce téléfilm Lifetime est ultra-bavard et, pour résumer, s'avère être une suite de gens lisant des articles narrés en voix-off, entourée de scénettes assez surjouées (Meyer prend son rôle beaucoup trop au sérieux), et particulièrement ternes.

Dans l'esprit et la forme, ça m'a rappelé Yes, Virginia, There Is A Santa Claus, et donc ça m'a très rapidement fatigué, je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout.

1.25/6

Le Miracle de Noël (Borrowed Hearts - 1997) :

Un riche businessman célibataire recrute l'une de ses employées et sa fille pour se faire passer pour sa famille, et réussir ainsi à décrocher un contrat important à l'approche des fêtes de Noël. Mais l'amour n'est pas loin...

Un téléfilm CBS assez convenu, mais assez bien mené, et à la distribution sympathique (Roma Downey, Eric McCormack, Héctor Elizondo, et une gamine attachante) ; seul vrai bémol, le final du récit, totalement forcé, artificiel et bâclé. Dommage.

3/6 

Un Noël pas comme les autres (The Sons of Mistletoe - 2001) :

Dans une petite ville, l'héritière d'un grand magasin et le jeune gérant d'un orphelinat pour garçons se rapprochent à l'approche des fêtes de Noël, alors qu'ils sont pourtant diamétralement opposés.

Un téléfilm familial CBS qui a le mérite d'avoir un pitch de départ qui change un peu des productions désormais établie comme "spéciales Noël" ; ça reste très gentillet et anecdotique, et ça repose fortement sur les bonnes bouilles des gamins et sur les bons sentiments : autrement dit, c'est tout aussi vite oublié que c'est regardé.

Sans compter que Roma Downey, en blonde et après ses premières injections de botox, n'est pas à son avantage...

2.5/6

La Grève de Noël (On Strike For Christmas - 2010) :

Une mère de famille décide de faire grève à Noël, pour donner une leçon à son mari et ses enfants ados, trop occupés pour l'aider à gérer la boutique familiale, et à organiser les fêtes et les réceptions que chacun veut tenir au domicile familial....

Un téléfilm Lifetime pas réussi du tout, malgré Daphne Zuniga et David Sutcliffe à la distribution : le récit est mollasson, les rebondissements quelconques, et l'on ne croit jamais vraiment à cette famille peu attachante constituée d'incapables. Dommage, parce que le message de base est relativement pertinent.

1.25/6

Christmas Angel (2012) :

Une fillette découvre bien vite, après avoir formulé un voeu devant une maison abandonnée, que la vieille dame y vivant a choisi de les exaucer en secret pour Noël...

Un téléfilm GMC/Up Tv (comprendre : un téléfilm fortement teinté de valeurs chrétiennes et de religion) qui se regarde sans effort, principalement grâce à sa distribution (Teri Polo, Kevin Sorbo, la gamine de Help For The Holidays...). Ça ne prêche pas trop, ça n'est pas trop mielleux, bref, ça aurait pu être pire. Cela dit, c'est loin d'être über-mémorable.

3/6

Christmas Lodge (2011) :

Une jeune femme (Erin Karpluk) retourne au chalet forestier où elle a passé les Noëls de son enfance, mais elle s'aperçoit rapidement que celui-ci est en piteux état, et qu'elle doit absolument aider le séduisant propriétaire (Michael Shanks) et sa fille (Michelle Creber) à la remettre en état.

Un téléfilm Hallmark inspiré (il me semble) d'un tableau de Thomas Kinkade, et qui se regarde tranquillement, principalement parce que la distribution est assez sympathique (Erin Karpluk, Michael Shanks, et Michelle Creber en tête).

Pas vraiment très mémorable ou particulièrement bien écrit/rythmé, le film souffre surtout d'un problème (qui est de taille) : un courant religieux sous-jacent (quoique, ils le disent plusieurs fois ouvertement dans les dialogues, donc ce n'est même pas vraiment sous-jacent, c'est assumé) qui multiplie les références à Dieu, à la prière, au destin, blablabla...

