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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Critiques éclair - Star Trek Picard 3x01-03 (2023)

Publié le 6 Mai 2023 par Lurdo dans Action, Aventure, Critiques éclair, Drame, Science Fiction, Science-Fiction, CBS, USA, Review, Les bilans de Lurdo, Star Trek, Picard, Télévision

C'est vraiment sans la moindre motivation que j'attaque cette troisième et dernière saison de Star Trek Picard, après deux premières années assez mauvaises, et malgré la promesse d'une réunion officielle de la Nouvelle Génération (et des échos globalement positifs).

Mais restons optimistes, et faisons preuve d'un peu d'espoir pour l'ultime fournée d'épisodes de ce baroud d'honneur qui, pour le moment, n'a rien accompli de bon pour aucun des personnages impliqués...

Star Trek Picard, saison 3 (2023) :

- 3x01 : Alors qu'il s'apprête à quitter le Château Picard pour accompagner Laris, l'Amiral Picard reçoit un message de détresse de Beverly Crusher, qu'il n'a pas revue depuis 20 ans. Avec l'aide du Capitaine Riker, l'ex-officier monte à bord du Titan pour tenter de retrouver son amie d'antan...

On la connaît, maintenant, la formule des débuts de saison de Picard : on oublie tout des saisons précédentes, on fait un soft reboot, et on part sur de nouvelles bases sympathiques et alléchantes, promettant des choses que la série ne propose pas forcément ensuite.

Ici, entre le nouveau générique, l'utilisation du thème de First Contact, et les nombreuses mentions des Borgs, j'ai eu peur que le show nous rejoue encore une fois cette partition, après le fiasco de la saison précédente. Et pour l'instant, difficile de deviner dans quelle direction tout cela va aller (des métamorphes ?), si ce n'est en ce qui concerne la paternité réelle du fils de Beverly.

En effet, iIl ne faut pas être un génie pour comprendre que les dialogues balourds du début d'épisode sur Picard "qui ne cherche pas à laisser d'héritage", couplés aux images d'ADN dans le générique de fin, et au délai de 20 ans environ qui fait correspondre exactement la tranche d'âge de l'acteur au moment où Beverly a tout plaqué et a coupé les ponts avec le reste de l'équipage, laisse clairement entendre que Speleers va s'avérer être le fils caché de Picard... mouais. On verra bien.

À part ça, beaucoup de fanservice agréable, un Capitaine Shaw plutôt amusant, un grand méchant qui a un Portal Gun géant, et une sous-intrigue sur Raffi toujours très peu intéressante, surtout constamment filmée à la caméra portée tremblotante et mal cadrée : pour un premier épisode, c'est intriguant et ce n'est pas désagréable, mais je reste méfiant.

- 3x02 : Piégés à bord du vaisseau de Beverly Crusher, Picard et Riker découvrent que Jack Crusher (Ed Speleers) est peut-être bien le fils de l'Amiral, mais que c'est aussi un contrebandier recherché dans de multiples systèmes, et notamment par Vadic (Amanda Plummer), aux commandes du Shrike, un arsenal volant...

Un second épisode inégal, car séparé en deux parties bien distinctes : d'un côté, Picard et compagnie à bord du petit vaisseau de Crusher, puis du Titan, attaqués tour à tour par le vaisseau de Vadic ; et de l'autre, l'enquête de Raffi dans les bas-fonds, une enquête assez peu intéressante, avec une Michelle Hurd qui surjoue çà et là, etc...

Et autant la partie sur Picard est plutôt agréable à suivre, notamment parce que tout se déroule à bord d'un vaisseau de Starfleet et que le Capitaine Shaw est vraiment un personnage réussi, autant tout ce qui concerne Raffi est bancal, l'écriture est maladroite, et tout, à part le sauvetage final (plutôt efficace, avec le thème musical qui va bien), est plat et mélodramatique au possible.

