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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #pays-bas catégorie

Un film, un jour (ou presque) #1680 : Miaou ! (2001)

Publié le 1 Juillet 2022 par Lurdo dans Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Jeunesse, Review, Romance, Pays-Bas

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Miaou ! (Minoes - 2001) :

Lorsqu'une fuite de produits chimiques transforme la jeune chatte Minoes en jeune femme humaine hésitante (Carice Van Houten), elle se réfugie chez le journaliste Tibbe (Theo Maassen), pas très doué et en recherche d'un scoop pour sauver sa carrière. Ensemble, et avec l'aide des chats du voisinage, que Minoes connaît et comprend, les deux humains vont alors mener l'enquête sur le patron de l'usine de déodorants locale...

Un long-métrage familial néerlandais à destination des plus jeunes, adapté d'un roman pour enfants local, et qui autour de son générique amusant, très Panthère Rose, présente un récit agréable, bien qu'un peu simpliste et aux personnages caricaturaux, mais pas dénué d'un bon fond, et plutôt bien interprété.

Le script paraît parfois un peu décousu, avec certains raccourcis narratifs maladroits, et les effets des chats qui parlent ne remporteront pas forcément de récompenses, mais dans l'ensemble, ça reste gentillet et idéal pour un visionnage en famille.

3.25 + 0.25 pour le chat enroué qui beugle = 3.5/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Un film, un jour (ou presque) #1618 : 100 % Loup (2020)

Publié le 13 Avril 2022 par Lurdo dans Animation, Aventure, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Jeunesse, Review, Australie, Belgique, Pays-Bas, France, Allemagne

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

100 % Loup (100% Wolf - 2020) :

Héritier d'une dynastie de loup-garous destiné à prendre la tête de son peuple, Freddy (Ilai Swindells) attend avec impatience le jour de sa transformation, lors de son 13e anniversaire. Mais à sa grande surprise, il se transforme en caniche ridicule, et se retrouve banni de son clan par son oncle qui a pris le pouvoir. Désormais sans toit et sous forme canine, Freddy croise le chemin de Batty (Samara Weaving), une chienne des rues, qui la prend sous son aile...

Une coproduction franco-germano-australo-belgo-néerlandaise animée pas forcément désagréable à suivre, mais pas mémorable pour autant, puisque lorgnant fortement sur d'autres œuvres du genre, le Roi Lion en tête, et consacrant un trop long moment à la séquence "Freddy le chien est à la fourrière, et doit s'en échapper avec ses nouveaux amis canins", vue et revue.

Ce qui n'aide pas, en prime, c'est que l'on sent très clairement que la nature de coproduction du métrage a donné lieu à diverses influences et instructions parfois contradictoires dans la direction artistique : outre le ton parfois fluctuant du film, on peut citer ces moments étranges où l'on voit par exemple les enfants mimer du hard rock en regardant une vidéo de hard rock, alors que le film utilise "Who let the dogs out" des Baha Men. Mouais.

Bref, un film d'animation qui m'a laissé mitigé, paraissant à la fois nonchalant (ça ronronne vite) et frénétique, et dont la distribution vocale (Jai Courtney, Jane Lynch, Rhys Darby) est finalement assez sous-exploitée.

Bof.

2.5/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Christmas Yulefest 2021 - 41 - La Famille Claus 2 (2021)

Publié le 25 Décembre 2021 par Lurdo dans Christmas, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Jeunesse, Noël, Netflix, Review, Yulefest, Belgique, Pays-Bas

Noël est arrivé : chez les Téléphages Anonymes, le marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest continue jusque début janvier...

La Famille Claus 2 (De Familie Claus 2 - 2021) :

Maintenant que Jules Claus (Mo Bakker) connaît le secret de sa famille, il se prépare avec impatience au Noël à venir, pour tout apprendre aux côtés de son grand-père Noël (Jan DeCleir). Mais un jour, il découvre une lettre un peu différente, que Noël rejette aussitôt : une fillette demandant au Père Noël de réunir ses parents séparés. Ne comprenant pas la réaction de son aïeul, Jules décide aussitôt de s'occuper de ce cas assez spécial, quitte à mettre en péril sa carrière de Santa...

Suite du film néerlandais/belge de 2020, qui ne m'avait pas particulièrement convaincu, trop brouillon et peu maîtrisé pour plaire vraiment à un public adulte, ce Famille Claus 2 m'a paru plus réussi et cadré que l'original, aidé par un scénario assez simple et par des personnages n'ayant plus à être présentés.