En soi, pourquoi pas, mais ce n'est pas du tout amené de manière finaude ou pertinente, et ça ressemble plus à de la prêche typiquement américaine qu'à autre chose, accompagnée d'une bonne dose de mélodrame larmoyant. Et comme en plus les intérieurs font un peu trop studio...

2.25/6 

Un Noël Recomposé (Our First Christmas - 2008) :

Une famille recomposée peine à concilier les traditions de Noël de chacune des branches du clan, ce qui amène les enfants à passer un pacte pour ne rien changer...

Encore un téléfilm Hallmark situé en Californie, mais avec une ambiance festive nettement plus prononcée que les autres téléfilms du genre.

Seul problème : l'écriture ampoulée et maladroite, qui enlève toute sincérité au téléfilm. Que les acteurs soient plus ou moins bons, en fonction de leur âge, que ce soit Dixie Carter, Julie Warner ou les adolescentes, tout le monde sonne régulièrement faux et peu naturel, ce qui est tout de même problématique.

D'autant plus problématique qu'à part ça, le récit a vraiment bon fond, et se regarde sans difficulté. Si seulement la production avait eu la main plus légère à tous les niveaux...

2.5/6 

Le Noël des petites terreurs (The Three Gifts - 2009) :

Incapable de concevoir un enfant, un couple d'artisans accueille trois orphelins dissipés pendant les fêtes de Noël, le temps que leur établissement d'accueil soit rénové...

Un téléfilm Hallmark qui prend place sur un ranch californien, donc au niveau festif, c'est assez médiocre. Après, les gamins sont convaincants, Dean Cain aussi, son épouse un peu moins... mais le tout, de manière globale, est assez peu engageant ou mémorable, sans même mentionner prévisible.

1.75/6

L'Expérience de Noël (Three Day Christmas - 2012) :

Totalement déconnecté du reste de ses proches, un père de famille comptable décide de se cloîtrer avec son épouse et ses enfants pendant trois jours, afin de redécouvrir ensemble le véritable sens de Noël...

Ouhlà la jolie daube... un téléfilm Up TV (comprendre : fauché et penchant fortement vers une certaine droite traditionnaliste) écrit, réalisé et interprété par Corbin Bernsen, qui sacrifie totalement sa distribution assez sympathique sur l'autel de personnages insupportables de connerie.

Entre le père, un connard égocentrique fini, la mère laxiste, la fillette qui regarde 24h/24 des chaînes religieuses (histoire d'avoir un message de prêche religieuse quasi-constant dans le film), l'ado rebelle qui sort avec un mec tatoué (ah, mon dieu, quel scandale !), et le garçonnet qui revend des divx à l'école (l'occasion d'une jolie tirade contre le téléchargement illégal), tous les personnages méritent plus ou moins des baffes... sans même parler du concept même du film, un exercice de survie de trois jours, particulièrement con et typiquement américain : le film dégouline le républicanisme par tous les pores, et pour couronner le tout, après la première heure, il vire au Home Alone-bis forcé, avec l'oncle survivaliste et sa famille en guise de maychants à piéger.

Le pire, je crois, c'est que techniquement, le tout se regarde sans grande difficulté : avec un scénario moins orienté et plus fin, ça serait probablement beaucoup mieux passé.

1/6

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Christmas Yulefest 2013 - 35 - Un Rêve Éveillé (2013), Noël au bout des doigts (2013), Mon Père Noël Secret (2013), Guess Who's Coming To Christmas (2013), L'Arbre des Voeux (2010) & Un Mariage en Cadeau (2011)

Publié le 31 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, Hallmark, ABC Family, Lifetime, UpTV

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Rêve Éveillé (Holidaze) :

Une businesswoman occupée retourne dans sa ville natale pour les fêtes de fin d'année, afin de tenter de convaincre les habitants d'approuver l'installation d'une chaîne de supermarchés... jusqu'à ce qu'un coup sur la tête la propulse dans un univers parallèle où elle est mariée, heureuse, et n'a jamais quitté la ville où elle a grandi.

Un téléfilm ABC Family balisé au possible, et agrémenté d'une illustration musicale pop assez agaçante, mais qui fonctionne néanmoins tranquillement, grâce au capital-sympathie de Jennie Garth.

