Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant tout le mois précédant les fêtes de fin d'année...
Richie Rich :
Richie Rich est un enfant milliardaire, qui vit avec son majordome. Mais Richie Rich se sent seul, et tente de se trouver de nouveaux amis... et pour ne rien arranger, l'un des subordonnés de son père complote pour lui voler la compagnie familiale...
Un film qui n'a rien de festif, uniquement regardé pour combler une lacune dans ma vidéothèque personnelle, et pour pouvoir enchaîner avec la suite.
Et paradoxalement, je me suis alors aperçu que j'avais déjà vu le métrage, mais que je n'en gardais aucun souvenir. Ce qui n'est pas étonnant, puisque tout y est affreusement oubliable, depuis Macauley Culkin mono-expresssif et en pilotage automatique, jusqu'à l'histoire, jamais très intéressante, et la distribution assez transparente et daté.
Reste alors la musique d'un Silvestri en mode 80s/90s, qui met le film en image comme un Predator ou un Retour vers le Futur... si seulement.
2/6 (dont 1 pour le score)
Richie Rich : Meilleurs Voeux (Richie Rich'$ Christmas Wish) :
Richie Rich nous rejoue It's A Wonderful Life/La Vie Est Belle, lorsqu'il fait le souhait de n'être jamais né, et qu'il découvre alors un monde où son absence a eu des conséquences assez dramatiques...
Long-métrage sorti directement en vidéo, et dorénavant diffusé tous les ans à la télévision dans le cadre des fêtes de fin d'année, cette version pour enfants de La Vie Est Belle accumule pas mal de défauts : production tv oblige, le budget est minuscule, ce qui se traduit par des effets visuels particulièrement pauvres (sfx, fonds verts, neige artificielle, etc) ; le script est plutôt classique ; l'action et la réalisation sont peu inspirés ; la nounou robot semble sortie des Power Rangers... bref, au premier abord, c'est loin d'être bon, et c'est un DTV fauché de plus.
Sauf que, malgré une interprétation parfois volontairement outrée, la distribution est attachante (mention spéciale à la toute jeune Michelle Trachtenberg, alors déjà adorable, et au lead, cent fois plus juste et expressif que Macauley ne l'était), ce qui place déjà le film un cran au-dessus du premier opus cinématographique.
3/6 (en comparaison relative avec le premier, et toutes proportions gardées)
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