À l'identique, le slapstick des lutins est ici plus limité, et si le métrage botte un peu en touche autour de tout ce qui concerne la mère et ses relations (avec notamment un coming out bancal d'un personnage secondaire), dans l'ensemble, ça a plutôt bon fond.

Alors certes, la musique est plutôt dérivative, le film un peu trop long, les conflits un peu forcés, et le tout se conclut de manière un peu précipitée, mais dans l'ensemble, ça m'a semblé plus assuré que le premier volet. C'est toujours ça de pris, à défaut d'être exceptionnel.

3.5/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films de Noël passés en revue sur ce blog dans le cadre de la Christmas Yulefest en cliquant directement sur ce lien (classement alphabétique), ou celui-ci (classement saisonnier)...

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Christmas Yulefest 2020 - 47 - La Famille Claus (2020)

Publié le 23 Décembre 2020 par Lurdo dans Aventure, Christmas, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Fantastique, Jeunesse, Netflix, Noël, Review, Yulefest, Belgique, Pays-Bas

Noël est en chemin : chez les Téléphages Anonymes, c'est l'heure du marathon de cinéma festif de la Christmas Yulefest, et ce jusqu'à mi-janvier...

La Famille Claus (De Familie Claus - 2020) :

Marqué par la mort de son père aux environs de Noël, Jules (Mo Bakker) déteste désormais les fêtes de fin d'année. Mais lorsque la santé de son grand-père Noël (Jan Decleir) faiblit, il découvre que sa famille descend d'une lignée magique et ancestrale : son grand-père est le Père Noël de légende, et s'il n'aide pas celui-ci à assurer sa tournée du 24 décembre, Jules sera responsable du désespoir de milliards d'enfants...

Un film de Noël belge/flamand diffusé cette année sur Netflix, et qui, pour être honnête, m'a plutôt laissé de marbre, pour de multiples raisons.

Déjà, parce qu'il est très clairement à l'intention des plus jeunes : la narration est parfois un peu décousue, avec des raccourcis et des facilités qui ne gêneront pas forcément les enfants, mais feront tiquer les adultes - en vrac, on peut citer la caractérisation à la truelle (Jules est gentiment tête à claques), une structure peu efficace (les flashbacks fréquents sur le traumatisme de la mort de son père) et répétitive (Jules déteste Noël, Papi se blesse, Jules aide Papi, il se vexe, il déteste Noël, Papi se blesse, Jules aide Papi...), des sous-intrigues approximatives (la mère de Jules à l'usine) et des éléments jamais vraiment expliqués de manière convaincante (je ne suis toujours pas certain d'avoir compris pourquoi ou comment la tournée du Père Noël se déroule ici sur plusieurs jours, si ce n'est pour laisser au récit le temps de respirer).

Ajoutez à cela une interprétation assez outrancière (principalement du côté des lutins) et des effets spéciaux inégaux (idem, les lutins), ainsi que des idées pas très bien amenées (la babysitter à la jambe de bois), et voilà, un métrage à réserver aux plus petits, et qui frustrera probablement les plus grands s'attendant à quelque chose de plus robuste.

3/6 pour les plus jeunes, moins pour les autres.

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Les bilans de Lurdo - Halloween Oktorrorfest 2020 - Les Héritiers de la Nuit, saison 1 (2019)

Publié le 24 Octobre 2020 par Lurdo dans Review, Critiques éclair, Télévision, Fantastique, Horreur, Drame, Romance, Halloween, Oktorrorfest, Jeunesse, Les bilans de Lurdo, Aventure, Amazon, Norvège, Pays-Bas

L'Halloween Oktorrorfest touche aussi le petit écran, avec chaque week-end, tout le mois d'octobre, des critiques de séries fantastiques et horrifiques...

Cette année, en lieu et place de The Worst Witch (qui a apparemment décidé de changer son interprète principale par un tour de passe-passe scénaristique - ce qui m'offre une jolie porte de sortie pour quitter le programme), je me tourne vers une autre série fantastique jeunesse disponible sur les plateformes de VOD : les Héritiers de la Nuit, une coproduction néerlando-norvégienne adaptée d'un roman jeunesse, et dont la première saison compte 13 épisodes de 25 minutes.

Les Héritiers de la Nuit, saison 1 (Nattens Arvinger - 2019) :

Des 13 clans vampiriques ayant vaincu Dracula (Julian Bleach) et s'étant ensuite affrontés pour se partager ses pouvoirs, seule une poignée subsiste à ce jour. Menacés par les Masques Rouges, des chasseurs de vampires humains dont Calvina (Christina Chang) est la plus farouche combattante, les chefs de clan survivants décident de réunir leurs héritiers pour les initier aux secrets de leur race. Parmi ceux-ci, la jeune Alisa (Anastasia Martin), issue d'un clan inférieur, est secrètement en possession de l'Étincelle, une force qu'elle ne contrôle pas, et qui la lie directement à l'esprit de Dracula... un Dracula qui vient de se réveiller de son sommeil et crie vengeance.

