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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Un film, un jour (ou presque) #218 : Pixels (2015)

Publié le 19 Novembre 2015 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, Review, Comédie, Science-Fiction, Action

Au programme : un film par jour, cinq jours par semaine (tant que j'arriverai à tenir la cadence ^^), et des mini critiques d'une dizaine de lignes, tout au plus.

Pixels :

Dans les années 80, Sam (Adam Sandler), Will (Kevin James), Ludlow (Josh Gad) et leur rival Eddie (Peter Dinklage) étaient de jeunes passionnés de jeux vidéo, Sam et Eddie s'affrontant même lors d'un tournoi mondial de Donkey Kong remporté par Eddie. 30 ans plus tard, Sam est un loser, installateur en électronique ; Will est le président des USA ; Ludlow est un conspirationniste reclus ; et Eddie, lui, est en prison pour fraude. Mais lorsque des extraterrestres envahissent la Terre après avoir confondu des images de vieux jeux d'arcade pour une déclaration de guerre, un tournoi de taille s'engage entre l'équipe des quatre joueurs, recrutés par l'armée, et les aliens, qui pour l'occasion ont adopté l'apparence et les règles de leurs jeux fétiches...

Pas grand chose à dire sur ce Pixels typiquement Sandlerien.

Sandler fait du Sandler en pilotage automatique, Michelle Monaghan et Kevin James ne servent à rien, Sean Bean et Brian Cox non plus, Dinklage surjoue affreusement, et le script n'est jamais vraiment crédible, ni ne cherche à l'être (rien que Kevin James en président des USA, laule).

Reste que les effets spéciaux sont excellents, et que le tout se regarde tout de même facilement (mais mollement), jouant notamment sur la fibre nostalgique des enfants des années 80.

Ça s'arrête là, cependant, ce qui est bien dommage, et nul doute qu'entre les mains d'un réalisateur plus motivé (Chris Columbus est gentil, mais il reste un faiseur assez basique) et de scénaristes plus inspirés (il y avait mieux à faire sur la base du court-métrage, cf Futurama), ce métrage aurait mérité mieux qu'un simple

3/6

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