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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Halloween Novembrrrfest 2015 - 196 - R.L. Stine's Monsterville : Le Couloir des Horreurs (2015)

Publié le 15 Novembre 2015 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, Oktorrorfest, Review, Halloween, Fantastique, Jeunesse

Dernière journée de l'Oktorrorfest 2015 sur le blog des Téléphages Anonymes, et dernière fournée de films fantastiques et horrifiques, à raison d'une critique de film toutes les heures, jusqu'à minuit ce soir...

R.L. Stine's Monsterville : Le Couloir des Horreurs (Cabinet Of Souls) :

Lorsqu'une foire étrange arrive soudain en ville à l'approche d'Halloween, quatre amis lycéens (Dove Cameron, Braeden Lemasters, Tiffany Espensen et Caset Dubois) décident d'y passer un peu de bon temps, totalement sous le charme de l'ambiance macabre des lieux, et du réalisme des nombreux monstres employés par le mystérieux Dr. Hysteria (Andrew Kavadas). Mais bien vite, il s'avère que les monstres sont réels, et que le Dr Hysteria capture les âmes des jeunes visiteurs de sa foire, pour en faire ses employés permanents... Aux adolescents d'éviter de tomber dans le piège du sorcier, et de ne pas succomber au charme des mystérieux Hunter (Ryan McCartan) et Lilith (Katherine McNamara)...

Que se passe-t-il lorsque R.L. Stine décide de lancer encore une nouvelle série de téléfilms, mais à destination d'un public plus âgé que d'habitude ?

Et bien il recrute chez Disney et Nickelodeon, et il produit un téléfilm mollasson qui ressemble à une comédie télévisée Disney moderne, insipide et générique, lorgnant très fortement sur La Foire des Ténèbres (1983) de Bradbury/Disney, et totalement plombé par un script plus intéressé par les relations amoureuses contrariées de ses protagonistes que par son sujet ou son ambiance.

Ça meuble donc énormément (comme dans toute DCOM moderne, on a droit à une séquence musique/danse moins de 6 minutes après le début du téléfilm ; le script donne vraiment l'impression d'avoir été artificiellement rallongé, pour passer de 30 minutes à près de 90), et ça souffre énormément d'une distribution terne et sans le moindre charisme (le cast masculin est vraiment transparent au possible ; le cast féminin s'en sort un peu mieux, même si la production a tellement "gothifié" McNamara qu'on ne la reconnaît presque plus).

1.5/6

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