3.5/6 

Noël au bout des doigts (Santa Switch) :

Un agent de voyages au chômage et divorcé se trouve à prendre la place de Santa Claus pendant les fêtes de Noël, et décide d'utiliser ses nouveaux pouvoirs magiques pour reconquérir son ex-femme et sa famille...

Distribution sympathique (Sean Astin, Anne Dudek) pour ce téléfilm Hallmark qui marche directement dans les traces de The Santa Clause. Malheureusement, l'acteur principal un peu terne et quelconque empêche le récit de vraiment décoller, et le spectateur de vraiment s'attacher aux personnages et à leur destinée. Dommage.

2.75/6 

Mon Père Noël Secret (Dear Secret Santa) :

Une businesswoman célibataire retourne s'installer chez son père malade pour passer les fêtes de fin d'année ; là, elle reçoit des lettres anonymes, qui semblent toutes provenir de son ancien voisin et amour d'enfance, décédé trois ans plus tôt...

Un téléfilm Lifetime à  l'intrigue de paradoxe temporel assez familière et entendue, mais qui évite l'ennui grâce à sa distribution (Tatyana Ali en tête), à un ton assez léger, et à une optique assez progressiste (couples mixtes, couples gays, etc...). Rien de révolutionnaire, mais ça se regarde.

3/6

Guess Who's Coming to Christmas :

Suite à un concours, une rockstar en panne d'inspiration passe les fêtes de fin d'année au sein d'une famille gentiment excentrique, rurale et religieuse, qui lui redonne goût à Noël, à la musique et aux vraies valeurs véritables de la vie réelle et véridique...

Un téléfilm Up particulièrement bancal, structuré autour de cartons-titres inutiles qui ressurgissent ça et là, d'un message particulièrement bien-pensant, et de personnages tout aussi ternes que les acteurs qui les interprètent. En soi, ce n'est même pas forcément mauvais, mais c'est particulièrement soporifique.

1.5/6

L'Arbre des Voeux (Farewell Mr. Kringle) :

Une journaliste veuve et ronchonne part dans une petite ville pour enquêter sur le Père Noël local, un vieillard qui a choisi d'endosser l'habit du véritable Santa Claus... et à sa grande surprise, elle retrouve, dans cette bourgade, goût à la vie et à l'amour.

Téléfilm Hallmark basique, conventionnel, et pas très intéressant, notamment parce que Christine Taylor est une actrice principale assez quelconque et transparente. William Morgan Sheppard est excellent, cela dit.

1.5/6

Un Mariage en Cadeau (A Christmas Wedding Tail) :

Les efforts de deux chiens épris l'un de l'autre pour unir leurs maîtres respectifs, respectivement veuf et veuve, par les liens sacrés du mariage...

Une comédie romantique californienne made in Hallmark, avec Jennie Garth, Tom Arnold (parfaitement inutile), et deux chiens doublés par Jay Mohr et Nikki Cox. "Noël" n'est ici qu'un prétexte, rendu d'autant plus évident que le tout a clairement été filmé en été, et si le métrage fonctionne par moments grâce aux acteurs (qui font de leur mieux) et aux deux familles principales, ça reste affreusement balisé et mollasson, dans le genre "faisons une heure sur les préparatifs improbables du mariage plutôt que de raconter une histoire prenante, ça ne se remarquera pas". Meh.

2.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 33 - Mon Père Noël Bien Aimé (2012), Rendez-vous à Noël (2012), Le Père Noël prend sa retraite (2013), L'Invité de Noël (2008), Boule de Neige/Le Noël Rêvé d'Angela (2007) & Le Noël Rêvé de Megan (2013)

Publié le 29 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, Hallmark, Lifetime, ION, ABC Family

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Mon Père Noël Bien Aimé (Matchmaker Santa) :

Une pâtissière va passer les fêtes de fin d'année dans le chalet familial de son fiancé, un riche entrepreneur, mais, grâce à l'intervention providentielle du Père Noël, elle finit par se rapprocher de l'assistant de celui-ci...

