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LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Christmas Yulefest 2014 - 48 - Un Père Noël Pas Comme les Autres (2014)

Publié le 24 Décembre 2014 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, Yulefest, Review, Noël, Christmas, Comédie, Romance, Télévision, Hallmark

Noël approche, et comme tous les ans, c'est l'heure de la Christmas Yulefest sur le blog des Téléphages Anonymes, avec au programme un marathon de cinéma festif pendant toutes les fêtes de fin d'année...

Un Père Noël Pas Comme les Autres (Christmas at Cartwright's) :

Au chômage à l'approche de Noël, Nicky Talbot (Alicia Witt), une mère célibataire, tente de décrocher un emploi saisonnier dans un grand magasin. À Cartwright's, elle est néanmoins rejetée par Fiona Aldrich (Gabrielle Miller), une employée jalouse du courant qui passe entre Nicky et Bill (Gabriel Hogan), l'un des cadres du magasin. Décidée à ne pas se laisser décourager, Nicky usurpe alors l'identité du Père Noël du magasin, fraîchement renvoyé, et avec l'assistance inattendue de Harry (Wallace Shawn), un ange, elle va remplacer Santa sous un déguisement improbable, le temps d'offrir à sa fille un Noël inoubliable.

Le film de Noël annuel d'Alicia Witt, après Les Pendules de Noël et Le Noël Rêvé de Megan en 2013, ici pour Hallmark... et force est de constater que plus le temps passe, moins l'intérêt est là.

Ainsi, ce métrage, non content de partir sur un postulat totalement improbable (Alicia Witt, même en forçant sa voix et en s'enrobant d'oreillers sous son costume, n'est jamais crédible en Père Noël mâle), manque par ailleurs cruellement d'énergie et de dynamisme.

Alicia Witt elle-même semble particulièrement terne et fatiguée, ce qui se répercute sur tout le téléfilm, qui finit par donner l'impression d'un projet où tout le monde en fait le minimum syndical, y compris le scénariste, qui vient placer son ange magique sans autre raison que d'expliquer d'un coup de baguette tous les points problématiques du script.

Dommage, parce que Witt possède, à la base, un capital sympathie certain... mais cette fois-ci, c'est raté.

2/6

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