Girlfriend's Day :
Dans un Los Angeles où les cartes de voeux sont considérées comme de la grande littérature, Ray (Bob Odenkirk) était une superstar du milieu. Mais il est désormais en panne d'inspiration, dépressif, et sa femme (June Diane Raphael) l'a quitté pour un dessinateur (Andy Richter). Peu de temps après avoir perdu son emploi, cependant, Ray reçoit une offre étrange : créer la carte idéale pour une toute nouvelle fête, Girlfriend's Day, et relancer par là-même sa carrière. Mais rapidement, alors même que Ray se rapproche de Jill (Amber Tamblyn), une jeune femme apparemment parfaite, mensonges et meurtres commencent à se multiplier autour de Ray, et la vie de ce dernier finit par être en danger...
Un pastiche de film noir dirigé par un réalisateur de documentaire, et qui ne dure que 70 minutes à peine (génériques compris), ce qui fait que ça ressemble presque plus à un épisode de série tv câblée (logiquement diffusée sur Netflix) qu'à un vrai film.
Et d'ailleurs, cette étrange impression d'un métrage ayant le postérieur entre deux chaises s'étend à tout le reste de la production : jamais vraiment convaincant en tant que pastiche de film noir, jamais vraiment drôle, jamais suffisamment absurde, jamais vraiment romantique, jamais vraiment tendu, Girlfriend's Day finit par tomber à plat, malgré sa distribution sympathique et qui prend le récit très au sérieux.
Je n'ai pas du tout accroché, mais d'autres personnes apprécieront probablement plus que moi.
2/6
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Et comme toujours, vous pouvez retrouver la liste complète de tous les films passés en revue sur ce blog dans le menu Index de haut de page, ou en cliquant directement sur ce lien....
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