Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Un film, un jour (ou presque) #283 : Le Retour d'Aladin (1964)

Publié le 31 Mars 2016 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Romance, Fantastique

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Le Retour d'Aladin (The Brass Bottle) :

Harold Ventimore (Tony Randall), un architecte venant de faire l'acquisition d'une bouteille antique, découvre qu'elle abrite un génie nommé Fakrash (Burl Ives), qui, reconnaissant d'avoir été libéré, s'efforce alors de faciliter la vie d'Harold. Mais Fakrash n'est pas habitué au monde moderne, et ses efforts se retournent souvent contre Harold, notamment en ce qui concerne sa petite-amie Sylvia (Barbara Eden)...

Une comédie fantastique des 60s, assez amusante, et qui donne parfois l'impression de regarder un épisode de Ma Sorcière Bien-Aimée, tant au niveau du ton que de la musique, des effets visuels, ou encore des bruitages.

Pas forcément surprenant, puisque le film date de l'année du lancement de cette série, et que ce Retour d'Aladin a directement inspiré la série Jinny de mes rêves (1965), dont la tête d'affiche était justement Barbara Eden (ici dans le rôle de la petite amie du héros).

Ce métrage, donc, adapté d'un roman du début du 20ème siècle, s'avère sympathique, bien qu'un peu mollasson dans son premier tiers, et souffrant d'une post-synchro très hasardeuse pour certains personnages (clairement redoublés en studio, parfois par des personnes ne sachant pas jouer la comédie).

Une fois ce cap franchi, cependant, le tout fonctionne plutôt bien, grâce à un protagoniste principal décontracté et flegmatique, et à un génie finalement très attachant. Dommage que le passage du temps au fil du récit ne soit pas particulièrement bien géré.

3.75/6

Commenter cet article