J'ai de la sympathie pour Lacey Chabert, mais honnêtement, elle ne fait quasiment aucune impression sur le télespectateur dans ce téléfilm Hallmark hautement oubliable, qui coche presque toutes les cases de la rom-com télévisée quelconque. La musique est envahissante, l'histoire basique, et hormis les rôles secondaires amusants, le reste s'oublie instantanément. Pas mauvais, mais particulièrement transparent.

2.5/6

Rendez-vous à Noël (Love At The Christmas Table) :

L'amitié et la relation de deux amis d'enfance qui ont l'habitude de passer Noël ensemble, et qui découvrent, progressivement, qu'ils ont des sentiments l'un pour l'autre...

Une production Asylum pour Lifetime, et une très bonne surprise, puisque cette comédie romantique pleine de fantaisie et de légèreté s'avère être charmante et dynamique, avec une distribution impeccable, des leads qui ont une jolie alchimie, des rebondissements, et une citation de Conan le Barbare en prime. Très agréable.

4.25/6 

Le Père Noël prend sa retraite (My Santa) :

Une mère célibataire tombe amoureuse du Santa du centre commercial, un jeune Santa qui s'avère être le fils du véritable Père Noël...

Un téléfilm ION TV particulièrement mauvais sur tous les plans : enchaînement de clichés et de dialogues en carton, écriture pataude, interprétation médiocre et surjouée de tout le monde (de la lead aux seconds rôles, en passant par tous les figurants), réalisation à l'identique, direction d'acteurs inexistante... bref, ION TV continue de prouver qu'elle est le discount des chaînes de tv à Noël, avec une incapacité chronique à développer autre chose qu'un projet médiocre et fauché.

1/6

L'Invité de Noël (The Most Wonderful Time Of The Year) :

Une businesswoman mère célibataire dépassée par les fêtes de fin d'année retrouve goût à Noël lorsque son oncle Ralph débarque à la maison en compagnie d'un jeune chef séduisant rencontré à l'aéroport...

Léger facepalm devant ce globe-trotter séduisant, charismatique, doux, attentionné, talentueux, etc... qui se remet en question parce qu'à 30 ans il ne s'est pas encore posé et n'a pas de famille... mais heureusement, le reste de ce téléfilm Hallmark s'avère une surprise agréable, qui ne se prend pas trop au sérieux, et avec une distribution principale qui fonctionne très bien ensemble. Au final, rien d'exceptionnel ou de particulièrement excellent, mais un film qui se regarde tranquillement néanmoins, et est même assez sympathique.

3.5/6

Le Noël Rêvé d'Angela/Boule de Neige (Snowglobe) :

Une jeune bouchère-charcutière italo-cubaine à la famille envahissante reçoit une boule à neige mystérieuse et, chaque nuit, se retrouve plongée dans le monde parfait et enneigé de la boule, où elle trouve l'amour et la magie de Noël qui lui manquait...

Je... hum. J'aime bien l'actrice principale, Christina Milian. À vrai dire, j'aime bien toute la distribution, composée d'acteurs et d'actrices sympathiques (Milian, Karpluk, Cooke, Keeslar, Willes), et au vu du pitch original, je m'attendais à apprécier ce téléfilm ABC Family... mais dès le premier quart d'heure, on comprend rapidement que ça ne va pas être possible. On a le choix entre des scènes familiales insupportables dans le monde réel, et un monde imaginaire toc, volontairement très Stepford Wives, où les personnages ne sont qu'archétypes en carton. Le tout, saupoudré d'une romance assez cousue de fil blanc avec Josh Cooke, en parallèle des scènes familiales du monde réel. Autant dire qu'on passe de Charybde en Scylla, avec des scènes sans réel poids, une héroïne indécise et peu passionnante, et un récit patchwork assez mal structuré. Dommage.

2/6 pour la distribution.

Le Noël Rêvé de Megan (A Snow Globe Christmas) :

Une scénariste-productrice de tv débordée, sarcastique et cynique de téléfilms sirupeux et romantiques de Noël se réveille, après un choc à la tête, mariée, mère de deux enfants, dans un petit village idyllique et couvert de neige, semblable à celui contenu dans la boule à neige qu'elle tenait lors de l'accident...

