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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Christmas Yulefest 2019 - 48 - Un Décor de Rêve pour Noël (2019)

Publié le 24 Décembre 2019 par Lurdo in Christmas, Cinéma, Comédie, Critiques éclair, Lifetime, Noël, Review, Romance, Télévision, Yulefest

Noël approche, et chez les Téléphages Anonymesc'est donc l'heure de la Christmas Yulefestet de son marathon de cinéma festif pendant tout le mois de décembre...

Un Décor de Rêve pour Noël (Staging Christmas - 2019) :

Décoratrice d'intérieur dans l'immobilier, Lori (Soleil Moon Frye) tente de décrocher une promotion, mais pour cela, elle doit à tout prix trouver un endroit où organiser la fête de Noël de son entreprise. Une rencontre fortuite avec Everett (George Stults), veuf et père de la petite Maddie (Mia Clark), et propriétaire d'une demeure en manque de décorations, lui offre alors une occasion en or d'accomplir sa mission, mais contre toute attente, Lori n'est pas insensible au charme de son hôte...

C'était très mauvais. Et pourtant, au fil des ans et des Yulefests au niveau de plus en plus homogène (et médiocre), j'ai un peu tendance à me ramollir, et à ne plus me montrer aussi cassant avec les moins bons métrages festifs proposés par les chaînes... mais là, j'ai trouvé le tout tellement raté que j'ai été fortement tenté d'abandonner avant la fin.

Il faut dire que rien ne marche : non seulement le postulat de départ est ultra-cliché (le veuf séduisant père d'une fillette éplorée, à qui l'héroïne doit faire retrouver la joie de Noël, avant de devoir choisir entre sa promotion et sa romance naissante, bla bla bla) et l'écriture pataude, mais en plus, l'exécution de ce scénario basique est affreusement faiblarde.

Stults est robotique et plat, la fillette et Jaleel White ne sont guère meilleurs, la prise de son et la post-synchro sont approximatives, les coiffures et costumes peu flatteurs, la mise en scène étrange (dès leur première scène, Lori et Everett se tiennent à 15 centimètres l'un de l'autre)... et tout ça, sans même évoquer l'étrange fascination du script pour le monde des chaînes de café façon Starbucks, et le flou artistique qui enveloppe soudainement Soleil Moon Frye à chaque gros plan, pour cacher ses rides, comme si elle était une star de soap des années 70.

Un métrage vraiment déplaisant et fauché.

1.25/6

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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films de Noël passés en revue sur ce blog dans le cadre de la Christmas Yulefest en cliquant directement sur ce lien (classement alphabétique), ou celui-ci (classement saisonnier)...

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