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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Catch Review : WWE Cruiserweight Classic - Semaine 10

Publié le 17 Septembre 2016 par Lurdo in CWC, Catch, WWE, Review

Show de deux heures diffusé en direct sur le Network ce 14/09/2016 :

WWE Cruiserweight Classic - Semaine 10 - Demi-Finales et Finale :

- Récap du parcours des quatre demi-finalistes.

- Gran Metalik (Mexico) vs Zack Sabre Jr. (UK). Démarrage sur les chapeaux de roue pour un match qui ne ralentit jamais, au risque d'être un peu brouillon çà et là. Une bonne opposition de styles, cela dit, même si Sabre peine toujours à vendre la douleur de manière homogène, durable et crédible.

- Kota Ibushi (Japan) vs TJP (Philippines/USA). Un match épique et sans concessions, tout simplement, et le travail de TJP dans ce tournoi est >>>>>>>> à tout ce qu'il a pu faire à la TNA, cumulé.

- Gargano & Ciampa vs Dar & Cedric Alexander. Tag match de meublage très solide, mais que je n'ai regardé que d'un oeil, tant il était sans enjeux.

- CWC Finals - TJP vs Gran Metalik. Triple H qui s'incruste en pré-match histoire de se mettre en valeur, et de faire une promo, forcément (:mrgreen:), expliquant que le gagnant du tournoi deviendra le premier Cruiserweight Champion de Raw/la WWE. Un match plus acrobatique, technique  et un peu plus lent que le Ibushi/TJP, mais un très bon match néanmoins.

 

Et voilà, le CWC est terminé, et TJ Perkins est le grand gagnant, ainsi que le premier champion CW de Raw. C'est bien mérité, surtout après la manière dont la TNA l'a constamment sous-exploité et viré comme un malpropre, et ses matches étaient d'un niveau excellent tout du long, donc aucun problème en ce qui me concerne.

Dans l'ensemble, un très bon tournoi, plein d'action mémorable, et avec d'excellents commentaires passionnés et intelligents de Bryan & Mauro (à titre de comparaison, j'ai jeté un bref coup d'oeil à un segment d'Impact, l'autre jour, et j'ai été obligé de couper le son tant Josh Matthews est insupportable et perpétuellement faussement enthousiaste)

(encore plus que lors des One Night Only, c'est dire)

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