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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Halloween Novembrrrfest 2015 - 199 - Les Dossiers Secrets du Vatican (2015)

Publié le 15 Novembre 2015 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Horreur, Fantastique

Dernière journée de l'Oktorrorfest 2015 sur le blog des Téléphages Anonymes, et dernière fournée de films fantastiques et horrifiques, à raison d'une critique de film toutes les heures, jusqu'à minuit ce soir...

Les Dossiers Secrets du Vatican (The Vatican Tapes) :

Une force maléfique possède Angela Holmes (Olivia Dudley), une jeune femme fille d'un militaire (Dougray Scott). Rapidement, le Vatican est alerté, et trois religieux - le Cardinal Bruun (Peter Andersson), le Vicaire Imani (Djimon Hounsou) et le Père Lozano (Michael Peña) - se chargent d'exorciser la pauvre victime...

À la base, les films d'exorcisme sont déjà tous redondants et dérivatifs de leur modèle, le film de Friedkin, au point que le genre même de la possession démoniaque soit probablement aussi aujourd'hui éventé et périmé que celui du found footage ou des enfants maléfiques.

Mais quand en plus un film d'exorcisme se paie une distribution terne au possible, une réalisation moderne (à base de caméra à l'épaule et d'angles très laids) qui échoue pourtant à insuffler la moindre énergie à son film, un script encore plus balisé et générique que la moyenne, et une mise au placard de plus de 2 ans entre la fin de son tournage et sa sortie... c'est qu'il y a un problème.

Pas étonnant donc que le métrage de Neveldine (l'un des "génies" derrière Ghost Rider 2, Hyper Tension 1 & 2, et Ultimate Game) se vautre lamentablement, et ce dès ses premières images façon "compilation d'images d'archive et de news", qui échouent totalement à convaincre, et ce sur tous les plans.

Le pire étant que le film en lui-même n'est pas trop mal interprété (la possédée manque cruellement de charisme, mais bon, on fait avec)... mais le tout est tellement soporifique (ce qui est assez paradoxal, vue la personne qui tient la caméra) et convenu que ça ne mérite à peine qu'un :

1/6

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