Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...
Ground Floor 1x01 : Nouvelle sitcom de Bill Lawrence de Cougar Town/Scrubs, dont on retrouve le Dr Cox (entre autres), sur un cadre supérieur et une employée de bas niveau d'une même entreprise qui couchent ensemble un soir, et doivent apprendre à mener de front cette nouvelle relation tendue et leurs rapports hiérarchiques professionnels. À la différence des autres shows de Lawrence, c'est de la sitcom de studio, avec rires enregistrés, une distribution et des vannes assez inégales. Pas un pilote très mémorable, donc.
Après plusieurs Impacts mollassons et qui faisaient du surplace, ainsi qu'un Bound For Glory décevant, je commençais à désespérer, et à être pessimiste quant au booking de la TNA. Heureusement, ce show est arrivé, et avec lui, un peu de changement...
- Dixie accompagnée de Pacman Jones, interrompus par Anderson, qui veut Bully. - MEM2.0 dans le ring, Sting au micro pour annoncer la fin de la MEM, d'un commun accord, et pour partir de manière succinte, en laissant sous-entendre sans le dire qu'il aime tout le monde sauf Magnus ; tout le monde fait son speech de son côté, indiquant que "pas de quartiers dans la course à la ceinture", et Angle reste seul, jusqu'à être interrompu par Roode. brawl. Un début d'épisode sympathique, avec une progression bienvenue sur le front de la MEM. Le public est motivé. - Le brawl continue, avec tout le monde dans le ring pour séparer les deux hommes.
- Bad Influence vont défier Pacman Jones et son pote dans le ring, mais se font bodyslammer par les deux footballeurs. Bref, mais efficace. - Anderson explique à Knox & Bisch qu'il est temps de lâcher Ray. - Velvet vs Brooke vs ODB, #1 Contender. RAS, jusqu'à l'intervention de Gail & Tapa, qui se vantent de n'avoir aucune compétition, et proposent un open challenge. Enfin ! - Brève "publicité" indépendante pour montrer AJ qui défend son titre au Mexique. - Les Aces réfléchissent aux paroles d'Anderson, se font remettre en place par Bully et finissent par se rebeller.
- Dixie est mécontente de la "publicité" d'AJ. ECIII a peur de choisir l'un des deux adversaires "de calibre international" que Dixie lui propose ce soir. - Les Aces dans le ring (sous le regard goguenard d'Anderson) pour un vote sur l'avenir du club : Bisch démissionne, Knux idem, et Tazz idem. Gros segment intense, avec un Tazz qui retrouve de sa superbe, et Ray qui se retrouve seul face à Anderson pour le prochain PPV Tv... mais c'était une feinte, et tout le groupe se retourne contre Anderson dès qu'il a le dos tourné. Les Aces sont plus unis que jamais ! - Roode beugle dans tous les sens.
- Ethan Carter III vs Dewey Barnes. Squash retour, la routine habituelle. J'aime bien le fait qu'ils arrivent à construire à la fois EC3 et ses adversaires squashés, pour en faire une tag team potentielle. - Bad Influence vs EY & JP. Un match solide, mais aléatoire et routinier. - Kurt répond aux beuglements de Roode, mais est interrompu par Aries, qui voudrait bien que Angle se concentre sur leur Submission match de la semaine prochaine. Brawl entre Roode, Aries, et Angle. - Sabin vs Hardy, Full Metal Mayhem match. Bon hardcore match télévisé.
Un show qui, bien que n'étant pas chargé en matches (par contre, de l'action hors match, il y en a eu), me redonne espoir, en annonçant du changement, des nouveaux visages, et un tournoi bien parti pour être captivant.
Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...
The American Scream :
Le portrait de plusieurs familles qui, un mois avant Halloween, transforment leur maison en maison hantée ouverte à tous.
Un documentaire très réussi, à la fois touchant et enthousiasmant, sur des passionnés qui ont tous des raisons extrêmement personnelles de se consacrer ainsi à Halloween.
4.5/6
+1 :
Une fête de djeunes dégénère progressivement, et prend un tournant inattendu lorsque le fantastique envahit la soirée...
Pas d'horreur au programme, mais de la SF/fantastique qui marche gentiment sur les plates-bandes de Timecrimes et Triangle (inutile d'en dire plus).
