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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Articles avec #noel catégorie

Christmas Yulefest 2014 - 20 - Un Souhait pour Noël (2008)

Publié le 10 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, ION

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Un Souhait pour Noël (The Christmas Clause) :

Sophie Kelly (Lea Thompson) est une avocate qui peine à concilier sa vie professionnelle avec sa vie privée, son mari et ses trois enfants. Épuisée et découragée, elle croise le chemin d'une vieille amie qui vole d'homme richissime en homme richissime, et, envieuse, elle fait le souhait de connaître cette existence. À son réveil, le lendemain, elle a pris la place de son amie, et se retrouve célibataire, richissime, et affreusement seule...

J'en parlais au début du mois dans la critique de Ma Vie Est Un Enfer : revoilà ce même scénario éculé dans lequel une businesswoman redécouvre le sens de la vie de famille et des fêtes de Noël en changeant magiquement de statut social le temps de quelques jours, blablabla.

Un concept qui repose toujours sur la distribution de ces films, et leur tonalité générale.

Pas de chance, ici, c'est un désastre : tout le monde cabotine, la distribution est transparente et antipathique au possible, le récit est mal rythmé, mal structuré et, pour faire simple, le tout semble décousu, et assez fauché.

Un téléfilm ION TV qui, comme souvent avec les productions de cette chaîne, semble être forcé et un peu baclé, avec un budget plus que limité.

1/6

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Christmas Yulefest 2014 - 19 - L'Amour en Cadeau (2003)

Publié le 10 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Comédie, Romance, Noël, Christmas, Télévision, CBS

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

L'Amour en Cadeau (Undercover Christmas) :

Issu d'une famille aisée, Jake Cunningham (Shawn Christian) est un agent du FBI coincé et totalement dévoué à son job. Contraint de passer les fêtes de Noël à protéger Brandi (Jami Gertz), une serveuse impertinente et manquant de manières, il l'emmène dans sa famille, où il la fait passer pour sa petite-amie, au grand dam de tous ses proches...

Téléfilm CBS qui se calque sur L'Aventure d'une Nuit (1940), et qui repose intégralement sur l'énergie et le charme de Jami Gertz, à fond dans son rôle.

Le tout se suit donc avec bonne humeur, sans être forcément ultra-mémorable ou original ; ça finit tout de même par ronronner gentiment durant sa seconde moitié, donc au final, c'est assez inégal (Shawn Christian est un lead assez quelconque), et ça ne parvient pas à réaliser totalement son potentiel.

3/6

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Christmas Yulefest 2014 - 18 - La Bougie de Noël (2013)

Publié le 9 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Drame, Histoire, Religion

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

La Bougie de Noël (The Christmas Candle - 2013) :

Dans le village anglais de Gladbury, un ange rend visite au chandelier local tous les 25 ans, pour bénir l'un de ses cierges, et exaucer un miracle. Mais en 1890, alors qu'un nouveau pasteur aux idées révolutionnaires arrive au village, le chandelier perd la bougie enchantée : contraint de mentir aux villageois, il distribue de faux cierges magiques à ceux-ci, tandis que le pasteur, refusant de croire au miracle de la bougie, tente d'améliorer seul le quotidien de ses paroissiens.

Un film adapté d'un roman écrit par un pasteur texan, et produit par un ponte du Parti Républicain US : autant dire que forcément, on se méfie tout de suite d'un trop grand prosélytisme religieux du film.

Et effectivement, par moments, ce Christmas Candle ne peut s'empêcher de donner dans les clichés du genre, avec le sceptique qui ne croit pas aux miracles et qui tente d'installer le progrès électrique dans le village, face aux traditions religieuses et aux autochtones qui préfèrent les bougies... on est dans de l'opposition classique de ce type de films, et bien entendu, à la fin du film, le pasteur dubitatif retrouve une Foi totale.

D'ailleurs, c'est un peu l'un des problèmes principaux du métrage, ce "bien entendu" : The Christmas Candle est affreusement prévisible. Tous ses rebondissements sont téléphonés au possible, leurs résolutions aussi, et l'on pourrait presque se livrer à un jeu des prédictions à mesure que l'on regarde le film... un jeu que l'on gagnerait sans le moindre doute.

Et pourtant, le métrage n'est pas dénué de qualités, loin de là : il est bien filmé, bien interprété, les décors naturels sont beaux, la reconstitution historique plutôt convaincante, les effets ne sont pas trop mauvais, le film ne se prend pas non plus trop au sérieux, bref, d'un point de vue technique, c'est tout à fait honorable.

Malheureusement, le scénario et le propos ne suivent pas, ce qui plombe forcément un peu le tout sur la durée.

3/6

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Christmas Yulefest 2014 - 17 - Je Hais le Père Noël ! / Appelez-moi le Père Noël ! (2001)

Publié le 9 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Télévision, TNT

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Je Hais le Père Noël ! (Call Me Santa) :

Traumatisée par la mort de son père militaire durant son enfance, Lucy Cullins (Whoopi Goldberg) est devenue une productrice de télévision acariâtre et amère, qui gère une chaîne de télé-achat. Un jour, alors qu'elle cherche un Santa pour animer ses programmes, elle croise le chemin de Nick (Nigel Hawthorne), le véritable Père Noël, venu à sa rencontre pour faire d'elle son héritière...

Un téléfilm TNT de 2001 aussi connu sous nos contrées sous le nom de "Appelez-moi le Père Noël !", et qui recycle énormément de films de Noël, depuis Super Noël en passant par Miracle sur le 34ème Rue, jusqu'à Un Chant de Noël, Ernest Sauve Noël, etc.

On se retrouve donc en terrain ultra-balisé, et à l'écriture assez banale, pour un métrage qui survit principalement grâce à l'interprétation sincère et réussie de Nigel Hawthorne.

Whoopi, elle, semble à moitié convaincue par le projet, et par conséquent ne convainc qu'à moitié le spectateur, qui reste finalement assez passif devant ce récit convenu au possible.

2/6

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Christmas Yulefest 2014 - 16 - Objectif Noël (2014)

Publié le 8 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Télévision, Hallmark, Comédie, Drame

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Objectif Noël (One Christmas Eve) :

Nell Blakemore (Anne Heche), une mère fraîchement divorcée, veut offrir un Noël de rêve à ses deux enfants. Mais très rapidement, avec l'arrivée d'un petit chiot abandonné, les catastrophes s'enchaînent, et tout tourne au cauchemar : séjour à l'hôpital, chute sur un chantier, agent de sécurité zélé, infirmière difficile, incendie, braquage... rien ne va plus pour les Blakemore. Heureusement, Nell va bientôt découvrir qu'à Noël, en cas de coup dur, on peut parfois sur une famille de substitution complètement improbable...

Encore une comédie (pas trop) romantique Hallmark, déjà classée dans le Hall Of Fame par la simple présence de Anne Heche au casting.

Pourquoi pas, hein, même s'il faut bien avouer que ce métrage est loin d'être un classique instantané. Très loin, même.

Le récit est décousu, mal rythmé et peu captivant ; il y a de longs segments du film qui sont hystériques et bruyants (Heche en mère qui engueule ses enfants, c'est presque rédhibitoire) ; et il y a cette dernière péripétie ridicule qui enchaîne un incendie dramatique déclenché par le chien, et un sauvetage ultra-risible de ce même chien dans la rue, avec un gros ralenti qui fait bien tache... rien que d'y repenser, j'en ris encore.

Bref, pas terrible du tout, ce Hallmark Hall of Fame Movie.

2/6

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Christmas Yulefest 2014 - 15 - S.O.S. Père Noël (2002)

Publié le 8 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Fantastique, Télévision, Hallmark

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

S.O.S. Père Noël (Santa, Jr) :

Chris, le fils du Père Noël (Nick Stabile) est un glandeur de première, qui décide un beau jour de prouver sa valeur au monde en se lançant dans une tournée deux jours trop tôt. Après avoir été arrêté par la police (Judd Nelson), Santa Jr. est assigné à résidence dans la demeure d'une avocate commise d'office (Lauren Holly), qui va devenir une amie : avec l'aide de l'elfe Stan (Ed Gale), Chris va alors tenter de mettre un terme aux agissements d'un criminel déguisé en Santa...

Un téléfilm familial Hallmark de 2002 qui s'avère assez raté. La faute en incombe principalement à Stabile, qui fait un lead particulièrement transparent et sans charisme, à une direction d'acteurs assez bancale (ça joue très moyennement juste) et à une bande originale signée Ken Thorne, beaucoup trop envahissante et agaçante.

Résultat : le tout se traîne mollement, sans grand intérêt, et le spectateur ne peut s'empêcher de se gausser des effets spéciaux risibles, semblant dater du début des années 90.

1.25/6

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Christmas Yulefest 2014 - 14 - La Course au Jouet 2 (2014)

Publié le 7 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Comédie, Noël, Christmas, Jeunesse, WWE

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

La Course au Jouet 2 (Jingle All the Way 2) :

Larry est un redneck assez décontracté et bon vivant, divorcé et père de Noelle (Kennedi Clements), huit ans. Victor (Brian Stepanek), lui, est le beau-père de Noelle, et est tout l'opposé de Larry : riche, intellectuel, et issu d'une classe aisée. Lorsque Noelle demande l'Ours Harrison pour Noël, un jouet ultra-moderne et révolutionnaire, une guerre s'engage entre les deux hommes pour satisfaire la demande de la petite fille...

Une pseudo-suite à la Course au Jouet, co-produite par la WWE (ce qui se traduit par la présence de Santino dans le rôle du meilleur pote de Larry, un Santino assez troublant sans son accent), et qui donne plutôt l'impression, pendant sa première demi-heure, d'un téléfilm sans rapport, vaguement rattaché à postériori au film de Schwarzenegger.

Ensuite, cependant, ça revient sur les pas de l'original, pour s'y calquer totalement... mais d'une manière nettement moins inspirée : les péripéties sont ternes et déjà vues, le jouet est quelconque, le budget est nettement plus limité, et l'équilibre des forces est tellement en défaveur du héros col-bleu vs l'antagoniste aisé que ça perd tout potentiel comique, au profit d'une lutte des classes pataude et inutile.

Reste la gamine, déjà adorable dans Ma Vie est un Enfer, et dans Ce Noël qui a changé ma vie, et qui ici l'est tout autant.

1.75/6

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Christmas Yulefest 2014 - 13 - Un Foutu Conte de Noël (2014)

Publié le 7 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Drame

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Un Foutu Conte de Noël (A Merry Friggin' Christmas) :

Boyd Mitchler (Joel McHale) et sa famille vont passer Noël chez leurs proches, un clan d'individus tous plus excentriques les uns que les autres. Lorsqu'il réalise qu'il a laissé les cadeaux de son fils à la maison, Boyd reprend la route en compagnie de son père Mitch (Robin Williams), un homme particulièrement acariâtre et râleur, avec qui il ne s'entend pas...

Une distribution attachante et prometteuse, entre Williams, McHale, Candice Bergen, Bebe Wood, Lauren Graham, et compagnie, mais un film qui enchaîne les clichés de la dramédie indépendante, sans être jamais particulièrement drôle ou touchant.

