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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Un film, un jour (ou presque) #1958 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : We Need to Talk (2022)

Publié le 5 Février 2024 par Lurdo dans Comédie, Cinéma, Critiques éclair, Romance, St Valentin, USA, Review

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

We Need to Talk (2022) :

Youtubeur-gamer totalement obnubilé par sa carrière d'influenceur à succès, Scott (James Maslow) délaisse un peu trop sa compagne de longue date, Aly (Christel Kalil), qui vit avec lui depuis dix ans. Jusqu'au jour où celle-ci part travailler après une dispute en lui glissant à l'oreille "Il faut qu'on parle" : quelques mots aux sinistres connotations qui vont hanter Scott toute la journée, et bouleverser totalement sa vie...

Une comédie semi-romantique sur un gamer slacker influenceur confronté au mur de la création de contenu en flux tendu, et peinant à faire une place à sa vie privée, trop obsédé par les jeux et par sa carrière en ligne... un sujet qui parlera probablement à pas mal de créateurs de contenu du Web, et qui se regarde gentiment (ça évite pas mal de clichés sur le monde du gaming, ça aide), même si ça finit par tourner à vide au bout d'un moment.

Pas grand chose à dire de plus sur ce film, honnêtement : c'est plutôt bien interprété (Maslow continue son petit bonhomme de chemin depuis Big Time Rush, Emily Bett Rickards s'amuse bien en BFF haineuse), la feinte finale fonctionne presque, et globalement, ça a bon fond, même si c'est un peu prévisible.

3.5/6 

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Blog Update ! - Janvier 2024

Publié le 4 Février 2024 par Lurdo dans Cinéma, Télévision, Les bilans de Lurdo, Review, Critiques éclair

Comme tous les ans, un petit mois de janvier sur le blog des Téléphages Anonymes, qui a repris un rythme de croisière tranquille après la Christmas Yulefest 2023.

#1938 : Qui suis-je ? (1998) - 3.25/6

#1939 : Mortal Kombat Legends - Cage Match (2023) - 4/6

#1940 : Death of a Telemarketer (2021) - 3.5/6

#1941 : The Family Plan (2023) - 2/6

#1942 : La grosse magouille (1980) - 3.5/6

#1943 : Madelines (2022) - 2/6

#1944 : Ride On (2023) - 2.75/6

#1945 : Répétition générale (2023) - 3.75/6

#1946 : Un crime dans la tête (1991) - 3/6

#1947 : Demolition Man (1993) - 4/6

#1948 : Nandor Fodor and the Talking Mongoose (2023) - 2.5/6

#1949 : Little Richard - I am Everything (2023) - 4.5/6

#1950 : Spy Kids - Armageddon (2023) - 2.25/6

#1951 : Bottoms (2023) - 4.25/6

#1952 : High Heat (2022) - 3.75/6

#1953 : The Marvels (2023) - 3/6

#1954 : The Re-Education of Molly Singer (2023) - 2.5/6

#1955 : Wish (2023) - 2.25/6

#1956 : A Disturbance in the Force (2023) - 4.5/6

#1957 : Expendables 4 (2023) - 3/6

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# Film(s) du mois : 

Pas de grand succès, ce mois-ci, simplement A Disturbance in the Force, un documentaire instructif sur un pan méconnu de l'univers Star Wars, un autre documentaire sur la vie de Little Richard Cage Match, une adaptation animée ludique de Mortal Kombat en mode 80s, et Bottoms, une teen comedy LGBTQ+ assez décalée et décomplexée.

 

# Flop(s) du mois : 

The Family Plan, une comédie familiale tellement générique qu'elle en devient fatigante ; Madelines, un petit budget de science-fiction pas particulièrement maîtrisé ; et Wish, le dernier Disney, techniquement compétent, mais insipide et inabouti au possible.

Mention spéciale à The Marvels, le dernier Marvel qui, s'il ne rentre pas strictement dans cette catégorie Flop, reste frustrant et lui aussi inabouti, comme si le film avait été bricolé à l'arrache au montage, pour le meilleur et surtout pour le pire.

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# Petit écran :

Un mois qui nous a permis de revenir sur la saison 4 de Star trek : Lower Decks, une saison sympathique, mais dont le fil conducteur m'a quelque peu déçu ; sur la saison 2 de Marvel's What If...?, un peu similaire, en cela qu'elle propose des épisodes unitaires intéressants, mais un fil conducteur (centré sur Capitaine Carter) un peu plat et redondant ; sur la première partie de la deuxième saison du reboot de Code Quantum, un peu trop orientée shipping à mon goût ; et enfin, sur la renaissance de Doctor Who au travers de ses quatre épisodes spéciaux chapeautés par Russell T. Davies, des épisodes bordéliques, mais qui font du bien après la traversée du désert Chibnall.