Épisode moyen, donc, qui n'échappe pas à certains clichés de nuTrek (le Shrike au design générique, la fascination pour la Section 31, le sous-éclairage de tous les décors intérieurs), reste à voir dans quelle direction ça va évoluer.

- 3x03 : Traqué par le Shrike dans une nébuleuse, le Titan tente d'échapper à son ennemi ; Raffi, elle, découvre en Worf un nouveau coéquipier...

Mouais. Pas convaincu par cet épisode, qui sous prétexte de créer du conflit et de la dramaturgie, abêtit ses deux personnages principaux, Riker et Picard, transformant le premier en Capitaine passif blâmant Picard sans raison et le second en vieillard belliqueux sans respect pour la hierarchie.

Aucun des deux hommes ne tente d'élaborer la moindre stratégie, aucun des membres d'équipage n'a de suggestion intelligente ou astucieuse à faire pour sortir de cette situation périlleuse et exploiter le portal gun de Vadic, les personnages réagissent n'importe comment (le médecin chef qui rejette l'assistance de Crusher, médecin légendaire de Starfleet, parce que "je n'ai pas le temps de vous expliquer l'évolution de la technologie médicale depuis 20 ans", WTF), bref, tout le monde est un peu con, et Picard redevient un peu ce vieillard grabataire à qui tout le monde reproche les maux de l'univers, comme dans les deux saisons précédentes.

Pourtant, ça ne commençait pas trop mal, avec une dispute Picard/Crusher très intense, et même si la sous-intrigue de Raffi est insipide au possible (tout le côté good cop/bad cop avec Worf est assez limite, surtout avec l'interprète du Changelin qui surjoue au possible), Worf ajoute une touche qui n'est pas désagréable. 

Mais non, je n'arrive pas à passer outre la dispute Riker/Picard, puérile au possible. Allez, on va rester optimiste, et on va dire que l'un des deux est un Changelin, ce qui justifierait l'écriture bancale... mais bon.

 

(à suivre...)

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Retrouvez aussi toutes les autres séries passées en revue sur ce blog en cliquant ici.

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Un film, un jour (ou presque) #1830 - INTÉGRALE MARVEL CINEMATIC UNIVERSE - Phase 4.3 : TV + Doctor Strange in the Multiverse of Madness (2022) et Thor - Love and Thunder (2022)

Publié le 5 Mai 2023 par Lurdo dans Action, Cinéma, Critiques éclair, Fantastique, Science-Fiction, Science Fiction, MCU, Marvel, Review, USA, Télévision

Courant 2022, la phase 4 du MCU a bien avancé, avec une première vague de films et de séries sorties en pleine pandémie, suivie d'une deuxième vague plus ambitieuse, mais tout aussi inégale...

Et l'on commence à la télévision, avec Moon Knight, une série attendue par les afficionados du genre, et qui, malgré ses imperfections, a su me séduire par son ambiance et son ton différents, ainsi que par sa musique - malheureusement, le caractère quasiment totalement indépendant du programme vis à vis du reste du MCU en a froissé plus d'un, et la série est passée un peu inaperçue.

Doctor Strange in the Multiverse of Madness (2022) :

Traquée par Wanda Maximoff, qui veut lui dérober ses pouvoirs de voyage transdimensionnel, America Chavez demande l'aide du Docteur Strange : débute alors une étrange épopée entre les univers...

À ce jour, je ne comprends toujours pas l'accueil hostile que bon nombre de spectateurs, en ligne, réservent encore à ce jour à ce métrage signé Sam Raimi : il n'est pas rare, en effet, de retrouver ce Doctor Strange en bas des classements de cette phase, voire même de l'ensemble du MCU... et je ne me l'explique pas.

Peut-être est-ce le style de Raimi, qui propose là de l'horreur soft, ludique et décomplexée, souvent amusante et rythmée, mais jamais trop sérieuse. Peut-être est-ce le fait qu'il faut avoir visionné Wandavision (ou du moins s'être tenu au courant de ce qui s'y est déroulé) pour bien comprendre le pourquoi du comment du comportement de Wanda. Peut-être est-ce la hype démesurée du Web pour des caméos finalement anecdotiques dans le produit fini...