La faute à une écriture un peu pataude, à des personnages trop décalés et improbables, et à une trame prévisible dans son déroulement.

Qui plus est, entre ce film et The Angriest Man In Brooklyn, Robin Williams continue dans les rôles sombres et résignés, ce qui, compte tenu de sa fin tragique, n'aide pas vraiment à apprécier son personnage de père indigne alcoolique et dépressif...

2/6

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Christmas Yulefest 2014 - 12 - Une Bonne Étoile pour Noël (2014)

Publié le 6 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Drame, Télévision, Hallmark

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Une Bonne Étoile pour Noël (The Christmas Shepherd) :

Illustratrice de livres pour enfants, veuve depuis la mort de son mari militaire, Sally Browing (Teri Polo) est dévastée lorsque Buddy, son berger allemand, s'enfuit en pleine tempête. Le chien, cependant, finit par arriver dans le foyer de Mark Green (Martin Cummins) et de sa fille Emma (Jordyn Olson), qui peinent à se reconstruire après la mort de la mère d'Emma, trois ans plus tôt. Alors que Noël approche, Buddy va s'avérer le catalyseur du rapprochement entre ces deux foyers que tout sépare...

Encore un téléfilm Hallmark de cette saison 2014, avec cette fois-ci un gentil toutou qui apporte le bonheur à sa maîtresse et à ceux qui le recueillent.

Rien de bien original, rien de bien mémorable, The Christmas Shepherd est un métrage très classique, et qui fleure bon la romance Harlequin typique. À vrai dire, le tout semble presque avoir été bricolé avec les restes du budget des autres téléfilms Hallmark de la saison tant chaque scène sent le recyclage, et tant le film paraît tourné avec une équipe et des frais réduits au maximum.

Qui plus est, le côté discount du téléfilm se ressent d'autant dans l'écriture/les dialogues, assez maladroits par moments, dans la direction d'acteurs (Polo et Cummings sont sympathiques, mais les sentiments de tous les personnages, qu'ils soient positifs ou négatifs, semblent artiiciels et forcés), dans le sempiternel cliché du "mec intellectuel qui a tout abandonné pour revenir à la vraie vie manuelle du coeur de l'Amérique" (ici, le publicitaire devenu militaire devenu gérant de café), etc.

De manière générale, le chien a beau être attachant et bien dirigé, le tout manque cruellement de fantaisie et de magie de Noël, préférant une approche réaliste et dramatique où tout le monde fait la gueule pendant un gros morceau du film. Sans façons.

2/6

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Christmas Yulefest 2014 - 11 - L'Ange Gardien de Noël (2014)

Publié le 6 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Drame, Fantastique, Télévision, Hallmark

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

L'Ange Gardien de Noël (Angels and Ornaments) :

Jeune quadragénaire mélancolique travaillant dans un magasin de musique sous les ordres de son patron Dave (Graham Abbey), un ami d'enfance qui en pince pour elle, Corrine (Jessalyn Gilsig) est une grande romantique malheureuse en amour. Après un souhait prononcé devant une décoration de Noël familiale, Corrine reçoit soudain l'aide de Harold (Sergio Di Zio), l'esprit de son grand-père, qui doit réussir à trouver un prétendant à sa petite-fille avant Noël, s'il veut obtenir ses ailes d'ange...

Cinquième nouveau film de Noël Hallmark de la saison 2014, ce métrage assez médiocre n'est franchement pas très intéressant.

La faute, principalement, à un ton global qui donne dans le mélo dépressif et sirupeux, dans lequel tout le monde surjoue (d'un côté, l'ange en fait trois tonnes, avec un accent de Brooklyn à deux doigts de la mauvaise imitation d'Adam Sandler ; de l'autre, Gilsig, qui multiplie les pauses mélancoliques et désespérées, et joue tout le film sur le ton du murmure effacé, tire à elle seul tout le téléfilm vers les profondeurs de la déprime, y compris lorsque tout va bien à la fin du récit), dans lequel la musique est envahissante, et dans lequel rien de fonctionne vraiment.

Il est probable qu'avec une distribution plus attachante, et des parti-pris moins "tristesse et désespoir", ça aurait pu fonctionner un minimum... mais là, non. Clairement pas. Les films de Noël, ce n'est pas sensé être démoralisant...

1.5/6

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Christmas Yulefest 2014 - 10 - Impossible n'est pas Noël (2005)

Publié le 5 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse, Fantastique, Canada, Télévision, Romance

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Impossible n'est pas Noël (Deck the Halls - 2005) :

Après la mort soudaine de son mari il y a un an, Holly Hall (Gabrielle Carteris) est retournée vivre dans sa petite ville natale avec son fils Ben (Josh Hayden), âgé de huit ans. Elle accepte un travail dans l'usine de jouets de son père, espérant retrouver la sérénité, passer du temps avec ses parents, revoir sa meilleure amie Melody (Jocelyne Loewen), et son ami d'enfance, Kirk Olsen (Steven Culp), devenu à présent vétérinaire. Mais lorsque Holly fait la connaissance de son nouveau voisin, Nicholas Saint-Claire (Steve Bacic), rien ne va plus. Publicitaire impertinent, nonchalant et sarcastique, séduisant trentenaire aux longs cheveux et à la chemise hawaïenne qui travaille pour le père de Holly, Nick plaît à cette dernière tout autant qu'il l'horripile... et lorsque Ben se persuade que Nick est le Père Noël, et qu'il ferait un compagnon parfait pour sa mère, les choses se compliquent...

Un téléfilm canadien assez léger et second degré, ce qui en fait une bonne surprise, avec son Santa jeune et décomplexé.

C'est assez dynamique et agréable à suivre, même si ce n'est pas parfait pour autant : le métrage perd en effet pas mal d'énergie dans son dernier quart, lorsque les choses redeviennent un peu sérieuses, et certains choix ne m'ont pas convaincus dans cette dernière partie : choix musicaux (le montage sur "We Three Kings" en version rap, arg), visuels (la transformation finale, doublée d'une voix particulièrement ratée), et de jeu (Carteris, notamment, fait parfois des choix d'interprétation étranges).

M'enfin bon, rien de bien méchant, c'était tout de même assez sympathique, principalement grâce au charisme de Bacic, et à la feinte sur le protagoniste réel de la romance principale. 

3.25/6

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Christmas Yulefest 2014 - 09 - Ma Famille en Cadeau (2008)

Publié le 5 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Lifetime

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Ma Famille en Cadeau (Will You Merry Me ?) :

Rebecca Fine (Vikki Krinsky) et son fiancé Henry Kringle (Tommy Lioutas) vont passer les fêtes de Noël, en compagnie des parents de Rebecca, dans la famille de Henry ; seul problème : les Fine sont juifs, aisés, et vivent à LA, tandis que les Kringle, chrétiens, sont issus de la classe moyenne, et vivent dans une petite bourgade traditionnelle. Pour les deux belles-familles, les fêtes de Noël vont rapidement se transformer en champ de bataille...

Un téléfilm Lifetime bâtard, hybride jamais vraiment convaincant de comédie romantique, de comédie familiale, et de film de Noël.

La rom-com, particulièrement basique, repose malheureusement ainsi sur un couple principal totalement transparent, terne et inintéressant ; la comédie familiale, elle, singe Mon Beau-Père et Moi dans une version caricaturale, blindée de clichés sur les religions, et qui se résume à un concours d'hystérie entre Wendie Malick et Cynthia Stevenson ; et histoire de finir en beauté, on conclue avec un pseudo-Voisin contre Voisin, et un concours de décorations/prétexte très peu exploité...

Bref, ce n'est pas inspiré, pas drôle, c'est particulièrement convenu et prévisible, et le capital sympathie de Malick et Stevenson est plombé par l'écriture médiocre et criarde des personnages. On oublie donc très vite.

1/6

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Christmas Yulefest 2014 - 08 - Il faut sauver Noël / Northpole : les Étincelles de Noël (2014)

Publié le 4 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Télévision, Hallmark, Comédie, Romance, Jeunesse, Noël, Christmas

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Il faut sauver Noël / Northpole : les Étincelles de Noël :

Noël est en péril, car le Pôle Nord, alimenté par la joie et le bonheur de la race humaine, perd progressivement son énergie. Santa (Robert Wagner), son épouse (Jill St John) et l'elfe Clementine (Bailee Madison) choisissent d'intervenir : cette dernière part alors à la rencontre de Kevin (Max Charles), un jeune garçon bien décidé à faire retrouver à sa mère journaliste (Tiffani Thiessen) l'esprit de Noël, quitte à forcer un rapprochement avec Ryan (Josh Hopkins), l'instituteur célibataire de Kevin. 

Une histoire assez basique et mignonnette, très téléfilm Disney des années 80s, mais avec un budget et des effets spéciaux nettement plus travaillés.

D'ailleurs, à vrai dire, ce métrage aurait été nettement plus à sa place sur un Disney Channel, ou sur ABC, plutôt que sur Hallmark, même si l'on retrouve ici ou là quelques-uns des clichés des téléfilms de la chaîne.

Reste que c'est assez réussi, que la distribution est sympathique (même si Wagner a trois lignes de dialogue, et est assez froid et robotique en Santa, ce qui est gênant) et que malgré son script cousu de fil blanc, on ne s'ennuie pas particulièrement.

Et de toute façon, la suite est déjà en chantier, donc... 3.75/6

EDIT 11/2015 : Après avoir revu le film juste avant la diffusion de sa suite, je dois dire que les défauts se font nettement plus évidents. Certes, toutes les scènes au Pôle Nord sont visuellement réussies, au point qu'on regrette qu'il n'y en ait pas plus... mais j'avoue que toute l'enquête journalistique de Tiffani Thiessen est particulièrement insipide et mollassonne ; ce qui, en retour, plombe joyeusement le rythme global du métrage.

En somme, dès que l'on s'éloigne de Bailee Madison, ça ronronne sérieusement, le placement produit devient un peu trop voyant, et même au Pôle, la prestation mal post-synchronisée et indifférente de Robert Wagner en Santa fait gentiment tache, et tire un peu le tout vers le bas.

Bref, au final, une fois débarrassé de toute la hype et la promotion constante de la chaîne, centrée sur les plans à effets spéciaux et sur Bailee, ce Northpole s'avère assez moyen, trahissant ses origines au budget limité par un récit centré sur une petite ville générique, et sur une intrigue politique insipide, plutôt que sur le Northpole du titre.

Heureusement que la distribution est sympathique, et que le tournage a vraiment eu lieu en hiver, dans la neige et les éléments déchaînés, ça aide à rendre le tout crédible, et à assurer une (petite) moyenne à ce téléfilm.

3/6

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Christmas Yulefest 2014 - 07 - Les Cookies de Noël (2014)

Publié le 4 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Les Cookies de Noël (A Cookie Cutter Christmas) :

Christie (Erin Krakow) et Penny (Miranda Frigon), deux institutrices au sein du même établissement, se détestent royalement depuis leur plus tendre enfance, et sont prêtes à tout pour se mettre mutuellement des bâtons dans les roues. Ainsi, à l'approche de Noël, l'arrivée d'un nouveau père célibataire et de sa fille devient l'enjeu de leur affrontement sanguinaire, qui prend la forme d'un concours de pâtisserie où tous les coups sont permis...