Zéro originalité dans ce téléfilm Asylum produit pour Lifetime : on pense à It's A Wonderful Life, à The Family Man, et à d'innombrables autres téléfilms festifs de la tv américaine... en tête desquels le Snowglobe de Christina Milian. Une Christina Milian qui, coïncidence (?), apparaît ici aussi, dans le rôle d'un ange gardien malicieux.

Bref, ce n'est pas dans le scénario qu'il faut chercher quoi que ce soit ; d'ailleurs, à vrai dire, tout ce téléfilm semble resté au stade du premier jet : premier jet de scénario, avec un script au rythme hésitant et saccadé, et des personnages à l'épaisseur d'un papier à cigarettes, mais aussi premier jet de réalisation et de direction d'acteurs, avec une distribution qui surjoue légèrement pendant tout le métrage, et des réactions qui auraient mérité une deuxième prise plus subtile.

Et pourtant, le tout parvient à être dynamique, et même par moments assez amusant à regarder : principalement grâce à l'abattage d'Alicia Witt (en mode sarcastique méta) et de Donald Faison, qui forment un couple mixte (premier bon point) à la répartie amusante, et aux échanges assez crédibles et réjouissants (que des bons points !). Ça ne fait pas de ce téléfilm un chef d'oeuvre, mais en l'état, c'est assez regardable.

3.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 32 - Sous le Charme du Père Noël (2011), Une Seconde Chance pour Noël (2012), Noël Sans Cadeaux (2010), À la Recherche de l'Esprit de Noël (2013) & La Magie de Noël (2013)

Publié le 28 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Fantastique, Romance, ABC Family, ION, Drame, Hallmark

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Sous le Charme du Père Noël (Desperately Seeking Santa) :

Une jolie responsable des relations publiques d'un centre commercial décide de rafraîchir l'image de marque de l'établissement en organisant un concours pour élire un Santa Claus sexy... dont elle tombe amoureuse.

Une Laura Vandervoort pas très motivée dans un téléfilm ABC Family totalement orienté à destination d'un public gay/féminin... Par conséquent, je ne suis pas du tout le public ciblé, et je me suis ennuyé comme un rat mort de bout en bout.

1/6 

Une Seconde Chance pour Noël (A Christmas Wedding Date) :

Une jeune businesswoman célibataire se fait renvoyer juste avant Noël, et décide de passer les Fêtes en famille, en Floride, où l'une de ses amies se marie... mais bien vite, le surnaturel se manifeste.

Alors j'aime beaucoup Marla Sokoloff (mais vraiment, hein, au point de mettre d'office 1.5 points à tout ce qu'elle fait), mais là, ce remake gender-swapped d'Un Jour Sans Fin diffusé sur Ion TV, c'est affreusement quelconque et anecdotique. Sans compter que le tout n'est pas vraiment festif, avec son soleil de Floride, etc...

2.5/6 (dont la majorité des points pour Marla et Chelan Simmons) 

Noël Sans Cadeaux (Gift of the Magi) :

Un couple sans argent se promet de ne pas dépenser d'argent pour des cadeaux de Noël, mais finit par se démener pour s'offrir mutuellement un cadeau en secret...

Une adaptation Hallmark d'une histoire courte apparemment classique aux USA.

Rien de vraiment mémorable ou exceptionnel pour cette histoire pleine de bons sentiments, assez instantanément oubliable, mais rien de vraiment mauvais non plus.

Peut-être est-ce trop "réaliste", terne et déprimant pour vraiment convaincre, d'autant que la nouvelle originale est extrèmement courte, et que ce téléfilm rallonge la sauce jusqu'à plus soif...

2.25/6

À la Recherche de l'Esprit de Noël (The Christmas Spirit) :

Une journaliste et un entrepreneur arriviste pris dans un accident de voiture s'affrontent sur le plan astral, pour décider de l'avenir de la petite ville où ils se sont croisés...

Un téléfilm Hallmark assez quelconque, trop centré autour de sa "star" (Nicolette Sheridan) et pas assez autour d'un récit solide et développé, qui finit par n'être qu'un ersatz de Ghost à la sauce Noël. Et Sammi Hanratty est sous-exploitée, alors qu'elle pourrait faire beaucoup plus.