En tout cas, j'apprécie toujours autant ce métrage nerveux et spectaculaire, très bien mené de bout en bout, et ce malgré quelques menus détails plus frustrants, qui ont tendance à ressortir un peu plus à chaque visionnage : quelques soucis de continuité sur la barbe et la coiffure de Strange (en fonction du calendrier de tournage et de reshoots, je suppose), quelques décors un peu artificiels (le toit new-yorkais, le monde gris en fleurs), la scène post-crédits plutôt bof (avec Clea), et puis bien sûr, bémol pour Elfman qui, comme dans Avengers 2, décide que l'identité musicale de la franchise ne lui suffit pas, et tente de la remodeler en quelque chose de moins efficace que l'original.

Un bon 4.5/6

 

(critique originale plus complète publiée sur ce blog en 2022, à lire ici)

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Après la réussite Doctor Strange 2 (quoi qu'on en dise), retour sur le petit écran, pour Miss Marvel, une série adolescente rafraîchissante et agréablement "exotique", mais qui souffre un peu d'une conclusion brouillonne et d'un sous-développement des antagonistes du programme. Une saison sympathique, mais aurait pu être plus aboutie.

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Thor - Love and Thunder (2022) :

Face à Gorr, qui a décidé de tuer tous les dieux de l'univers, Thor ne peut compter que sur l'aide de Valkyrie et de Jane Foster, atteinte d'un cancer, mais qui a trouvé dans un Mjolnir reconstitué une source de pouvoir et de vie inespérée.

Après Doctor Strange 2 et son accueil public mitigé, voilà Thor 4, qui a été probablement encore plus mal reçu, et ce bien qu'il applique à la lettre la même formule que Thor Ragnarok : de l'humour, un peu d'émotion, encore de l'humour, quelques affrontements spectaculaires, et de l'humour.

C'est le problème, en fait : après avoir reçu carte blanche suite au succès de Ragnarok, Taika Waititi se lâche... un peu trop. 

En soi, le film n'est pas mauvais, il reste divertissant, bourré d'idées intéressantes et de moments qui fonctionnent, tant visuellement que conceptuellement, et narrativement, la boucle est bouclée pour Thor et Jane... mais trop fréquemment, l'humour revient à l'assaut de manière incongrue, créant un contraste qui désamorce les enjeux et l'émotion (ce que bon nombre de critiques reprochent habituellement à la plupart des Marvel, mais qui n'est réellement poussé trop loin qu'ici).

Que ce soit Korg, trop présent, Gorr, pas assez, Zeus, en roue libre, etc, etc, etc, ce Thor 4 se retrouve parfois le postérieur entre deux chaises, ce qui frustre régulièrement.

Cela dit, après Ragnarok, j'ai envie de dire qu'on savait à quoi s'attendre... mais un peu de retenue, ou quelqu'un pour recadrer Taika n'aurait pas été de trop.

3.5/6

 

(critique originale plus complète publiée sur ce blog en 2022, à lire ici)

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Et comme toujours, retrouvez l'ensemble des notes des films du MCU et du DCEU (ainsi que des liens directs vers leurs critiques) sur notre page de bilan global...

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Un film, un jour (ou presque) #1829 : 65 - La Terre d'avant (2023)

Publié le 4 Mai 2023 par Lurdo dans Action, Thriller, Aventure, Science-Fiction, Science Fiction, Review, Cinéma, Critiques éclair, USA

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

65 - La Terre d'avant (2023) :

Pilote d'une mission d'exploration de l'espace, Mills (Adam Driver) est percuté par des météorites et s'écrase avec tout son équipage sur une planète inconnue : la Terre, il y a 65 millions d'années. Seul survivant avec la jeune Koa (Ariana Greenblatt), qui ne parle pas sa langue, il doit alors survivre parmi les dinosaures sanguinaires, pour rejoindre au plus vite la seule capsule de secours encore en état de fonctionnement...