Hallmark continue avec ses films de Noël cuvée 2014, et cette fois-ci, on se retrouve avec un métrage insipide au possible, et ce à tous les niveaux.

Le récit est affreusement balisé, la distribution est transparente et sans la moindre alchimie, et surtout, les deux antagonistes sont à baffer tant leur conflit semble puéril et mesquin (sans que les interprètes aient le charme nécessaire pour faire passer la pilule).

Bref, un film de Noël sans la moindre magie, sans le moindre intérêt, sans... sans rien du tout, en vérité.

Ah, et félicitations à Alan Thicke qui cachetonne du début à la fin dans un rôle qui lui demande de manger des cookies, et de dire deux lignes de dialogue par heure de film.

1/6

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Christmas Yulefest 2014 - 06 - Joyeux Noël, Grumpy Cat (2014)

Publié le 3 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse, Télévision, Lifetime

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Joyeux Noël, Grumpy Cat (Grumpy Cat's Worst Christmas Ever) :

Grumpy Cat (doublé par Aubrey Plaza) est un chat léthargique et sarcastique qui vit dans un magasin d'animaux, au coeur d'un centre commercial. À l'approche de Noël, une jeune fille nommée Chyrstal (Megan Charpentier) fait le voeu de trouver une vraie amie : le voeu est exaucé, et désormais, Chyrstal peut entendre Grumpy Cat lui parler. À l'improbable duo d'empêcher deux musiciens incapables de dérober un chien valant une fortune, et de ruiner les fêtes de Noël.

Ce téléfilm Lifetime, c'est un peu le Sharknado des films de Noël : c'est creux, c'est naze, c'est stupide, c'est semi-parodique et c'est fauché. Mais là où le premier Sharknado n'avait pas forcément conscience de sa nullité et de son potentiel "culte", ce Grumpy Cat's... est tout le contraire.

En fait, cette exploitation assumée d'un meme idiot, c'est comme un Sharknado qui saurait que l'internet adore se moquer des films nazes sur twitter, et qui aurait décidé de créer le buzz en faisant croire aux spectateurs que "c'est normal que vous trouviez ça naze, regardez, nous aussi on le pense, alors continuez à regarder, moquez-vous, on se contentera de gagner de l'argent avec les revenus publicitaires, et on produira comme ça trois ou quatre autres suites toutes aussi nulles qui nous rapporteront encore plus d'argent." : autrement dit, c'est un Sharknado qui serait conçu pour être délibérément naze, et optimisé pour faire parler de lui sur le net.

C'est Sharknado 2, donc. ^^

Bref, ce Sharknado 2 Grumpy Cat's... est un film profondément manipulateur et mauvais ; c'est mal joué, globalement mal écrit (à une vanne ou deux près), mal rythmé, idiot, bourré de clichés (c'est un sous-Maman j'ai raté l'avion dans un centre commercial, avec en prime des animaux qui parlent), et ça recouvre cette couche de médiocrité d'un vernis cynique encore plus faible, ici confié à Aubrey Plaza (en pilotage automatique la moitié du temps) chargée de faire des vannes plates et mal écrites en voix off, et se moquer constamment du film, avec des "pourquoi vous regardez cette daube ?" et autres "oui, ce film est naze, on le sait, mais on va se faire un paquet d'argent avec les pubs, alors tweetez #pourquoijeregardecettedaube, bande de moutons " directement adressés aux spectateurs.

Pour résumer, Grumpy Cat's Worst Christmas Ever, c'est du cynisme 2.0, c'est éminemment détestable, et je plains ce pauvre chat qui se fait balader partout alors qu'il n'a qu'une envie : dormir.

0/6

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Christmas Yulefest 2014 - 05 - Monsieur Papa (1996)

Publié le 3 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Jeunesse

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Monsieur Papa (Santa With Muscles) :

Blake (Hulk Hogan), un millionnaire californien capricieux, immature et sans scrupules, se déguise en Père Noël pour éviter la police après une poursuite automobile : après une chute violente, il perd cependant la mémoire, et se persuade progressivement qu'il est le véritable Santa Claus : à lui d'assurer l'intérim au centre commercial locale, et de protéger un orphelinat local des manigances du maléfique Ebner Frost (Ed Begley, Jr.).

Du long-métrage de Noël des années 90 qui est sorti en salles, et on se demande bien pourquoi, tant le tout ressemble vraiment à un téléfilm fauché de la fin des années 80 ; un peu à l'image des implants capillaires de Hulk Hogan, plus risibles qu'autre chose.

Hogan, cela dit, s'en sort assez bien dans son interprétation, celle d'un Richie Rich méritant des baffes, et qui, forcément, retrouve le droit chemin grâce aux enfants d'un orphelinat étrangement vide.

Pour faire simple, c'est un long-métrage assez mal foutu, pas intéressant pour un sou, qui n'a rien de Noël (forcément, avec un soleil californien constant) et qui n'a comme seul intérêt que sa distribution, pleine de seconds rôles amusants (Don Stark et Mila Kunis de That 70s Show ; Ed Begley Jr, Clint Howard, Steve Valentine).

Mais à part ça... c'est assez difficile à supporter.  Et le titre français ("Monsieur Papa") est gentiment WTF.

0.75/6

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Christmas Yulefest 2014 - 04 - Neuf Vies Pour Noël (2014)

Publié le 2 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Neuf Vies pour Noël (The Nine Lives of Christmas - 2014) :

Célibataire endurci, le pompier Zachary Stone (Brandon Routh) refuse de s'engager sentimentalement, et préfère se consacrer à son métier. Mais lorsqu'il recueille un chat errant à l'approche de Noël, Zach découvre bien vite qu'il apprécie d'avoir un peu de compagnie... d'autant que Marilee (Kimberley Sustad), une étudiante vétérinaire et vendeuse en animalerie qu'il croise à de multiples reprises, s'avère très à son goût ; progressivement, le couple se rapproche, sans jamais vraiment oser franchir le pas...

Un joli paradoxe que ce second téléfilm Hallmark de la saison 2014, un métrage qui, depuis sa diffusion, est devenu l'un des préférés des spectateurs/trices, outre-atlantique. Au point de motiver la mise en chantier d'une suite pour Noël 2021... d'autant plus paradoxal que finalement, ce téléfilm aurait très bien pu s'intituler "Les Flammes de mon Coeur", ou que sais-je encore, être diffusé à la St Valentin ou au 14 Juillet, et hormis une ou deux décorations, et peut-être une scène et demi, tout au plus, le métrage n'aurait pas eu à changer le moins du monde.

À l'identique, je n'aurais pas été surpris d'apprendre que ce projet était un script générique (avec les clichés habituels du genre : l'héroïne intelligente mais un peu maladroite ; le love interest beau, musclé, parfait mais blessé par son passé ; la petite-amie diabolique et caricaturale ; la meilleure amie ethnique, etc) sorti d'un tiroir par un exécutif et confié à l'un des scénaristes attitrés de la chaîne avec pour consigne "rajoute des trucs de Noël dedans, on va le diffuser pour les fêtes de fin d'année".

Sauf que non, en fait : Nine Lives... est tiré d'un roman sentimental, adapté pour l'écran par une habituée des téléfilms Hallmark. Ce qui en dit probablement long sur la qualité du roman original... et sur les efforts de la distribution, qui parvient à rendre ce métrage somme toute assez sympathique.

Pourtant, ce n'était pas gagné : outre le script peu inspiré, le film souffre d'une illustration musicale pataude, d'extérieurs trop ensoleillés, et d'une fin téléphonée, précipitée et un peu forcée... Mais malgré tout cela, ça se regarde assez bien, principalement parce que le tout repose intégralement sur les épaules des acteurs (y compris les seconds rôles, comme les autres pompiers), qui sont suffisamment attachants et dynamiques pour emporter l'adhésion et donner de la personnalité au métrage.

Sans oublier les chats, qui sont mignons. Après... je ne partage tout de même pas l'enthousiasme débridé des Américain(e)s, mais il est vrai qu'en comparaison de bon nombre d'autres films Hallmark, c'est légèrement au-dessus.

3.25/6

(critique mise à jour en 2021, à l'occasion de la diffusion de la suite)

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Christmas Yulefest 2014 - 03 - Un Cow-Boy pour Noël (2014)

Publié le 2 Décembre 2014 par Lurdo dans Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Un Cow-Boy pour Noël (One Starry Christmas) :

Jeune astronome séduisante, Holly (Sarah Carter) voudrait passer Noël avec son fiancé Adam (Paul Popowich), mais celui-ci, à la dernière minute, doit partir à l'autre bout du pays pour négocier le contrat le plus important de sa carrière. Décidée à ne pas se laisser abattre, Holly choisit de le rejoindre en bus, mais un retard lui permet de faire la connaissance de Luke (Damon Runyan), un cow-boy texan au bagoût charmant qui l'aide à rejoindre le domicile de ses parents. Invités à passer Noël en compagnie de Holly et ses parents, Luke et un Adam jaloux vont désormais concourir pour remporter le coeur de la jolie blonde.

Premier téléfilm Hallmark de la saison 2014... et ça commence mal. En effet, ce métrage s'avère particulièrement médiocre et frustrant, malgré un rythme satisfaisant, et une Sarah Carter adorable comme toujours.

Le problème principal, à vrai dire, c'est l'écriture, qui fait de Holly une héroïne capricieuse, superficielle et indécise, de Luke un être idéalisé dont tout le monde s'éprend aussitôt, et qui diabolise gratuitement le personnage d'Adam (qui malgré l'hostilité de tout le monde, est un mec assez normal, bien qu'un peu jaloux et orienté carrière), au profit de la simplicité redneck de Luke (avec toujours cette dichotomie les citadins = pas bien, les campagnards = la simplicité et vérité vraie de l'Amérique authentiques de nos aïeux).

Résultat, on se retrouve avec une Holly qui se sépare de son compagnon parce qu'il a des obligations professionnelles dont il ne peut se défaire aux alentours de Noël, parce qu'ils n'ont pas les mêmes goüts en matière de décoration de sapin, parce qu'il n'a pas de bague de fiançailles prête lorsqu'il fait une demande en mariage spontanée, bref, parce qu'il n'est pas le grand amour extraordinaire et aventureux dont elle rêve, le torrent de passion imprévu et inattendu qu'elle veut, et qu'il ne porte pas le chapeau de cow-boy.

Mwé.