2/6 

La Magie de Noël (All I Want For Christmas - 2013) :

À San Francisco, Une businesswoman égocentrique croise le chemin d'un elfe du Père Noel, qui lui confère le don d'entendre les pensées d'autrui...

Un téléfilm ION qui n'est qu'un repackaging gender-switched de What Women Want, vaguement repeint aux couleurs de Noël...

Ça se regarde, principalement parce que le concept est rôdé, et que Melissa Sagemiller est sympathique, mais le tout est clairement trop caricatural, et trop peu original pour convaincre plus que ça.

3/6

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Christmas Yulefest 2013 - 31 - L'esprit de Noël (2011), L'Ange des Neiges (2010), Un Cadeau de Noël Presque Parfait (2012) & Le Procès du Père Noël (2013)

Publié le 27 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark, Lifetime, Fantastique, ABC Family, ION, Drame

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

L'esprit de Noël (Mistletoe Over Manhattan) :

Pour aider le Père Noël à retrouver l'esprit de Noël, la Mère Noël part à New York, et y croise le chemin d'une famille au bord du divorce, dont elle devient la nounou...

Moui... un téléfilm Hallmark qui donne un peu l'impression d'avoir été fini dans la précipitation, et assez mal casté, puisqu'aucun des personnages n'est intéressant, attachant, ou chaleureux : la Mère Noël béate parle à tout le monde comme à des enfants attardés, Tricia Helfer paraît agressive, froide et détachée, les enfants sont inexistants, l'elfe surjoue... Pas convaincant du tout.

1.5/6

L'Ange des Neiges (Christmas Cupid) :

Publiciste à succès faisant passer sa carrière avant sa vie sentimentale et ses valeurs morales, Sloane reçoit la visite de l'esprit de l'une de ses clientes fraîchement décédée, qui l'avertit qu'elle va bientôt être hantée par les fantômes de trois de ses exs, afin de lui faire changer ses mauvaises habitudes...

Un téléfilm ABC Family qui rejoue A Christmas Carol, avec Christina Milian, et Ashley Benson dans le rôle de la cliente décédée. Très superficiel et oubliable, avec cependant une Ashley Benson plutôt sympathique et convaincante en Jacob Marley-bis. Ce qui compense un peu Milian, agaçante, égocentrique et antipathique, sans le capital charme nécessaire pour rendre le personnage intéressant.

2/6 

Un Cadeau de Noël Presque Parfait (Holly's Holiday) :

Une jeune publicitaire célibataire se prend un coup sur la tête en rêvant à un mannequin dans une vitrine de Noël, et à son réveil, le mannequin prend vie...

Un téléfilm Lifetime qui, sous le prétexte de briser les préjugés et les clichés sur "le grand amour, parfait et idéal", enquille les clichés sur le célibat pendant les fêtes de Noël, etc, et laisse en cours de route la moitié de ses personnages.

Comme en plus, c'est un remake gender-switched à peine déguisé du film Mannequin, qu'il joue la carte du "ce n'était qu'un rêve", et que, hormis Ryan McPartlin à fond dedans, la distribution est affreusement terne (une lead enthousiasmante, comme Dreama Walker ou Kristen Bell, aurait peut-être pu sauver le tout, mais la demoiselle, là, est tout juste adéquate), ça ne fonctionne pas.

1.75/6 

Le Procès du Père Noël (Defending Santa) :

Le shérif d'une station de ski découvre un Père Noël inconscient au milieu de la forêt, au beau milieu de la nuit ; bien vite, celui-ci va devoir se justifier de son identité dans un tribunal, avec l'aide d'une jolie avocate...

Et revoici une production ION TV, comme d'habitude particulièrement fauchée (musique ultra-cheap, post-synchro bancale, décors faisant assez carton-pâte, éclairage de mauvaise sitcom, effets visuels ratés - les écrans bleus, la neige en image de synthèse, maquillages/costumes baclés - la perruque et le coussin qui sert de ventre à Santa) et pas très inspirée.