 

Retrouvez aussi les bilans de toutes les séries critiquées jusqu'à présent en ces pages depuis l'index Séries alphabétique qui leur est consacré.

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# À venir :

Comme tous les ans, un mois de février coupé en deux sur le blog des Téléphages Anonymes, avec une première quinzaine (ou plutôt, trois semaines, honnêtement) consacrées à la romance et à la Saint Valentin, et une dernière semaine plus normale, avec films et séries... 

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Dans l'intervalle, toutes les mises à jour du blog sont disponibles sur la page Updates, et la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog est accessible dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Les bilans de Lurdo : What If...?, saison 2 - suite et fin (2023)

Publié le 3 Février 2024 par Lurdo dans What If, Action, Aventure, Animation, Review, Critiques éclair, Fantastique, Télévision, Comédie, USA, Disney, MCU, Marvel, Les bilans de Lurdo, Science Fiction, Anthologie, Jeunesse

Suite de la seconde saison de la série d'animation What If ? de Marvel, avec ses 4 derniers épisodes...

What If...?, saison 2 - suite et fin (2023) :

- 2x06 - Lorsque les Conquistadors attaquent sa tribu, à la recherche de la Fontaine de jouvence, la jeune mohawk Kahhori découvre un lac étrange, où est tombé du ciel le Tesseract. Envoyée par ce dernier dans un univers parallèle, Kahhori y retrouve ses ancêtres, encore vivants et dotés de capacités surnaturelles qu'elle commence alors à développer elle aussi...

Pocahontas et Black Panther se retrouvent et ont un bébé, une histoire de décolonisation brutale réalisée grâce aux pouvoirs du Tesseract. Plutôt bien narré, intéressant, même si le personnage de Kahhori est un peu trop puissante pour son propre bien, et que la scène de fin, avec caméo de Strange, est plus frustrante qu'autre chose.

- 2x07 - Bannie par son père Odin pour son arrogance, Hela (Cate Blanchett) est envoyée sur Terre, et se retrouve en Chine, au Moyen-Âge. Là, elle croise le chemin de Xu Wenwu (Feodor Chin), de ses dix anneaux et de ses armées, mais finit par rejoindre Ta Lo, où elle reçoit l'enseignement de Jiayi et se prépare à affronter son père...

Une relecture du premier Thor, si Thor était remplacé par Hela, et plongé dans Shang-Chi plutôt qu'au milieu du Nouveau-Mexique du 20e siècle. Et honnêtement, ça fonctionne plutôt bien, notamment parce que j'ai de la sympathie pour le film Shang-Chi et sa mythologie, et parce que Cate Blanchett semble bien s'amuser.

- 2x08 - En 1602, le Capitaine Carter, venu du futur, aide Wanda Merlin et Sir Nicholas Fury a empêcher une incursion interdimensionnelle, mais échoue à sauver la Reine Hela. Elle est aussitôt traquée par les troupes du nouveau Roi Thor (Chris Hemsworth), et apprend que les incursions sont le résultat de la présence d'un autre voyageur temporel mystérieux...

La suite des aventures du Capitaine Carter, perdue dans le passé, avec une réinvention des Avengers à la sauce Renaissance, et un retour sur le devant de la scène de la romance impossible Carter/Rogers, qui une fois de plus fonctionne bien ici, y compris sa fin tragique.

- 2x09 - Strange Supreme révèle à Carter qu'il passe le plus clair de son temps à sauter d'univers en univers pour y capturer les menaces interdimensionnelles les plus puissantes... et exploiter leurs pouvoirs pour recréer son monde d'origine. Ce qui motive Carter et Kahhori à l'affronter...

Une fin pétaradante et explosive, qui déborde de scènes d'action (voire peut-être même un peu trop, ça frôle le brouillon et le précipité), de caméos visuels (on retrouve de nombreux personnages issus de nombreux univers), et qui utilise une rechute de Strange Supreme comme catalyseur de toute la saison. Pas inintéressant, en soi, mais j'aurais peut-être aimé quelque chose de moins brut de décoffrage.

- Bilan saisonnier - 

Une saison 2 sympathique, mais un peu en dessous de la saison 1, en ce qui me concerne.

