Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
LES TÉLÉPHAGES ANONYMES

Il était une fois Lurdo & Sygbab, deux internautes passionnés de séries tv et de cinéma, et qui cherchaient un endroit où archiver leurs avis (semi) éclairés...

Christmas Yulefest 2016 - 78 - 1001 Nuits (2) - Les Nouvelles Aventures d'Aladin (2015)

Publié le 8 Janvier 2017 par Lurdo in Critiques éclair, Cinéma, 1001 Nuits, Yulefest, Christmas, Noël, Review, Comédie, France, Fantastique

Noël est passé, 2017 est là, et comme chaque année, la Christmas Yulefest se conclue sur le blog des Téléphages Anonymes par l'arrivée des Rois Mages, et par un détour du côté de l'Orient et des Mille et Une Nuits...

Les Nouvelles Aventures d'Aladin (2015) :

La veille de Noël, Sam (Kev Adams) et Khalid (William Lebghil) rejoignent les Galeries Lafayette, où ils officient sous le costume du Père Noël. Mais Sam n'assume pas cet emploi, ni son statut de SDF, et ment à sa petite-ami Sofia (Vanessa Guide), qui croit qu'il travaille dans la finance. Contraint par son employeur de rejoindre le rayon jouets, Sam se voit obligé de raconter une histoire fantastique à tout un groupe d'enfants : l'histoire d'Aladin, revue et corrigée à sa façon...

Je n'ai ni sympathie ni inimitié envers Kev Adams : en fait, en théorie, je suis totalement neutre à son sujet. Et donc, comme j'ai toujours un gros faible pour tout ce qui est Mille et une nuits (cf pour en avoir la preuve), je me suis dit "pourquoi pas".

Malheureusement, cet Aladin est exactement ce à quoi je m'attendais avant de voir ce film : c'est un sous-Iznogoud (qui lui-même tentait déjà de reproduire la formule Mission Cléopâtre dans un autre environnement), qui joue exactement sur les mêmes ressorts comiques (références modernes, caméos d'acteurs et de comiques connus, passages chantés), mais n'en a ni l'énergie ni le rythme (déjà qu'Iznogoud était très moyen sur ce plan), ni même l'humour.

Paradoxalement, c'est Eric Judor, toujours attachant et amusant, ainsi que les effets spéciaux, plutôt bons, qui sortent du lot ; tout le reste est particulièrement dérivatif, plat et oubliable, et souffre d'une interprétation très inégale (le syndrome "je sur-articule toutes mes lignes de dialogues" des comédiens français a encore frappé).

(Iznogoud-1)/6 = 2/6

Commenter cet article