Un thriller de science-fiction plus que bancal et générique avec Adam Driver et des dinos en CGI tout à fait honorables, mais qui souffre d'une écriture particulièrement clichée, et d'un montage tellement fait à la machette que le tout finit par faire 90 minutes à peine et par paraître catapulté : forcément, quand on coupe toutes les transitions au montage, que l'on empile les coïncidences et les grosses ficelles narratives sur une base déjà bien générique (le père absent qui se trouve une fille de remplacement et la protège pendant des événements dramatiques, le héros indestructible, le sentiment d'urgence artificiel et forcé), et que l'on justifie l'absence de développement par la barrière de la langue... on se retrouve avec quelque chose de maladroit, à l'image de ces cartons-titres bancals au possible.

En réalité, ça ressemble fortement au premier script d'un scénariste débutant - ce qui n'est pas le cas, puisque ce sont les scénaristes de Sans un Bruit et Nightlight qui sont à l'écriture et à la réalisation de ce métrage. À moins que, comme souvent, ce soit effectivement l'un de leurs premiers scripts, qu'ils n'ont réussi à vendre à Sam Raimi (qui produit ce film) qu'une fois qu'ils ont connu le succès avec Sans un Bruit...

Quoiqu'il en soit, c'est particulièrement quelconque, inabouti, et souvent balbutiant.

2/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Un film, un jour (ou presque) #1828 : Sometimes When We Touch (2023)

Publié le 3 Mai 2023 par Lurdo dans Documentaire, Musique, Cinéma, Critiques éclair, Review, USA, Paramount

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

Sometimes When We Touch - The Reign, Ruin, and Resurrection of Soft Rock (2023) :

Documentaire musical Paramount + en trois parties de 45 minutes revenant sur le genre du soft-rock, qui a connu ses heures de gloire dans les années 70 avant de devenir ringard, et de faire un comeback nostalgique ces dernières années.

Très logiquement, le documentaire découpe sa frise chronologique en trois parties : 

- les origines du genre, né de la fin des années 60, de la désillusion des Américains, et de la recherche d'un calme, d'une paix intérieure, et d'une sensibilité - qui se sont traduits par un style musical très doux, sentimental et sensuel, très axé sur la vulnérabilité de l'homme/du chanteur, sur des harmonies vocales très poussées, sur un piano Fender Rhodes omniprésent, et sur un melting pot de styles musicaux provenant de tous les pays.

De quoi assurer la popularité de nombreux grands noms, d'Elton John aux Carpenters, en passant par Crosby, Stills and Nash, Cat Stevens, America, Chicago, Barry Manilow, Captain & Tenille (sur lesquels le documentaire s'attarde longuement), Hall & Oates, Billy Joel, Air Supply, et de nombreux artistes noirs, comme Earth, Wind & Fire, Ray Parker Jr (là aussi, une partie un peu plus longue lui est consacrée), Lionel Richie, etc.

 - les années 80, l'arrivée du punk, de la rébellion, de la new wave, bref, d'une nouvelle génération ayant grandi avec le soft-rock de papa, et voulant s'en écarter au maximum. Le tout couplé à une technologie rendant obsolète la musique souvent guitare et piano du soft-rock, ainsi qu'à une société évoluant vers un machisme testostéroné s'accommodant mal du sentimentaliste hippie des années 70.

- et puis le retour en grâce du style musical, samplé à foison par le hip-hop, puis adopté, de manière ironique et sarcastique, par toute une génération rebaptisant le soft-rock "yacht-rock", par le Web et les vidéos virales et par l'essort des télécrochets façon American Idol, où le soft-rock est plus que bienvenu, que ce soit dans le jury ou parmi les candidats. 