Une série jeunesse dont je ne savais absolument rien avant de la commencer, et qui finalement, s'est avérée une bonne surprise, dans le genre.

Alors oui, d'office, évacuons les quelques points qui fâchent, à commencer par le plus visible : tout ça est fortement sous influence. Les principales étant clairement les Avengers (avec le grand méchant et les héros qui tentent de trouver au plus vite des pierres magiques conférant chacune un pouvoir différent à son porteur), mais aussi et surtout Harry Potter : l'héroïne qui possède le pouvoir "de l'amour" qui la rend unique, qui est porteuse d'un Horcrux de l'Étincelle - un morceau d'âme de Voldemort Dracula qui les lie par des visions partagées - et que personne ne croit lorsqu'elle tente d'avertir les adultes en charge de l'école surnaturelle où elle vit, avec sa meilleure amie rousse, son rival blond et nordique, etc...

Il faut être très clair : l'influence Potter est indubitable, et l'on sent que la production s'est bien inspirée de la franchise de JK Rowling pour concevoir ce projet... mais pourtant, cette influence ne gêne jamais, car rapidement, les codes de Potter sont cassés, et l'identité propre de la série parvient à s'établir.

Si le léger triangle amoureux entre Alisa, Lars (Ulrik William Græsli) et Nicu (Lance West), le fils de la chasseuse de vampires de service, n'est jamais totalement convaincant, ce n'est pas la faute des jeunes interprètes : Anastasia Martin est attachante, tout le monde joue plutôt juste (malgré les différentes nationalités et les lentilles de contact vampiriques peu confortables) et ce n'est que ponctuellement que l'on remarque un choix d'interprétation mal avisé ou forcé (la jeune Aisling Sharkey, notamment, est parfois trop enthousiaste).

Visuellement, à l'identique, le tout est plutôt efficace, que ce soit au niveau de la réalisation, de la direction artistique ou des effets spéciaux (la chauve-souris numérique est notamment impeccable, et son interprète humaine, Sallie Harmsen, parvient à donner à son personnage quelque chose de malsain et de bestial, très à propos) ; la série avance à un bon rythme, ne perd pas de temps à mettre en place ses éléments (ça aide d'avoir un roman sur lequel se baser), et dans l'ensemble, le tout fonctionne bien, avec des visions étranges, des rebondissements dynamiques, un contexte historique qui apporte une atmosphère particulière, et un Dracula plutôt menaçant (bien que la version Gary Oldman ne soit pas loin, par moments).

Plus intéressant, on sent que les scénaristes connaissent leurs classiques, et sont fans du genre vampirique. Ce qui permet au programme d'avoir un certain capital sympathie, et en retour, au spectateur de se montrer indulgent envers certaines facilités scénaristiques, çà et là, des facilités nécessaires pour faire avancer un tel récit pour adolescents dans le cadre des 13 épisodes impartis.

En somme, une série teen qui, sans être exceptionnelle et parfaite sous tous rapports, s'avère plutôt solide et intéressante, rappelant par certains aspects le Young Dracula de la BBC, en nettement moins léger, mais en tout aussi pertinent pour l'approche des thématiques liant l'adolescence au vampirisme.

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Retrouvez aussi toutes les autres séries passées en revue sur ce blog en cliquant ici.

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Christmas Yulefest 2017 - 86 - La Course Aux Cadeaux (2014)

Publié le 4 Janvier 2018 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Christmas, Noël, Yulefest, Jeunesse, Animation, Aventure, Pays-Bas, Belgique

Noël est passé, mais chez les Téléphages Anonymes, la Christmas Yulefest et son marathon de cinéma festif continuent jusqu'à l'Épiphanie...

La Course aux Cadeaux (Trippel Trappel : Dieren Sinterklaas) :

À l'approche de la Saint Nicolas, Freddie le furet ne rêve que d'une chose : que le vieux barbu apporte à tous ses amis animaux des cadeaux, comme il le fait habituellement pour tous les enfants des Pays-Bas. Freddie décide donc de faire une liste et, accompagné par ses amis Cari le canari et Mosus le phasme, il part à la recherche du navire de Saint Nicolas...