C'est sympa, à la base, et c'est assez direct dans son approche du fantastique (dès que tu vois le machin tomber du ciel, au bout de six ou sept minutes de film, que ça commence à clignoter de partout, tu comprends tout de suite à quel genre de film tu vas avoir affaire, et ce même si le virage n'est réellement pris qu'à partir d'une demi-heure)... mais ça traîne un peu trop en longueur pour vraiment convaincre, et quand approche la première heure de métrage (une fois le dispositif narratif bien engagé), on commence à regarder un peu le truc se dérouler d'un oeil passif, en attendant que ça se décante vraiment.
Problème : quand ça se décante, ça repose entièrement sur la volonté du spectateur à accepter toutes les réactions disproportionnées et instantanément paranos des personnages ; et c'est là que ça a sérieusement coincé pour moi, puisque progressivement, dès le début du film, les personnages principaux ont commencé à me fatiguer et à m'agacer.
Donc quand le tout part en vrille, forcément, j'ai fini par décrocher. Bref, idée intéressante, mais exécution loin d'être convaincante. (la jolie blonde en petite tenue, par contre, elle, est très convaincante :p)
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- Ghoulies :
Un couple s'installe dans un vieux manoir, ancien lieu de rituels sataniques visant à invoquer les Ghoulies... et bientôt, l'influence de ces derniers commence à se faire ressentir.
Un film d'horreur assez basique et fauché, qui se prend beaucoup plus au sérieux que les films suivants de la franchise, et dans lequel les Ghoulies ne passent pas à l'action avant une petite heure interminable (sur 75m de film !). Amusant de voir passer Mariska Hargitay dans un petit rôle, cela dit...0.75/6
- Ghoulies II :
Les Ghoulies ayant survécu au précédent volet élisent résidence dans un parc d'attractions, qu'ils aident involontairement à prospérer, mais lorsque quelqu'un tente de les exterminer, ils se révoltent et commencent à tuer...
Déjà nettement plus sympathique et axé comédie, avec des Ghoulies en mode "destructeurs malicieux et qui couinent", en lieu et place de la sorcellerie foireuse du premier opus. 2/6
- Ghoulies III :
Les Ghoulies à la Fac, avec bières, étudiantes en petite tenue, et comic-books !
La série a clairement abandonné toute velléité d'horreur, et donne dans la frat house comedy sans la moindre hésitation, avec tits, sex, booze & des Ghoulies qui parlent. L'épisode le plus léger et stupide, mais probablement le moins mauvais de la saga. 2.5/6
- Ghoulies IV :
Le héros du premier film, devenu flic, doit faire face à deux nouveaux Ghoulies, radicalement différents des anciens...
Ah, ça, pour être différent, ils le sont, puisqu'en lieu et place de marionnettes, on a le droit à deux nains en costumes tout droit sortis de Troll, et qui tapent la discute constamment. Autant dire que ce DTV tient plus de l'exploitation désespérée et clichée (comprendre : les 2/3 du temps, c'est un film policier vaguement surnaturel) d'une franchise déjà guère brillante, que d'une suite intéressante et pertinente. 1.25/6
Munchies :
Lorsqu'un archéologue et son fils découvrent un Munchy, un alien enfoui dans un temple sud-américain, ils ignorent que ce dernier représente une menace de taille : coupé en morceau par le sbire du frère jumeau de l'archéologue, un entrepreneur maléfique, le Munchy donne naissance à des multitudes de créatures similaires, toutes plus affamées les unes que les autres...
Une comédie de sf clairement pompée sur Gremlins, au point que les personnages le reconnaissent eux-mêmes, et font ici ou là des références à la pop-culture de l'époque. Ça se regarde, mais c'est très bas-de-plafond, orienté gamins, avec une musique "comique" omniprésente, des perruques et des bruitages à la con, et du surjeu dans tous les sens. 1/6
Hobgoblins :
Un veilleur de nuit est confronté à des créatures extraterrestres, les Hobgoblins, qui tuent des humains en leur donnant l'impression d'exaucer leur plus grand souhait.
Pas très sûr d'avoir compris pourquoi le film s'ouvre ainsi, mais bon, de toute façon, le film est globalement tellement amateur et fauché que bon, ça n'a pas grande importance. Rien que la première demi-heure, sans le moindre monstre, est particulièrement peu intéressante, et ensuite, c'est du sous-Gremlins avec des marionnettes inanimées...
0.75/6
Hobgoblins 2 :
La suite, 21 ans après... dans un asile psychiatrique où le vieux vigile du premier film est enfermé. On prend (presque) les mêmes, et on recommence, avec le script original de Hobgoblins 2 (jamais tourné à l'époque) dépoussiéré et tourné tel quel en 2009, et à peu près autant de budget et de talent (le son, notamment, est désastreux).