Cela dit, en comparaison d'autres productions ION, ça se regarde vaguement, principalement parce que ça a bon fond ; parce qu'un courtroom drama, ça se rate difficilement ; parce qu'un acteur ou deux sont sympatoches (Dean Cain & Jodi Sweetin) ; et parce que tout le monde est à peu près juste.

C'est beaucoup trop inégal, et ça meuble beaucoup trop pour réussir à s'établir comme un nouveau Miracle sur la 34è Rue, mais ça aurait pu être pire... et au moins ils essaient.

2.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 26 - La Fille du Père Noël (2000) & La Fille du Père Noël 2 (2001)

Publié le 22 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, ABC Family

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

La Fille du Père Noël (Once Upon A Christmas) :

Au Pôle Nord, Santa en a assez de l'ingratitude et de la méchanceté des enfants, et décide de faire grève. Pour le persuader de continuer, sa fille Kristin relève le défi de trouver une famille et de la faire repasser sur la liste des enfants sages...

Un autre classique festif diffusé chaque année dans les cadre des célébrations d'ABC Family, OUAC place Kathy Ireland dans le rôle de la fille de Santa, qui doit réussir à convaincre son paternel que la famille dont elle a la charge est généreuse, etc, tout en contrant les manigances de sa soeur aînée.

L'univers à la Santa Clause (avec tous les autres personnages de contes de fées) n'est pas désagréable, ça cabotine gentiment parmi les acteurs, et ça se regarde tranquillement, sans être forcément trop mémorable, la faute à un gros coup de mou dans le dernier tiers du film.

3.25/6

La Fille du Père Noël 2 (Twice Upon A Christmas) :

Kristin vit toujours avec la famille du premier épisode, mais elle est désormais amnésique, et sur le point de se marier ; de son côté, sa soeur décide de ruiner Noël en vendant des morceaux du Pôle Nord... 

La suite du précédent, avec une grosse partie des mêmes acteurs, mais en nettement moins inspiré, puisque le gimmick de l'amnésie est vraiment forcé, et que tout le reste du scénario donne dans le caricatural-avec-musique-ridicule.

Assez décevant en regard du premier volet, et puis le coup de la fille du Père Noël qui prie Dieu pour avoir des réponses, non merci.

1.75/6

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Christmas Yulefest 2013 - 25 - Christmas Bounty (2013) & À la Recherche de Madame Noël (2012)

Publié le 21 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Christmas, Noël, Comédie, Jeunesse, Télévision, WWE, ABC Family, Action, Romance, Lifetime

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Christmas Bounty :

Une ex-chasseuse de primes de la Jersey Shore devenue institutrice à Manhattan doit faire face à un criminel issu de son passé, et à son ex-petit-ami chasseur-de-primes...

Un téléfilm WWE/ABC Family (déjà, ça promet) qui tente de nous faire croire que Francia Raisa (avec son mètre 59, sa personnalité délicate et son physique de latina sexy) est une chasseuse de primes badass et exceptionnelle.

Désolé, mais autant je peux concevoir que Miz (malgré sa tête à claques) soit un bounty hunter, autant la demoiselle, ça passe moyen. Et de manière générale, la distribution toute entière est assez étrange, jamais totalement convaincante dans les rôles qui leur sont assignés. Oui, je sais, c'est superficiel, tout ça, mais quand on essaie de faire croire au spectateur la réalité d'une institutrice en hauts-talons qui, sur son temps libre, joue les bounty hunters, il y a plutôt intérêt à embaucher une actrice physiquement imposante et/ou crédible. Là, avec Raisa, je n'ai jamais eu cette impression, ne serait-ce que visuellement.

Le récit en lui-même était assez quelconque et cousu de fil blanc, Noël n'était qu'un prétexte à une histoire d'actioner/thriller basique, et à part Chelan Simmons amusante dans un petit rôle, c'était particulièrement dispensable.

1.5/6

À la Recherche de Madame Noël (Finding Mrs. Claus) :

La Mère Noël et le Père Noël ont des problèmes de couple (et de sexe), et Mme Claus décide de partir pour Vegas, pour y aider une jeune mère célibataire à la recherche d'un époux...