Un dessin-animé néerlandais de Saint Nicolas qui dure une petite heure, et qui se regarde tranquillement, à défaut d'être particulièrement passionnant.

Les chansons sont ainsi à réserver aux plus petits, et les poursuites incessantes, dans la deuxième moitié, pourront lasser le public plus adulte, mais dans l'ensemble, ce n'est pas non plus particulièrement honteux, et ça a bon fond.

Sans oublier l'animation 2d, qui fait assez plaisir à voir malgré ses limites (visiblement, si j'en crois le générique de fin, une partie du projet a été financée de manière participative, donc ça sous-entend un budget de base déjà ultra-faible).

3/6 (un film plutôt à conseiller aux plus jeunes)

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Comme toujours, retrouvez la liste complète (et mise à jour avec les titres français) des films de Noël déjà passés en revue sur ce blog les années précédentes, en consultant notre Index Christmas Yulefest disponible ici...

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Christmas Yulefest 2017 - 18 - Saint (2010)

Publié le 6 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Yulefest, Noël, Christmas, Horreur, Fantastique, Pays-Bas, Comédie

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Saint (Sint) :

Le mythe de Saint Nicolas (Huub Stapel), ce vieillard bienveillant et généreux déposant des cadeaux aux Pays-Bas, dans la nuit du 5 au 6 décembre, est faux : en réalité, le religieux menait une horde de brutes sanguinaires qui, à la date fatidique, descendait sur le pays pour le piller et le ravager. Mortellement brûlé par des paysans excédés, Sinterklaas est désormais maudit, et à chaque 5 décembre de pleine lune, il revient parmi les vivants pour les punir ; mais cette fois-ci, Goert (Niels van den Berg), un policier dont la famille a été massacrée par Nicolas en 1968, est bien décidé à l'empêcher de nuire...

Un slasher semi-comique néerlandais assez inégal, qui bénéficie d'une ambiance intéressante, d'images assez jolies et de scènes plutôt réussies (par exemple, la poursuite dans les canaux et sur les toits, pas forcément toujours parfaite sur le plan de la technique, mais suffisamment ambitieuse pour inciter à l'indulgence), mais souffre de personnages insipides et clichés (Caro Lenssen est jolie, mais son personnage est inexistant), et d'un déroulement assez pépère (notamment vers la fin) un peu plombé par tout le côté policier du script et de la distribution.

Au final, les qualités du métrage, son environnement et son esthétique sont handicapés par les défauts du film, qui finit par s'avérer peu mémorable, et pas à la hauteur de son potentiel.

Dommage.

2.5/6

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Christmas Yulefest 2017 - 17 - Alles is Liefde (2007)

Publié le 6 Décembre 2017 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Review, Yulefest, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Pays-Bas

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Alles Is Liefde :

Alors que la Saint Nicolas approche, des couples néerlandais se font et se défont : Klaasje (Wendy van Dijk) a quitté Dennis (Peter Paul Muller), qui l'a trompée avec Sarah, une institutrice (Chantal Janzen) ; Simone (Anneke Blok), la meilleure amie de Klassje, craint que son époux Ted (Thomas Acda) la trompe ; Victor (Paul de Leeuw) et Kees (Daan Schuurman) sont sur le point de se marier, mais Kees est en pleine déprime ; Kiki (Carice Van Houten), vendeuse dans un grand magasin, rencontre le Prince Valentijn (Jeroen Spitzenberger) à l'occasion des célébrations de la Saint Nicolas, et c'est le coup de foudre réciproque. Et enfin Jan (Michiel Romeyn), un barbu énigmatique fraîchement arrivé d'Espagne, remplace au pied levé le père de Klaasje dans le costume du Saint Nicolas d'Amsterdam, et lorsqu'il sauve de la noyade la fille de Simone, il devient une star nationale, et profite de cette exposition médiatique pour tenter de retrouver son fils...

Une comédie romantique néerlandaise très inspirée par Love Actually, et qui s'est avérée un tel succès au box-office des Pays-Bas qu'elle a eu droit à un remake en Allemagne, entre autres.

Dans l'absolu, rien de vraiment marquant au programme : on est dans quelque chose de très balisé, une rom-com chorale à la distribution inégale (il y a peu de visages vraiment mémorables ou attachants, si l'on excepte Carice van Houten, Michiel Romeyn ou Anneke Blok), à l'illustration musicale un peu trop évidente, et aux quelques longueurs inutiles... mais ça se regarde tranquillement, principalement grâce à son atmosphère très particulière, apportée par son environnement néerlandais particulier, et par la fête de Saint Nicolas.

3.5/6

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