Cliché whedonien #256321 : tuer le perso fan-favorite de manière inattendue, pour provoquer une réaction émotionnelle forcée.
Copie de cliché whedonien #256321 : faire croire que l'on va tuer le perso censé être fan-favorite, pour essayer de provoquer un semblant de réaction émotionnelle forcée.
Problème : on en est à six épisodes, tout le monde se contrefout des persos secondaires qui n'ont jamais été développés (et pour être franc, Fitz et Simmons sont soit insupportables, soit incompréhensibles), et la probabilité de la mort d'un de ces persos si tôt dans la série est nulle.
Autrement dit : la base émotionnelle de l'épisode, et ses enjeux, étaient inexistants. Et comme tout l'épisode reposait là-dessus (et sur un caméo-éclair de Titus Welliver, qui reprend son rôle du Marvel One-Shot Item 47), ça donne un épisode gentiment creux et quelconque, comme d'habitude. Alors oui, il y a bien un semblant de tentative de développement des personnages secondaires, mais bon, ça reste un show d'espionnage au rabais, avec des scènes d'action foireuses (Ward qui saute en parachute, avec gros plan sur l'acteur les yeux plissés devant un blue screen pour simuler la chute libre ), et du shipping sans intérêt (Skye est tellement formidable et irrésistible que tout le monde est amoureux d'elle... d'ici à ce qu'ils nous rajoutent aussi Simmons en love-interest-potentiel-lesbien de Skye.. ^^).
(j'avoue, à mon premier essai, ce matin, j'ai passé la moitié de l'enquête en avance rapide, tellement je roupillais devant)
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The Blob (1958 & 1988) :
Une petite ville des USA est attaquée par un blob carnivore venu de l'espace...
- Si on oublie le générique d'ouverture façon beach movie, ça tient assez regardable, malgré quelques grosses grosses longueurs inhérentes à l'époque et aux limites du genre.
3.5/6
- Un film d'horreur typique des années 80, et un remake assez fidèle, spectaculaire (les sfx sont très réussis), mais avec quelques problèmes de rythme assez notables. Avec Johnny Drama et son brushing 80s en rebelle à deux balles. (ce n'est clairement pas le même calibre de jeu ou de présence que Steve McQueen)
4/6
Paranorman :
La malédiction d'une sorcière menace la ville, et c'est à Norman, un jeune garçon aux dons de divination, qu'échoue la responsabilité de sauver le monde...
Un chouette film d'animation made in Laika, avec un cast vocal bien trouvé, une animation convaincante, et un récit qui monte progressivement en puissance jusqu'à donner dans une débauche d'effets visuels pertinents. Pas parfait (quelques clichés, et moments de rythme défaillant), mais très bon.
Okay... je n'ai pas grand souvenir du Raw de la semaine dernière (SuperCena excepté), donc pas grand chose à dire non plus préalablement au Raw de cette semaine...
Une première heure qui ne vaut absolument que pour son match d'ouverture CM Punk vs Brodie Lee euh, Luke Harper. Un match de dix minutes sans surprises, uniquement là pour mettre en place l'inévitable match de PPV par équipe entre la Wyatt Family et Punk/Bryan(/?), mais qui était suffisamment solide pour bien faire démarrer le show. Malheureusement, ensuite... c'est comme toujours un gros flop, avec du meublage dans tous les sens : Khali vs Ryback, ADR vs Kofi, et un segment un peu stupide récapitulant toutes les infractions légales du feud Big Show/Authority. Ce qui est totalement illogique si l'on se souvient que l'Authority contrôle toute la WWE, la production, etc... m'enfin bon.
Comme la première heure, la seconde heure de show s'ouvre par un match sympathique de dix minutes : Big E vs Orton. À nouveau, aucune surprise, mais un match honorable... suivi par 30 minutes de meublage. Heureusement, un tag match (redite du main event de Smackdown) Real Americans & Sandow vs Cena & The Rhodes vient réveiller tout ça et finir la deuxième heure avec un peu de brio.