0.25/6 pour l'écriture du métrage + 1.25 point pour Sarah et sa robe rouge = 1.5/6

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Christmas Yulefest 2013 - 40B - Or, Myrrhe, Encens, etc... (2)

Publié le 6 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Aventure, Fantastique, Norvège, 1001 Nuits, Télévision, Hallmark, CBS, Religion, Comédie, Romance, TNT, Jeunesse, Musique, Drame, UK, France, PaxTV, Lifetime, ABC Family

Après Noël, la Nouvelle Année est arrivée, et avec elle, la Christmas Yulefest annuelle a continué sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël... Mais aujourd'hui, alors que les Rois Mages font leur arrivée, il est temps de mettre un terme à la Yulefest, en liquidant tout ce qui me restait à voir dans le genre. Attention : fourre-tout ! 

Le Secret de l'Étoile du Nord (Journey To The Christmas Star - 2012) :

Une jeune fille courageuse part dans une quête épique à la recherche de l'Étoile de Noël, afin de sauver son royaume d'une malédiction, et de retrouver une princesse légendaire perdue à jamais... 

Conte de fée norvégien de 75 minutes à peine, tout compris, ce film propose de somptueux décors naturels, et des costumes particulièrement réussis ; dommage alors que le récit soit vraiment simpliste au possible : on sent bien les origines traditionnelles de l'histoire, avec son héroïne qui virevolte de rencontre en rencontre sans la moindre difficulté, recevant l'aide de tout le monde après trente secondes de discussion, sans le moindre effort.

Dommage que ces aventures et personnages n'aient pas été remis au goût du jour, et développés un peu plus, cela aurait fait un film un peu plus consistant pour les adultes.

3.5/6

Les Mille et une Nuits (Arabian Nights - 2000) :

Pour retarder son exécution, Sherahazade narre plusieurs histoires légendaires à son sultan, au nombre desquelles les contes d'Aladdin et d'Ali Baba...

Une mini-série Hallmark de trois heures, avec un budget conséquent, de nombreux visages connus (Tcheky Karyo, Jason Scott Lee, John Leguizamo, Dougray Scott, James Frain, Rufus Sewell, Andy Serkis, Amira Casar, Oded Fehr, James Callis, etc), et une bande originale excellente de Richard Harvey.

Malheureusement, si cette version pluri-culturelle des 1001 Nuits a des qualités certaines, notamment visuelles, elle a aussi un bon paquet de défauts, mini-série produite par les Halmi oblige : la post-synchronisation est particulièrement médiocre ; les acteurs blancs et anglais maquillés pour paraître arabes, ça passe assez moyennement ; l'interprétation est assez inégale, tout comme l'est, globalement, l'intérêt général du métrage, particulièrement dépendant de la réussite de chaque segment. Et bien sûr, comme il est d'usage dans ce genre de mini-séries, ça prend très largement son temps...

3/6

Saint Nicolas et le Nouveau Monde (Santa And Pete - 1999) :

L'histoire de Saint Nicolas et de Pierre le Noir, ainsi que la transformation de Nicolas en Santa à son arrivée aux USA, telle que racontée de nos jours par un grand-père à son petit-fils de dix ans....

Un téléfilm CBS diffusé en 1999, adapté du roman de Christopher Moore, et qui s'avère plutôt réussi visuellement.

Le récit met l'accent sur la tolérance raciale et la coopération entre les peuples, la musique d'Alan Williams est réussie (bien que dérivative), et le tout se regarde sans difficultés, offrant un regard intéressant et assez rare sur les origines de Santa Claus.

Malheureusement, tous les apartés dans le présent, avec James Earl Jones, ont tendance à plomber un peu le tout, notamment par leur écriture un peu simpliste (d'ailleurs, l'écriture de tout le téléfilm a un peu trop tendance à se montrer moralisatrice et didactique).

4.25/6 

Christmas in Connecticut (1992) :

La star d'une émission de cuisine, qui depuis des années prétend être un chef alors qu'elle ne sert rien cuisiner, doit passer les fêtes de Noël en compagnie d'un ranger séduisant, et d'une famille fictive, pour lui cuisiner, en direct, un repas de Noël... 

Un téléfilm de 1992, diffusé sur TNT, et réalisé par Arnold Schwarzenegger himself, qui s'attaque ici à un remake d'un film de 1945.

Autant dire que la tâche est considérable, et le résultat, hum... disons qu'il est, au mieux, assez discutable.

Les acteurs connus se succèdent dans des rôles plus ou moins importants (Kris Kristofferson, Tony Curtis, Richard Roundtree...) et le tout se déroule de manière assez bruyante et outrée. Cela dit, le dernier quart du métrage fonctionne plus ou moins, mais je n'ai pu m'empêcher de me demander qui était vraiment responsable de la réalisation du film : Schwarzie ou quelqu'un d'autre de non-crédité.

2.25/6

Enfants Non Accompagnés (Unaccompanied Minors - 2006) :

Une bande d'enfants non-accompagnés se trouve coincée dans un aéroport à Noël, loin de leur famille, et décide de s'inventer un Noël bien à eux, tout en semant une certaine pagaille...

Paul Feig se prend pour John Hughes, avec cette comédie familiale sympathique, qui ressemble à un mélange de Home Alone, The Terminal & The Breakfast Club.

Un film qui est totalement passé inaperçu, globalement très mal reçu par les critiques américains, et qui pourtant s'avère assez attachant, grâce à sa distribution pleine de visages connus (notamment issus de The Office), et au fait que ce métrage a très bon fond.

Il est probable que si ce Unaccompanied Minors était sorti dans les années 80 ou 90, il serait aujourd'hui considéré avec beaucoup de nostalgie et d'attachement.

4.25/6

Casse-Noisette (The Nutcracker - 1993) :

La veille de Noël, la jeune Marie s'endort en rêvant d'un monde de jouets enchantés, où le beau Casse-Noisettes est là pour la sauver du maléfique Roi des Souris...

Version filmée/adaptée des chorégraphies et de la mise en scène de George Balanchine, cette production peut surprendre de par son adhérence prononcée à la mise en scène théâtrale, tout le film étant filmé comme une pièce de théâtre en direct, avec arrière-plans et décors peints.

Qui plus est, c'est vraiment une adaptation fidèle du spectacle, uniquement portée par la musique de Tchaikovski, et par une voix off ponctuelle de Kevin Kline. Pas désagréable si l'on sait à quoi s'attendre, si l'on aime le ballet et la danse, et si le simple fait de retrouver Macauley Culkin en Casse-Noisettes suffit à contrebalancer son interprétation en ilotage automatique... mais ça reste très inégal.

3.25/6

Les Enfants de Timpelbach (2007) :

Insupportables, les enfants de la ville de Timpelbach sont un jour laissés livrés à eux-mêmes par leurs parents... mais bien vite, une guerre éclate dans la petite ville désertée...

Interprétation assez inégale (forcément, avec des enfants de tous âges) dans ce long-métrage français qui s'avère pourtant fortement sympathique, tant pour ses partis-pris artistiques intemporels et décalés, que pour son refus des compromis.

4.25/6

Lost Christmas (2011) : 

À Manchester, à l'approche de Noël, un mystérieux vagabond au savoir et aux pouvoirs étranges aide un groupe d'individus disparates à retrouver ce qu'ils ont perdu, et, par magie, à changer leur destinée...

Un film anglais de 2011 avec de nombreux visages connus (Eddie Izzard, Jason Flemyng...), et qui joue la carte du drame froid et glacial (que ce soit par la musique ou le rendu visuel), pour un résultat qui, pourtant, fonctionne joliment au final, et évite le pathos.

4/6

Le Mensonge de Noël (A Holiday For Love/Christmas In My Hometown - 1996) :

Un businessman arrive dans une petite ville pour liquider les employés d'une usine, mais avant de pouvoir s'atteler à cette tâche ingrate, il est pris pour un riche investisseur venu sauver la ville, et il s'entiche de l'une des employées, mère célibataire...

Téléfilm CBS de 1996, qui n'a pas trop vieilli visuellement, avec Melissa Gilbert et une toute petite (et adorable) Michelle Trachtenberg dans le rôle de sa fille.

D'ailleurs, c'est bien Michelle qui emporte le morceau avec son personnage, et donne un dynamisme et un ton enjoué à tout le métrage.

Et comme en plus c'est plein de bons sentiments, sans être trop dégoulinant, que la distribution est convaincante et attachante, et que les décors naturels sont jolis, ça donne un résultat ma foi plutôt sympathique.

4/6

The Santa Trap (2002) :

Désireux de prouver à leurs parents que le Père Noël existe, deux enfants installent des pièges chez eux, et capturent Santa. Mais quand celui-ci finit en prison, un quiproquo improbable se met en place...

Téléfilm de 2002 diffusé sur Pax TV, cette comédie familiale bénéficie d'une distribution assez intéressante (Shelley Long, Dick Van Patten, Stacy Keach, Adrienne Barbeau, Corbin Bernsen...), mais ne décolle jamais vraiment, malheureusement, la faute à une interprétation très inégale (Shelley Long, notamment, est très mauvaise), ainsi qu'à un budget et à une réalisation limités.

1.75/6 

A Song For The Season (aka Holiday Romance - 1999) :

Une prof de musique s'entiche d'un administrateur venu mettre un terme à son programme musical, dans le cadre de coupes budgétaires ; en parallèle, elle se rapproche de la nièce de celui-ci, avec qui elle compose et écrit la chanson de Noël du lycée...

Un drama assez laborieux diffusé sur la chaîne Lifetime en 1999, mais qui donne l'impression d'avoir été tourné dix ans plus tôt.

Très country/americana dans son approche de la musique et de la société, avec une Naomi Judd assez peu attachante, mais une Alison Pill adorable (et qui chante bien). Un bon gros bof, en tout cas, pour ce téléfilm beaucoup trop orienté pathos et premier degré.

2/6

A Diva's Christmas Carol (2000) :

Une diva pop-star insupportable reçoit la visite des fantômes de Noël présent, passé et futur...

Un téléfilm VH1 qui reprend (évidemment) le Christmas Carol de Dickens, avec Vanessa Williams dans le rôle de la Scrooge de service, et Kathy Griffin en fantôme des Noëls du passé.

Assez amusant, second degré, et donc agréable, même si arrivé au fantôme des Noël présent, le film s'assagit considérablement, et perd donc pas mal en efficacité.

3.75/6

La Reine des Neiges (The Snow Queen - 2002) :

Gerda doit voyager à travers le pays pour trouver la Reine des Neiges, qui lui a volé le coeur de Kai avec sa magie...

Une mini-série Hallmark adaptée du conte d'Andersen, produite par les Halmi.

En d'autres termes, cela signifie que 1) le budget est conséquent (le rendu visuel de tout le téléfilm est crédible, convaincant et même joli), 2) il y a forcément un nom connu au centre du show (en l'occurrence, Bridget Fonda, très bien en Reine glaciale), 3) l'adaptation est relativement libre (Gerda et Kai sont ici adultes et amoureux, ce qui change considérablement certains idées et rebondissements, qui fonctionnaient avec une fillette, et ne fonctionnent plus avec des adultes - la jeune voleuse, notamment, qui a 20 ans, et est cabotinée interprétée comme si elle en avait 8 ou 10...), 4) il y a des fautes de goût improbables (l'accent de tout le monde, la princesse d'été asiatique et superficielle qu'on dirait sortie d'un teen show californien, la ballade pop à la Rod Stewart qui revient régulièrement...) et surtout 5) c'est très mal rythmé.