Une nostalgie payante pour les artistes d'alors, et un documentaire plutôt complet et intéressant sur un genre plaçant l'amour et la mélodie au-dessus de tout le reste, même si le métrage se permet certains raccourcis qui peuvent laisser dubitatif, comme le fait de faire d'Abba un groupe de soft-rock, et d'utiliser la renaissance du groupe et sa popularité (notamment passée par le cinéma) comme preuve de la renaissance du genre dans son intégralité.

4/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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Un film, un jour (ou presque) #1827 : La ferme se rebelle (2004)

Publié le 2 Mai 2023 par Lurdo dans Animation, Aventure, Action, Cinéma, Critiques éclair, Comédie, Western, Review, USA, Disney, Musique

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine, et des critiques d'une vingtaine de lignes, tout au plus.

La ferme se rebelle (Home on the Range - 2004) :

Lorsque leur ferme est menacée d'être revendue au plus offrant, trois vaches - Maggie (Roseanne Barr), Mrs. Calloway (Judy Dench) et Grace (Jennifer Tilly) - décident de tenter de capturer Alameda Slim (Randy Quaid), un voleur de troupeaux, afin de toucher la prime qui est offerte pour ce bandit de grand chemin. Pour les aider, elles peuvent compter sur Lucky Jack (Charles Haid), un lapin, et Buck (Cuba Gooding Jr), un cheval amateur de kung-fu rêvant d'entrer au service de Rico (Charles Dennis), un chasseur de primes de légende...

Un Disney de la période creuse de la firme (entre Tarzan et La Princesse et la grenouille/Raiponce), où 2 films sur 3 étaient des déceptions inabouties, ce Home on the Range ne déroge pas à cette règle malheureuse, et propose ainsi un spectacle western auquel je n'ai pas du tout accroché.

Déjà, parce que le western, ce n'est pas vraiment ma tasse de thé, mais aussi parce que le trait de l'animation est assez peu esthétique, que la caractérisation est basique, que l'humour est franchement faiblard (une vache qui rote, trop mdr), et que finalement, ce n'est tout simplement pas très intéressant à suivre, tout ça.

Ajoutez à cela des chansons assez inégales, pourtant signées Menken (la seule chanson que je retiens, c'est celle du méchant qui yodle, parce qu'elle est accompagné d'une jolie illustration visuelle), et voilà, un Disney qui ne laisse vraiment pas un souvenir impérissable, malgré quelques moments aux bruitages et au slapstick très old school, et une dernière ligne droite plutôt dynamique.

2.25/6 

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Blog Update ! - Avril 2023

Publié le 1 Mai 2023 par Lurdo dans Cinéma, Critiques éclair, Les bilans de Lurdo, Update, Review, Télévision

Nouveautés, séries récentes, films d'animation plus anciens, semaine Walpurgis : un mois d'avril assez divers et varié sur le blog des Téléphages Anonymes...

#1806 : Murder Mystery 2 (2023) - 3.5/6

#1807 : Osmosis Jones (2001) - 2.5/6

#1808 : Sea of Thieves - Voyage of a Lifetime (2023) - 4/6

#1809 - MCU - Phase 3.6 : Avengers - Endgame (2019) et Spider-man : Far from Home (2019)

#1810 : Crazy Bear (2023) - 2.25/6

#1811 : PÂQUES - L'Âge de glace : La grande chasse aux oeufs (2016)

#1812 - MCU - Phase 4.1 : TV + Black Widow (2021) et Shang-Chi et la légende des dix anneaux (2021)

#1813 : La Nuit au Musée - Le retour de Kahmunrah (2022) - 3/6

#1814 : Doctor Who Am I (2022) - 3.5/6

#1815 : Avoue, Fletch (2022) - 4/6

#1816 : La Folle histoire du monde (1981) - 3.25/6

#1817 : Life After the Navigator (2020) - 4/6

#1818 : Le nouvel espion aux pattes de velours (1997) - 2.25/6

#1819 : The Wild (2006) - 2/6

#1820 - MCU - Phase 4.2 : TV + Eternals (2021) et Spider-man : No Way Home (2021)