Après tant d'action... revoilà l'interminable vidéo Show/Authority de tout à l'heure. Et une promo backstage des McMahon. Et une victoire à l'arrachée de Zigg sur Perfect Jr, après s'être fait dominer pendant tout le match. Et un tag match des Usos. Et un match des Divas (entre ce match et le match de Tyson Kidd, on sent que la WWE veut promouvoir le retour de Total Divas, et rien d'autre)... que de meublage ! Tout ça pour arriver au "main event", à savoir le Steph & Trips Show. Et là, mieux vaut oublier toute logique, tant rien n'est cohérent dans cette histoire de Big Show qui peut contrôler la WWE toute entière via un procès, et qui préfère exiger un match biaisé en sa défaveur en échange de l'abandon des poursuites... ce qui forcément, dégénère à la gloire des McMahons... et de Kane en costume cravate, qui reste planté là sans rien faire. WTF.
Un Raw qui peut sans difficulté se résumer à trois matches : le match d'ouverture, le Big E/Orton et le trios match de la fin de la seconde heure. Tout le reste ? Au mieux, de quoi s'endormir ou se facepalmer, selon les moments...
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American Scary :
Documentaire gratuit (sur youtube) sur l'histoire des animateurs tv de programmes d'horreur (comme Elvira, Vampira, etc). Intéressant et atypique pour nous autres, européens, mais peut-être un peu longuet, et, paradoxalement, avec certaines omissions étranges.
4/6
Boogeymen 2 : Masters of Horror :
Un docu-dvd qui interviewe tous les plus grands réalisateurs et spécialistes en sfx de l'industrie, et qui est présenté par Bruce Campbell. Rien de révolutionnaire pour qui est familier du genre, mais une bonne introduction-rétrospective au film d'horreur pour les débutants, et un aperçu fascinant dans l'esprit de certains créateurs.
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Outpost 3 - Rise of the Spetsnaz :
Des spetsnazs, des nazis, des zombies... la routine.
Pas vraiment accroché à ce troisème opus. Autant j'avais bien apprécié l'épisode précédent, autant les personnages de celui-ci sont à l'image du film : ternes et redondants. Et à force de faire dans le terne et le boueux, le tout devient lassant, malgré les efforts de la prod pour proposer de l'action.
2/6
Maniac (2012) :
Elijah Wood en tueur psychotique pitoyable, traumatisé par sa mère, et qui scalpe des jeunes femmes à New York, avant de s'éprendre d'une photographe française.
Remake (d'un film que je n'ai pas vu), filmé par un français (dont le précédent opus était tout sauf mémorable), et très stylisé, tant par l'abus de vue subjective (constante), que par la bande-son 80s, et les effets visuels. On adhère ou pas, mais c'est un peu trop racoleur à mon goût (des looks racoleurs, des sfx too much, une mise en scène too much), et les ruptures de POV ne sont pas très logiques.
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La Femme du Boucher (The Butcher's Wife) :
Une jeune femme clairvoyante cherche l'âme soeur, et s'installe à New York, où elle commence à influencer l'entourage de celui qu'elle a épousé, et trouve le vrai élu de son coeur.
Comédie romantique surnaturelle tout droit sortie des 80s (ou presque), avec Jeff Daniels et Demi Moore en blonde (pas un choix très judicieux) ; pas très intéressant ni consistant, d'autant que Demi Moore joue souvent son perso comme une attardée avec un accent bizarre, et que la morale du truc (le boucher est rondouillard, dégarni et vieux = il ne peut pas être l'âme soeur de l'héroïne, voyons...) est discutable.
1.25/6
The Mortal Instruments - City of Bones :
Une jeune femme découvre qu'elle est l'héritière d'une lignée de guerriers aux pouvoirs surhumains, destinés à défendre le monde contre une armée de démons.
De l'urban fantasy pour djeunes typique, peu inspirée, avec une héroïne assez quelconque, un triangle amoureux obligatoire, blablablabla : ça ressemble à du gros patchwork d'intrigues en carton, toutes recyclées sans inspiration, c'est filmé mollement, sans saveur, c'est interminable, bref, passons.
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Absentia :
Deux soeurs découvrent que la disparition du mari de l'une d'entre elles, des années plus tôt, est peut-être dûe à un tunnel proche de son domicile et à la force étrange qui y vit...
Un film financé via Kickstarter, qui compense son relatif manque de moyens par des idées sympathiques, par un mélange agréable des contes et légendes et de l'horreur plus moderne, et par un traîtement assez réussi du deuil.
4.25/6
Bad Kids Go To Hell :
Un Breakfast Club sanguinolent sur une bande de mauvais élèves d'une école privée pour bourges, contraints de passer du temps ensemble en colle, une séance de colle qui vire au carnage.