Comme toujours dans ce genre de mini-séries Hallmark, on peut facilement enlever 30 à 40% du récit sans que cela ne soit dommageable. Cela dit, la musique et le sound-design sont assez réussis.

3/6

Le Sauveur de Noël (The Dog Who Saved Christmas - 2009) & Le Chien de Noël (The Dog Who Saved Christmas Vacation - 2010) :

Zeus, un ancien chien policier, est adopté par une famille qui s'absente la veille de Noël, et laisse le chien confronté à deux cambrioleurs. / On prend les mêmes et on recommence, au ski, avec en prime un caniche dont Zeus s'entiche, et qui a autour du cou un collier valant une fortune.

- Téléfilm ABC Family de 2009 avec Dean Cain, Elisa Donovan et Sierra McCormick dans certains des rôles principaux, pour un mélange entre Home Alone (la copie est conforme) et Look Who's Talking, puisque le chien en question parle avec la voix de Mario Lopez (qui est étonnamment juste et enthousiaste, en comparaison de son travail habituel d'animateur tv).

Une production assez fauchée, avec de nombreux faux raccords, et plusieurs problèmes de casting : tout d'abord, un léger miscast au niveau des rôles masculins, amha, puisque Dean Cain aurait fait un bien meilleur père de famille que Gary Valentine, qui de par son physique et son jeu semblait plus approprié au rôle de l'un des deux bandits incapables. Mais bon, le bonhomme est le frère aîné de Kevin James, donc ça doit aider à choisir son rôle. Ensuite... le chien. Qui s'avère être, en lieu et place d'un chien police au mieux de sa forme, une femelle labrador molle, fatiguée et totalement inexpressif et sans réactions aux autres acteurs. Bref, quelques problèmes de taille, pour ce téléfilm parfaitement inoffensif et gentillet, à tendance fortement oubliable et peu inspiré.

2.25/6, principalement pour le capital sympathie de Donovan et McCormick.

- La suite directe, de 2010, avec de nouveaux gamins dans le rôle des enfants de la famille, des enfants supplémentaires histoire de dire, Casper Van Dien qui cachetonne, et Paris Hilton (!) au doublage du caniche supposément irrésistible. Étrangement, Hilton s'en sort plutôt bien, même si son personnage est calamiteux de superficialité et d'inutilité. Cela dit, il est à l'image de tout le reste du métrage, encore plus oubliable que le précédent.

1.75/6          

Le Sauveur d'Halloween (The Dog Who Saved Halloween - 2011) & Le Chien qui a sauvé Noël (The Dog Who Saved The Holidays - 2012) :

On reprend les mêmes, mais dans un nouveau voisinage, et à Halloween : le père de famille est persuadé que son nouveau voisin est un psychopathe, et il embauche les deux bandits des premiers films pour s'introduire dans la maison du voisin... / Revoici les fêtes de Noël pour la famille Bannister, qui partent passer les fêtes en famille, en Californie... et forcément, les deux cambrioleurs incapables se trouvent sur leur chemin.

- Paradoxalement plus sympathique que les deux téléfilms précédents, puisque se détachant enfin de l'influence Home Alone et de la période festive de Noël : ici, l'ambiance horrifique générale se prête plus aux scènes de slapstick sur les deux criminels, et bien que la formule soit de plus en plus éventée, ça fonctionne un peu mieux (merci Lance Henriksen). Malheureusement, certains choix sont assez dommageables ; pas tant le changement de doubleur de Zeus (la chienne semble par ailleurs plus enthousiaste et dynamique), mais plutôt pour le choix de rendre les actions du chien moins réalistes et plus cartoony, avec des gros plans sur des pattes de chien factices qui font des actions improbables. Dommage.

2.75/6

- Recast des enfants (Caitlin Carmichael, te revoilà !), qui rajeunissent un peu plus à chaque film, ajout d'un chiot (doublé par Peyton R. List), d'une Elisa Donovan "enceinte", et exportation du film en Californie, ce qui tue totalement et radicalement l'ambiance de Noël, et transforme ce direct-to-dvd en film banal, terne, et sans le moindre intérêt. Dommage, parce que le chiot (le vrai petit de "Zeus" ?) était adorable... mais "Zeus" se ramollit encore un peu plus, accuse son âge, et est totalement amorphe : autant dire que la série commence vraiment à tirer à la ligne.

1.25/6

Par contre, d'office, je peux le décréter : pas moyen que je m'inflige The Dog Who Saved Easter à sa sortie, l'année prochaine. Non seulement j'ai eu ma dose, mais en plus Elisa Donovan est la seule à revenir, en compagnie des deux boulets criminels, qui récupèrent un troisième larron. Ah, et "Zeus" y semble encore plus fatigué, donc... ce sera sans moi. 

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Christmas Yulefest 2013 - 40A - Or, Myrrhe, Encens, etc... (1)

Publié le 5 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Comédie, Romance, Lifetime, Thanksgiving, PaxTV, ABC Family, Jeunesse, CBS, UpTV, Religion

Après Noël, la Nouvelle Année est arrivée, et avec elle, la Christmas Yulefest annuelle a continué sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël... Mais aujourd'hui, à la veille de l'arrivée des Rois Mages, il est temps de mettre un terme à la Yulefest, en liquidant tout ce qui me restait à voir dans le genre. Attention : fourre-tout ! 

Monsieur Décembre (Twelve Men of Christmas - 2009) :

Une publiciste new-yorkaise passe les fêtes de Noël dans une petite ville du Montana, et se retrouve à mettre sur pied un calendrier avec les hommes les plus séduisants du voisinage.

Une comédie romantique Lifetime sans intérêt, que j'ai principalement regardé parce qu'elle passait à la télévision, et parce que j'ai généralement de la sympathie pour Kristin Chenoweth.

Malheureusement, là, elle est de toute les scènes, à interpréter sa citadine impertinente et épuisante, et elle s'avère presque trop envahissante, éclipsant totalement les seconds rôles sympathiques (comme Anna Chlumsky). Bref, ce n'est pas festif du tout, c'est terne, et quelconque, je passe.

1.25/6

La Parade de Noël (Love At The Thanksgiving Day Parade - 2012) :

À Chicago, l'organisatrice de la grande parade, passionnée de mode rétro, s'éprend du riche consultant financier que la ville lui impose, et avec lequel elle ne s'entend pourtant pas...

Une comédie romantique Hallmark assez classique, avec quiproquos habituels, etc, mais qui ne fonctionne pas trop mal, notamment parce qu'Autumn Reeser est attachante, et que le look vestimentaire donne une certaine patine intéressante au tout. Rien d'exceptionnel, cela dit.

2.5/6 

La Voleuse de Noël (Christmas Caper - 2007) :

Une cambrioleuse acariatre est contrainte de jouer les baby-sitters pour ses neveux lorsque leurs parents se trouvent coincés en vacances, sans moyen de rentrer au pays. Elle organise alors la fête de Noël du quartier, et décide de profiter de la distraction pour cambrioler toutes les maisons avec l'aide de ses complices...

Un téléfilm ABC Family qui reprend les grandes lignes de Stealing Christmas, en remplaçant Tony Danza par Shannen Doherty, en pilotage automatique. D'ailleurs tout le téléfilm est en pilotage automatique, et à part deux ou trois répliques bien senties, le tout s'oublie instantanément.

1.75/6

Sur la Route de Noël (The Road To Christmas - 2006) :

Une photographe de mode, lancée malgré elle dans un road trip à travers le pays à l'approche de Noël, est prise en stop par un père célibataire et sa fille adolescente. 

Une comédie romantique Lifetime assez délicate et attachante, malgré son récit ultra-prévisible et balisé : le fait que Clark Gregg et Jennifer Grey soient mari et femme à la ville joue beaucoup dans la vraisemblance de leurs rapports à l'écran, et l'on se prend à apprécier ce père sarcastique, et cette romance improbable qui se noue.

Cependant, malgré l'écriture légère et moins pataude que dans d'autres téléfilms du même genre, ça reste un téléfilm mineur.

3.25/6

J'ai vu maman embrasser le Père Noël (I Saw mommy Kissing Santa Claus - 2002) :

Un garçon surprend sa mère en train d'embrasser son père, méconnaissable car déguisé en costume de Père Noël, et l'enfant se met en tête de faire les pires bétises pour éviter que Santa ne passe à Noël...

Les jumeaux Sprouse, avant The Suite Life..., dans un téléfilm PAX Tv reposant uniquement sur les paroles de la chanson du même nom, et qui lorgne fortement sur Home Alone, dont il reprend vaguement la musique et le principe, avec un jeune garçon blond qui fabrique plein de pièges pour blesser Santa. C'est assez fauché, les Sprouse jouent de manière très inégale, et à part Corbin Bernsen qui fait de son mieux, le tout est tout de même assez mauvais, et à déconseiller aux plus de sept ou huit ans.

1.5/6

Un Ticket Gagnant pour Noël (Lucky Christmas - 2011) :

Une chef au chômage, mère célibataire et sans le sou, gagne une fortune au loto, mais se fait voler sa voiture, et le ticket de lotterie ; bientôt, elle rencontre un homme séduisant et pris de remords, qui est en réalité l'un des deux malfrats en possession du billet. 

Un téléfilm Hallmark assez banal, mais qui a le mérite, au moins, de proposer un pitch différent du sempiternel "businesswoman débordée qui redécouvre le vrai sens de Noël et l'amour dans une petite ville perdue". Après, il n'y a là rien de vraiment mémorable, et la fin du téléfilm est un peu précipitée, mais le tout est somme toute assez inoffensif.

3/6 

Une Seconde Chance pour Noël (Comfort And Joy - 2003) :

Une businesswoman carriériste et célibataire a un accident de voiture peu de temps avant Noël ; lorsqu'elle se réveille, elle se découvre mariée et mère de famille...

Bla, bla, bla... franchement, ce concept de base a tellement été vu et revu qu'on ne va pas s'attarder dessus : tous les téléfilms Lifetime ou Hallmark de ce genre fonctionnent globalement avec les mêmes rouages, et toute la différence se fait alors sur les interprètes, le rythme et le dynamisme de l'ensemble.

Et ici, à ma grande surprise, ça fonctionne plutôt bien, notamment parce que les quatre acteurs principaux (les deux adultes et les deux enfants) ont une vraie alchimie. Bref, on y croit assez, et le tout est suffisamment enlevé pour compenser la fin abrupte, et le message de base discutable (mais inhérent au genre).

3.25/6

Miracle At Christmas - Ebbie's Story (1995) :

Ebbie est une businesswoman froide, carriériste et indifférente aux fêtes de Noël ; pourtant, elle va recevoir la visite de quatre fantômes pendant la nuit du 24 décembre...

Une autre version gender-switched du Christmas Carol de Dickens, diffusée en 1995 sur Lifetime.