Aouch... un téléfilm Lifetime qui choisit de tenter la carte "comédie parodique", avec des choix créatifs tellement WTF qu'ils ne peuvent qu'avoir été pris sous l'influence de drogues...

Déjà, la distribution : Will Sasso et Mira Sorvino en Santa & sa femme (à la fois vieux sous trois tonnes de maquillage, et jeunes), un sidekick elfe agaçant qui finit avec une prostituée de Vegas, une elfette quadra, Laura Vandervoort (27 ans, qui en fait 5 de moins) en mère célibataire d'une gamine de 10 ans... un bon gros n'importe quoi généralisé, pas aidé par du cabotinage global de la part de tout ce qui touche aux occupants du Pôle Nord, et par un script gentiment chargé en sous-entendus sexuels débiles.

2/6

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Christmas Yulefest 2013 - 23 - The Christmas List (1997) & On The Second Day Of Christmas (1997)

Publié le 19 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Review, Comédie, Fantastique, Romance, ABC Family, Lifetime, Télévision

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

The Christmas List :

Une vendeuse en parfumerie de Seattle, déçue par sa vie, fait une liste de souhaits au Père Noël, qu'elle dépose sans trop y croire dans la boîte aux lettres du magasin où elle travaille ; à sa grande surprise, les voeux commencent à se réaliser... mais dégénèrent bien vite.

Mimi Rogers dans un téléfilm de 1997, désormais considéré comme un "classique" de la chaîne ABC Family. C'est assez sympathique à regarder, mais le téléfilm accuse un certain coup de mou passée la première demi-heure, avant de se rattraper sur la fin.

3.5/6 

On The Second Day Of Christmas :

Une pickpocket/voleuse à l'étalage et sa nièce se font prendre en pleine action dans un grand magasin, et un garde de sécurité au grand coeur accepte de les superviser plutôt que de les voir punies par la loi...

Un téléfilm Lifetime de la fin des années 90, avec un jeune Mark Ruffalo dans le rôle de l'agent de sécurité.

Pas particulièrement intéressant, puisque reposant quasi-uniquement sur le trio principal et leur alchimie (faiblarde).

Ce n'est même pas particulièrement mauvais, seulement totalement oubliable, et la voleuse & sa gamine ne sont pas assez attachantes pour qu'on leur pardonne leurs actions.

Ah, et Ruffalo ne chante pas très juste, ce qui n'aide pas franchement à rendre son rôle de musicien/chanteur amateur très crédible.

2.5/6

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Christmas Yulefest 2013 - 20 - Maman, c'est le hold-up de Noël ! (2012) & Le Bonheur au Pied du Sapin (2013)

Publié le 16 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse, Télévision, ABC Family, Hallmark, Romance

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Maman, c'est le hold-up de Noël ! (Home Alone 5 - The Holiday Heist) :

Trois cambrioleurs tentent de dérober un tableau inestimable se trouvant dans une vieille maison hantée du Maine, dans laquelle la famille Baxter vient d'emménager...

Une production ABC Family récente, avec Crabman de My Name Is Earl, Malcolm McDowell et Debi Mazar dans le rôle des criminels pas si méchants que ça (ils ne veulent qu'un tableau n'appartenant pas aux Baxter), et Jodelle Ferland dans celui de la grande soeur de Finn, le héros.

Un héros qui est un peu plus moderne et malin que ses prédécesseurs, mais une histoire qui met un temps fou à se mettre en place, et n'est jamais très intéressante, mêlant histoire de (faux) fantôme à tout le reste.

Gros bof, donc, mais c'est toujours moins détestable que le précédent volet.

2/6

Le Bonheur au Pied du Sapin (Fir Crazy) :

Après avoir grandi sur une exploitation de sapins de Noël, la businesswoman Elise fait tout pour éviter les fêtes. Mais lorsqu'elle perd son emploi et son petit ami, elle est contrainte de passer l'hiver à vendre des sapins dans la rue pour le compte de ses parents en difficulté financière...

Un téléfilm Hallmark malheureusement un peu trop premier degré et axé romance. D'autant plus dommage que Sarah Lancaster fait une héroïne assez sympathique... mais ça s'arrête là.

2.5/6

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