#1821 : Shazam ! - La rage des dieux (2023) - 2.5/6

#1822 - WALPURGIS : Hui Buh - Le Fantôme du château (2006) - 3.5/6

#1823 - WALPURGIS : Hui Buh et le château de la sorcière (2022) - 3.5/6

#1824 - WALPURGIS : Warhunt (2022) - 1.5/6

#1825 - WALPURGIS : Unwelcome (2023) - 3/6

#1826 - WALPURGIS : Une délicieuse petite sorcière (2018) - 4.25/6

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# Bilan :

Passons sur le bilan tardif des films du MCU, notamment sur les débuts inégaux de la phase 4, et attardons-nous plutôt sur les nouveautés critiquées ce mois-ci : la suite sympatoche mais un peu fainéante de Murder Mystery, la suite très fainéante et insipide de Shazam, un Crazy Bear jamais assez fou ou décomplexé pour mériter son buzz ; Avoue, Fletch, une comédie policière plutôt amusante ; ou encore Unwelcome, une comédie d'horreur irlandaise tout simplement moyenne, malgré son postulat rigolo.

D'ailleurs, en parlant d'horreur, avril était le mois de Walpurgis, la nuit des sorcières, et à cette occasion, les films fantastiques ont fait leur grand retour sur le blog, loin de l'Oktorrorfest du mois d'octobre. Le résultat, très axé films jeunesse, était plutôt agréable à regarder, Warhunt étant réellement le seul ratage de cette semaine spéciale.

 

# Film(s) du mois : 

À ma grande surprise, Une délicieuse petite sorcière se classe en tête de peloton, typiquement le genre de film que j'aurais aimé regarder le soir d'Halloween, lorsque j'étais plus jeune.

Non loin derrière, Avoue, Fletch, et deux documentaires, Life after the Navigator et la rétrospective Sea of Thieves.

# Flop(s) du mois : 

Comme je l'ai mentionné plus haut, Warhunt, un DTV horrifique jamais convaincant ; The Wild, un Disney à la production déléguée à un autre studio ; Le nouvel espion aux pattes de velours, un remake 90s ultra-daté ; et, à peine meilleur, Shazam 2.

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# Petit écran :

Ce mois-ci, de la variété, en matière de série : la fin de saison 3 du Mandalorien, assez ternebrouillonne et décevante ; La Folle histoire du monde, deuxième partie, une suite inespérée et très inégale au film de Mel Brooks ; la première saison de That '90s Show, pas désagréable, mais somme toute assez inutile ; la première saison des Anneaux de Pouvoir d'Amazon, une préquelle au Seigneur des Anneaux assez agréable à suivre et globalement réussie, n'en déplaise aux jugements à l'emporte pièce du Web.

Et à l'occasion de la semaine Walpurgis, consacrée aux sorcières en tous genres, l'ultime saison de The Worst Witch 2017 : Amandine Malabul, Sorcière maladroite, plus sympathique que prévu malgré son changement d'actrice principale ; et la saison 1 de Chabracadabra, un programme jeunesse gentillet, bourré de défauts et d'approximations, mais qui se regarde néanmoins assez facilement.

 

Retrouvez aussi les bilans de toutes les séries critiquées jusqu'à présent en ces pages depuis l'index Séries alphabétique qui leur est consacré.

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# À venir :

En mai, des nouveautés (Opération Fortune, 65 - La Terre d'avant, Ant-man : Quantumania, Mayday...), des documentaires, des films d'animation anciens (Frère des Ours, La Ferme se rebelle, Fantasia 2000...), la suite de l'intégrale MCU - Phase 4, et, niveau séries, Star Trek Picard, Star Trek Prodigy, Vox Machina saison 2, Cyberpunk Edgerunners, etc...

 

Dans l'intervalle, toutes les mises à jour du blog sont disponibles sur la page Updates, et la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog est accessible dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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