Rien de bien exceptionnel à signaler, donc, à part des looks forcément très datés, et quelques visages familiers (Laura Harris, Molly Parker, Wendy Crewson...). Susan Lucci est trop jeune pour faire une Scrooge convaincante, et elle n'est pas forcément la meilleure actrice de l'univers... pas suffisamment talentueuse, en tous cas, pour s'affranchir de ses réactions d'actrice de soap opera, qui resurgissent ponctuellement lors des moments dramatiques, et se remarquent fortement au milieu de ce récit terne, monotone, et mortellement sérieux.

1.5/6

Un Noël tout en lumière (Christmas On Chestnut Street - 2006) :

Lorsqu'un magasin commande 60000 ampoules de Noël par erreur, les propriétaires décident d'organiser un concours d'illuminations avec celles-ci... mais rapidement, c'est la guerre dans le voisinage.

Téléfilm Lifetime de 2006 avec Kristen Dalton dans un des rôles principaux, ce Christmas On Chestnut Street s'avère une comédie romantique (plus comédie que romantique) un peu fauchée, mais pas désagréable du tout. Une assez bonne surprise, je dois dire, entre guerre des voisins, magouilles des propriétaires, et romance improbable entre la fille du patron, une businesswoman carriériste, et l'un des employés, plus terre-à-terre.

3.75/6

Le plus beau jour de l'année / Noël entre elle et lui / Un Noël pour deux (His & Her Christmas - 2005) :

Deux rédacteurs de journaux à l'envergure radicalement différente s'affrontent, par rubriques interposées, sur le véritable sens des fêtes de fin d'année, et, ce faisant, ils s'entichent l'un de l'autre... 

Ça commence bien, par un générique à la Saul Bass, avec une chanson entraînante, et les deux leads sont sympathiques (Dina Meyer et David Sudcliffe), mais bien vite, on s'aperçoit que ce téléfilm Lifetime est ultra-bavard et, pour résumer, s'avère être une suite de gens lisant des articles narrés en voix-off, entourée de scénettes assez surjouées (Meyer prend son rôle beaucoup trop au sérieux), et particulièrement ternes.

Dans l'esprit et la forme, ça m'a rappelé Yes, Virginia, There Is A Santa Claus, et donc ça m'a très rapidement fatigué, je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout.

1.25/6

Le Miracle de Noël (Borrowed Hearts - 1997) :

Un riche businessman célibataire recrute l'une de ses employées et sa fille pour se faire passer pour sa famille, et réussir ainsi à décrocher un contrat important à l'approche des fêtes de Noël. Mais l'amour n'est pas loin...

Un téléfilm CBS assez convenu, mais assez bien mené, et à la distribution sympathique (Roma Downey, Eric McCormack, Héctor Elizondo, et une gamine attachante) ; seul vrai bémol, le final du récit, totalement forcé, artificiel et bâclé. Dommage.

3/6 

Un Noël pas comme les autres (The Sons of Mistletoe - 2001) :

Dans une petite ville, l'héritière d'un grand magasin et le jeune gérant d'un orphelinat pour garçons se rapprochent à l'approche des fêtes de Noël, alors qu'ils sont pourtant diamétralement opposés.

Un téléfilm familial CBS qui a le mérite d'avoir un pitch de départ qui change un peu des productions désormais établie comme "spéciales Noël" ; ça reste très gentillet et anecdotique, et ça repose fortement sur les bonnes bouilles des gamins et sur les bons sentiments : autrement dit, c'est tout aussi vite oublié que c'est regardé.

Sans compter que Roma Downey, en blonde et après ses premières injections de botox, n'est pas à son avantage...

2.5/6

La Grève de Noël (On Strike For Christmas - 2010) :

Une mère de famille décide de faire grève à Noël, pour donner une leçon à son mari et ses enfants ados, trop occupés pour l'aider à gérer la boutique familiale, et à organiser les fêtes et les réceptions que chacun veut tenir au domicile familial....

Un téléfilm Lifetime pas réussi du tout, malgré Daphne Zuniga et David Sutcliffe à la distribution : le récit est mollasson, les rebondissements quelconques, et l'on ne croit jamais vraiment à cette famille peu attachante constituée d'incapables. Dommage, parce que le message de base est relativement pertinent.

1.25/6

Christmas Angel (2012) :

Une fillette découvre bien vite, après avoir formulé un voeu devant une maison abandonnée, que la vieille dame y vivant a choisi de les exaucer en secret pour Noël...

Un téléfilm GMC/Up Tv (comprendre : un téléfilm fortement teinté de valeurs chrétiennes et de religion) qui se regarde sans effort, principalement grâce à sa distribution (Teri Polo, Kevin Sorbo, la gamine de Help For The Holidays...). Ça ne prêche pas trop, ça n'est pas trop mielleux, bref, ça aurait pu être pire. Cela dit, c'est loin d'être über-mémorable.

3/6

Christmas Lodge (2011) :

Une jeune femme (Erin Karpluk) retourne au chalet forestier où elle a passé les Noëls de son enfance, mais elle s'aperçoit rapidement que celui-ci est en piteux état, et qu'elle doit absolument aider le séduisant propriétaire (Michael Shanks) et sa fille (Michelle Creber) à la remettre en état.

Un téléfilm Hallmark inspiré (il me semble) d'un tableau de Thomas Kinkade, et qui se regarde tranquillement, principalement parce que la distribution est assez sympathique (Erin Karpluk, Michael Shanks, et Michelle Creber en tête).

Pas vraiment très mémorable ou particulièrement bien écrit/rythmé, le film souffre surtout d'un problème (qui est de taille) : un courant religieux sous-jacent (quoique, ils le disent plusieurs fois ouvertement dans les dialogues, donc ce n'est même pas vraiment sous-jacent, c'est assumé) qui multiplie les références à Dieu, à la prière, au destin, blablabla...

En soi, pourquoi pas, mais ce n'est pas du tout amené de manière finaude ou pertinente, et ça ressemble plus à de la prêche typiquement américaine qu'à autre chose, accompagnée d'une bonne dose de mélodrame larmoyant. Et comme en plus les intérieurs font un peu trop studio...

2.25/6 

Un Noël Recomposé (Our First Christmas - 2008) :

Une famille recomposée peine à concilier les traditions de Noël de chacune des branches du clan, ce qui amène les enfants à passer un pacte pour ne rien changer...

Encore un téléfilm Hallmark situé en Californie, mais avec une ambiance festive nettement plus prononcée que les autres téléfilms du genre.

Seul problème : l'écriture ampoulée et maladroite, qui enlève toute sincérité au téléfilm. Que les acteurs soient plus ou moins bons, en fonction de leur âge, que ce soit Dixie Carter, Julie Warner ou les adolescentes, tout le monde sonne régulièrement faux et peu naturel, ce qui est tout de même problématique.

D'autant plus problématique qu'à part ça, le récit a vraiment bon fond, et se regarde sans difficulté. Si seulement la production avait eu la main plus légère à tous les niveaux...

2.5/6 

Le Noël des petites terreurs (The Three Gifts - 2009) :

Incapable de concevoir un enfant, un couple d'artisans accueille trois orphelins dissipés pendant les fêtes de Noël, le temps que leur établissement d'accueil soit rénové...

Un téléfilm Hallmark qui prend place sur un ranch californien, donc au niveau festif, c'est assez médiocre. Après, les gamins sont convaincants, Dean Cain aussi, son épouse un peu moins... mais le tout, de manière globale, est assez peu engageant ou mémorable, sans même mentionner prévisible.

1.75/6

L'Expérience de Noël (Three Day Christmas - 2012) :

Totalement déconnecté du reste de ses proches, un père de famille comptable décide de se cloîtrer avec son épouse et ses enfants pendant trois jours, afin de redécouvrir ensemble le véritable sens de Noël...

Ouhlà la jolie daube... un téléfilm Up TV (comprendre : fauché et penchant fortement vers une certaine droite traditionnaliste) écrit, réalisé et interprété par Corbin Bernsen, qui sacrifie totalement sa distribution assez sympathique sur l'autel de personnages insupportables de connerie.

Entre le père, un connard égocentrique fini, la mère laxiste, la fillette qui regarde 24h/24 des chaînes religieuses (histoire d'avoir un message de prêche religieuse quasi-constant dans le film), l'ado rebelle qui sort avec un mec tatoué (ah, mon dieu, quel scandale !), et le garçonnet qui revend des divx à l'école (l'occasion d'une jolie tirade contre le téléchargement illégal), tous les personnages méritent plus ou moins des baffes... sans même parler du concept même du film, un exercice de survie de trois jours, particulièrement con et typiquement américain : le film dégouline le républicanisme par tous les pores, et pour couronner le tout, après la première heure, il vire au Home Alone-bis forcé, avec l'oncle survivaliste et sa famille en guise de maychants à piéger.

Le pire, je crois, c'est que techniquement, le tout se regarde sans grande difficulté : avec un scénario moins orienté et plus fin, ça serait probablement beaucoup mieux passé.

1/6

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Christmas Yulefest 2013 - 39 - Les Toiles de Noël (2008), Mandie & The Forgotten Christmas (2011), Miracle sur la 34ème Rue (1994), Le Terminal (2004), Sacré Noël : Drôle de Chorale (2012) & The Fitzgerald Family Christmas (2012)

Publié le 4 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Drame, Romance, Comédie, Biographie, Jeunesse, ION, Religion, UK, Musique

La Nouvelle Année est là, et comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël...

Les Toiles de Noël (Christmas Cottage) :

Dans les années 70, la jeunesse de feu le célèbre peintre Thomas Kinkade, et comment il a trouvé l'inspiration qui a fait démarrer sa carrière...

Au premier abord, je m'attendais à un drame biographique romancé, avec beaucoup de bons sentiments, de larmes, et d'émotions forcées... au final, l'émotion et les bons sentiments sont là, mais le tout se prend agréablement peu au sérieux, avec de l'humour assez réminiscent de celui de A Christmas Story.

Un film assez réussi, et à la distribution très éclectique et convaincante, de Peter O'Toole à Jared Padelecki, en passant par Richard Burgi et de nombreux autres.

4/6

Mandie & The Forgotten Christmas :

Alors que les fêtes de Noel approchent à grands pas, la jeune Mandie peine à s'habituer aux règlements et aux us et coutumes du pensionnat de jeunes filles où elle vit désormais... d'autant qu'en parallèle, elle découvre, dans le grenier de l'établissement, une présence étrange et un secret des plus fascinants.

Un téléfilm ION/direct-to-dvd adapté d'une série de romans américains pour enfants, du genre de La Bibliothèque Rose, avec un penchant chrétien bien-pensant assez prononcé en prime ; pas de gros budget pour ce métrage assez anecdotique, mais une distribution crédible et efficace.

Ça ne laissera pas un souvenir impérissable, mais je suppose que si l'on fait partie de la cible démographique des romans, le résultat doit probablement être assez satisfaisant.

3/6 

Miracle sur la 34ème Rue (Miracle On 34th Street - 1994) :

Un vieillard sympathique devient le Père Noël d'un grand magasin new-yorkais, et s'avère plus doué que le vrai Santa Claus...