Un métrage très étrange, et qui ne fonctionne pas vraiment : le scénario se traîne gentiment, et tente des renversements de situation et des flashbacks à la Wild Things sur la fin, sans vraiment les faire fonctionner ; les personnages sont tout sauf attachants ou intéressants : les filles sont étrangement toutes lookées comme des actrices porno, les mecs sont transparents, il y a quelques caméos (Judd Nelson et Ben Browder) qui n'apportent pas grand chose (à part de la mise en place évidente pour les twists de fin), et c'est apparemment adapté d'un comic book, mais la mayonnaise ne prend pas vraiment.
Et puis tout le processus de tourner une scène topless avec une actrice portant des pasties, pour ensuite remplacer ces derniers par des tétons en CGI scannés et rotoscopés sur l'actrice en question, c'est... euh... du gaspillage de $$ .
Après un Impact d'après Bound For Glory assez décevant (à l'image du PPV), à la limite du pilotage automatique, particulièrement léger en action, et lourd en blabla redondant, voilà qu'arrive l'édition spécial Halloween du show, enregistrée en même temps que l'Impact précédent.
- Dixie annonce un tournoi pour nommer un nouveau champion à la place d'AJ ; montage assez maladroit de brefs portraits de chacun des sept premiers candidats, et annonce d'un gauntlet pour déterminer le huitième (certainement Magnus). Bully Ray n'est pas content. Anderson intervient, brawl...
- Anderson se fait évacuer, mais est passé à tabac par Bully backstage.
- Les Aces continuent de teaser une rebellion.
- Gunstorm vs Bromans - Tag title rematch. RAS. Bref, et sans grand intérêt intrinsèque.
- Dixie se fout de la gueule de Sting. Amusant.
- Bad Influence enquêtent sur Abyss et sur le Tv Title disparu. :mrgreen:
- EC3 vs Norv Fernum - rematch. Resquash. Mais ça reste amusant à regarder, notamment lorsque le public chante "Let's go blue guy!" au jobber.
- Bad Influence mène l'enquête sur les seins d'ODB. :mrgreen:
- Tournament Slot Gauntlet Battle Royale. Un match sympatoche, sans grande surprise quant au vainqueur.
- Dixie aime bien Magnus.
- ODB vs Gail Kim - rematch. RAS. J'espère vraiment qu'on va avoir un open challenge, à partir de maintenant, parce que la division est au point mort.
- Bad Influence a résolu le mystère d'Abyss.
- BI dans le ring, pour une promo qui a l'air de laisser le public dubitatif. Ey arrive, déguisé en JPark, puis Abyss, brawl... la routine.
- Roode vs Angle - rematch. Forcément solide, et avec une répétition du finish du PPV, histoire de continuer cette intrigue.
Un show paradoxal. D'un côté, ça fait un surplace pas possible, avec des matches déjà vus, aux résultats identiques, et un booking évident pour la storyline de Dixieland... et de l'autre, c'était beaucoup plus sympathique que la semaine dernière, puisque les matches étaient bons, réguliers, et assez rythmés. Bilan mitigé, donc, mais mitigé positif.
Halloween est arrivé, et comme tous les ans, c'est l'heure de l'Oktorrorfest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma fantastique et d'horreur pendant tout le mois d'Octobre, et la première quinzaine de Novembre...
100 Bloody Acres :
Un trio de djeunes australiens partent assister à un festival de musique, et tombent sur une entreprise de fertilisation de terrain utilisant des cadavres pour améliorer sa formule secrète.
Une comédie d'horreur australienne à l'excellente réputation, mais qui m'a laissé particulièrement de marbre. Je ne sais pas trop pourquoi, en fait... l'atmosphère pesante, l'humour très économe et "australian redneck", le rythme tranquille... bref, je suis resté à la porte du métrage. Dommage, parce que niveau technique, c'est assez bien exécuté.
3/6
Abandoned Mine :
Une bande de djeunes va explorer une mine hantée le soir d'Halloween. Drama ensues.
Il y a quelque chose de problématique quand ton film d'horreur se déroulant dans une mine échoue à transmettre un semblant de claustrophobie, et, par la faute de ses personnages, ressemble plus à une parodie involontaire du genre qu'autre chose.
Rajoutons à cela une mise en place longuette, une réalisation peu inspirée, et un double-twist en carton que tout spectateur aura deviné depuis le début du film, et on se retrouve avec un échec. Ou alors ce serait un succès, si le métrage était un téléfilm pour ados de Disney Channel.