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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Un film, un jour (ou presque) #1961 - QUINZAINE SAINT VALENTIN : Game of Love (2023)

Publié le 8 Février 2024 par Lurdo in Comédie, Romance, Critiques éclair, Cinéma, Hallmark, St Valentin, Review, USA, Canada, Télévision

Pendant un peu moins de trois semaines, à l'occasion de la Saint Valentin, place aux grands sentiments et à la séduction, avec des critiques quotidiennes de films romantiques... 

Game of Love (2023) :

Conceptrice de jeu de plateau désabusée et renfrognée, Audrey (Kimberley Sustad) découvre qu'elle doit collaborer avec un consultant en marketing cool et nonchalant, Matthew (Brooks Darnell), pour créer en urgence un jeu ayant pour thème l'amour et la romance. Le duo, qui ne s'entend guère, va alors devoir apprendre à se connaître et se rapprocher pour trouver le ton juste pour leur nouveau jeu...

Mouais. Une rom-com Hallmark basique sur le fond, dont la seule véritable originalité est le milieu des jeux de plateau et des concepteurs de jeu... avec ce que ça implique de raccourcis et d'improbabilités inhérentes à tout cela : le jeu de plateau récompensé co-créé en moins d'un mois par l'héroïne et un consultant en marketing qui n'y connaît rien, on y croit à fond, surtout quand on découvre le produit fini.

Et ce problème de crédibilité s'ajoute à un couple principal finalement peu probant : Sustad et Darnell tiennent bien leur rôle, et Sustad, notamment, a toujours ce capital-sympathie qui fait qu'elle est immédiatement sympathique, mais leur relation ressemble plus à de l'amitié qu'à de la romance - il n'y a pas d'alchimie exceptionnelle dans cette relation, et la romance ne fait pas d'étincelles.

Sans oublier tout le côté Love Guru, avec de la psychoanalyse de comptoir sur la romance, l'amour, l'ouverture psychologique, et tout et tout : dans l'ensemble, la mayonnaise ne prend que très ponctuellement, et le tout paraît trop générique pour vraiment convaincre.

Après, voir les acteurs se geler dans un métrage tourné en novembre au Canada alors que le film est supposé se dérouler à Seattle (comme d'habitude), à une toute autre période, c'est toujours sympathique, et la collègue asiatique enthousiaste était amusante. Mais ça s'arrête là.

2.5/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien (000-1000) et sur celui-ci (1001-2000)...

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