Une production John Hughes (par ailleurs au scénario de ce remake), avec Richard Attenborough impeccable en Santa Claus, et pour l'accompagner une distribution plutôt convaincante, là aussi, dans un environnement un peu hors du temps, jamais totalement 90s, jamais totalement rétro.

La musique de Bruce Broughton est réussie, et le tout, s'il n'est probablement pas à la hauteur de l'original, et aurait bénéficié de dix minutes en moins, ainsi que d'une réalisation plus subtile, reste finalement assez sympathique.

4.25/6

The Terminal :

Son pays dissout par une guerre civile, Viktor Navorski est contraint de passer ses jours à l'aéroport de New York, en attendant d'être accepté par les USA, ou d'être expulsé. Seul parmi le personnel de l'aéroport, Viktor tente de recostruire son quotidien.

Pas vraiment un film de Noël, mais un métrage de Steven Spielberg qui respire l'humanisme à la Capra, avec en sus un léger courant satirique et un point de vue plus désenchanté sur l'Amérique. Efficace, plaisant, et simplement excellent.

4.75/6  

Sacré Noël : Drôle de Chorale (Nativity 2 : Danger In The Manger !) :

Un nouvel instituteur arrive à St Bernadette's, et prend en charge les enfants turbulents de l'école, pour les faire participer à un concours de chant national, durant lequel il affrontera la chorale de son frère jumeau maléfique rival.

David Tennant (et son accent écossais à couper au couteau) reprend la suite de Martin Freeman dans cette comédie britannique grandement improvisée au cours du tournage.

Le premier était sympatoche, sans plus, et avait certains défauts évidents, se reposant beaucoup sur la bonne bouille des gamins et le capital-sympathie de Freeman ; le second est exactement dans la même lignée, et ne vole pas vraiment plus haut.

Pire, le gimmick des frères jumeaux, s'il repose sur la prestation convaincante de Tennant, donne lieu à des facilités agaçantes, et Marc Wootton est beaucoup beaucoup trop envahissant et épuisant.

Alors déjà que le film est assez mal rythmé (tout le dernier tiers et assez laborieux, malgré Jessica Hynes), très prévisible et souvent frénétique, ça n'aide pas vraiment.

3/6

The Fitzgerald Family Christmas :

Le patriarche de la famille Fitzgerald refait surface, et décide de passer un Noël avec ses enfants, pour la première fois depuis 20 ans...

Edward Burns à la réalisation, l'écriture et l'interprétation de cette dramédie familiale bien exécutée, mais assez banale dans son genre, et qui bénéficie cependant de la présence lumineuse de Connie Britton.

Cela dit, le tout reste très convenu et prévisible, avec des rebondissements faciles parfois dignes d'un téléfilm Lifetime.

3/6

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Christmas Yulefest 2013 - 38 - Le Père Noël est Licencié ! (2013), L'Avocat du Père Noël (2011), Sauvez le Père Noël ! (2010), Un Noël en Famille (2002), Must Be Santa (1999) & Ce Noël qui a changé ma vie (2012)

Publié le 3 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Lifetime, Télévision, Hallmark, PaxTV, Canada, CBC, Jeunesse, Fantastique

La Nouvelle Année est là, et comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël...

Le Père Noël est licencié ! (Christmas In The City) :

Une jeune mère célibataire commerçante au bord de la faillite passe les fêtes de fin d'année en ville, à travailler au rayon jouet d'un Centre Commercial en difficulté financière ; là, elle trouve l'amour, Santa, et une rivale qui tente de changer radicalement le magasin...

Un téléfilm Lifetime pas particulièrement intéressant, malgré le sourire lumineux de la toujours radieuse Ashley Williams. La faute à un récit assez balisé, à des personnages peu développés, à des passages chantés inutiles, et à une interprétation très inégale : si les leads s'en sortent très bien, Ashanti est un peu trop robotique dans son interprétation, et la petite fille, si elle est adorable, n'est guère meilleure. Reste un motif musical rigolo pour Ashanti (la "casse-couilles-noisettes"), et un garde-du-corps amusant, qui vole presque la vedette aux acteurs plus importants.  2.5/6

EDIT de 12/2015 : Après un revisionnage, cette année, j'ai envie de remonter un peu la note de ce film. Oui, c'est assez balisé, parfois un peu laborieux ; Ashanti n'apporte pas grand chose à son personnage de biatch ; la meilleure copine-caution ethnique est un personnage-fonction s'il en est ; et la petite fille est assez faiblarde ; mais l'énergie d'Ashley Williams  parvient tout de même à garder le tout à flot, et les petites touches apportées par Bruno le garde-du-corps sont assez appréciables. Sans oublier ce Père Noël de grand magasin (depuis devenu un cliché incontournable des films Hallmark) qui s'avère être vraiment magique, etc... Allez, comme c'est nettement mieux passé que la première fois, et que ça parvient presque à faire oublier que tout se déroule au soleil de Los Angeles, zou, je remonte le tout à 3/6.

L'Avocat du Père Noël (The Case For Christmas) :

Un père célibataire avocat est engagé par Santa Claus pour se défendre contre un riche industriel dans un procès mettant en jeu l'existence même de Noël...

Un bon gros WTF pour ce téléfilm Hallmark qui semble à mi-chemin entre un film absurde pour enfants (avec des décors un peu cheaps, des costumes risibles, et des lutins agaçants), une comédie romantique basique et sérieuse (entre Dean Cain et Rachel Blanchard), un Miracle on 34th Street du pauvre, et une expérience de pensée dans le domaine de la justice, façon "et si un avocat devait défendre Santa face à quelqu'un l'accusant d'avoir ruiné son enfance, que ferait-il ?".

Au final, aucun de ces aspects ne fonctionne réellement, et le téléfilm tombe malheureusement fortement à plat, malgré les efforts de tous les acteurs.

2/6 (pour l'ambition)

Sauvez le Père Noël ! (The Santa Incident) :

Abattu par un jet de l'armée, Santa s'écrase dans une petite ville, où il est recueilli par deux enfants ; en parallèle, des agents du gouvernement tentent de le retrouver...

Un téléfilm Hallmark assez peu festif, dont l'intérêt principal est Greg Germann en agent incapable de la Homeland Security, et James Cosmo en Santa.

La fillette est assez attachante, elle aussi, et l'autre enfant est convaincant. À part ça, bof, et le doublage des elfes est agaçant.

1.75/6

Un Noël en Famille (Mary Christmas) :

Un businessman fortuné et sa fillette reçoivent la visite, à Noël, d'une journaliste californienne voulant faire d'eux un sujet manipulateur sur les foyers monoparentaux pendant les fêtes...

Un téléfilm Pax Tv cousu de fil blanc, et qui aurait presque pu prendre place à n'importe quelle période de l'année. Les acteurs ne sont pas mauvais, loin de là, mais le tout est sans grand intérêt, à vrai dire, et avec un retournement final improbable & capillotracté.

1.5/6 

Must Be Santa :

Un jeune afro-américain se retrouve, un peu sans prévenir, promu au poste de Santa Claus après que le précédent Père Noël, gâteux, ait connu une fin inattendue et brutale...

Un téléfilm canadien de 1999, diffusé sur CBC, et assez décalé. Malheureusement, le tout est assez mal écrit et décousu, et pas très intéressant, malgré une Deanna Milligan adorable, comme d'habitude.

1.5/6 

Ce Noël qui a changé ma vie (It's Christmas, Carol !) :

Une businesswoman froide et carriériste reçoit la visite du fantôme de son ancienne patronne, qui lui explique qu'en lieu et place des trois fantômes de Noël, c'est elle qui va s'occuper seule du cas de son ex-subordonnée...

Encore une relecture (explicite) du Christmas Carol de Dickens, avec Emmanuelle Vaugier en Scrooge, Carrie Fisher en Jacob Marley, et un des Queer Eye... dans le rôle de l'un des employés de Scrooge.

Pas particulièrement inspiré, ce téléfilm Hallmark repose intégralement sur la bonne humeur de Carrie Fisher, et déroule ses clichés habituels sans grand intérêt, ou sans y apporter la moindre originalité. Meh.

1.75/6

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Christmas Yulefest 2013 - 37 - Un Amour de Noël (2004), Un Amour de Noël II (2005), Un Orage de Printemps (2009), Un Noël à New York (2005), Des Fantômes pour Noël (2004) & Un Noël Trop Cool (2004)

Publié le 2 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Fantastique, Hallmark, Lifetime

La Nouvelle Année est là, et comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël...

Un Amour de Noël (Single Santa Seeks Mrs. Claus) :

Pour prendre la succession de son père, le fils de Santa Claus doit trouver une femme au plus vite, et son choix se porte sur une mère célibataire businesswoman surbookée...

Un téléfilm Hallmark assez paradoxal, car typiquement le genre d'histoire qui mettrait habituellement en scène un jeune homme de 25 ans dans le rôle du fils de Santa. Sauf que là, non seulement Steve Guttenberg est un quadragénaire avancé, mais en plus il amène avec lui toute une aura d'acteur sarcastique et moqueur, qui fait que le récit est particulièrement difficile à prendre au sérieux.

Sans même mentionner, par moments, assez bizarre lorsque Guttenberg s'adresse aux enfants avec une voix sucrée, un rire forcé, et un sourire dont la sincérité n'est jamais évidente... on se demande par moments si c'est Santa, ou bien un personnage aux desseins plus discutables.

Après, au niveau de la comédie romantique, c'est balisé, convenu, terne, illustré par une musique fauchée, et Guttenberg n'a pas grande alchimie avec Crystal Bernard, par ailleurs affublée d'une perruque assez moche. Bref, le tout ressemble à un téléfilm raté des années 80 plutôt qu'à un téléfilm de 2004 repompant The Santa Clause 2, et hormis Armin Shimerman sous-utilisé en majordome, ça ne vaut pas grand chose.

2/6

Un Amour de Noël II (Meet The Santas) :

On prend les mêmes, et on recommence, avec cette fois-ci les préparatifs de mariage de Santa et de sa fiancée, à Noël.

La suite du téléfilm Hallmark précédent, tournée un an plus tard, et repompant gentiment Meet The Fockers, sorti en 2004. Nettement plus insipide et insupportable que le premier volet ; je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout, et j'ai abandonné un peu après avoir passé la première moitié du métrage. Sans regrets.

1/6

Un Orage de Printemps (The National Tree) :

Un père et son fils traversent les USA au volant d'un camion transportant l'un de leurs sapins de Noël, choisi pour être planté devant la Maison Blanche...

Un téléfilm Hallmark gentillet avec Kari Matchett et Andrew McCarthy, qui met de côté la comédie romantique sirupeuse de rigueur dans les films de ce genre, pour se contenter d'adapter en 85 minutes une histoire de roadtrip honnête et sincère, malgré quelques péripéties un peu too much (l'incendie, avec les stock shots de feux de forêt, c'est assez moyen).

3/6 

Un Noël à New York (Silver Bells - 2005) : 

Un ado rebelle las de la ferme de sapins de son père veuf décide de fuguer jusqu'à New-York, pour y faire des études et mener une nouvelle vie... là, il reçoit l'assistance d'une employée de musée veuve, qui va bientôt faire la connaissance du père furieux et inquiet.