Hormis l'épisode de Noël, très amusant, la course automobile sur Sakaar et l'épisode sur les Mohawks, le reste m'a un peu moins enthousiasmé que précédemment, notamment en ce qui concerne le Capitaine Carter. J'aime beaucoup le personnage, mais utiliser ainsi l'Agent Carter dans près de la moitié des épisodes de la saison, parce que le personnage est populaire et tout et tout, c'est peut-être un peu trop pour moi, et j'aurais préféré voir d'autres personnages ou d'autres variations plus obscures et originales.

Idem pour Strange Supreme, dont le retour des pulsions maléfiques ne m'a que moyennement convaincu.

Après, ça reste une série animée d'excellente facture sur le plan technique, donc je ne vais pas faire la fine bouche, mais j'espère que la saison 3 lèvera un peu le pied sur l'Agent Carter et sur les mêmes combinaisons de personnages.

 

(bilan Marvel/DC mis à jour !)

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Retrouvez aussi toutes les autres séries passées en revue sur ce blog en cliquant ici.

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Un film, un jour (ou presque) #1957 : Expendables 4 (2023)

Publié le 2 Février 2024 par Lurdo dans Action, Cinéma, Thriller, USA, Review, Critiques éclair

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Expend4bles (2023) :

Lorsque Barney (Sylvester Stallone) trouve la mort dans une mission qui tourne mal, les Expendables (Dolph Lundgren, Randy Couture, 50 Cent, Jacob Scipio, Levy Tran) se regroupent et décident de retourner sur le terrain afin de venger leur chef. Mais Lee Christmas (Jason Statham) est exclu de l'équipe suite au fiasco de la mission précédente, et il fait alors cavalier seul pour libérer ses collègues désormais dirigés par Gina (Megan Fox), et tombés dans un nouveau piège tendu par Rahmat (Iko Uwais)...

Après un Expendables regardable, un Expendables 2 légèrement meilleur car plus décontracté, et un Expendables 3 faiblard et boursouflé, la franchise de Stallone et ses copains reprend du service devant la caméra du réalisateur de Project X-Traction... et le résultat est assez fauché.

Sur un scénario de Kurt Wimmer, Expend4bles propose en effet un festival d'incrustations sur écran vert mal intégrées, d'images numériques mal finalisées, de dialogues clichés et d'interprétation assez médiocre à tous les niveaux (seuls Stallone, Statham, Couture et Fox s'en sortent avec les honneurs, voire même révèlent un réel timing comique, dans le cas de Couture), pour un résultat assez quelconque, qui tente des feintes assez prévisibles (sacrifices, morts...) sans réellement les rendre convaincantes, donnant surtout l'impression que cette franchise est à bout de souffle, et que Statham mériterait une série de films solos détachés de tout cela.

Pas désastreux (ça m'a moins déplu que le précédent), mais loin de la promesse initiale de la franchise, qui était de réunir des grandes stars du cinéma d'action d'antan...

Un petit 3/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Un film, un jour (ou presque) #1956 : A Disturbance in the Force (2023)

Publié le 1 Février 2024 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Documentaire, Critiques éclair, Star Wars, USA, Review, Science Fiction, Science-Fiction

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

A Disturbance in the Force (2023) :

Un documentaire exhaustif, intéressant et nuancé sur le fiasco du Star Wars Holiday Special (Au temps de la Guerre des étoiles, chez nous) de 1978, une émission de variété bordélique, nonsensique et approximative produite à la va-vite par CBS, à peine supervisée par Lucas et compagnie et qui a acquis, depuis lors une réputation démesurée et lamentable.

Ici, au travers de moultes images d'archive, interventions de fans célèbres (Seth Green, Kevin Smith, Paul Scheer, etc), interviews des scénaristes du Holiday Special, de la majeure partie de l'équipe technique d'alors, etc, le documentaire revient ainsi sur la nature même des Holiday Specials des années 70 (qui, pour la plupart, étaient tous de cet acabit - kitschs, non-sensiques, ridicules à nos yeux contemporains, mais totalement normaux pour l'époque), sur les conditions de production plus que chaotiques de ce projet (avec de nombreux changements d'équipe en cours de route), et remet bien en contexte ce Holiday Special mythique, dont la réputation mythique de désastre absolu dépasse largement la réalité somme toute assez quelconque.

Très complet et mesuré, A Disturbance in the Force est ainsi un film qui, en quelque sorte, accepte la place bien à part de ce métrage dans l'héritage de la franchise, sans sombrer dans une critique moqueuse bien facile, ni tenter de réhabiliter la réputation du projet : c'est équilibré, ça ne se prend pas trop au sérieux, et c'est instructif.

4.5/6 

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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