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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Christmas Yulefest 2016 - 57 - La Parade (amoureuse) de Noël (2016)

Publié le 29 Décembre 2016 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, Christmas, Noël, Yulefest, Hallmark, Review, Romance, Comédie, Télévision, Fantastique

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

La Parade (amoureuse) de Noël (Sleigh Bells Ring) :

Responsable de l'organisation de la parade de sa petite ville, Laurel (Erin Cahill), une jeune divorcée mère de Scarlett (Dakota Guppy) tente désespérément de trouver un moyen de rendre cet évènement spécial, malgré son budget limité. Elle rencontre alors Mr Winter (Donovan Scott), un vieillard à la barbe blanche, et à la bonhommie contagieuse, qui accepte de lui prêter son vieux traîneau laissé à l'abandon, à la condition qu'elle y prenne soin et le rénove. Mais dès qu'elle prend en charge le traîneau, celui-ci semble doué d'une volonté propre, et décidé à rapprocher coûte que coûte Laurel de David (David Alpay), antiquaire et ancien petit-ami de la jeune femme...

Arf. Celui-là, il avait tout pour me plaire : après tout, des rom-coms Hallmark mettant en scène le Père Noël et des éléments vraiment magiques, il n'y en a pas eu beaucoup cette année (voire même pas du tout : apparemment, Hallmark a jeté l'éponge sur sa franchise Northpole, après deux années successives).

Et là, tout était plus ou moins réuni : une héroïne sympathique, une fillette attachante (Guppy faisait déjà de la figuration dans deux autres films de cette Yulefest et s'était faite remarquer dans le rôle de Jodie Sweetin, dans le biopic de La Fête à la Maison), un acteur assez inoffensif en love interest, un Père Noël très convaincant (tout droit sorti de Police Academy !), et un budget visuel plutôt confortable, qui permet des décorations et un tournage dans une petite ville plutôt pittoresque et montagnarde. Bref, sur le papier, c'était sympathique.

Malheureusement, pendant tout le métrage, je n'ai eu de cesse de me demander pourquoi j'avais autant de mal avec ce film... était-ce les dialogues, le rythme, l'interprétation ? Quelque chose me gênait, mais quoi ? Et en fait, j'ai fini par comprendre : la plupart des dialogues et des scènes sont montés au hachoir, au rythme d'une phrase/un changement d'angle/un plan.

Un montage ultra-cut et ultra-inutile, qui a déséquilibré tout le métrage à mes yeux (d'autres ne le remarqueront probablement même pas ^^), et qui lui enlève d'office un point.

3.5 -1 = 2.5/6 (ah, et puis ce serait sympa d'investir un peu dans des cartons-titres plus travaillés que "texte en Arial blanc ou noir vaguement surimposé sur l'image")

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