Un téléfilm Hallmark avec Anne Heche et Tate Donovan, assez longuet, bourré de pathos épuisant, et fortement déséquilibré en faveur du drame, ce qui le rend tout simplement très peu intéressant.

1.5/6

Des Fantômes pour Noël (Karroll's Christmas) :

Traumatisé après avoir été plaqué par sa petite amie à Noël, des années plus tôt, Allen Karroll, concepteur de cartes de voeux pour un patron ronchon, passe des fêtes de Noël misérables... mais il reçoit bientôt la visite de Jacob Marley (un parent de Bob), et de trois fantômes... qui se sont tous trompés d'adresse.

Relecture comique et pas très politiquement correcte du Christmas Carol de Dickens, diffusée en 2004 sur la chaîne A&E (puis sur Hallmark), avec Tom Everett Scott, Verne Troyer, et Alanna Ubach, entre autres.

Amusant et rythmé, malgré des personnages aux réactions toutes plus improbables et caricaturales les unes que les autres, et un synthé joliment foireux en guise de musique pour l'orchestre en représentation. 

3.75/6 

Un Noël Trop Cool (A Very Cool Christmas) :

Une ado égoïste et fashion victim refuse de passer les fêtes de Noël en famille... jusqu'à ce qu'elle croise le chemin d'un Santa miteux, qui a perdu son mojo : c'est l'heure d'un relooking radical, pour moderniser le Père Noël !

Un téléfilm sympathique comme tout, qui existe en deux versions, une ("Too Cool For Christmas") avec un couple gay dans le rôle des parents de l'adolescente, et l'autre ("A Very Cool Christmas") avec un couple hétéro ; c'est cette dernière version qui a été diffusée sur Lifetime, forcément.

Et donc, une bonne surprise, qui se transforme rapidement en buddy comedy, avec son Père Noël distingué, et son adolescente tout droit sortie de Clueless, qui forment un duo très convaincant (et amusant). Seul vrai bémol, l'intrigue secondaire à base de garde de sécurité psychotique, beaucoup trop caricaturale et outrée. Néanmoins, le tout reste très attachant, et peu politiquement correct.

4/6

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Christmas Yulefest 2013 - 36 - A Holiday Heist (2011), A Christmas Carol : The Musical (2004), Un Père Noël au grand coeur (2003), Autant en Emporte Noël (2013), Un Rêve de Noël (2007) & Petit Papa Voleur (2003)

Publié le 1 Janvier 2014 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, ION, Hallmark, Musique, NBC, Lifetime, Fantastique, USA Network

La Nouvelle Année est là, et comme tous les ans, la Christmas Yulefest continue sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année, et ce jusqu'à la fin des Douze Jours de Noël...

A Holiday Heist :

Un groupe d'étudiants ne partant pas en Christmas Break se retrouvent embarqué dans le cambriolage d'une gallerie d'art proche du campus...

Un téléfilm ION TV qui tente d'être un mélange entre Home Alone et The Breakfast Club et qui échoue lamentablement, la faute à une écriture particulièrement amateure et peu inspirée, à une interprétation en mode cabotinage, et à une distribution secondaire principalement médiocre et anecdotique. Même Lacey Chabert et Vivica E Fox ne sauvent pas le tout.

1.25/6

A Christmas Carol - The Musical :

Scrooge, ses trois fantômes, Tiny Tim, etc... mais en musique !

Un téléfilm musical Hallmark, avec pas mal de visages familiers du petit écran dans les rôles principaux (Kelsey Grammer, Jane Krakowski, Jason Alexander, Jennifer Love-Hewitt) et Alan Menken à la musique, pour une adaptation télévisée de la version chantée de Broadway. Et ça se sent particulièrement, puisque tout dans la réalisation, la mise en scène, les chorégraphies ou l'interprétation sonne Broadway.

Autant dire que tout cela est assez peu télégénique, fait très "théâtre filmé" au rabais, et est au final assez peu mémorable. Cela dit, le budget est là, et si l'on fait abstraction de la distribution assez inégale, ça se regarde tranquillement, notamment parce qu'Alan Menken sait y faire en matière de chansons.

3/6

Un Père Noël au grand coeur (Secret Santa) :

Une journaliste fraîchement célibataire accepte de couvrir la tradition annuelle d'une petite ville où sévit tous les ans un mystérieux bienfaiteur anonyme...

Un téléfilm NBC du début des années 2000 avec une Jennie Garth alors à peine trentenaire ; un peu terne et pas forcément très passionnant, d'autant que Garth se contente de passer (avec un charme certain) d'un habitant de la ville à un autre en leur posant des questions, alors que l'identité du Secret Santa est assez facilement devinable... et c'est à peu près tout. 

2.5/6

Autant en Emporte Noël (Christmas On The Bayou) :

Une businesswoman divorcée retourne passer les fêtes de fin d'année avec sa famille, dans le Sud profond de Louisiane, où elle reprend goût à la vie, à l'amour, et à la magie de Noël...

Moui... le problème avec ces téléfilms Lifetime qui ont tous le même concept de base décliné à l'infini, c'est qu'il faut que ça se démarque suffisamment des autres téléfilms du même genre pour captiver un minimum le spectateur.

Et là, souci : j'ai toujours eu énormément de difficultés avec l'ambiance "Sud Profond des USA". Il fait chaud, c'est lent, c'est languissant, tout le monde parle avec un accent traînant, c'est mou... et voilà. Je me suis endormi au bout de 45 minutes. Donc je passe la main.

ZzzzZzZzz/6

Un Rêve de Noël (Holiday Switch) :

Une mère de famille débordée et sans le sou croise le chemin de son ex, riche et charismatique, et, après un choc sur la tête, elle se réveille dans une réalié parallèle, où elle est mariée avec ce dernier.

Pas grand chose de mémorable au programme de ce téléfilm Lifetime : l'histoire est assez téléphonée, l'interprétation inégale, et la musique plagie ponctuellement Home Alone de John Williams. À part ça... encéphalogramme plat.

2/6

Petit Papa Voleur (Stealing Christmas) :

Réfugié dans une petite ville avec pour seul vêtement un costume de Santa Claus, un voleur prévoit de dévaliser une banque, mais l'influence d'une veuve et de sa fille adolescente le font progressivement changer d'avis...

Un téléfilm de 2003, diffusé sur USA Network, et mettant en scène Tony Danza, Lea Thompson et Betty White dans un petit rôle ; tout à fait honorable, principalement parce que Danza possède un capital-sympathie notable, et que l'écriture n'est pas trop maladroite. La fin tombe un peu à plat, cependant.

3.25/6

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Christmas Yulefest 2013 - 35 - Un Rêve Éveillé (2013), Noël au bout des doigts (2013), Mon Père Noël Secret (2013), Guess Who's Coming To Christmas (2013), L'Arbre des Voeux (2010) & Un Mariage en Cadeau (2011)

Publié le 31 Décembre 2013 par Lurdo dans Yulefest, Cinéma, Critiques éclair, Christmas, Noël, Review, Comédie, Romance, Fantastique, Télévision, Hallmark, ABC Family, Lifetime, UpTV

Noël est là, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...

Un Rêve Éveillé (Holidaze) :

Une businesswoman occupée retourne dans sa ville natale pour les fêtes de fin d'année, afin de tenter de convaincre les habitants d'approuver l'installation d'une chaîne de supermarchés... jusqu'à ce qu'un coup sur la tête la propulse dans un univers parallèle où elle est mariée, heureuse, et n'a jamais quitté la ville où elle a grandi.

Un téléfilm ABC Family balisé au possible, et agrémenté d'une illustration musicale pop assez agaçante, mais qui fonctionne néanmoins tranquillement, grâce au capital-sympathie de Jennie Garth.

3.5/6 

Noël au bout des doigts (Santa Switch) :

Un agent de voyages au chômage et divorcé se trouve à prendre la place de Santa Claus pendant les fêtes de Noël, et décide d'utiliser ses nouveaux pouvoirs magiques pour reconquérir son ex-femme et sa famille...

Distribution sympathique (Sean Astin, Anne Dudek) pour ce téléfilm Hallmark qui marche directement dans les traces de The Santa Clause. Malheureusement, l'acteur principal un peu terne et quelconque empêche le récit de vraiment décoller, et le spectateur de vraiment s'attacher aux personnages et à leur destinée. Dommage.

2.75/6 

Mon Père Noël Secret (Dear Secret Santa) :

Une businesswoman célibataire retourne s'installer chez son père malade pour passer les fêtes de fin d'année ; là, elle reçoit des lettres anonymes, qui semblent toutes provenir de son ancien voisin et amour d'enfance, décédé trois ans plus tôt...

Un téléfilm Lifetime à  l'intrigue de paradoxe temporel assez familière et entendue, mais qui évite l'ennui grâce à sa distribution (Tatyana Ali en tête), à un ton assez léger, et à une optique assez progressiste (couples mixtes, couples gays, etc...). Rien de révolutionnaire, mais ça se regarde.

3/6

Guess Who's Coming to Christmas :

Suite à un concours, une rockstar en panne d'inspiration passe les fêtes de fin d'année au sein d'une famille gentiment excentrique, rurale et religieuse, qui lui redonne goût à Noël, à la musique et aux vraies valeurs véritables de la vie réelle et véridique...

Un téléfilm Up particulièrement bancal, structuré autour de cartons-titres inutiles qui ressurgissent ça et là, d'un message particulièrement bien-pensant, et de personnages tout aussi ternes que les acteurs qui les interprètent. En soi, ce n'est même pas forcément mauvais, mais c'est particulièrement soporifique.

1.5/6

L'Arbre des Voeux (Farewell Mr. Kringle) :

Une journaliste veuve et ronchonne part dans une petite ville pour enquêter sur le Père Noël local, un vieillard qui a choisi d'endosser l'habit du véritable Santa Claus... et à sa grande surprise, elle retrouve, dans cette bourgade, goût à la vie et à l'amour.

Téléfilm Hallmark basique, conventionnel, et pas très intéressant, notamment parce que Christine Taylor est une actrice principale assez quelconque et transparente. William Morgan Sheppard est excellent, cela dit.

1.5/6

Un Mariage en Cadeau (A Christmas Wedding Tail) :

Les efforts de deux chiens épris l'un de l'autre pour unir leurs maîtres respectifs, respectivement veuf et veuve, par les liens sacrés du mariage...

Une comédie romantique californienne made in Hallmark, avec Jennie Garth, Tom Arnold (parfaitement inutile), et deux chiens doublés par Jay Mohr et Nikki Cox. "Noël" n'est ici qu'un prétexte, rendu d'autant plus évident que le tout a clairement été filmé en été, et si le métrage fonctionne par moments grâce aux acteurs (qui font de leur mieux) et aux deux familles principales, ça reste affreusement balisé et mollasson, dans le genre "faisons une heure sur les préparatifs improbables du mariage plutôt que de raconter une histoire prenante, ça ne se remarquera pas". Meh.

2.25/6

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